Liste des messages
Le : 24/08/2014 15:22
A mon ami MUSTAPHA. Demain nous partons sur Montpellier installer Leslie qui a la "pêche", c'est vrai que pour nous l'inquiètude est là car quand il s'agit d'une personne autonome, tu t'inquiètes quand même de son départ, mais là ne marchant pas, se déplaçant en fauteuil roulant mille et une questions arrivent dans ta tête, car elle est vulnérable, étant croyant je prie pour que tout se passe bien pour elle, elle est très courageuse , et l'avenir nous indiquera la marche à suivre MEKTOUB.C'est vrai que mon quartier me manque, mes amis, Hamid Mahmoud et les autres, et 52 ans après la nostalgie est toujours là, mon pays je l'ai dans le coeur, et avec des personnes comme toi Mustapha à travers mon écran je me retrouve chez moj Encore merci et t'embrasse fraternnelement
Le : 24/08/2014 14:36
Bonjour mon ami Fernand de la Rue Taine et rue Léon Roche quartier cher à nos c 1/2 urs. D'abord donne moi des nouvelles de Leslie que tu embrasse bien fort de ma part. C'est une jeune fille très courageuse et je suis sur qu'elle va bien réussir à l'Université de Montpellier. Pour revenir à ta question "pourquoi tous ça" c'est une question que tous le monde se pose depuis 60 ans. C'est notre destin à tous il faut s'y faire et vivre avec. C'est bien dommage. Porte toi bien mon vieux
Le : 24/08/2014 13:32
A Mustapha, Merci pour "ta Bohème", tu es un poète, un chic type, très émouvant, et les regrets sont et seront toujours là, en se posant une seule question pourquoi tout celà........
Le : 24/08/2014 10:22
je veux bien savoir si mon grand père habchi idir figure parmi la iste d'enseignant qui ont fait l'école normale supérieure de bouzaréah durant la période 1937 1938 merci.
Le : 24/08/2014 02:06
Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Bab El Oued en ce temps-là C'est là que j’ai connu le bonheur
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
Moi qui criait famine
La bohème, la bohème
Ça voulait dire que l’on était heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Dans nos quartiers on jouer à la carriole
Et à la sortie d’école on jouer aux noyaux
Et les filles jouaient à la marelle
Nos aînés à la pétanque l’anisette et les kémias
La bohème, la bohème
Ça voulait dire que nous étions heureux
La bohème, la bohème
Et nous étions tous des génies
On s'asseyait des fois d’être amoureux d’une voisine
Epuisés mais ravis Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie
La bohème, la bohème
Ça voulait dire on a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
on aller faire un tour
A la carrière Jaubert on ramener des roseaux
Pour faire des cerfs volants
Que l’on faisait voler au gré du vent
Aujourd’hui A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier d’un ami
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Bab El Oued semble triste
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Bab El Oued en ce temps-là C'est là que j’ai connu le bonheur
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
Moi qui criait famine
La bohème, la bohème
Ça voulait dire que l’on était heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Dans nos quartiers on jouer à la carriole
Et à la sortie d’école on jouer aux noyaux
Et les filles jouaient à la marelle
Nos aînés à la pétanque l’anisette et les kémias
La bohème, la bohème
Ça voulait dire que nous étions heureux
La bohème, la bohème
Et nous étions tous des génies
On s'asseyait des fois d’être amoureux d’une voisine
Epuisés mais ravis Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie
La bohème, la bohème
Ça voulait dire on a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
on aller faire un tour
A la carrière Jaubert on ramener des roseaux
Pour faire des cerfs volants
Que l’on faisait voler au gré du vent
Aujourd’hui A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier d’un ami
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Bab El Oued semble triste
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout
Le : 22/08/2014 22:01
Bonsoir fernand moi non plus je ne vous connais pas et je n'ai aucun empechement a le faire.Non je ne suis ni aigri et je n'ai aucune rancune envers personne Service nos amis P.N bien au contraire j'en veux beaucoup a ceux qui se la coulaient douce (les colons)et nous montaient les uns contre les autres et a ceux qui nous ont dechires.Pour le reste nous ne sommes pas sur la meme longueur d'onde .Mr tri!ves et moi parlons de la periode d'avant 1962 et vous,de celle d'apres.Aussi,notre sujet est lie a l'algerie quant a vous,vous parlez de la france contemporaine .
Le : 22/08/2014 21:41
Quelques petits mots au cher Monsieur Sola qui part dans quelques jours retrouver sa ville natale après plus de 50 ans d'absence:
Je vous souhaite un très agréable séjour parmi les algérois, je suis persuadé que ce voyage vous permettra de chasser les démons qui vous ont empêché de retourner sur les traces de votre enfance.
Lorsque vous serez sur le parvis de Notre Dame d'Afrique, regardez vers le Nord, plus exactement 39° Nord et 3 ° Est: c'est là où je serai, chez Juan le resto du port à Alkudia au nord de l'île de Palma de Majorque en train d'apprécier des petits calamars à la plancha et un excellent Ribera del Duero.
Ce ne sont que 400 km à vol d'oiseau et par beau temps on pourra peut - être se voir..
Savourez chaque instant de votre voyage et ramenez nous des photos souvenirs.
Bien cordialement,
Mousse
Je vous souhaite un très agréable séjour parmi les algérois, je suis persuadé que ce voyage vous permettra de chasser les démons qui vous ont empêché de retourner sur les traces de votre enfance.
Lorsque vous serez sur le parvis de Notre Dame d'Afrique, regardez vers le Nord, plus exactement 39° Nord et 3 ° Est: c'est là où je serai, chez Juan le resto du port à Alkudia au nord de l'île de Palma de Majorque en train d'apprécier des petits calamars à la plancha et un excellent Ribera del Duero.
Ce ne sont que 400 km à vol d'oiseau et par beau temps on pourra peut - être se voir..
Savourez chaque instant de votre voyage et ramenez nous des photos souvenirs.
Bien cordialement,
Mousse
Le : 22/08/2014 20:56
A kAMEL, Bonsoir je ne vous connais pas, mais vous me semblez bien aigri.Mes parents sont nés à BEO,j'y suis né, et habitant rue Taine, il y avait beaucoup de familles arabe qui occupaient comme nous des logements décents(Famille Amarouche Ouamane etc...).Concernant les personnes qui récupéraient ou récupérent fruits et légumes il y en à aussi beaucoup en France, il n'est nullement question de "melons, ratons bougnoules etc...,, mais de pauvres gens souvent retraités qui ne s'en sortent pas.Les familles citées plus haut se sont interessés à leurs enfants qui ne sont pas devenu cireurs, à qui la faute? Quand on vie dans un pays il faut le respecter, quand nous allons en vacances dans des pays musulmans on respecte les coutumes, alors qu'ici rien n'est respecté, et l'on se dit c'est vrai que toutes ces personnes n'aimant pas la France seraient mieux dans leur pays, à le reconstruite, à s'occuper d'éducation, car si ce qui se passe chez nous avez lieu en Algérie, il n'y aurait pas assez de prison.52 ans se sont passées, et il faut aujourd'hui se dire PAIX AUX HOMMES DE BONNES VOLONTES Je vous salue amicalement Kamel.
Le : 22/08/2014 19:47
Mr trives je suis entierement d'accord avec vous sauf que n'ignorez pas wu'au marche de babeloued il n'y avait que des algeriens(arabes)alignes dos au mur face a la decharge ou les commercants venaient jeter le fruits et legumes avaries,pourris ou abimes que nous recuperions a chqu'un son tour afin de pouvoir diner sans jamais connaitre de petit dejeuner .Il n'y avait auqu'un pieds noir parmi nous ,car francais nous etions tous francais .Ce qui nous differenciait c'etait le cote cultuel.A la place de l'Alma la ou j'ai fait un passage,non plus seuls les arabes avaient ce choix d'y activer et Service cirer les bottes "a tout le monde".Les yaouleds et les fatma comme ma mere,c'etait aussi des arabes.A l'avenue des consulats ou pres du majestic il n'y avait pas place pour loger a un arabe,car c'etait un raton un melon un bougnoul....et j'en passe.Je ne dis pas tous ces mots ou phrases aux gens comme vous monsieur trives mais a beaucoup d'autres qui ajourd'hui se plaignent des algeriens vivant en france et disent "ils ont voulu leur independance qu'ils restent chez eux".cela fait deux ans que je m'interesse aux sites P.N la retenue et la sagesse m'ont empeches d'intervenir pour ne pas raviver les douleurs du passe.
Le : 22/08/2014 17:26
J'ajoute au message de 9 h 54 le témoignage suivant : tous les petits commerçants de Bab el Oued avaient sur leur comptoir un carnet de crédit. Que ce soient les boulangers, les marchands de vins, les épiciers, les moutchous, les bouchers, les marchands de linge, les volaillers, etc...
tous enregistraient la somme due par leur clientèle en difficulté sur le carnet. Il n'y avait que dans les bars où on ne faisait pas crédit car l'anisette en bonne quantité aurait eu pour effet que les "tispounes" auraient oublié leur dette. Ensuite, soit en fin de semaine pour certains ou en fin de mois pour d'autres, dès la paye reçue, les clients débiteurs venaient régler la dette.
tous enregistraient la somme due par leur clientèle en difficulté sur le carnet. Il n'y avait que dans les bars où on ne faisait pas crédit car l'anisette en bonne quantité aurait eu pour effet que les "tispounes" auraient oublié leur dette. Ensuite, soit en fin de semaine pour certains ou en fin de mois pour d'autres, dès la paye reçue, les clients débiteurs venaient régler la dette.