pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 29/05/2025 09:50

CLAUDE DELUY ALGER LA BLANCHE CHANT + MUSIQUE+ PAROLES
11 mai 2025
Dans ce deuxieme titre de ma composition et de mon album en préparation j'ai mis a l'honneur la CAPITALE ALGER un voyage pour mes compatriotes PIEDS NOIRS en image et en musique , paroles, musique,arrangement,orchestration, chant realisation STUDIO CLAUDE DELUY 30500 ST AMBROIX titre dépose S.A.C.E.M contact /claude.deluy@laposte.net
ALGER LA BLANCHE
INTRO 32 MESURES
COUPLET 1
Tu me parles toujours d’Alger ma ville blanche que j’aimais le boulevard Michelet et Notre Dame
d’Afrique et l’amirauté qui abrite tous ces bateaux qui resplendissent de leurs jolies couleurs
CHORUS 32 MESURES
REFRAIN
Alger la Blanche tu rayonnes de toute ta splendeur mais mon destin je le connais par c½ur
L’histoire va s’arrêter en juillet 62 oh mon Alger je suis plein de regrets
CHORUS 32 MESURES
COUPLET 2
Je revois encore le Tombeau de la Chrétienne nous allons a TIPAZA tous fêter PÂQUES
Avec une bonne loubia et une coca et la mouna notre dessert PASCAL
CHORUS 32 MESURES
REFRAIN
Alger la Blanche tu rayonnes de toute ta splendeur mais mon destin je le connais par c½ur
L’histoire va s’arrêter en juillet 62 oh mon Alger je suis plein de regrets
CHORUS 32 MESURES
COUPLET 3
La rue d'isly qui étale tous ses produits ses senteurs de jasmin et de fleur d’oranger
Qui se mélangent avec tous ces parfums suaves et tous ces beaux légumes qui sentent l’Algérie
CHORUS 32 MESURES
REFRAIN
Alger la Blanche tu rayonnes de toute ta splendeur mais mon destin je le connais par c½ur
L’histoire va s’arrêter en juillet 62 oh mon Alger je suis plein de regrets
CHORUS 32 MESURES COUPLET 4
Tu me parles toujours d’Alger ma ville blanche que j’aimais le boulevard Michelet et Notre Dame
d’Afrique et l’amirauté qui abrite tous ces bateaux qui resplendissent de leurs jolies couleurs
CLAUDE DELUY ALGER LA BLANCHE CHANT + MUSIQUE+ PAROLES

https://www.youtube.com/watch?v=VR920hVsiyQ&si=wtiAxkpsZSzBudtP&fbclid=IwY2xjawKlDTFleHRuA2FlbQIxMQBicmlkETBxbXphZThadU85VmhhaXZYAR4Mwbkys1iMgJB2eqDzwVYyLFgYtpyPWS80JwAL3q9iRhJ2xQ0E5V-6FxC4Uw_aem_HaEfTqTcFvTRGnJmjslt-g

 

De : seksek michelEnvoyer un mail

Le : 29/05/2025 07:46


BONJOUR A TOUS,UN DE VOUS CONNAITRAIT LE NO DE TELE....DE FRANÇOIS CARAVANO QUI

HABITE NICE,ET BIEN SUR DE LA CONSOLATION (ALGER).

MON NO:06 30 76 56 48 MERÇI A VOUS.

 

De : Roux PatriciaEnvoyer un mail

Le : 29/05/2025 06:51

Bonjour,
Je suis entièrement d'accord avec les propos tenus par Madame PLA-SALORT Annie, ils nous ont mis devant le fait accompli. Personnellement, depuis des années, je me connecte tous les jours sur le site, et a aucun moment les organisateurs ont parlé de fatigue, de vouloir passer le relais, peut-être entre eux mais jamais sur le site.
Bravo Christian Timoner, j'adore lire tous les messages, parfois ils sont tristes .... Cordialement

 

De : P.J. TALLIEUEnvoyer un mail

Le : 28/05/2025 13:07


A l'attention de Mme PLAT-SALOR
Madame, permettez moi de vous donner mon avis et de vous dire mon désaccord suite à votre message paru dernièrement sur le site . Personnellement ,contrairement à vous, je ne remercierai jamais assez le fondateur et les bénévoles, ainsi que ceux qui leur ont succédés. Ces personnes n'ont pas quitté le navire: pour certains, l'âge les a emporté. Rendons leur hommage et une pensée remplie d'émotion pour leurs enfants et petits-enfants . Si vous vous en sentez le courage, lancez une pétition et vous donnerez sur le même site le résultat.
La tache est trés difficile . Ne vivons pas avec nos regrets et bien au contraire avec les souvenirs de joies et de larmes,que nous avons partagés aprés ces retrouvailles , aprés tant d'années de séparation. Maintenant lorsque je clique sur le site, c'est malheureusement pour apprendre la disparition d'un de nos amis et la pensée nous emporte dans les souvenirs de notre quartier, la rue était notre seconde maison.
Bien à vous Paul-José TALLIEU





 

De : DOMENECH LilianeEnvoyer un mail

Le : 27/05/2025 07:20

Pour les nostalgiques comme Annie Salort vous pourrez toujours vous rendre le jeudi de l'Ascension à Nîmes (procession de notre Dame de Santa cruz). Ca concerne principalement l'oranais mais tout=s les pieds noirs sont les bienvenus.
Adresse : quartier est de Nîmes (mas de Mingue).

 

De : PLA-SALORT AnnieEnvoyer un mail

Le : 26/05/2025 17:11

Bonjour les Frères et Soeurs de Bab el Oued ,

Vous vous souvenez dès qu'approchait le week end de la Pentecôte nous préparions notre GRAND RENDEZ VOUS ANNUEL A ROGNES , rendez vous que nous avions programmé un an à l'avance !!!!!!!et que pour rien au monde nous aurions manquer !!!!

Mais voilà un tsunami s'est abattu sur notre belle association, emportant tout sur son passage !!!!

Nos retrouvailles pleines d'émotions, nos cabassettes à la cave, je ne m'y ferait jamais à cette mise à mort , et plein, plein et encore plein de oualiones , d'amis, de frères et soeurs de la-bas ne peuvent encaisser cet effacement !!!
Vous nous avez supprimés encore une fois !!!

Vous étiez fatigués, fallait en parler, passer le relais, mais non vous étiez les maitres à bord et on arrête tout !!! et vous nous avez mis devant le fait accompli !

On en parle souvent au téléphone comment peut-on reprendre l'affaire ????????

Si vous nous passez les statuts de l'association en pourrait relancer l'affaire,
et ne pas se contenter seulement des repas occasionnels qui n'attirent que ceux des bouches du rhône !!!

Le site de Christian n'est qu'une rubrique nécrologique malheureusement, normal vu qu'il s'est passé 63 ans maintenant !!!

Mais vous vous souvenez à Rognes, il y avait nos enfants qui vivaient avec nous nos émotions, nos petits enfants se régalaient à jouer en plein air, la relève était disponible !!!

Hubert, André, je me contente de lire vos récits qui font chauds au coeur de tout le monde , mais quelle joie de vous embrasser et de partager une anisette avec vous !!!! supprimé na !!!!

Croyez moi je me fais le porte paroles de très nombreux compatriotes , parce que j'ai les c....... de vous le dire , des critiques à mon égard de la part de certains , mais qui pensent comme moi et qui n'osent pas vous égratigner !!!

Christian tu me liras et tu diras elle l'a fait !!!
Je vous embrasse mes frères et soeurs de la-bas, je ne vous oublierai jamais
Alain et Nelly Faus, José, Moukli, Carmen Ripoll, Georges Ronteix, Dédé et Francis Scotto, Josiane Buades, Christiane Coppa, Les Ballester, Les Perez et Lechado ,Francis Mélé, les Pastor, Nos amis de l'école des soeurs , Nancy Vidal, Jocelyne Lopez, Ghislaine Mesquita, Ghislaine Liguori, Les Modena, Les Fitoussi et tous les autres je vous aime si fort !!!

Que D... vous garde mes très chers amis en longue et bonne vie !!!




 

De : La clique des Messageries Envoyer un mail

Le : 23/05/2025 18:58


Le long de la corniche de Marseille le plus long banc du monde devant la Méditerranée en face d ALGER ,70 ans après avoir quitter les bancs de SIGWALT
(école des bourricots) avec BRAHIM la fraternité demeure !! et tes frères
MERZAK et BACHIR (là haut) avec les OUALIONES .....

 

De : BRAHIMEnvoyer un mail

Le : 21/05/2025 13:48

De retour a Paris après un bref séjour a Marseille

je tiens a remercier les Oualiones de la clique des Messageries pour l accueil qui mon réservé (balade sur la corniche, apéro, tapas sur le vieux port chez Oscar tenue par le fils d un ancien des Messageries)
Encore une fois MERCI en particulier le Maire de Bab el Oued Guy Balzano
A refaire

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 19/05/2025 11:56

André Trives Auteur

L'école de la place Lelièvre:
l'Université de Bab el Oued !
On y entrait en primaire vers l'âge de 6 ans et on y ressortait après le BEPC entre 16 et 17 ans. Dix ans de fréquentation assidue nous donnaient le sentiment que l'école Lelièvre était notre seconde maison. Nos maîtres et maîtresses nous accompagnaient de la petite enfance à l'adolescence depuis des générations. On les considérait comme notre deuxième famille. Alors, vous dire que le surnom d'université de Bab el Oued qu'avait donné Mr BEN SIMON notre prof de français, pouvait lui conférer le titre de la ''meilleure école du quartier'', cela aurait été présomptueux. Une chose est certaine, elle était un modèle d'éducation et de formation où, à la ténacité d'obtenir des têtes bien faites, s'ajoutait un enseignement paternaliste ne faisant pas partie des programmes scolaires. Nos enseignants nous rappelaient inlassablement les principes et valeurs à respecter afin de nous préparer à affronter la vie ; ils nous traitaient comme leurs propres enfants. Pour se rendre compte réellement de la considération exceptionnelle que l'école de la Place Lelièvre nous portait, il fallait l'avoir quittée.
Je n'ai jamais oublié les moments de générosité de nos enseignants qui, 75 ans plus tard, m'inspirent toujours. Que ce soit dans la réussite ou dans l'échec, toute ma vie d'adulte j'ai entendu une voix venue de l'intérieur qui me rappelait à la modestie et à la persévérance.
Les leçons de savoir-être apprises sur les bancs de mon école demeures écrites à la craie sur le tableau noir de ma mémoire en hommage à ceux qui n'ont eu de cesse de nous les rappeler chaque matin, grâce à la plus belle des matières qui avait pour nom : LA MORALE.
Je retourne inlassablement dans l'école de mon enfance où les souvenirs de chaque rentrée sont ineffaçables ! Je gravis les cinq marches de pierres usées, une odeur de peinture fraîche me saisie : les murs, les portes et les fenêtres ont été repeintes en gris bleu durant les vacances d'été. Je franchis le hall d'entrée, laissant sur la gauche le bureau du directeur et sur la droite la loge de la concierge. Au mur une plaque de marbre rend hommage aux enseignants morts pour la France au cours des deux guerres mondiales.
Comme une déferlante, je fais partie de cette vague d'enfants sortis de "chez Coco et Riri " et qui envahit la cour de récréation avec des cris d'allégresse pour évacuer l'ultime trop plein d'énergie. Dans quelques minutes une sonnerie stridente nous rappellera dans nos classes respectives et le calme reviendra.
Pour l'instant la cour et le préau ressemble à des studios de cinéma et suivant l'âge des acteurs, on se prend pour Robin des Bois ou Ivanohé et on rejoue la victoire de son équipe de foot ou le combat de Marcel Cerdan contre Tony Zale. Soudain, la sonnerie met fin aux cris et les rêves retournent à leur place jusqu'à la prochaine récré.
La récréation comme son nom l'indique est faite pour se recréer; ici, elle sert à vaincre : gagner des billes à ''tuisse'', gagner une partie de tchappes, gagner des noyaux à ''seven'' ou au tas, gagner une course, gagner à "tu l'as", gagner au chat perché, gagner en jonglant avec une boule de papier. Ces gamins avaient inventé le slogan "la victoire est en nous". Le reste du temps, dans le calme retrouvé, seul le chant monotone et saccadé d'une classe répétant la table de multiplication résonnait comme le c½ur battant de l'école.
L'école se scindait en deux parties : le primaire au rez-de-chaussée, le secondaire au premier étage. Les escaliers pour accéder à l'étage ne pouvaient être montés que par ceux qui réussissaient l'examen d'entrée en 6e. Alors vous imaginez la hantise séculaire des enfants du primaire de pouvoir un jour accéder à l'étage des grands et bénéficier des cours de gym et de handball dirigés par monsieur Roméo.
L'accès au secondaire excitait la curiosité des élèves du primaire car c'était aussi la découverte de matières nouvelles comme la philosophie, l'algèbre, la physique, la chimie, les langues, l'anglais, l'arabe. Quand on quittait l'école après 10 ans d'habitudes presque familiales pour poursuivre au Collège Guillemin ou au lycée Bugeaud afin d'obtenir son BAC, le changement créait un grand désarroi ; il fallait faire le deuil de la perte de nos instituteurs et de nos camarades après toutes ces années passées ensemble.
Aujourd'hui, je garde un sentiment profond de respect à l'égard de nos enseignants. Alors qu'ils auraient pu quitter notre quartier populaire et trouver une affectation dans les beaux quartiers d'Alger, ils restaient au service de Bab el Oued leur vie durant. Souvent, le jour de la rentrée, on entendait ce dialogue entre le maître et un élève :-" Es-tu de la famille à un Ballester que j'ai eu il y a quelques années ? "-" Oui, msieur, c'est mon grand frère."
On déclarait au début d'Octobre que l'année serait facile ou difficile en fonction de la gentillesse ou de la sévérité qui habillait l'étiquette du maître que l'on avait. On grandissait avec eux, ils connaissaient tous nos défauts, ils savaient nous faire naître des qualités. Nous apprenions leurs marottes de la bouche des anciens, et chaque année, une sorte de curriculum vitae à jour nous informait des comportements de chacun. Ainsi, par le rappel constant du passé, nous avions élaboré l'histoire de notre école qui se transmettait comme un trésor de famille. C'était émouvant et bien sympathique de voir un facteur, un agent de police ou un médecin de passage, interrompre le cours pour congratuler l'instituteur tout rayonnant de joie. C'était un peu grâce à lui si le petit galopin bavard mais studieux était devenu quelqu'un d'important dans la vie.

André Trives Auteur

 

De : Pérez HenriEnvoyer un mail

Le : 11/05/2025 14:54

Pour Christian Timoner , bonjour, ici Henri Pérez ,juste quelques lignes ,sur F.B vient de se créer un site concernant , les photos d'école d' Alger et dans un élan non réfléchi ,j'annonçais qu'il existait un site sur les écoles d'Alger et surtout de b.e.o ,mais ,sans donner l'adresse du site , pour éviter des histoires ou des problèmes , et , est ce que je peut le citer ou alors ,cela m'est interdit car j'ai agit sans réfléchir ,dans un but amical ,il me faut donner une réponse si oui ou non ,le site est "photos d'écoles d'Algérie Française " merci Christian ,amitiés ,Pérez Henri

 

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