Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

pour Roger Parq
Re bonsoir:Comment tu ne connaissais pas la "villa Jaubert"? Une des héritières (veuve) et ses 2 fils l'habitaient. Ma mère, mon frère, et moi
occupions le petit(très petit pavillon et sans confort) angle 9 bis avenue Durando(après le Marignan et la rue de Cadix)et la rue Laveyssière. Cette rue menait , en descendant place Wuillermoz et en remontant av de la Bouzaréah.Notre père est décédé en 1942.Ma mère faisait du tricot mains" pour des clientes et mon frère était dans la maçonnerie. Il a fait une belle carrière car il a été repéré par Francis Bouguies.

Pour Marylise Soler....
Normal que l'on se tutoie,on ne va pas faire du chiquet avec des copains de quartier!!!!Par contre , je ne situe plus le 9 de l'avenue Durando,se trouve -t-il entre le Marignan et le commissariat?
Une anecdote en parlant du Marignan:avec 2 copains on devait voir :"Certains l'aiment chaud" avec Tony Curtis et Janet Leigh et une grenade piégée a explosé au début du film,je n'ai vu de ce film que le début ,un corbillard et plus rien et de toute ma vie ,je n'ai jamais pu voir ce film en entier,ironie du sort????
Et toujours au sujet de ce cinéma,le jeudi après-midi séance gratuite réservée aux gosses du quartier mais il fallait fournir une carte café Nizière ,la pub faisait alors ses premiers pas....Amitiés

Pour L R et Roger Parq: en effet j'ai mis rue par erreur , mais je voulais bien parler d'une "cour des miracles". Bonne nuit . Marylise.

Pour Marylise :
C'est pas la rue mais la cour des miracles.
Ce sont des lieux particuliers ou se côtoyaient les familles PN dans le quartier populaire de BEO avec comme cadre et comme ambiance celui de "la famille Hernandez".
Une cour et des petits logements qui se touchent et surtout le partage.

.Pour Andrée de la Consolation.
Bonne soirée, J'habitais 9 bis avenue Durando et mon principal épicier était Slimane 5 bd de Provence . Mais quand je déjeunais chez la s 1/2 ur de mon père, Marie Soler épouse Vincent Garcia elle me donnait des piécettes et m'envoyait chez Moussa ('angle rue Charles Lebar)pour acheter du "Sélecto" Amicales pensées d'une ancienne de Bab-el-Oued. Marylise.

Pour Roger Parq
Merci pour ta rapide réponse, mais je suis d'accord avec Roger Boccia: je ne situe toujours pas "la rue des miracles". Bonne soirée. P.S. En me relisant j'ai constaté que je t'avais tutoyé: j'espère que tu n'es pas choqué!!! Achacha louait et réparait des cycles. Amitiés babelouediennes.Marylise.

A l'attention de Mr OUALIKENE .Bonsoir Monsieur ,je suis toujours à la recherche d'archives,de photos,de coupures de presse concernant le CFA des années 1960/1961,1961/1962.J'etais à Alger il y a quatre ans et j'ai pu grace à la gentillesse du gardien revoir quelques coupes de l'ASSE.Y a t-il un moyen de vous contacter directement pour pouvoir échanger de merveilleux moments passés dans notre merveilleux pays. En vous remerciant par avance et dans l'attente;mes remerciements les plus sincères.ROGER BOCCIA.

Pour Robert Parcqet et les personnes qui ont écrit à la suit suite de nos échanges.Je n'arrive pas à revoir cette cour dont tu parles située à l'angle de la rue Weinbruner et de la rue Rochambeau;pourtant j'empruntais souvent ces escaliers qui m'amenaient prendre mes cours d'accordéon dans l'immeuble oû se trouvait l'épicerie Apicella .Je viens tous les jours sur ce site et même plusieurs fois car je n'arrive pas à m'enlever de la mémoire ce quartier et les événements que nous avons vécus .Aux voisins que l'on côtoyait plusieurs fois par jour et que j'aimerai retrouver,exemple les concierges .Je ne citerais aucun nom .En sortant à droite il y avait l'imprimerie Vollot. Je pense très souvent à Sigwalt au jardin oû se trouvait l'annexe de la mairie.Au siége du SABO,au siége du SCA.Quand je pense qu'en plus de ces deux clubs il y avait le fcRochambeau et le Racing club de Nelson .Je pourrais rester des pages entières à parler de ce quartier que j'ai quitter en septembre 62 , mais j'aurai trop peur d'être ennuyeux .Avec toutes mes amitiés et au plaisir de vous lire .ROGER BOCCIA

C'est vrai qu'il y avait dans tous les quartiers de BEO des cours des miracles.
Il y en avait une 3 bis rue François Serrano. On y accédait par un long couloir qui débouchait sur une grande cour avec des appartements sur la cour et à l'étage avec ses WC communs.
Beaucoup de promiscuité et jamais d'embrouilles.
Une belle fraternité quoi !

Bonjour Andrée,excuse moi je ne savais pas que tu parles de l'épicerie de Bab el Oued,moi je le connais pas.gros bisous. Je