Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

J'ai retrouvé le nom de l'épicière,il s'agit de madame Hallal.

Juste pour signaler la cour des miracles du 34 avenue de le Bouzareah,juste en face de la boucherie Henny ,et entre la boulangerie de madame Goual qui faisait des calentita à mourir et l'épicerie d'une grosse dame algérienne dont je ne me souvient plus le nom et qui sentait davantage le pétrole que les produits alimentaire.J'y ai passé les meilleures années de ma prime jeunesse chez ma tante qui y habitait...........

Coucou à toutes et tous Pour Vidal je viens de e rappeler une autre cour des miracles ( et oui encore une au tableau de chasse décidément les mémoires se réveillent et je sais qu'il y en a d'autres il faut nous donner le temps de tout remettre en ordre. Pour la dernière cour que tout le monde a pratiquement oublié elle se trouve (elle existe toujours)sur le coté droit de la rue en montant la rue Rochambeau entre la rue Cadix et la rue Mazagran juste dans l'axe de la rue Dombaslé cette cour est à une quarantaine de mètres sur le même trottoir que la boulangerie Réalet et de l'épicerie Epicela qui se trouve sur le coté opposé à gauche. Un petit détail cette cour avait sur le coté gauche de son entrée une fontaine d'eau douce. Ou nous puisions cette eaux fraîche quand toute la bande revenait de Padovani.

Re bonsoir à toutes et tous Je viens de relire la petite histoire de Roland Almodovard et le vieux qui habite à notre Dame d'Afrique apparemment une partie de texte ne s'est pas affichée. Je reprend mon récit qui restera pour moi un moment très émouvant. C'est l'histoire d'un petit vieux assis sur un banc du parvis de la Basilique de Notre Dame d'Afrique et qui avait saisie au vol une discution entre Roland Almodovard et sa femme Claudine. Le petit vieux qui avait compris que Roland avait joué au foot sur le stade de Saint Eugène pose la question à Roland pour lui demander. Est ce que vous avez jouez à l'ASSE ? Roland répond par l'affirmatif. Le petit vieux ajoute que malgré qu'il était supporteur du M.C.Alger (MOULOUDIA)il aimait beaucoup voir jouer un jeune pied noir très doué et d'une grande technique. Roland lui demande s'il se rappel du nom de ce jeune joueur ? Le petit vieux lui dit il s'appel je crois Roger ou Roland Almadouar. Bien sur Roland en souriant le rectifie et lui dit ce n'est pas Roland Almodovard par hasard? le petit vieux fou de joie lui répond ah oui c'est bien ça et je souhaite bien le revoir jour. Roland avec sa gentillesse lui dit . Et bien c'est moi je suis devant vous le petit vieux les larmes aux yeux serre Roland contre lui pour lui faire une bise. Cette scène émouvante je la revois souvent avec tous ceux et celles qui reviennent dans leurs quartiers et qui retrouvent leur anciens amis(es) d'enfance.

A Mustapha
Bonne soirée. C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre offre éventuelle d'une photo du pavillon du 9 bis avenue Durando. D'avance merci. Amitiés . P.S. Je ne vous connais que par le site.

A tous !!!Jamais je n'aurais envisagé la quantité (et la qualité!) des précisions sur les "cours des miracles). Malgré tous les messages et les commentaires sur ce sujet je ne sais toujours pas à quoi elles ressemblent!!! C'est peut-être du à mon "grand âge"!!!Recevez, tous les auteurs de ces courriers ,un grand merci.
Pour Robert et Mustafa je tiens à préciser que nous ne faisions pas partie de la Famille Jaubert. Les 3 petits enfants et moi faisions aussi des chaises avec les fruits du grand arbre .Bonne soirée. A plus. Marylise.

Mustapha !
Quelle mémoire de citer tous les noms des footballeur des 2 équipes, tu m'espantes comme on dit dans le midi de la France !
Maintenant on attend le nom des remplaçants.
M D R.

Pour Daniel Azam d’abord bonjour ya oulid le bled,(Enfant de mon pays) comme aime bien le dire mon ami Serges Christol. Permet moi de te tutoyer je ne sais pas dire vous à un enfant de chez nous. Tu nous parle de la cour des miracle qui était et qui se trouve toujours au 08 rue Léon Roche à une quarantaine de mètre de nitre coiffeur et du moutchou qui étaient sur le même trottoir sur la gauche en montant la rue L'éon Roche en face de ce petit salon de coiffure il y avait un garde de fous et en bas de ce garde fou il y avait une autre cour de miracle qui était enclavée entre la rue Léon Roche et l'avenue de la Bouzaréa on y accéder par la petite rue Effel et la rue Raspail cette cour était derrière le bar Barcelone qui lui faisait l'angle de la rue Léon Roche droit et l'Avenue de la Bouzaréa. Le grand garage de la cour du n° 8 rue Léon Roche sert actuellement comme dépôt d'un grossiste en électro ménagé. Tu à du connaitre mon ami Jean Jean Moreno et son frère Alain le papa était coiffeur.
Pour Roland Almodovard je l'avais vu joué il avait comme coéquipier mon cousin Abderrahmane Méziani (D.C.D cette année) Guitoun Lakhdar (DCD aussi ) mon ami Hamid Bernaoui et Mohamed Maouche tous vivants. Pour le match des 16ème de finale de la coupe de France Le SCUEB d'El Biar joue la grande équipe de Reims deux fois finaliste de la coupe d'Europe face au Réal de Madrid de Di Stéphano et Koppa le match est programmé au Stadium de Toulouse sur terrain en gazon naturel alors que les algérois ne jouent que sur du TUF A l'époque tout le monde disait match entre David et Goliath. Le SCUEB réussi l'exploit d'éliminer le stade de Reims Score final 2 à 0 But du joueur entraîneur Guy Buffard dés l'entame de la première mi temps 4 ème mn sur coup franc le deuxième but fut un chef d'oeuvre de Roland Almodovard qui laisse sur place Robert Jonquet et ajoute un deuxième but de toute beauté. Voici les compositions des deux équipes.
EL-BIARD : Benoît - Issaad, Florit, Baroni, Taberner, Lapasset, Buffard, Chakhor, Vidal, Baeza, Almodovar. Entr. : G. Buffard.
REIMS : R.-J. Jacquet - Penverne, Jonquet, Cicci - Leblond, Siatka - Hidalgo, Bliard, Glovacki, Piantoni, Vincent. Entr. : A. Batteux.
J'ai une petite anecdote concernat Almodovard il y a quelques années de cela il était revenu revoir le quartier il était accompagné de sa femme Claudine pendant que du parvis de notre Dame d'Afrique il prenait des photos du stade de Saint Eugène il expliquait à sa femme le nombre de buts qu'io avait marquer au temps de l'A.S.S.E un petit vieux qui habite juste à coté avit entendu la conversation ce vieux dit à Roland < Pour Parcq Robert cette cour de la rue du Dey qui n'était pas aussi vaste que toutes celles qui ont étaient citées moi aussi le l'ai connue j'avais un oncle qui travaillait chez le plombier qui était sur la gauche de son entrée il y avait aussi un photographe le tout face à la typolyto. Et pour finir je dis à Vidal qui est émerveillé par toutes ces cours de miracles que c'est tous Bab El Oued qui était miracle d'ailleurs c'est pour ça à juste titre que moi je dit toujours les quartiers mythiques de Bab El Oued. Aller bonnes journée mes amis(es) connues ou inconnues

Pour Marylise Soler....
Je revois très bien cette maison,c'est le 9bis que je ne situais pas .Il y avait un arbre énorme et ses fruits(inmangeables)nous servaient de matière première pour fabriquer des petits sujets(chien ou chaise)assemblés à l'aide d'allumettes,une fois tombés dans les escaliers reliant le boulodrome "la boule d'or" à l'avenue DURANDO .Ces fruits ressemblaient à des cerises avec une queue plus épaisse et de couleur verte.
Les entrées de ces maisons disposaient d'un hall vitré avec des carreaux opaques où la couleur rouge dominait .
Pour compléter la précision de Morali ,la cour des miracles du bd de champagne se trouvait au bout de la rue du Dey reliant le bd à droite.Je pense qu'à nous tous,on pourra refaire le film du quartier de notre jeunesse,quel plaisir!!!!Amitiés d'un du coin

Bon...! pour résumer, il y avait combien de coures des miracles à BEO ?

Tous les jours sur ce site il en sort une... MDR

Je crois que c'est tout BEO qui était un miracle... :-)