Liste des messages
Le : 13/07/2008 14:11
Ma mere Rose, tout en s'occupant des clients du Café depuis 5 hrs du matin, ainsi que de sa famille, surtout un de ses fils (Denis) qui était handicapé mental comme ont dis aujourd'hui; prenait aussi le temps de soigner les gens du quartier, qui étaient affligés par des maladie courantes dans les années quarante, comme la Thyphoides. la Malaria,le Thyphus et les Meningites (qui tuaient les enfants en 24 heures); elle se levait souvent la nuit pour faire des piqures et il va sans se dire qu'elle ne faisait jamais payer personne. Certains ingrats je me rappéle ne faisait pas faire la derniére piqure, pour ne pas avoir a la remercier!! mais elle en avait l'habitude.
Elle n'avait jamais peur d'attraper ces maladies pourtant si contagieuses, ni de les apporter a la maison a ses enfants. Peut être elle avait tord, qui sait? Et c'est pour ça qu'aujourd'hui quand je veux embrasser quelqun qui a un rhûme, et qu'il me repousse en disant "Non je ne veux pas que vous attrapiez mon mal!" Je les embrasses quand même en leur disant: "Surement... vous rigoler?"
Elle n'avait jamais peur d'attraper ces maladies pourtant si contagieuses, ni de les apporter a la maison a ses enfants. Peut être elle avait tord, qui sait? Et c'est pour ça qu'aujourd'hui quand je veux embrasser quelqun qui a un rhûme, et qu'il me repousse en disant "Non je ne veux pas que vous attrapiez mon mal!" Je les embrasses quand même en leur disant: "Surement... vous rigoler?"
Le : 13/07/2008 13:03
Bonjour
Le compère-loriot ou orgelet . En tout
cas, c'est une affection d'une glande lubrifiante d'un cil.
Et c'est provoqué par un courant-d'air (roulé en voiture, vitre ouverte
vitre ouverte par ex;)Ce n'est pas un compère...
Le compère-loriot ou orgelet . En tout
cas, c'est une affection d'une glande lubrifiante d'un cil.
Et c'est provoqué par un courant-d'air (roulé en voiture, vitre ouverte
vitre ouverte par ex;)Ce n'est pas un compère...
Le : 13/07/2008 11:21
Mais à cul pas.
Va pour Compère Lorriot. Je viens de téléphoner à ma mère et quand je lui parle de "compalorio" elle me demande de quoi je lui parle. Alors je lui explique: Tu sais la pièce de un sou trouée ( la même utilisée pour bloquer la ficelle des toupies) que Mémé frottait sur la paupière des gens en marmonnant des prières et qu'elle jetait ensuite dans la rue... Mon pôvre fils! Tu perds la boule! Si ça continue, tu vas finir chez ROUBY! C'est pas compalorio, c'est Compère Lorriot, répète après moi Compère Lorriot. Oui Maman... Compère Lorriot... Compère Lorriot... Compère Lorriot...Et moi qui déclenchait une Paule et Mick sur le site à Christian... Non Maman, j'veux pas aller chez ROUBY...
Vivent nous ôtes.
Michel
PS: si quelqu'un peut me donner des informations sur ce Monsieur Lorriot que je ne connais pas...
Va pour Compère Lorriot. Je viens de téléphoner à ma mère et quand je lui parle de "compalorio" elle me demande de quoi je lui parle. Alors je lui explique: Tu sais la pièce de un sou trouée ( la même utilisée pour bloquer la ficelle des toupies) que Mémé frottait sur la paupière des gens en marmonnant des prières et qu'elle jetait ensuite dans la rue... Mon pôvre fils! Tu perds la boule! Si ça continue, tu vas finir chez ROUBY! C'est pas compalorio, c'est Compère Lorriot, répète après moi Compère Lorriot. Oui Maman... Compère Lorriot... Compère Lorriot... Compère Lorriot...Et moi qui déclenchait une Paule et Mick sur le site à Christian... Non Maman, j'veux pas aller chez ROUBY...
Vivent nous ôtes.
Michel
PS: si quelqu'un peut me donner des informations sur ce Monsieur Lorriot que je ne connais pas...
Le : 13/07/2008 10:34
j'ai le regret de vous annoncer le décès de notre maman- Mme Giorgini Marthe- qui habitait rue maxime noiret à Alger.Elle venait chaque année à Rognes et se faisait une joie de revoir tous les gens qu'elle avait connu.Merci au site qui nous permet de vous l'annoncer.Elle ne souffre plus.
Le : 13/07/2008 09:59
Monsieur Bisbal, votre blog me permet d'en douter. En revanche, lorsqu'au début des années cinquante venaient chez-nous « NOS COUSSINS DE PARIS DANS LEUR CHOLIE AUDO » et si notre riante vallée avait été peuplée de grands-mères maltaises, espagnoles ou tout simplement pieds-noirs, un forte odeur de pois chiches roussis (ou de petits pois, car nous ne connaissions pas les pois chiches) aurait anéanti tous les moustiques de la vallée du Rhin.
Le : 13/07/2008 09:51
BRAVO et encore BRAVO à Robert Voirin, bien qu'étant du ruisseau j'ai vraiment apprécié son poème. Quel talent!! Racontez nous encore notre belle Algérie, nous ne serons jamais rassasiés. bonne journée
Le : 13/07/2008 08:13
A Michel SUCH
Nous nous disions "COMPERLORIO" !
Alors : italien ? français ? maltais ? espagnol ?
N'envenimons pas la polémique "babelouédienne" : disons simplement quelque soit "l'othographe" DE CHEZ NOUS !
Amitiés
Freddy
Nous nous disions "COMPERLORIO" !
Alors : italien ? français ? maltais ? espagnol ?
N'envenimons pas la polémique "babelouédienne" : disons simplement quelque soit "l'othographe" DE CHEZ NOUS !
Amitiés
Freddy
Le : 13/07/2008 00:42
Je pensais ma grand-mère unique et je me rends compte que dans Alger, BEO et certainement dans tout le pays, des centaines de vieilles femmes vêtues de noir faisaient bouillir de l'eau, crachaient dans des pots, récitaient des prières... Massaient les ventres gonflés avec de l'huile d'olive et de l'eau bénite. C'est péché de vouloir toujours expliquer le pourquoi du comment et de trouver une racine à ce que vous appelez "enfite". Chez nous, dans cette rue en impasse qui se terminait par un escalier dans lequel j'ai failli des dizaines de fois me casser la gargoulette en ramenant de chez Madame Nivart, une bouteille d'huile à crédit; oui chez nous dans cette rue François Séranno, anciennement rue de La Vigie on venait chez ma grand-mère pour l'INFITE. Pour moi ce mot est magique et avec l'enfite, je viens de laisser échapper ma bouteille d'huile d'olive. Elle va encore me gueuler dessus ma Mémé Angèle la maltaise. Et tout ça pour un E à la place d'un I. Même si vous avez raison... J'ai pas tord! Et les "compalorios" alors hein! Y'a que ma mémé qui les soignait?( Pour les lettrés, ne pas prononcer le S et ne venaient pas me dire que cela vient de l'espagnol...)Ma Mémé m'a laissé quelques pouvoirs et je sens que certains vont devoir faire provision de "bliblis". Oui, chez moi, dans cette rue en impasse anciennement Rue de la Vigie, les pois chiches étaient déjà grillés...
Vivent nous ôtes!!!
Michel
Vivent nous ôtes!!!
Michel
Le : 12/07/2008 21:11
Bonjour
Je découvre le site, les photos de classe, les messages,etc. Quel bonheur ! Je suis de BEO, j’habitais rue de chateaudun, j’allais à l’école rue de Normandie. Je retrouvais souvent mes copines comme Francette Blasco par exemple (Francette si tu lis ce message donnes moi de tes nouvelles) Place Lelièvre. C’est beaucoup de bons souvenirs. Encore bravo pour ce site.
Isabelle
Je découvre le site, les photos de classe, les messages,etc. Quel bonheur ! Je suis de BEO, j’habitais rue de chateaudun, j’allais à l’école rue de Normandie. Je retrouvais souvent mes copines comme Francette Blasco par exemple (Francette si tu lis ce message donnes moi de tes nouvelles) Place Lelièvre. C’est beaucoup de bons souvenirs. Encore bravo pour ce site.
Isabelle
Le : 12/07/2008 20:55
POUR BOISIS SIDNEY
BONJOUR
EEFECTIVEMENT JE SUIS PLUS JEUNE QUE VOUS CAR NE EN 1950
J HABITAIS AU 1 RUE DENIS PAPIN AU DESSUS DE L EPICERIE DE MME FRANCOIS SUR LE MEME PALLIER QUE MES ONCLES JEAN CLAUDE ET JACQUI SOLDEVILLA
JEAN CLAUDE AVAIT SOUVENT UN DE SES COPAINS QUI VENAIT CHEZ NOUS ET QUI HABITAIT AUSSI LA RAMPE VALLEE JE CROIS QU IL S APPELAIT J GUY DELCY
LA PORTE DU BATIMENT OU NOUS HABITIONS ETAIT LA PREMIERE EN MONTANT LES ESCALIERS PAPIN EN FACE DE L ECOLE MATERNELLE.
A BIENTOT
BONJOUR
EEFECTIVEMENT JE SUIS PLUS JEUNE QUE VOUS CAR NE EN 1950
J HABITAIS AU 1 RUE DENIS PAPIN AU DESSUS DE L EPICERIE DE MME FRANCOIS SUR LE MEME PALLIER QUE MES ONCLES JEAN CLAUDE ET JACQUI SOLDEVILLA
JEAN CLAUDE AVAIT SOUVENT UN DE SES COPAINS QUI VENAIT CHEZ NOUS ET QUI HABITAIT AUSSI LA RAMPE VALLEE JE CROIS QU IL S APPELAIT J GUY DELCY
LA PORTE DU BATIMENT OU NOUS HABITIONS ETAIT LA PREMIERE EN MONTANT LES ESCALIERS PAPIN EN FACE DE L ECOLE MATERNELLE.
A BIENTOT