pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 14/02/2025 17:46

"ETRE OU NE PAS ETRE.........MORT" DE HUBERT ZAKINE.
Je ne veux pas mourir sans combattre. Je suis le dernier des Mohicans, le défenseur de Fort Alamo, le survivant des monts lointains. Je me demande encore pourquoi le bon dieu il n’a pas pitié de moi. J’ai pourtant toutes les qualités dixit ma mère. Bon d’accord je suis un chitane mais pas plus que les autres garçons de Bab El Oued. J’aime ma mère, mes tantes mes oncles et mes amis. Bien sûr mes frères et ma petite fiancée. Que demander de plus monsieur le bon dieu, dites-le moi que je ne meure pas idiot.
*****
Tu vois pas que soudain, je suis ramené à la vie par celui là-même qui voulait me l’enlever. Le bon dieu, en personne. Tan Tan Tan ! Il viendrait dans sa grande robe blanche - ou sa gandourah – sa barbe blanche style père Noël, sa grande canne comme Moïse quand il a ouvert la Mer en deux, et de sa voix de stentor
--C’est trop pêché de mourir si beau et si jeune. Je t’offre une rallonge de 70 ans.
Putain, ma parole, s’il m’alloue un sursis pareil, je lui tape une danse du ventre souâ-souâ, à faire pâlir Samia Gamal, elle-même.
Et pourquoi pas après tout ! Mes oncles sont toujours de ce monde alors qu’ils frôlent les soixante ans.
Purée, je reverrai la vie en rose comme Edith Piaf. Ma mère chanterais à nouveau dans sa cuisine qui sent bon les épices et les bestels de Pourim embaumeront la maison, mes frères me battront tous les jours à la ronda sans que je leur en veuille, la belle vie, quoi !
Et ouais mais tout ça c’est du zbérote. Le temps y passe et je suis toujours mortibus. Personne ne vient me réveiller et je reste tout seul sur mon ile naufragée. Ma mère ne me préparera plus des casse-croutes à la sortie de l’école, elle m’enverra plus chez tata Félice chercher de l’ail ou de la laitue, j’irais plus au marché Nelson acheter des sardines ou des petits rougets, putain de Manon !
Pourquoi bon dieu vous me faites ça, à moi ? Je ne parviens pas à comprendre. J’ai même pas eu d’accident de voiture, je me suis pas noyé dans la méditerranée, je ne suis pas tombé de cheval au caroubier et de bicyclette au jardin Guillemin, alors dites-moi, qu’est-ce que vous me reprochez ? Pardon pour mes questions mais ma parole, je suis un petit pied noir tout ce qu’il y a de plus ordinaire, je ne suis pas riche pour un sou et même pour deux sous. Tellement ma mère est pauvre que le père Noël ne connait pas mon adresse, je joue aux noyaux, aux tchappes et aux bouchons qui coûtent pas un sou à ma mère, alors dites moi si je mérite cet ostracisme. Entre parenthèses, vous pourriez me trouver des qualités avec ce mot sorti de l’armoire.
*****
Je m’aperçois que mon plaidoyer vous laisse de marbre. Pourtant, je me donne un mal de chien pour me sortir de ce guêpier. Parce que c’est un piège que vous me tendez. Quelque-soit le côté où je me tourne, ya pas moyen de vous faire entendre raison. Achno, seriez-vous sourd Monsieur le bon dieu ? Si c’est le cas, à quoi ça sert que je m’escrime à vous expliquer, vous pouvez me le dire ? C’est comme si je parlais à un mur. Au moins si c’était le mur des lamentations mais même pas ! Achno, qui c’est qui répond ? Hou, j’en ai marre ! Purée, le lecteur doit lui aussi en avoir marre de cet écrivain qui rouspète sans arrêt !
Et pourtant, je suis très loin d’avoir un sale caractère Une perle dit ma mère en parlant de moi ! Toujours de bonne humeur, mes amis me surnomment Jerry Lewis tellement je les fais rire Alors, excusez-moi mais si je rouspète, c’est simplement parce que vous me laissez dans l’expectative ! Si ça continue, je vais me suicider comme ça, y aura plus d’échappatoire. Ah, il aura l’air fin le bon dieu avec mon cadavre sur les bras. Voila, ce que c’est de jouer à la roulette de la vie et de la mort. Tant pis pour vous Monsieur le bon dieu. Toute votre vie, vous porterez ma mort sur la conscience. Un véritable boulet. En plus, si ça se trouve, ma mère, elle voudra vous intenter un 0 procès pour non-assistance à enfant en danger.
Maintenant, si le bon dieu est vraiment bon comme je le pense, qu’il ne ferait pas de mal à une mouche, je suis magnanime. J’oublie tout, je ferme à double tour ma porte et ma parole d’honneur, je jette la clé. Le bon dieu redevient mon ami pareil à Roland, Jacky, Victor, Paulo, Alain et Robert. Certes, il ne viendra pas jouer au foot avec nous mais s’il le veut, ma parole, on lui fait une place.
Ouais d’accord, je déconne mais c’est pour dire que je suis pas mauvais comme la gale. Si on sait me prendre, je suis une bonne pâte. Mais attention, si vous me prenez à rebrousse-poil, si vous disputez ma mère, je sors tout mon attirail du parfait voyou et, alors là, attention les yeux. Les gros mots, les baffes, les coups de tête, en veux-tu en voilà, je les distribue avec largesse. Je suis pas égoïste, je redeviens le dernier des Mohicans.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 12/02/2025 15:22

L’autre Symphonie inachevée, celle que vous ne connaissez pas…
 
Les récits épiques concernant le prestigieux Lycée Bugeaud, son administration, ses professeurs, leurs élèves, ne manquent pas et sont très souvent empreints de tendresse, de nostalgie et si bien écrits qu’on ne se lasse pas de les lire et les relire ; et ainsi, de se replonger dans des souvenirs qui reviennent, surgissant d’on ne sait d’où…
Et me voilà par magie, transporté fin 1954, un mardi soir, en dernière heure, de 16 à 17h dans la salle d’éducation musicale où nous attend, droit comme un i,  et toujours armé de sa règle quadricolore graduée, notre prof M.Marcel Perrin, aux cheveux plaqués, tout de noir vêtu, l’air sévère devant l’entrée massive de plus de quarante adolescents bruyants, chahuteurs, saturés par les six heures de cours précédents pendant lesquels discipline, concentration, attention etc. sont de rigueur.
Aussi, est-ce sans surprise que nous nous installons à nos places habituelles après un remue-ménage de chaises légèrement accentué, non mais… ! ! !
Sur injonction de notre maestro, nous sommes invités à écouter attentivement  l’½uvre qu’il nous a choisie, de nous en imprégner, d’en dégager, exprimer ultérieurement nos sentiments dans nos carnets de « musique » et de ne surtout pas nous lever et ce, même si la cloche de sortie retentit.
Ouf ! Pas d’interros aujourd’hui et déjà, nous nous « mettons en action » :          les « cas d’or », tête posée sur les coudes, yeux fermés, d’autres, bras sur la table, regard vers le plafond, et les fatigués, affalés et prêts à s’endormir….
Dans un silence impressionnant, une musique, classique bien entendu mais dont je n’ai pas retenu l’auteur, s’élève et nous enveloppe, selon nos goûts, d’une torpeur ou d’un mysticisme propre aux connaisseurs ou…non.
Au bout de 45 minutes d’écoute, la sonnerie de sortie retentit. Personne ne bouge. Personne ? Non !  En bon élève, soucieux de m’acquitter de ma dette de devoir supplémentaire écopée à cause certainement d’une très mauvaise note en éducation musicale, contrairement à celles de mes camarades musiciens, je me lève pour aller puiser au fond de mon cartable, mon laïus imposé sur la vie et l’½uvre de ne sais quel musicien célèbre…
Et c’est à ce moment-là que le cours de l’Histoire va basculer ! ! !
 
 Car la vigilance de notre prof ne faiblit pas d’un iota ; d’une pichenette, il lâche sa règle qui, artistiquement accompagnée par notre divine musique, fend l’espace et après avoir heurté l’épaule du camarade assis devant moi, dans un magnifique salto avant, atteint sa cible : touché !
Un hurlement ! Je viens d’être atteint à un ½il et vois des étoiles partout. La musique s’arrête, donnant ainsi le signal anticipé d’une sortie annoncée avec retard et rassurant les élèves de la 3è AB1 : pour les uns, ce sera le retour avec les copains habituels, pour les autres, ils ne feront pas attendre leurs parents venus les chercher en voiture, pour d’autres le chemin du stade et des entraînements…
Et moi dans tout ça ?
M.Perrin prend mon lourd cartable alors que je garde ma main sur l’½il blessé. Nous allons au secrétariat du lycée et après explications, nous voilà partis en 4CV. Nous filons vers le centre-ville et je comprends que nous longeons les boulevards du front de mer. Arrivés au carrefour de l’Agha, M.Perrin se gare à gauche, au début de la rue Charras et monte chez lui où nous accueille Madame. Je n’en mène pas large et reste confondu devant l’immensité de la pièce où je me trouve (à elle seule, elle équivaut à celle de notre appartement !) et où trône le premier piano à queue que je n’avais jamais imaginé. Nous allons ensuite chez son ophtalmologue, le docteur Lorrain, qui me soigne et établit une ordonnance de soins.  Et nous voilà repartis dans l’autre sens  vers Babeloued, moi  servant de copilote indiquant à mon prof, l’avenue de la Marne, de la Bouzaréah, Durando, des Consulats et enfin la rue de la Consolation et les immeubles des Messageries.
Grimpant les 4 étages sans ascenseur, nous trouvons ma mère, traumatisée par mon retard et prête à appeler Police-Secours et s’excusant presque du malheureux accident dont  j’avais été la victime.
Il n’y eut pas de suite à cette malencontreuse affaire. Non. Ah mais si !
Que croyez-vous qu’il advînt ?
M.Perrin n’a jamais plus utilisé sa réglette comme auxiliaire d’autorité et plus aucun lycéen de Bugeaud n’a failli être éborgné. Et tout ça, grâce à qui ? À toi ? Mon ½il ! ! !
C’était en 1954, le début de la guerre… Vous croyez que je peux porter plainte ?

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 08/02/2025 16:22

TCHALEFS D'UN ENFANT DE BAB EL OUED DE HUBERT ZAKINE.

LES CHAUSSURES DE RODGER

Rodger, c’était le magasin de chaussures au tout début de l’avenue de la Marne, côté jardin Guillemin. Bien calé sous ses imposantes arcades, ce magasin, il attirait aussi bien les femmes élégantes que les hommes pour la qualité de sa fabrication.
Comme tous les dimanches, j’allais déjeuner chez mon oncle Léon et ma tante Rose mais ce jour là, y tombait des cordes. C’était un déluge digne des déluges algérois, une véritable marabounta. Comment faire pour traverser toute l’avenue Malakoff sans me mouiller surtout que le vent y soufflait en rafales. Pour couronner le tout, mes chaussures elles étaient toutes trouées et rafistolées avec des semelles découpées dans une vieille boite en carton. Comme un babao, je voulais m’y rendre quand même parce que mon oncle c’était un fou de football et le SCUEB qui avait battu le grand Stade de Reims y venait défier l’ASSE. Et, avec mon oncle, je rentrais à ouf au stade. La pluie, elle voulait pas cesser comme une samote. Ma mère, rien qu’elle me décourageait
--« Tout ça pour un match. Tu vois pas qu’y va pleuvoir toute la journée ! »
Et plus, je voulais affronter les giboulées, le vent, la pluie, la tornade. Un fou, j’me rendais bien compte de ma folie mais je voulais voir le SCUEB affronter l’ASSE. Même pas je me disais que le match il risquait d’être reporté, aouah, j’avais une idée en tête et pas ailleurs. Même Azrine, y pouvait pas me faire changer d’avis.
Tellement, que le bon dieu, il a eu pitié de moi. Y devait être à sec, plus une goutte à déverser sur Bab El Oued. Bien sur, ni une ni deux, je me suis mis en route. Quand je suis arrivé face au stade Cerdan où mon oncle, il habitait, j’avais les chaussures et les pieds dans un de ces états. Mouillés, c’est peu de le dire. Ma tante, elle s’est fait de ces mauvais sangs.
--« Mon fils, enlèves tes chaussures et viens que je te sèche les cheveux ! Et maman, elle t’a laissé partir avec ce temps souèd? »
Ma tante, comme toutes les femmes de la famille, elle était née dans la casbah, alors obligé elle parle mi-arabe, mi-juif et mi-français.
Elle sait, tata Rose que suis têtu comme une mule ou mieux comme un bourricot de la montagne. Mais elle appelle mon oncle et je les entends chuchoter comme si c’était des conspirateurs. Après bien des conciliabules, les voila qui sortent de la salle de bains où ils avaient été conspirer. Mon oncle, à la fin de la journée alors que le match il avait été reporté, y m’embrasse et y me donne rendez vous le lendemain pour aller m’acheter une paire de chaussures chez Rodger.
Le lendemain, je reconnais le sifflet de la famille (chaque bande, chaque clan, chaque famille, elle utilisait ce signe de reconnaissance typiquement méditerranéen qu’est le coup de sifflet ).
Devant chez Rodger, mon oncle y me demande de choisir dans la vitrine la paire (et oui, j’allais pas acheter qu’une chaussure, la paire c’est un minimum !). Je regarde, je juge, j’ai envie de choisir une paire qui fasse pas cucu-la praline mais ma mère, la pauvre, elle m’avait bien fait la leçon, surtout demande à Tonton des chaussures pas chères, t’ch’as bien compris. Je m’arrête sur une paire mi-cucu la praline, mi-fils à pèpe, mi-babao ! Mon oncle avec l’intelligence qu’on a tous dans la famille et le sens de l’observation très développé qu’il a, y me montre une paire de chaussure noire sans semelle pareille à celles d’Alain Delon dans « Faibles femmes ». Tonton Léon, il avait dû voir mon regard en biais et la bave qui coulait de ma bouche, qu’est ce qu’il fait ? Je vous le donne Emile mais moi je vous le vends Emile ? Y rentre dans le magasin et y demande à Rodger la paire que tous les amis j’vais m’en faire des ennemis tellement y vont être jaloux. Ba ba ba ! Le roi c’est pas mon cousin ! Après dix sept mille remerciements et tente cinq mille baisers à son Mazozé de frère, ma mère, elle me met en garde :
--« Attention, tu touches pas un ballon avec ! Tu montes te changer avant. Tch’as compris hein, mon fils ! Tonton, il est gentil hein ! Alors, prends en soin ? C’est pas des tennis ça ! Tu sais combien de vestons y faut qu’y fabrique, tonton, pour te payer une paire de chaussures pareille! »
Bardah ! Ma mère toujours y faut qu’elle exagère ! D’accord maman, je ferai très attention ! Je les regarderai seulement, moi aussi j’exagère !
Après quelques jours, j’avais étrenné mes chaussures. Sans shooter dans le moindre ballon, la moindre balle, le moindre caillou. Tout juste si je marchais pas sur les mains ! Comme un fils à pèpe !
Et puis, je monte à Maison Carrée faire un match de hand-ball avec mon école même que mon cousin c’était le goal de la sélection d’Alger. Mon prof de gym, y nous fait mettre les affaires dans un vestiaire fermé à clé. Tout le monde, on est tranquille. On tape le match, je suis moi aussi le goal et on gagne les doigts dans le nez. On a pas le temps de taper la douche algéroise mais la douche écossaise je la prends en pleine poire ; le vestiaire il avait été « visité » pendant le match et mes belles chaussures, elles s’étaient faites la belle. Le cataclysme qui s’est abattu sur moi et ma mère, c’est rien de le dire.
--« Comment on va faire pour le dire à tonton ? Tout cet argent jeté à la rue ? Aussi tch’avais besoin d’aller au stade en chaussures de ville ? Bou ala sardek ! »
Ma mère, quand vraiment elle en pouvait plus de mauvais sang, elle jurait en arabe, c’est bizarre, hein ?
Mon oncle, la gentillesse personnifiée, il a aimé mes chaussures sans semelles. Une semaine après, il est retourné chez Rodger pour s’acheter les mêmes. Dans la famille on a les mêmes goûts et les mêmes pieds !
Le dimanche suivant, y vient manger à la maison avec tata Rose, Jean Paul et Daniel. Sur le pas de la porte, y s’arrête et, fier comme Artaban y fait en montrant ses souliers sans semelles :
--« TAN TAN TAN ! »
Et avant qu’il ait le temps de dire quoi que ce soit, ma mère elle s’écrie : « Tch’as retrouvé les chaussures de Hubert ? »
Mon oncle raïeb, y s’est demandé ce qu’il lui tombait sur la tête. Reusement, ma mère, elle s’est vite reprise, on a parlé d’autre chose et Tonton, il a passé une journée souâ-souâ sans jamais connaître le fin mot de l’histoire.
FIN


 

De : Carmen ripollEnvoyer un mail

Le : 07/02/2025 09:43

Merci Stanis pour ton message pour annoncer le décès deJeannot Eposito, un enfant de notre cité des vieux moulins , parti trop tôt….


Notre chère Cité a perdu beaucoup de ses enfants qui faisaient crier Madame De Capol qui nous aimaient tant…

Il est allé rejoindre sa famille (dont son frère Sauveur tue a 20 ans dans les Aures) et tous ses amis d enfance
De la bas …..tant de bons souvenirs…

Repose en paix Cher Jeannot près des étoles …..

Je vous embrasse à tous…..Carmen du Bt B

 

De : Stanislas PandolfoEnvoyer un mail

Le : 05/02/2025 11:09

C'est avec tristesse que nous avons appris le décès de Jeannot Esposito.
Il était le "petit dernier" de la fratrie qui, comme beaucoup de familles de notre cher quartier, a vu, en peu d'années, disparaître bon nombre de ses soeurs et frères. Il ne s'était jamais remis d'une grave chute dont il avait gardé d'importantes séquelles.
Il était un enfant du bâtiment F de le cité des Moulins.
Je suis persuadé que tous les anciens de la Cité encore parmi nous auront une pensée émue pour notre ami et s'associeront à la peine de ses proches.
Repose en paix

 

De : Sid-Ali HamoucheEnvoyer un mail

Le : 01/02/2025 02:32

Bonjour,

C'est pour mettre à jour le texte suivant de la page:
https://www.neababeloued.fr/divers/divers_alger/

C'est l'enseigne de l'ancien hôtel et l'ancienne Galeries du Duc de Malakoff qui se trouve sur la rue de Bab El Oued entre la Mosquée Ali Betchine (Ex: Église notre Dame de la Victoire et la place des Martyres Ex: Place du Gouvernement. Cette galeries à trois issues une côté rue de Bab El Oued , une côté rue Jenina et une côté rue du Vieux Palais( cette dernière a été fermée suite à l'extension du célèbre café maure " Malakoff" . Célèbre par sa fréquentation de tous les musiciens et chanteurs Chââbi ( musique populaire algérienne) ce café n'existe malheureusement plus suite à la désertion de ses illustrés clients et habituées.
(photo de Mustapha OUALIKENE le 22/01/2018)

Voici une mise à jour:
Le passage Malakoff est ouvert de nouveau (Decembre 2024) ainsi que le café Malakoff avec sa superficie initiale. Le passage Malakoff donne sur la rue du vieux-palais et la fontaine du lion est maintenant visible depuis la rue de Bab-el-Oued.

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 24/01/2025 22:19


erreur ....c'est le début de la FIN de nous Z'OTRES ......

 

De : balzanoEnvoyer un mail

Le : 24/01/2025 19:03


24 Janvier 1960 drapeau tricolore jeté d'un balcon des Messageries finira sur
les Barricades face à la grande poste de la rue d'ISLY taché de sang FRANCAIS
65 ans sont passés c'était le début de la FIN pour NOTRES ......
'


 

De : PARCQ RobertEnvoyer un mail

Le : 22/01/2025 12:12

Encore bravo aux auteurs ainsi qu'aux rédacteurs pour ce nouveau morceau d'histoire de notre quartier. Chapeau!!!!

 

De : rosette de la consolationEnvoyer un mail

Le : 21/01/2025 09:46

a l'attention de christian timoner
je ne sais pa si tu as eu la reponse a ton gentil message,car il m’est revenue un message que je ne pas décoder, j'ai juste compris ,désolé,
donc tout simplement,je te remercie beaucoup.
j'en profite pour vous souhaitez a vous tous une très bonne et belle journée.rosette bises.

 

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