Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

hier j'ai lance un avis de recherche par erreur j'ai ecrit choukroun serge au lieu de chouraqui serge......

Actuellemnt Freddy, je n'ai jamais entendu parler de ce cafe',
ce qui m'etonnerait... car je ne pense pas que deux etablissment avaient le doit d'avoir le même nom dans la même ville.. Aussi notre Cafe' avait la deuxiême plus vieille licence à Alger! Il a malheureusment depuis etait dètruit et remplacé par une école de filles.
Mais j'aimerais bien quand même voir cette carte postale, si tu veux me l'envoyer à mon e mail.pkomarek25@aol.com

Merci de cette attention.

Affectueusement, Pierrette.

A Pierrete
J'ai retouvé une vielle carte postale d'ALGER (je ne connais pas la date mais c'est ancien) sur laquelle figure UN CAFE DE CADIX, mais RUE DUPUCH, donc en centre ville.
Le savais-tu et est ce que c'est "l'ancétre" de celui de tes parents à BAB EL OUED ?
Amitiés
Freddy

pour Michèle.
celui qui vous régalait de sa calentita en face du marché de BEO était mon oncle Emilo Massanet. En 62, il sont partis en Espagne...
Michel

Merci cher André TRIVES de nous avoir, pour certains d'entre nous, fait découvrir l'amour que le professeur Pierre GOINARD portait à l'Algérie, son pays, notre pays.
C'est vrai que le peuple nouveau est aujourd'hui une espèce en voie de disparition. Génération après génération nous nous éteignons.
" Dékonnéné onnémor" dit la chanson créole.
Aujourd'hui,grâce à vous, le professeur Pierre GOINARD est de nouveau dans la lumière.
Il n'est pas encore venu le temps ou la petite lumière qui brûle en chacun d'entre nous va s'éteindre.
Cette lumière nous la portons au plus profond de notre âme.
Elle se nourrit de cette cassure immense, de cet arrachement douloureux d'avec notre terre nourricière.
Quand la vie nous quitte, cette lumière s'échappe pour rejoindre d'autres lumières.
Il restera toujours, sortie d'on ne sait où, une lumière flamboyante qui comme le soleil couchant va embraser la mer et renaître le lendemain.
Nous étions des enfants, de jeunes hommes, de jeunes femmes. Nous sommes aujourd'hui avec le temps qui passe, nous tous, qui n'avons jamais cessé de construire, les architectes d'une mémoire collective. Continuons...

Bonjour Chérif, bonjour Domenech.
moi aussi je suis de la génération de Domenech (1944) et de celle de mon cousin Marcel.
Ma tante Rosalie ne supportait pas ce surnom de TOTO.
Cette année, Marcel a pris sa retraite. Il vendait des légumes au marché d'Alligre à Paris. Et voilà! On n'a pas le temps de retourner sur la placette pour jouer au ballon que déjà on se retrouve au 3éme âge.
Domenech, ne te casse pas la tête pour te souvenir de moi, j'étais plus souvent en haut de la rue prés du garage Galléa et à partir de 54 j'ai suivi mes parents au Clos Salembier puis à Hussein Dey et enfin à la Consolation.
De toute façon, nous gardons en nous les mêmes souvenirs. Mme Nivart, le Rialto où Négro quelques fois nous faisait entrer sans payer avec ma grand-mère pour la remercier de lui avoir "quitté" le coup de soleil. Ce qui ne l'empêchait pas de nous donner quelques coups de roseau sur la tête pour sauvegarder les fauteuils de bois du Rialto. (voir mon film "Oranges amères" sorti dans l'indifférence en 1997). Le marchand d'oublies sur le petit square, Tago, Marteau le fou, Kikilomètre...
Bon! Allez! C'était le bon vieux temps...
Michel

Michelle, Je me suis mariée à l'Eglise St Joseph. les invités eatient partout,il y avait le Juifs, les arabes du quartier, les soldats Americains et Anglais..
Les gens etaient même sur les marches du parvis... a regarder cette fille de la rue Rochambeau avec ce soldat Americain..Tout le monde riait, et certain disaient qu'une fois repartit pour les Etats Unis je ne le reverrais plus!
Notre marriage s'est terminé il y a deux ans, à la mort de mon mari; il avait duré 62 ans. Je ne sais pas pourquoi mais tout ce qui était fait à Bab el Oued avait meilleur goùt...la calentita, les cocas, les glaces et beignets de chez Mario Grozolli ... même les marriages!

Il est vrai que de nos jours, on trouve de tout partout mais M.Chennenou a raison la meilleure calentita se trouvait dans la boulangerie en face du marché de BEO...
Tous les dimanches, après la messe, (à l'église St-Joseph), ma grand mère m'en achetait une part....Je m'en souviens comme si j'y étais..Elle était moelleuse et je me régalais.....
Quant aux objets de tous les pays, Pierrette, on en trouve aussi partout. Lorsque je suis allée en Russie, j'avais ramené des petites poupées russes (babouchkas) à un peu tout le monde et ici, j'en vois et en fait, on en voit partout....
Il y a ces fameux "magasins du Monde" où il y a des objets de tous les pays donc je me suis dit que ce n'était pas la peine de transporter à chaque fois des objets que l'on trouvait en France....
A Toulon et à Marseille, il y a des tramousses, des pâtisseries orientales à gogo etc......
Mais j'avoue très franchement que tout avait meilleur goût chez nous....
Bonne soirée à tous et merci pour les beaux textes et les beaux récits que nos amis écrivent.

qui connait serge choukroun un ami le recherche.il a habite a alger.peut etre est ce l'instituteur auquel un des internautes fait allusion

A Chérif

Je suis né au 3 rue françois Serrano Je pensais connaître pratiquement tout le monde, mais il faut se rendre à l'évidence que 5 ans d'écart on n'a pas les mêmes copains.Je connais trés bien la cour on gamins on jouait.

Et les 2 gamins Andre et Robert je crois qu'ils s'appelaient AZUAR
Mne Nivard prés du Rialto.

On trouvait de tout,tout comme chez Benacer dont le fils Marcel etait surnommer TOTO mais il était de ma génération 1943.
Mitzzi le maltais avec son fils Jojo.

Tout le monde au quartier montait les nombreux escaliers pour aller à l'école ..
Cherif ne me dis rien mais je suis sûr que l'on a les mêmes souvenirs.
Au hasar des noms du quartier ouassar, amar et djilalli, botella ,fuster ,azuar, baba aissa,et beaucoup d'autes...

Bien le bonjour d'un gamin qui habitait 3 rue François S

Message pour André TRIVES
Je viens de lire votre texte : un seul qualificatif : MAGNIFIQUE