Liste des messages
Le : 14/03/2013 13:45
JOLI CITATION SUR NOS AINES
Les aînés
Les aînés sont comme de beaux livres d'histoire
où le vécu de chacun est écrit
Dans leurs yeux, on peut lire des milliers de
poèmes d'amour, de sagesse, de sérénité
Leurs mains sont de magnifiques toiles peintes de
sueurs, de durs labeurs, de peines, de joies
Leur visage est une oeuvre d'art sculptée par la vie
J. G. Bujold
Le : 14/03/2013 13:41
BONJOUR A TOUS
OUI MERZAK JE ME RAPPELLE BIEN DE CE MONSIEUR UN GRAND MARBRIER DE GRAND TALENT JE VOIS ENCORE L'ENDROIT OU IL SE TROUVAIT CE SONT DES IMAGES QUI SONT GRAVES D'AUTRES COMMERCANTS DONT JE ME RAPPELLE COMME L'EPICERIE EN FACE AUSSI DES BARRAQUEMENTS ET PUIS LE CAFE ALEXANDRIE DE TA FAMILLE AVENUE MALAKOFF LA BELLE PATISSIERE EN FACE DE L'ECOLE DE FILLE DE DIJON QUI FAISAIT LES MEILLEURS GATEAUX
ET TOUS LES PERSONNAGES QUE TU CITES ONT FAIT PARTIS DE NOTRE ENFANCE ET ADOLESCENCE JE ME RAPPELLE BIEN DU GARDIEN DU STADE QUE L'ON NOMMAIT KIKI
MERCI A TOI MERZAK
ANDREE
OUI MERZAK JE ME RAPPELLE BIEN DE CE MONSIEUR UN GRAND MARBRIER DE GRAND TALENT JE VOIS ENCORE L'ENDROIT OU IL SE TROUVAIT CE SONT DES IMAGES QUI SONT GRAVES D'AUTRES COMMERCANTS DONT JE ME RAPPELLE COMME L'EPICERIE EN FACE AUSSI DES BARRAQUEMENTS ET PUIS LE CAFE ALEXANDRIE DE TA FAMILLE AVENUE MALAKOFF LA BELLE PATISSIERE EN FACE DE L'ECOLE DE FILLE DE DIJON QUI FAISAIT LES MEILLEURS GATEAUX
ET TOUS LES PERSONNAGES QUE TU CITES ONT FAIT PARTIS DE NOTRE ENFANCE ET ADOLESCENCE JE ME RAPPELLE BIEN DU GARDIEN DU STADE QUE L'ON NOMMAIT KIKI
MERCI A TOI MERZAK
ANDREE
Le : 14/03/2013 13:11
Pour remercer le talent affirmé d'écrivain de notre ami Merzak, à mon tour d'évoquer un souvenir olfactif de notre enfance :
Les murs des maisons autour du lavoir de la Bassetta à Bab el Oued, doivent se souvenir de ces airs espagnols qui se répandaient dans le quartier par les fenêtres entrouvertes les matins d’été. Nos aïeux se régalaient à écouter ces musiques de leur pays sorties d’un phonographe à manivelle. La vie se déroulait paisiblement, pourvu que la table du dimanche midi ait été bien garnie autour et dessus. Autour, il y avait la famille, parents et enfants ; dessus une marmite contenant une “arroz caldo” qui embaumait les paliers des maisons. A la fin du repas, retentissaient des rires à l’écoute de cet air valencien : “ La ouella fa roz sin seba, et le ouello di que no vol, la ouella salsa li pega et le ouello li trenca le pérol.” Cette comptine de nos anciens rappelait le pays de leurs ancêtres qu’ils avaient quitté pour offrir un avenir meilleur à leur descendance. Et comment oublier les odeurs qui s’installaient tous les jours, sur le coup de midi dans le courant d’air des maisons aux portes d’entrée jamais fermées. Les poivrons frits, les sardines en escabetch et l’ “omblette de pon de terre “ ravissaient nos narines. Alors on ressentait un torrent de plaisir se déverser dans nos gorges. Mes amis aujourd’hui tout comme moi en exil, quel bonheur et quelle chance d’avoir vécu cette époque à jamais révolue ?
Le Berger de Mostaganem
Les murs des maisons autour du lavoir de la Bassetta à Bab el Oued, doivent se souvenir de ces airs espagnols qui se répandaient dans le quartier par les fenêtres entrouvertes les matins d’été. Nos aïeux se régalaient à écouter ces musiques de leur pays sorties d’un phonographe à manivelle. La vie se déroulait paisiblement, pourvu que la table du dimanche midi ait été bien garnie autour et dessus. Autour, il y avait la famille, parents et enfants ; dessus une marmite contenant une “arroz caldo” qui embaumait les paliers des maisons. A la fin du repas, retentissaient des rires à l’écoute de cet air valencien : “ La ouella fa roz sin seba, et le ouello di que no vol, la ouella salsa li pega et le ouello li trenca le pérol.” Cette comptine de nos anciens rappelait le pays de leurs ancêtres qu’ils avaient quitté pour offrir un avenir meilleur à leur descendance. Et comment oublier les odeurs qui s’installaient tous les jours, sur le coup de midi dans le courant d’air des maisons aux portes d’entrée jamais fermées. Les poivrons frits, les sardines en escabetch et l’ “omblette de pon de terre “ ravissaient nos narines. Alors on ressentait un torrent de plaisir se déverser dans nos gorges. Mes amis aujourd’hui tout comme moi en exil, quel bonheur et quelle chance d’avoir vécu cette époque à jamais révolue ?
Le Berger de Mostaganem
Le : 14/03/2013 12:11
Voilà encore un de nos amis Joseph PAPALARDO du quartier de la Consolation et de l'école Rochambeau qui nous a quitté, nos retrouvailles en 2007 à Rognes ont été hélas de courte durée. Repose en paix Joseph. Mamy
Le : 14/03/2013 10:11
Je viens d'apprendre avec une peine immense ,le decès de mon ami Claudet.
Je l'avais revu l'an passé à Rognes .Fatigué , avec son cousin Bournot.
Je lui avais promis de revenir le voir chez lui cette année.
Repose en paix Claudet.
Je l'avais revu l'an passé à Rognes .Fatigué , avec son cousin Bournot.
Je lui avais promis de revenir le voir chez lui cette année.
Repose en paix Claudet.
Le : 14/03/2013 09:53
Très peiné d'apprendre le décès de Claudet ami d'enfance de la rue Réaumur.
Je présente à toute sa famille mes plus sincères condoléances.
Adieu Claudet.
Je présente à toute sa famille mes plus sincères condoléances.
Adieu Claudet.
Le : 14/03/2013 05:33
mercredi 13 mars .claude SABATER de la rue Cardilal Verdier a rejoint ses parents .au revoir ptit claude.il avait 68 ans.
Le : 13/03/2013 22:43
Mr Eschinni.
Quel quartier n'a pas eu son personnage "spécial" faisant des apparitions épisodiques et pittorèsques, et que l'on taquinait gentiment.
Nous en avions un aussi, qui avait cette allure relachée d'un dimanche à la maison. Un dimanche qui durait des années, ressassant les mêmes reflexions, les mêmes confidences que la veille et que le lendemain.
On restait tout de même, à la fois perplexe et attendri devant la monotonie de cette vie rytmée par la ronde des saisons, dans lesquelles les jours se superposent aux jours, et les années aux années.
Toujours vétu à la 6-4-2 (sauf le dimanche), beaucoup l'appelaient Four à chaux "Fouratcho", et lui, fier de son camaïeu, était complètement imperméable aux critiques.
Andrée le connait car elle venait souvent aux baraquements en face.
Son nom Mr Eschinni ne lui dira rien. Mais si je lui dit que c'était le marbrier du 26 Ave Malakoff, alors cela remontera à la surface.
Un véritable artiste qui travaillait cette roche avec amour et noblesse (une de ses oeuvres, une boussole, se trouve toujours à Notre Dame, et à chaque passage, on se remémore avec émoi et tristesse cet homme qui a marqué ce quartier). Il était originaire de la région de Carrare, d'où venait le célèbre marbre blanc.
Il est parti un beau jour, comme beaucoup d'autres personnages du même calibre.
Sachez Mr Eschinni, où que vous soyez, que vous avez laissé un vide immense. C'est étrange, mais personne n'aurait pensé à le tutoyer.
Peut être parce qu'il tenait beaucoup à la noblesse d'un vocabulaire choisi et oublié de nos jours.
Nous avons beaucoup appris avec lui sur l'art et la peinture italiens. Quand à la lecture, il n'avait de goût que pour les auteurs qui écrivent "maigre": Laclos, Saint Simon, Retz, La Rochefoucauld...et nous gamins de l'époque, étions émerveillés par ces énigmes que nous ne comprenions pas.
Je tenais aujourd'hui à rendre hommage à cet homme qui a accompagné notre enfance et une partie de notre adolescence.
Il a marqué ce quartier qui longtemps fût miraculeusement préservé de la boulimie des promoteurs immobiliers et, qui est maintenant à l'abandon et privé de futur.
Où sont tous les êtres démunis et fiers qui ont fait "vivre" et "vibrer" ce quartier? Où sont les gitans de l'héliport?, "les résidents de la plage": Kaouène, Latrache, Drimouche, Rouget, Le Manchot, Yeux Rouges, Merzak (frère de Abdelkader, Yahia et Mokhtar Kentéra) et l'immense Choucha disparue dans d'atroces conditions que je tairais ici. Kiki le gardien de la mémoire et du Stade que je ne manque jamais de saluer à chaque passage à Alger.
Le magasin La Mer a disparu comme tant d'autres...mais les souvenirs restent. Indélébiles. Ainsi que cette nostagie qui est un véritable bonheur à l'imparfait.
Je m'excuse de la longueur de ce texte et remercie ceux qui ont eu la patience de le lire jusqu'au bout.
Bonne fin de soirée à toutes et à tous où que vous soyez.
Merzak.
Un salut à Balzano et à toute la Clique des Messageries. Au 2 Juin ??
Le : 13/03/2013 14:52
Bjr à toutes et tous: A Mr Georges Giliberti. J'ai bien connu une famille dont je ne me souviens plus du nom qui habitait effectivement derriére chez moi rue Maxime Noiret. Cette dame travaillait chez Bastos avec ma maman. Elle avait trois filles l'ainée.....Jaqueline, et la dernière Françoise qui avait mon âge. Et avec qui, étions ensemble à chaque excursion qu'organiser le CE de chez Bastos. Je me souviens il fallait monter des escaliers exterieurs pour arriver à leur logement. Ensemble les deux familles étions invités parfois chez une dame qui habitait au Ruisseau, chez qui nous mangions un excellent couscous et je crois que elle aussi travaillait chez Bastos. Ca vous parle peut-être? Cela, ne vous aidera pas dans vos recherches certes, j'en suis désolé. Peut-être paelons nous de même famille? Voilà pour la petite histoire. Cordialement un PN de l'Avenue de la Bouzaréah.
Le : 13/03/2013 14:19
Un message que tous les adultes devraient lire.
Les enfants nous observent beaucoup sans que nous le réalisions !
Ils font ce qu’ils voient et non ce qu’on leur dit.
LORSQUE TU NE ME REGARDAIS PAS......
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu accrocher au mur ma première peinture
et j’ai voulu immédiatement en produire une deuxième...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu nourrir un chat perdu
et j’ai compris qu’il fallait être bon pour les animaux…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer mon gâteau préféré,
pour moi, alors j’ai compris que les petites choses sont
très importantes dans la vie...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai entendu prier et j’ai compris qu’il y avait un Dieu
et que je pouvais lui parler et avoir confiance en Lui…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer un repas et aller le porter à un ami qui était malade
et j’ai compris qu’il faut s’entraider les uns les autres...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu donner du temps et de l’argent à des gens nécessiteux
et j’ai compris, que, ceux qui le peuvent, doivent aider ceux qui
sont dans le besoin…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu nettoyer la maison et voir aux besoins de chacun de nous
et j’ai compris qu’il fallait respecter les autres et prendre soin de ce
qui leur appartient…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu prendre tes responsabilités au sérieux,
même quand tu ne te sentais pas bien et j’ai compris ce que c'est
d'être un adulte responsable…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu des larmes dans tes yeux
et j’ai compris qu’il y a des choses qui nous font souffrir et que
l’on peut pleurer…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu comment tu nous aimais
et j’ai voulu devenir la meilleure personne qu'il m’était possible
d’être, comme toi…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai appris de toi toutes les leçons importantes de la vie
dont j’avais besoin pour devenir une personne productive
en grandissant…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je te regardais et voulais te dire
MERCI POUR TOUTES LES CHOSES QUE JE T’AI VU FAIRE
PENDANT QUE TU NE ME REGARDAIS PAS !
J’envoie ce document à toutes les personnes que je connais
qui font tellement pour les autres mais qui ne réalisent même
pas qu’il y a des petits yeux qui les observent constamment !
Chacun-e de nous ( parents, grands-parents, tantes, oncles,
enseignant-e-s ou ami-e-s ) nous influençons la vie d’un enfant.
Comment vais-je toucher la vie de quelqu’un-e aujourd’hui?
Seulement en envoyant ce texte à quelqu’un-e d’autre,
tu vas certainement au moins le ou la faire réfléchir sur
son influence sur les autres.
Prêcher par l’exemple…………. Il s’agit d’y penser!
Les enfants nous observent beaucoup sans que nous le réalisions !
Ils font ce qu’ils voient et non ce qu’on leur dit.
LORSQUE TU NE ME REGARDAIS PAS......
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu accrocher au mur ma première peinture
et j’ai voulu immédiatement en produire une deuxième...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu nourrir un chat perdu
et j’ai compris qu’il fallait être bon pour les animaux…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer mon gâteau préféré,
pour moi, alors j’ai compris que les petites choses sont
très importantes dans la vie...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai entendu prier et j’ai compris qu’il y avait un Dieu
et que je pouvais lui parler et avoir confiance en Lui…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer un repas et aller le porter à un ami qui était malade
et j’ai compris qu’il faut s’entraider les uns les autres...
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu donner du temps et de l’argent à des gens nécessiteux
et j’ai compris, que, ceux qui le peuvent, doivent aider ceux qui
sont dans le besoin…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu nettoyer la maison et voir aux besoins de chacun de nous
et j’ai compris qu’il fallait respecter les autres et prendre soin de ce
qui leur appartient…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu prendre tes responsabilités au sérieux,
même quand tu ne te sentais pas bien et j’ai compris ce que c'est
d'être un adulte responsable…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu des larmes dans tes yeux
et j’ai compris qu’il y a des choses qui nous font souffrir et que
l’on peut pleurer…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu comment tu nous aimais
et j’ai voulu devenir la meilleure personne qu'il m’était possible
d’être, comme toi…
Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai appris de toi toutes les leçons importantes de la vie
dont j’avais besoin pour devenir une personne productive
en grandissant…
Lorsque tu ne me regardais pas,
je te regardais et voulais te dire
MERCI POUR TOUTES LES CHOSES QUE JE T’AI VU FAIRE
PENDANT QUE TU NE ME REGARDAIS PAS !
J’envoie ce document à toutes les personnes que je connais
qui font tellement pour les autres mais qui ne réalisent même
pas qu’il y a des petits yeux qui les observent constamment !
Chacun-e de nous ( parents, grands-parents, tantes, oncles,
enseignant-e-s ou ami-e-s ) nous influençons la vie d’un enfant.
Comment vais-je toucher la vie de quelqu’un-e aujourd’hui?
Seulement en envoyant ce texte à quelqu’un-e d’autre,
tu vas certainement au moins le ou la faire réfléchir sur
son influence sur les autres.
Prêcher par l’exemple…………. Il s’agit d’y penser!