pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Marylise Soler épouse Alai DurandEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 22:06

A Roger Martinez Bonne nuit. Avez-vous trouvé la recette que je vous ais envoyée sur la petite enveloppe jaune à coté de votre nom? Amitiés . Marylise.

 

De : georges DuraEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 21:39

Pour ALBERTINI Guy
je vous écris se jour pas de réponse de votre part.
j'attend votre réponse
cordialement



 

De : Pascoet IrèneEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 13:26

Bonne année à tous.
Je suis pieds noirs par mon mariage en 1962 avec Renè Pascoet décédé en 2010 né à Orléansville en 1936. Il a fui en juin 1962 et atteri à Marseille. Nous nous sommes connus en 1957 et j'ai eu la joie de connaitre l'Algérie en 1961 et 1962. Mon mari voulait que je devienne "Pieds Noirs" et je le suis devenue. Mes 4 enfants et 11 petits enfants revendiquent très fort leurs origines à la fois espagnole, maltaise et bretonne. Je n'ai pas les mêmes regrets que vous n'étant pas née en Algérie mais j'ai comme vous "mal à l'Algérie". J'ai lu Le Berger de Mostaganem et j'ai été très ému.
bien amicalement

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 09:15

Lorsque nous avons pris le bateau ce matin là de juin 62 (l’avion pour certains) pour la terre de France, nous pensions que notre galère était terminée. Les bombes, les morts, le sang versé, les larmes, c’était dernière nous. Nous ne savions pas que le pire était à venir par l’accueil que nous avons reçu en métropole et notamment à Marseille avec cette banderole « les Pieds noirs à la mer, vous n’êtes pas les bienvenus, retournez dans votre pays » ne l’oublions JAMAIS !

Dans l’histoire du monde il y eut d’autres malheurs bien pires que le notre, mais à ma connaissance, jamais les victimes ont été désignés comme bourreaux, ce fut notre cas. Et cela continue 54 ans après.

Alors bien sur la nostalgie, mais notre seul combat serait d’être réhabilité. Nous n’étions pas des colons exploiteurs, monté sur un cheval et fumant le cigare, faisant suer le burnous aux pauvres indigènes. 97% des Pieds noirs étaient des ouvriers, des petits commerçants ou petits fonctionnaires. Il existait en Algérie, selon les historiens indépendants, 12 familles très très riches et une centaine de familles riches, sur un million cela fait peu. Il faudra que l’on m’explique comment un ouvrier peut exploiter un autre ouvrier. Et notamment à BEO, ce quartier populaire, bien loin du cliché du colon exploiteur.

Bien sur que ce pays nous manque, mais là est le combat que nous devons mener, c’est un devoir, un devoir de mémoire.

Vive nous !


 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 08:30

Ils soient nostalgiques

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 08:28

Les Français d'Algérie appelés Pieds-Noirs ont aimé éperdument leur pays. Croyez-vous qu'aujourd'hui ils soient nostalgique d'un quelconque privilège. Pensez-vous que leurs regrets expriment des possessions perdues ?
L' Histoire leur a volé un mode de vie baigné dans la simplicité,
les sourires familiers qu'ils croisaient chaque matin, une existence sans chichis et sans prétention, les rires et les ''tape-cinq'' complices, l'amitié fraternelle échangée avec les copains et les voisins, sans distinction d'origine.
Ils ont été l'objet de la plus grande injustice des temps modernes, fomentée par le mensonge d'état et la calomnie.
Un million de personnes partirent en exil et abandonnèrent à jamais les cimetières où reposaient leurs aïeux.
Aujourd'hui ces défunts sans famille ne comprendraient pas que l'on passe sous silence leur vie laborieuse alors que les révisionnistes de l'Histoire les font passer pour de vils colonialistes.
Les idéologies politiques ont détruit un peuple unique en son genre composé de Chrétiens, de Juifs et de Musulmans qui aurait pu servir d'exemple au monde entier.
( extrait de BAB EL OUED POUR LA VIE )

 

De : Albertini GuyEnvoyer un mail

Le : 04/01/2017 17:19

Pour Georges Dura

Merci pour vos bons v 1/2 ux et recevez en retour mes souhaits de bonheur et de santé pour cette nouvelle année 2017.

Etes-vous parent de Gérard et de Daniel, les jumeaux avec qui j' étais en classe au cours complémentaire de la place Lelievre entre 1956 et 1959 ?
Si c' est le cas, je serais heureux d' avoir de leurs nouvelles.
Merci
G.A

 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 04/01/2017 16:46

pour manuel

je suis d'accord avec toi, ce n'est pas les lieux que l'on regrette, mais l'enfance et l'adolescence, vécu la bas..
POUR ma part j'ai fait le chemin en 2014, et comme effectivement je n'étais pas parti pour regretter ou non de lieu, j'ai passé des moments magiques..
Juste le plaisir de remarcher dans les pas de cette enfance et adolescence... ET Si la nostalgie n'a pas diminuée, et voire à mème augmentée, c'est dorénavant une nostalgie apaisée...
Comme les derniers des mohicans, il est vrai que nous sommes les derniers pieds noirs ayant vécu sur ces lieux de nos ancêtres,et nous pouvons et devons dire, que c'est une grande et extraordinaire chance,
d'avoir eu un tel destin, faire partie et avoir vécue cette histoire, qui a fait entre naitre la 5ém république, avoir vécus tant d’événements dans l'allégresse,dû à notre jeunesse, (remémorerez vous les manif, les concerts de casseroles, le tititi tata des voitures et autre)
et dans la douleur (car il y a eu des événements dramatiques) ect etc,

vraiment une Grande histoire,dont nous sommes souvent pas conscients mais qui est là.... et qui doivent bercer cette nostalgie qui doit être apaisée, et surtout du fait que nous avons été acteur d'une grande histoire, et pas uniquement spectateur.. Cela fait pour ma part ma joie..
A Tous et toutes bonne année 2017 et les suivantes aussi...

 

De : manuelEnvoyer un mail

Le : 04/01/2017 15:30

Bonjour les amis. L'année qui vient de s'écouler laisse derrière elle son bagage de joies, de détresses,de peines et de deuils. Nôtre groupe , et la communauté pieds-noirs s'éclaircit chaque année. Nous serons encore moins nombreux à nos retrouvailles.J'ai comme beaucoup d'entre vous perdu en 2016 des copains d'avant. Il ne faut pas s'attendrir sur nôtre passé.Il s'est enfui pour toujours .Ils nous restent les souvenirs de l'enfance et de l'adolescence que nous avons laissé en nous enfuyant.Ils resteront un " poison" dans nôtre sang dont nous souffriront jusqu'au dernier jour.J'ai un temps caressé le projet d'une escapade dans ma ville natale et mon quartier de la bassetta ( quitté à l'âge de 21 ans).J'y ai renoncé,persuadé que ce ne serait pas les lieux que j'allais regretter, mais mon enfance et mes copains. Avec l'âge ont vit beaucoup dans ses souvenirs et souvent dans mes moments de lassitude , il est des soirs, où je peuple ma nostalgie des fantômes du souvenir.En cette période où l'on partage tout, je vous offre mon indéfectible amitié. Bonne Année.

 

De : seksek michelEnvoyer un mail

Le : 04/01/2017 07:47


a MOMO et a toutm mes amis du site,je vous souhaite une annèe

merveilleuse et une sante de FER,voila!

 

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