Liste des messages
Le : 02/09/2016 17:12
je suis nè a bab el oued j’habitai 6 rue de la consolation j'aller a lecole siwgvalt je voudrais avoir des nouvelles des copains qui mon connue
Le : 02/09/2016 15:10
Un petit coucou à Merzak est ce qui parait tu es venu cet été te ressourcer dans le quartier c'est ce que Mustapha Graini le plus jeune frère de Kader de Copenhague qui me l'avais dit quand je l'ai rencontrer à jardin Guillemin. Si c'est vrai c'est dommage que l'on n'a paras pu se voir. Mais peut être que ce sera pour une autre fois. Passe une très bonne journée .
Le : 02/09/2016 14:04
Jean Jean.
Le livre des merveilles.
Il y avait un quartier, et une école.L'Ecole Sigwalt. A l'origine, cet établissement était provisoire (depuis 1942). Dans cette école, il y avait des instituteurs, où "institutions" pour lesquels j'aimerais avoir une pensée particulière.
Il y avait Mr Raynaud, Directeur, plus tard remplacé par Mr Blatt. Mr Pietri avec son accent ensoleillé, mélomane convaincu, et plus tard Directeur à Rochambeau, Toubiana et sa blouse grise, De Tadéo et son trousseau de clefs, Parascandola, Sala,qui roucoulait avec Canusse (demande à Balzano) Invernizzi, Liévin, Blatt avec ses deux fonctions, Dirlo et Maître, Benadji avec sa prothèse à la jambe, Mme Delrieu, Mesdemoiselles Grieu et Boukaya, l'inoubliable Mr Seror et tant d'autres...
A l'entrée à gauche, il y avait le bureau du Directeur avec ses coupes(Foot, Athlétisme etc...) à droite, un minuscule cagibi que l'on appelait pompeusement, "la coopérative" où étaient entreposées diverses fournitures scolaires. C'était aussi le domaine de Mr Perez, homme aimable et dévoué à l'école, qui s'occupait avec ferveur des fêtes scolaires, kermesses etc...Il avait toujours un sourire pour tout le monde.Et enfin le tableau d'honneur que l'on appercoit dans toutes les photos de classes.
Il y avait les deux cours, la petite et la grande, séparées par un grillage et un petit escalier, avec les cris stridents, l'atmosphère et la camaraderie.
Une nuée d'enfants de toutes origines et conféssions jouaient ensembles. Ceci n'empéchait pas cela.
Tout autour, il y avait une multitude de braves gens qui habitaient, travaillaient et qui avaient toujours un peu de temps pour nous. Des commerces différents: Santamaria la boulangère, Moussa l'épicier taciturne, Kikilomètre, les tabacs du Globe, les Ets Phénix, la biscuiterie Bitoun, le Bar des Ondines, Taxi Bar, le SABO, le Sporting, Momo à coté du "Splendid" photos, pour ne citer que ceux là.
Pour ne pas ennuyer ceux qui auront la patience de lire ce message, je ne citerais que quelques noms de ma génération à qui j'adresse un salut: Autuori, Parc, Balzano, Sauvin, Seksek (Michel), Azzopardi, Massa, Olivès, Montiel, Dédé, Willy, Benamar, Jojo Torrès, Morali, Zerouali, Riquelme, Spinoza, Vanutelli, Casaburi, Sitbon,Faid, Lucido, Boucetta, Méraga et les autres... (ils sont nombreux)qui se reconnaitront,ainsi que la génération qui nous a précédé.N'oublions pas Ketrandji aujourd'hui décédé.
En 1962, cette école a été brulée par des oligophrènes à l'âme tourmentée.
Longtemps on l'a surnommée l'Ecole brulée, et la petite cour faisait office de terrain de foot pour les jeunes du quartier.
Sur ses cendres, des hommes ont construit une nouvelle école, qui s'appelle......SIGWALT.
Des neveux qui ont passé leur scolarité dans cette nouvelle école Sigwalt, m'ont raconté avec fierté que c'était la meilleure école du quartier. L'histoire continue....
Le livre des merveilles n'est pas définitivement fermé.
Merci Jean Jean de bien vouloir partager ces souvenirs longtemps refoulés, jusqu'au jour où nous nous sommes apercus qu'ils représentaient quelque chose d'incommensurable.
Bonne journée à toutes et à tous
Tamene Merzak.
Le : 02/09/2016 13:55
Pour Jean Jean Moreno ( moi je préfère comme d'habitude le prénom de José je ne sais pas pourquoi ou Joselito) mon frère tu nous as bien décrit ta rentrée scolaire avec ton nouveau cartable tes nouvelles fournitures scolaire ton trajet rue Eiffel jusqu'à la rue Larrey en passant devant la cité Picardie ton choix pour la meilleure place au milieu de ta classe et ton retour à la maison après cette première jour à l'école. Mais ya khouya tu as omis le principal de cette mémorable journée de la reprise comme par exemple. Le passage obligatoire aux bains maure et aux coiffeurs la veille de la rentrée des classes histoire d'être au top avec nos beaux vêtements acheter pour l'accasion par nos parents qui veulent que nous soyons les plus beaux de tous les élèves. Il y a aussi l'incontournable appel de tous les élèves par les directeurs ou directrices d'école qui commencent comme chaque année par les classes des petits. Ensuite chaque enseignant prend en charge les élèves qui lui sont affecter pour les mettre en rang devant le grand mat pour la traditionnelle levee des couleurs et la marseillaise chantée par toute l'assistance et que l'on entendait à des centaines de mètres surtout quand toutes les écoles entonnent cet hymne en même temps ou à quelques minutes d'intervalles c'est à croire que nous sommes au alentour du stade de France le jour du match des. Bleus. Après la levée des couleurs chaque enseigant dirige sa troupe vers sa classe dans un silence de Cathédrale sous la surveillance du chef d'établissement toujours en commençant par les touts petits. Ensuite viennent les présentations. C'est le maitre ou la maîtresse qui commence par se présenter suivi par le tour des élèves qui inscrivent sur une feuille de cahier (distribuée par l'enseignant juste avant ce rituel ) les élèves inscrivent donc leur noms prénoms date et lieux de naissance adresse le nom des parents et la profession et le nombre de frères et soeurs. C'est à la suite de tout ça que le maitre ou la maîtresse inscrivent sur le tableau noir d'abord la date et la liste de toute la fourniture scolaire sans oublier les livres qui nous accompagnerons pendant toute notre scolarité. Les enseignants essaiyaient tant bien que mal de nous occuper pendant notre première demi journée d'école jusqu'à la sonnerie ou la cloche pour certaines écoles qui avaient encore une cloche avec une petite cordelette. La fin de la première journée de classe terminée c'est la ruée vers toutes les nombreuses librairies de Bab El Oued pour l'achat de tous les livres et fournitures.
Le : 02/09/2016 10:53
a tous
la purée de nous autres, le site s'anime à nouveau, super
bravo vos souvenirs de l'école de moréno, merzak et autres et mustapha qui est époustouflant!!!!
bab el oued n'a pas de secret pour lui... En plus de la mémoire phénoménale, il développe des talents d'historien..
Depéches toi ecrit un livre sur bab el oued et ses habitants!!! fais toi aider par les participant à ce site, cite les dans ton livre, informe les...
Ils pourront acheter ce livre,et le remettre à leur famille..
je serai acheteur!!!
à tous bravo, ah quand vous évoquez vos souvenirs magiques pour ceux qui y ont vécu, et font réver les autre, dites entre parenthéses, si vous le souhaitez ce que vous etes devenu depuis ce départ... car il me semble que les PN ont pas trop mal réussi en france (réussite sociale et familiale)..
continuez à égréner vos souvenirs.. Et faite part de vos joie..
la purée de nous autres, le site s'anime à nouveau, super
bravo vos souvenirs de l'école de moréno, merzak et autres et mustapha qui est époustouflant!!!!
bab el oued n'a pas de secret pour lui... En plus de la mémoire phénoménale, il développe des talents d'historien..
Depéches toi ecrit un livre sur bab el oued et ses habitants!!! fais toi aider par les participant à ce site, cite les dans ton livre, informe les...
Ils pourront acheter ce livre,et le remettre à leur famille..
je serai acheteur!!!
à tous bravo, ah quand vous évoquez vos souvenirs magiques pour ceux qui y ont vécu, et font réver les autre, dites entre parenthéses, si vous le souhaitez ce que vous etes devenu depuis ce départ... car il me semble que les PN ont pas trop mal réussi en france (réussite sociale et familiale)..
continuez à égréner vos souvenirs.. Et faite part de vos joie..
Le : 02/09/2016 09:39
Bonjour à vous tous
Merci à toi mon ami Merzack de rebondir sur mon texte. Non je ne me souviens plus du tout si on avait tous le même tablier à l’école de la rue Larrey, je ne le pense pas d’ailleurs je n’ai plus du tout le souvenir de nos habits à part ce fameux ciré noir à capuche fendu des deux côtés pour pouvoir mettre les mains dans les poches de nos pantalons ou shorts. Il est vrai que ton école Sigwalt était plus importante que la mienne et peut être plus traditionnelle comme celle de la place Lelièvre. Notre école était vraiment petite, il n’y avait que 6 ou 7 classes. Par contre Merzack, j’aimerais bien que tu t’attardes un peu à nous raconter tes exploits dans ce quartier des Messagerie, tu es intarissable sur notre jeunesse, et j’apprécie beaucoup ce que tu écris !
Merci également Liliane pour votre réponse. En écrivant mon petit texte j’ai eu un doute sur la durée de nos vacances scolaires et comme je n’avais pas trouvé de réponse sur Internet, je vous ai posé cette question. Merci encore Liliane.
Ya khohia Mustapha, écoute moi, je suis vraiment heureux que tu nous parles de nos fameux médecins Pieds Noirs, nos universités on en formés pas mal et d’excellents dont le Docteur AKOUN. Il était notre médecin de famille et son cabinet se trouvait au début de la rue du Général Vergniaud, sur la gauche en montant, presque à l’angle de l’avenue de la Bouzaréah. Je peux lui dire un grand Merci car il m’a sauvé de cette saloperie de maladie qu’était la diphtérie. J’avais 5 ans et après ses premiers soins à la maison il m’a conduit directement à l’hôpital d’El Kettar. Allez mon frère Mumus, porte-toi bien, bisous à toute la famille et à bientôt.
Bon Week End à tous
Merci à toi mon ami Merzack de rebondir sur mon texte. Non je ne me souviens plus du tout si on avait tous le même tablier à l’école de la rue Larrey, je ne le pense pas d’ailleurs je n’ai plus du tout le souvenir de nos habits à part ce fameux ciré noir à capuche fendu des deux côtés pour pouvoir mettre les mains dans les poches de nos pantalons ou shorts. Il est vrai que ton école Sigwalt était plus importante que la mienne et peut être plus traditionnelle comme celle de la place Lelièvre. Notre école était vraiment petite, il n’y avait que 6 ou 7 classes. Par contre Merzack, j’aimerais bien que tu t’attardes un peu à nous raconter tes exploits dans ce quartier des Messagerie, tu es intarissable sur notre jeunesse, et j’apprécie beaucoup ce que tu écris !
Merci également Liliane pour votre réponse. En écrivant mon petit texte j’ai eu un doute sur la durée de nos vacances scolaires et comme je n’avais pas trouvé de réponse sur Internet, je vous ai posé cette question. Merci encore Liliane.
Ya khohia Mustapha, écoute moi, je suis vraiment heureux que tu nous parles de nos fameux médecins Pieds Noirs, nos universités on en formés pas mal et d’excellents dont le Docteur AKOUN. Il était notre médecin de famille et son cabinet se trouvait au début de la rue du Général Vergniaud, sur la gauche en montant, presque à l’angle de l’avenue de la Bouzaréah. Je peux lui dire un grand Merci car il m’a sauvé de cette saloperie de maladie qu’était la diphtérie. J’avais 5 ans et après ses premiers soins à la maison il m’a conduit directement à l’hôpital d’El Kettar. Allez mon frère Mumus, porte-toi bien, bisous à toute la famille et à bientôt.
Bon Week End à tous
Le : 02/09/2016 01:43
Popopo mon ami José (Jean Jean) qu'est ce qu'il t'arrive ya khouya la nostalgie ma parole qu'elle te tue. Je te revoir avec ton petit tablier bleu et ton short qui t'arrive aux genoux le cartable à la main(nous on avait pas de cartables aux dos nous c'était zahma comme les médecins et professeurs le cartable à la main et oui ça fait plus sérieux que maintenant hakrabi que t'y crois qui vont en randonnées tous ces gamins. Ah yaya tu te vois avec ton cartable dans le dos ma parole d'honneur que quand tu rente à la maison ce n'est pas un cartable que tu as mais le tableau noir de la classe; tout le monde il te met une signature ou une connerie. déjà avec le cartable à la mains nous avions des petites surprises c'est pour te dire que nous étions de petits diables( les écoliers de maintenant si c'était dans notre époque tu les vend et tu le rachète et les hmars ils ne se rendent compte de rien mémé que tu leur prend les affaire eu que tu leur bouffe leur petits pains aux chocolat azrine ne voit que du feu. Mais toi ya mon zami tu avais notre ami Abderramane Koubi qui était ton ange gardien, ah ya ya celui qui met les mais dans tes affaire je te jure qu'il va morfler il prendra une boutcha que le Dr Aboulker ne pourra pas le rapiécer même monsieur Chouchéne Amar le maréchal ferrant du climat de France celui qui chausse tous les chevaux de Bab El Oued et ses environs ne pourra pas le remettre sur ses pattes. Aller ya khouya José porte toi bien . Juste une chose j'ai vu ton message est ce qui parait tu m'avais appeler sur Skype et que que je ne t'ai pas répondu . C'est exact je confirme je te l'avais déjà dis quand je descend à la plage je ne prend pas mon Iphone de peur que quelques graines de sables ne me le rayent ou qu'ils pénètrent à l’intérieur du téléphone. Ils sont tellement fragiles et chers que je préfère le laisser à la maison et de prendre un téléphone ordinaire juste pour les appels. Voila la raison. Mais si tu veux moi je te rappel demain vers les coups de 14h au retour de la mosquée Passe une douce nuit et écrit nous encore tes anecdotes et tes souvenirs
Le : 02/09/2016 01:09
Pour Cassar Hauth Anne Marie Bonsoir chère madame. Pour ce que vous m'aviez demander cela ne pose aucun problème pour moi, puisque quand je vais voir des amis au café qui se trouve sous la tribune Sud du stade de St. Eugène je passe deux fois par jours devant la cité de la Consolation. Dés que les travaux seront terminés je vous ferais les photos, le plaisir sera pour moi de vous rendre ce petit service d'autan plus que je le ferais aussi pour une autre amie qui avait habité au numéro 74 et avec qui je suis toujours en contact. C'est une personne charmant et généreuse que vous avez connue puisque elle était votre voisine.
D'ici là portez vous bien chère madame et prenez bien soin de vous. Amitié Mustapha
D'ici là portez vous bien chère madame et prenez bien soin de vous. Amitié Mustapha
Le : 02/09/2016 00:57
Une Rétrospective sur deux éminents médecins pieds noirs les Docteurs Gilles Barcelo et José Aboulkerque tous les algérois et plus spécialement les Babelouédiens ont connus et apprécié et dont leur presences nous manque beaucoup.
Pour Paste Gérard
Suite à votre massage concernant Le Docteur Gilles Barcelo que j'avais bien connu et dont je garde de très bons souvenirs, puisque il était notre médecin de famille. Il avait son cabinet de consultations au 11 Avenue de la Bouzaréa l'immeuble angle rue Koechlin et avenue de la Bouzaréa en haut des escalier du cinéma le Mon Ciné prés du vulgarisateur Bernard et entre le bar la grande Brasserie de Solivarés et la boulangerie Villagrossa juste en face de la rue Champlin et de la boulangerie Mullor. C'était un grand spécialiste des maladies respiratoires. Avec l'autre Docteur pied noir Dr. Aboulker que tous les algérois estimaient pour leur disponibilité et pour leur dévouement à la médecine. Le Docteur Gilles Barcelo avait exercer toujours à Bab El Oued jusqu'en 2002 et juste avant son décés en mai 2003
Au sujet du Dr José Aboulker,(patronyme Abou el Khère qui signifie Père du bien en arabe) il était issu d'une grande famille israélite algéroise dont on retrouve des traces à Alger depuis le xve siècle qui avait donné des rabbins comme celui d'Alger, Isaac Aboulker, décapité en 1815 sur ordre du Dey d'Alger ainsi que beaucoup de
médecins connus, comme le docteur Moïse Aboulker, l'un des premiers
juifs d'Algérie à faire ses études de médecine en France, ou encore le
professeur Pierre Aboulker qui avait opérer le Général De Gaulle Le professeur Pierre Aboulker (Né le 1er Novembre 1906 à Alger, mort le le 24 mai 1976 à Paris) lui même fils d'un grand chirurgien le Dr. Charles Aboulker medecin et chirurgien des pauvres. Une rue d'Alger, proche de leur domicile de la rue Bab-Azoun, portera le nom de Charles Aboulker après la Libération.
Le docteur José Aboulker, né 5 mars 1920 à Alger, était un médecin, homme politique et résistant français. Il était le fils d'Henri Aboulker, chirurgien des hôpitaux et professeur à la Faculté de médecine d'Alger, président du
Parti radical socialiste local et ancien député maire d'Alger. La mère
de José était Berthe Sultana Benichou- Aboulker, femme de lettres,
auteure, notamment de La Kahéna. Reine berbère, une pièce de théâtre en
trois actes et sept tableaux en vers, publiée en 1933 aux éditions P.&G.
Soubiron à Alger. En avril 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, José
Aboulker, étudiant en médecine, était mobilisé comme élève-officier de
réserve. Il sera démobilisé en février 1941. Dans la nuit précédant le
Débarquement allié du 8 novembre 1942, en Afrique du Nord, José Aboulker,
aidé de son adjoint Bernard Karsenty, déclencha, avec le concours de Guy
Calvet et du commissaire Achiary l'occupation d'Alger par 400
résistants, ce qui neutralisa les forces vichystes et facilita l’entrée
des Américains dans la ville d'Alger. En octobre 1943, il fut envoyé
clandestinement en France occupée comme délégué à l'organisation du
service de santé des maquis et des Forces françaises de l’intérieur
(FFI). Après un passage par Londres en juin 1944, il retourne à Alger où
il soutint sa thèse de médecine. José Aboulker fut délégué de la
Résistance d'Algérie à l’Assemblée consultative provisoire de Paris en
1944-1945 et déposa une proposition de modification de la loi électorale
en Algérie, afin de permettre l’élection de députés musulmans indigènes.
Il dénonça également les massacres de Sétif de mai 1945 qui en Algérie
avaient suivi la fête de la victoire des alliés contre le nazisme. Après
la guerre, José Aboulker adhéra au Parti communiste et reprit en 1946
ses études de médecine. Il passa successivement les concours d’interne
des Hôpitaux de Paris, puis d’assistant et termina sa carrière comme
professeur de neurochirurgie et chef de service des Hôpitaux de Paris.
José Aboulker est mort le 17 novembre 2009 à Manosque, en France.
En 2012 a été publié, à titre posthume, son ouvrage La victoire du 8 novembre 1942. La Résistance et le débarquement des Alliés à Alger,
Pour Paste Gérard
Suite à votre massage concernant Le Docteur Gilles Barcelo que j'avais bien connu et dont je garde de très bons souvenirs, puisque il était notre médecin de famille. Il avait son cabinet de consultations au 11 Avenue de la Bouzaréa l'immeuble angle rue Koechlin et avenue de la Bouzaréa en haut des escalier du cinéma le Mon Ciné prés du vulgarisateur Bernard et entre le bar la grande Brasserie de Solivarés et la boulangerie Villagrossa juste en face de la rue Champlin et de la boulangerie Mullor. C'était un grand spécialiste des maladies respiratoires. Avec l'autre Docteur pied noir Dr. Aboulker que tous les algérois estimaient pour leur disponibilité et pour leur dévouement à la médecine. Le Docteur Gilles Barcelo avait exercer toujours à Bab El Oued jusqu'en 2002 et juste avant son décés en mai 2003
Au sujet du Dr José Aboulker,(patronyme Abou el Khère qui signifie Père du bien en arabe) il était issu d'une grande famille israélite algéroise dont on retrouve des traces à Alger depuis le xve siècle qui avait donné des rabbins comme celui d'Alger, Isaac Aboulker, décapité en 1815 sur ordre du Dey d'Alger ainsi que beaucoup de
médecins connus, comme le docteur Moïse Aboulker, l'un des premiers
juifs d'Algérie à faire ses études de médecine en France, ou encore le
professeur Pierre Aboulker qui avait opérer le Général De Gaulle Le professeur Pierre Aboulker (Né le 1er Novembre 1906 à Alger, mort le le 24 mai 1976 à Paris) lui même fils d'un grand chirurgien le Dr. Charles Aboulker medecin et chirurgien des pauvres. Une rue d'Alger, proche de leur domicile de la rue Bab-Azoun, portera le nom de Charles Aboulker après la Libération.
Le docteur José Aboulker, né 5 mars 1920 à Alger, était un médecin, homme politique et résistant français. Il était le fils d'Henri Aboulker, chirurgien des hôpitaux et professeur à la Faculté de médecine d'Alger, président du
Parti radical socialiste local et ancien député maire d'Alger. La mère
de José était Berthe Sultana Benichou- Aboulker, femme de lettres,
auteure, notamment de La Kahéna. Reine berbère, une pièce de théâtre en
trois actes et sept tableaux en vers, publiée en 1933 aux éditions P.&G.
Soubiron à Alger. En avril 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, José
Aboulker, étudiant en médecine, était mobilisé comme élève-officier de
réserve. Il sera démobilisé en février 1941. Dans la nuit précédant le
Débarquement allié du 8 novembre 1942, en Afrique du Nord, José Aboulker,
aidé de son adjoint Bernard Karsenty, déclencha, avec le concours de Guy
Calvet et du commissaire Achiary l'occupation d'Alger par 400
résistants, ce qui neutralisa les forces vichystes et facilita l’entrée
des Américains dans la ville d'Alger. En octobre 1943, il fut envoyé
clandestinement en France occupée comme délégué à l'organisation du
service de santé des maquis et des Forces françaises de l’intérieur
(FFI). Après un passage par Londres en juin 1944, il retourne à Alger où
il soutint sa thèse de médecine. José Aboulker fut délégué de la
Résistance d'Algérie à l’Assemblée consultative provisoire de Paris en
1944-1945 et déposa une proposition de modification de la loi électorale
en Algérie, afin de permettre l’élection de députés musulmans indigènes.
Il dénonça également les massacres de Sétif de mai 1945 qui en Algérie
avaient suivi la fête de la victoire des alliés contre le nazisme. Après
la guerre, José Aboulker adhéra au Parti communiste et reprit en 1946
ses études de médecine. Il passa successivement les concours d’interne
des Hôpitaux de Paris, puis d’assistant et termina sa carrière comme
professeur de neurochirurgie et chef de service des Hôpitaux de Paris.
José Aboulker est mort le 17 novembre 2009 à Manosque, en France.
En 2012 a été publié, à titre posthume, son ouvrage La victoire du 8 novembre 1942. La Résistance et le débarquement des Alliés à Alger,
Le : 01/09/2016 20:30
Je réponds à Jean Jean Moréno :
Les vacances duraient 3 mois. On reprenait début octobre.
Et je me souviens quand on venait en France, les petits patos allaient à l'école jusqu'au 14 juillet.
Je me souviens aussi de la collection de buvards.
Nostalgie quand tu nous tiens.
Les vacances duraient 3 mois. On reprenait début octobre.
Et je me souviens quand on venait en France, les petits patos allaient à l'école jusqu'au 14 juillet.
Je me souviens aussi de la collection de buvards.
Nostalgie quand tu nous tiens.