Liste des messages
Le : 03/03/2013 11:54
En ce jour de Fête des mamies -une trés grande pensées pour nos grands-méres pleins de souvenirs de B E O et aujour'hui notre fête entourées de nos petits et aux mamies oubliées - baisers a tous PN - Eliane
Le : 03/03/2013 11:52
BONJOUR A TOUS
LE TABLIER DE GRAND MERE
Le principal usage du tablier de Grand'Mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela, il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau; il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.
Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d'abri à des enfants timides; et quand le temps était frais, Grand'Mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au dessus du feu de bois. C'est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après que les petits pois aient été récoltés venait le tour des choux. En fin de saison il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
A l'heure de servir le repas, Grand'Mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes au champ savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand'Mère l'utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite fille la pose là pour décongeler.
Il faudra de bien longues années avant que quelqu'un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
TEXTE TROUVE SUR LE NET
BONNE FETE A TOUTES LES GRANDS-MERES
LE TABLIER DE GRAND MERE
Le principal usage du tablier de Grand'Mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela, il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau; il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.
Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d'abri à des enfants timides; et quand le temps était frais, Grand'Mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au dessus du feu de bois. C'est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après que les petits pois aient été récoltés venait le tour des choux. En fin de saison il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
A l'heure de servir le repas, Grand'Mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes au champ savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand'Mère l'utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite fille la pose là pour décongeler.
Il faudra de bien longues années avant que quelqu'un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
TEXTE TROUVE SUR LE NET
BONNE FETE A TOUTES LES GRANDS-MERES
Le : 03/03/2013 10:11
bonjour tout le monde
je souhaite à Ginette et à toutes nos grands-mères de BEO une très bonne fête entourées de vos petits ou pas et à tous un bon dimanche
bises
Perlette
je souhaite à Ginette et à toutes nos grands-mères de BEO une très bonne fête entourées de vos petits ou pas et à tous un bon dimanche
bises
Perlette
Le : 02/03/2013 23:06
bonsoir a toutes & a tous j habitais 1 rue nobel a alger bab el oued si ya des personnes qui me reconnaissent laissais moi un message merci d avance a tous & a bientot sur le site
Le : 28/02/2013 00:25
J'attacherais un grand prix à retrouver avant de prendre le dernier train en partance pour l'au delà,2 camarades de régiment qui comme moi ont 85 ans Nous etions du 27è Train ,détachés au Sce du Recrutement caserne d'Orléans Il s'agit de Christian DELLA MONICA qui habitait Bd de Provence Cité des Italiens ( son frére était accordéoniste)et de André DEBONO Qui habitait route de N D D'Afique Il était relieur (de talent) à La TYPO LITHO Les frères DEBONO étaient nombreux et s'il me souvient bien, tenaient le Garage des Cars SOUFI rue Montaigne J'habitais moi meme 5rue ROSETTI immeuble face au cinéma BIJOU qui appartenait à la famille SIARI dont le fils Richard s'était établi comme chirurgien dentiste au 1 de la rue ROSetti Que sont_ils devenus? Merçi à celles ou à ceux qui pourraient me fixer sur leur sort
Le : 27/02/2013 18:28
Pour avoir des souvenirs de jeunesse, encore faut-il avoir un certain âge, sinon un âge certain !
Les jeunes et les ados sont en train de les vivre, sans s'en rendre compte et un détail, une saveur, une odeur ou un bruit leur explosera aux yeux, en bouche, en nez ou en oreilles dans quelques dizaines d'années : il faut leur souhaiter que ce sera alors un excellent souvenir .... Chacun a sa "madeleine de Proust".
Les messages échangés le 22 février dernier entre Claude-France et Joce à propos d’un prof de danse ont brusquement soulevé une feuille parmi les milliers de mille-feuilles de mes souvenirs en libérant ces images, ces bruits et ces odeurs des années 58, les faisant revivre et les réanimant comme dans ces contes de notre enfance où, après un long sommeil, la vie reprend son cours et le temps ses rythmes plus ou moins sereins.
Ceci pour raconter les dimanches matin où ce peuple si attachant d’hommes, de femmes et d’enfants de Babeloued envahissaient les alentours du marché, discutaient partout, au milieu de la chaussée, s’écartant au passage lent des véhicules peu pressés ou marquant l’arrêt pour échanger quelques plaisanteries avec les copains, dans une atmosphère de bonheur simple qui leur permettait de profiter de la trêve dominicale et d’oublier les misères de la semaine …
Les bars étaient pleins à craquer, les uns jouant aux cartes, d’autres au jacquet, d’autres encore au comptoir, mangeant la kémia ou buvant l’anisette jusque sur les trottoirs, parlant des matchs qui auraient lieu l’après-midi, s’enflammant et s’affrontant suivant qu’ils étaient supporters de l’ASSE ou du GALLIA, dans un halo de fumée de plus en plus épais, au milieu des conversations de plus en plus sonores et inaudibles, des odeurs multiples des fritures, escargots, sardines, cacahuètes grillées, moules à l’escabèche etc…
Et puis, sortie de nulle part, comme un sortilège, une apparition ! ! !
Un silence, court il est vrai, la salue ; un silence accompagné d’un déplacement précipité de nos habitués vers l’extérieur ou près des fenêtres et des dizaines de paires d’yeux, hors les orbites, à la manière du loup des films de Tex Avery, admirent sa démarche dynamique, sa robe légère et virevoltante, ses jambes musclées juchées sur de hauts talons, sa taille de guêpe, sa longue queue de cheval, sa jeune beauté empreinte d’une élégance et d’un port peu communs.
Andrée, à l’époque, je me demandais comment tu pouvais traverser au milieu de ces mâles dont les compliments étaient sûrement très osés mais je ne connaissais rien au monde des danseuses de l’Opéra et je comprends aujourd’hui que tu n’y prêtais pas attention.
Si tu me lis, sache que nous t’admirions tous comme Melle A… , danseuse elle aussi ou comédienne, qui était aussi brune que toi, blonde. Véritable bombe, elle a certainement fait tourner la tête de nombreux admirateurs.
Toi, tu habitais du côté de la place Willermoz, près du commissariat du 5è arrondissement,
elle, du côté du Bd de Champagne chez ses parents avec son frère Jean-Pierre, copain de classe au Lycée, devenu grand reporter sur Antenne 2.
Merci donc à Claude-France et à Joce de m’avoir permis de retrouver ces souvenirs, de les partager avec vous et de continuer à chanter
« Ah ! Quelles étaient jolies les filles de mon pays »
Les jeunes et les ados sont en train de les vivre, sans s'en rendre compte et un détail, une saveur, une odeur ou un bruit leur explosera aux yeux, en bouche, en nez ou en oreilles dans quelques dizaines d'années : il faut leur souhaiter que ce sera alors un excellent souvenir .... Chacun a sa "madeleine de Proust".
Les messages échangés le 22 février dernier entre Claude-France et Joce à propos d’un prof de danse ont brusquement soulevé une feuille parmi les milliers de mille-feuilles de mes souvenirs en libérant ces images, ces bruits et ces odeurs des années 58, les faisant revivre et les réanimant comme dans ces contes de notre enfance où, après un long sommeil, la vie reprend son cours et le temps ses rythmes plus ou moins sereins.
Ceci pour raconter les dimanches matin où ce peuple si attachant d’hommes, de femmes et d’enfants de Babeloued envahissaient les alentours du marché, discutaient partout, au milieu de la chaussée, s’écartant au passage lent des véhicules peu pressés ou marquant l’arrêt pour échanger quelques plaisanteries avec les copains, dans une atmosphère de bonheur simple qui leur permettait de profiter de la trêve dominicale et d’oublier les misères de la semaine …
Les bars étaient pleins à craquer, les uns jouant aux cartes, d’autres au jacquet, d’autres encore au comptoir, mangeant la kémia ou buvant l’anisette jusque sur les trottoirs, parlant des matchs qui auraient lieu l’après-midi, s’enflammant et s’affrontant suivant qu’ils étaient supporters de l’ASSE ou du GALLIA, dans un halo de fumée de plus en plus épais, au milieu des conversations de plus en plus sonores et inaudibles, des odeurs multiples des fritures, escargots, sardines, cacahuètes grillées, moules à l’escabèche etc…
Et puis, sortie de nulle part, comme un sortilège, une apparition ! ! !
Un silence, court il est vrai, la salue ; un silence accompagné d’un déplacement précipité de nos habitués vers l’extérieur ou près des fenêtres et des dizaines de paires d’yeux, hors les orbites, à la manière du loup des films de Tex Avery, admirent sa démarche dynamique, sa robe légère et virevoltante, ses jambes musclées juchées sur de hauts talons, sa taille de guêpe, sa longue queue de cheval, sa jeune beauté empreinte d’une élégance et d’un port peu communs.
Andrée, à l’époque, je me demandais comment tu pouvais traverser au milieu de ces mâles dont les compliments étaient sûrement très osés mais je ne connaissais rien au monde des danseuses de l’Opéra et je comprends aujourd’hui que tu n’y prêtais pas attention.
Si tu me lis, sache que nous t’admirions tous comme Melle A… , danseuse elle aussi ou comédienne, qui était aussi brune que toi, blonde. Véritable bombe, elle a certainement fait tourner la tête de nombreux admirateurs.
Toi, tu habitais du côté de la place Willermoz, près du commissariat du 5è arrondissement,
elle, du côté du Bd de Champagne chez ses parents avec son frère Jean-Pierre, copain de classe au Lycée, devenu grand reporter sur Antenne 2.
Merci donc à Claude-France et à Joce de m’avoir permis de retrouver ces souvenirs, de les partager avec vous et de continuer à chanter
« Ah ! Quelles étaient jolies les filles de mon pays »
Le : 27/02/2013 11:09
BONJOUR A VOUS TOUS.
BONNE ANNIVERSAIRE A GINETTE,BISES A VOUS DEUX .ET MERVEILLEUSE HISTOIRE RACONTÉ PAR NOTRE GRAND AMI MUSTAPHA.
APRÈS LA NEIGE ,NOUS A VONS UN BEAU SOLEIL A TOULOUSE,ET ÇA NOUS RÉCHAUFFE LE COEUR.BISES A TOUS ,ROSETTE.
BONNE ANNIVERSAIRE A GINETTE,BISES A VOUS DEUX .ET MERVEILLEUSE HISTOIRE RACONTÉ PAR NOTRE GRAND AMI MUSTAPHA.
APRÈS LA NEIGE ,NOUS A VONS UN BEAU SOLEIL A TOULOUSE,ET ÇA NOUS RÉCHAUFFE LE COEUR.BISES A TOUS ,ROSETTE.
Le : 27/02/2013 02:55
Salut,mon ami ton message m'a fait venir les larmes aux yeux,et je pense a tout ceux qui ne connaissent pas notre paradis a jamais.Notre plus tendre enfance ne peu s'oublier.Amitiéssss .
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