pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Pierre Antoine LiguoriEnvoyer un mail

Le : 10/02/2021 11:27

Mes sincéres condoléances a la famille.

 

De : André TrivèsEnvoyer un mail

Le : 10/02/2021 11:24

La page "Rolland Almodovar" du Livre des Grands Sportifs de Bab el Oued s'est refermée aujourd'hui. Sa carrière de footballeur fait honneur à notre quartier... Nul doute Marcel Salva et Louis Landi ont dû l'accueillir pour compléter l'équipe de footeux qui continuent l'entraînement sur le gros nuage en suspension entre le stade Marcel Cerdan, le stade de St Eugène et ND d'Afrique. Aujourd'hui ils ont retrouvé le ballon de leur enfance utilisé lors des récréations dans les écoles Sigwalt, de la Place Lelièvre, de Francklin, de Rochambeau ou de la rue Camille Douls, constitué d'une boule de papier ficelé. Nous ne vous oublierons jamais!

 

De : pierre-Claude FASANOEnvoyer un mail

Le : 10/02/2021 10:56

Aujourd'hui le 10 Fevrier 2021 est décédé un AMI, UN GRAND FOOTBALLEUR DE CHEZ NOUS, de BAB-EL-OUED. Monsieur ROLLAND ALMONOVAR, Il avait joué au club De L'ASSE ( Saint- Eugéne ) et SCUEB ( EL-BIAR ) Avec ce club, Il avait battu la grande équipe de REIMS, des KOPA,, PIANTONI, au parc des Princes en coupe de France, 2 a 0 , et était l'auteur d'un but. Il était aussi membre du conseil d'administration de notre association L'A.B.E.O pendant de longues années avec son épouse Claudine. Il était l'HOMME au sourire permanent. Je me souviens qu'un soir lors d'un repas dansant, nous dansions le CHOCOLATERO, il riait beaucoup et m'avait dit,. <<< Je déclare aujourd'hui que le CHOCOLATERO sera notre hymne de Bab-El-Oued >> Nous présentons, mon épouse, Christiane et moi-même a CLAUDINE, ses enfants et petits enfants nos plus sincères condoléances. REPOSE EN PAIX, L'AMI. Tu seras toujours dans nos coeurs.

 

De : Laurence molinesEnvoyer un mail

Le : 09/02/2021 22:48

Bonjour

Je voudrais rentrer en contact avec la personne qui recherche des informations
sur christian molines et danielle andoque .c'est mon pere il a fait du judo a alger.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 06/02/2021 19:07

BIBLIOTHÈQUE D'ALGER : UNE MINE D' OR !!


À celles et à ceux qui s’intéressent à l’Histoire de France, j’ai le plaisir d’adresser ci-joint un lien qui permet d’accéder à une biblio-vidéothèque d’une richesse considérable sur l'ALGÉRIE.

Ces documents très rares sont d’une grande valeur historique à tous points de vue.

La revue navale à Mers el Kébir est particulièrement intéressante, On y retrouve des bateaux de guerre dont les noms resteront toujours enregistrés dans nos mémoires.

Certains reconnaîtront non sans émotion des villes et des villages où ils ont vécu

À transmettre à vos enfants et petits enfants afin que ces souvenirs de la vie de leurs Aïeux se perpétuent ..
Je vous souhaite une bonne immersion dans cette partie très sensible de l’Histoire de France.

Bibliothèque sur l 'Algérie
http://jeanyvesthorrignac.fr/crbst_41.html#anchor-Alfrancaise

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 05/02/2021 06:16


Ma scolarité

Pendant ma scolarité à l’école de la rue du Soudan, il y a eu deux accidents :
- le premier s'est déroulé près de la cage d'escaliers au rez-de chaussée. Il y avait là, accroché au mur, un extincteur. En jouant pendant la récréation, un enfant l'a malencontreusement décroché et il est tombé sur la tête d'un autre enfant. Je n'ai pas vu l'accident ni même l'enfant accidenté, mais je me souviens que, sur le sol, il y avait une espèce de bouillie blanche avec des taches rosâtres. Ce devait être le contenu de l'extincteur mélangé avec du sang de la victime.
- le second était bien plus important. Sur le bord des galeries, côté court, au niveau du sol, il y avait une corniche de quelques centimètres de large et un morceau d'ardoise cassée (de la vraie ardoise) était resté en équilibre sur cette corniche. Un jour, pendant la sonnerie stridente qui faisait tout vibrer et qui appelait au rassemblement, le morceau d'ardoise a perdu son équilibre et est tombé sur la tête d'un élève qui se mettait en rang deux étages plus bas. Je pense que cet élève n'a pas survécu.
Dans la classe de monsieur Armonino, il y avait beaucoup de choses à apprendre par c½ur : les récitations, l’histoire et la géographie.
Je n’arrivais pas à retenir ces leçons, parce que je n’avais pas de mémoire et que j’étais incapable d’apprendre du mot à mot comme on me le demandait de plus tout ça me paraissait trop abstrait, nos ancêtres les gaulois ou localiser des villes dans un pays que je ne connaissais pas (la France) ne m’intéressait pas. Ça me lassait et , inconsciemment, j’abandonnais ces matières.
En revanche pour la dictée, la grammaire et surtout le calcul j’avais de bonnes notes.
D’ailleurs cette année là, j’ai décidé que je voulais devenir professeur de mathématiques et comme je suis têtu, malgré les difficultés, j’ai conservé cette orientation au grand dam de Elise qui voulait que je choisisse la médecine. Médecine qui a souri à cinq de mes cousins germains : trois garçons dont deux frères et deux filles (s½urs).
A l’époque pour entrer au collège ou au lycée, il fallait passer un examen et seuls les élèves sélectionnés par l’instituteur du CM2 avaient la possibilité de passer cet examen. Les autres élèves passaient dans la classe préparant au certificat d’études primaires qui conduisait, dans la grande majorité des cas, à la fin des études.
Mais les titulaires du certificat d’études avaient une bonne maîtrise des calculs écrit et mental, et une bien meilleure connaissance de l’orthographe et de la grammaire françaises que beaucoup d’étudiants de l’enseignement supérieur actuels.
Aucun d’entre eux n’aurait dit, comme on l’entend souvent à la radio ou à la télévision, par des journalistes de renom ou par des élites politiques : il est t’hors jeu, les cent z’hommes, et j’en passe, il y en a trop.
J'ajoute que contrairement à ce qu'affirmait un journaliste dans une émission télévisée récente,il n'y a pas eu déscolarisation de la population locale (les écoles n'existaient pratiquement pas) et qu'en 130 ans la France a créé une multitude d'établissements scolaires de toutes sortes pour accueillir les enfants de toutes origines et de toutes religions. Je peux témoigner, puisque j'ai fréquenté une école de la Casbah d'Alger, que les enseignants n'ont jamais eu des traitements différents selon l'origine des enfants qui leur étaient confiés.. Nous étions tous traités de la même manière par non maîtres et maîtresses ; et entre nous, nous ne faisions aucune différence.
Le journaliste en question serait bien inspiré de recenser le nombre d'écoles existant en 1830 en comparer ce nombre à celui existant en 1962. Et pour bien faire les choses, ramener ce nombre à la population. Ce qui est vrai pour les écoles, l'est également pour le secondaire et pour les établissements d'enseignement de toutes natures.
Compte tenu de mes faiblesses en histoire et géographie, je n‘aimais vraiment pas ces matières ; monsieur Armonino a refusé ma sélection pour la présentation à l’examen d’entrée en sixième et j’ai dû redoubler.
Quand le directeur de l’école l’a appris, monsieur Armonino a reçu une belle engueulade mais le mal était fait.
L’année suivante j’ai été sélectionné, j’ai passé l’examen, j’ai réussi et je suis entré en sixième au collège moderne du boulevard Guillemin ; il était moderne parce qu’on n’y enseignait pas les langues mortes telles que le latin ou le grec ancien.
Le collège Guillemin est un bâtiment de trois étages construit sur un terrain en pente. L'entrée principale est sur la rampe Valée qui ceinture le jardin Marengo depuis le lycée Bugeaud jusqu’au haut de la rue Abderahman et qui se prolonge, après de multiples tournants nécessités par la pente de la colline, jusqu’à la prison civile de Barberousse .
Le collège Guillemin était un immeuble composé de deux ailes égales et perpendiculaires. Étant construit sur un terrain en pente, il comprenait du côté de son entrée principale, face au jardin Marengo, trois étages et à l’arrière, au sommet de l’angle formé par les deux ailes du bâtiment, quatre étages.
Au sous-sol (rez de chaussée à l’arrière du bâtiment), il y avait un atelier où, à l'origine on apprenait à travailler le bois. Je pense qu'à son époque, mon frère Henri en a encore profité. A ce niveau, une salle a été également transformée en salle de gymnastique.
Au rez de chaussée il y avait la cour et deux préaux , un sous chaque aile du bâtiment. L'aile gauche (en entrant par la cour) abritait, en plus du préau, la salle des professeurs et le bureau du principal. Ensuite arrivait le bureau du surveillant général, qu'on appelait le Surgé, monsieur Sylvani, très sympathique, et enfin le bureau des "collés". C'est sous le préau de gauche que s'alignaient les élèves de 6° 1 et 2, 5° 1 et 2, 4° 1 et 2.
De façon symétrique, l'aile droite comprenait une partie de bâtiment (je ne sais plus ce que cachaient ces murs), un préau sur la demi longueur de l'aile et tout au fond du préau les toilettes à la turque, individuelles mais dont l’intimité n’était assurée que par une porte qui commençait à quarante centimètres au dessus du sol et se terminait à environ un mètre soixante.
La partie murale de cette aile supportait les tableaux d'affichage ; c'est là qu'étaient affichés les félicitations, les encouragements, les tableaux d'honneur à la fin de chaque trimestre, les programmes des différentes rencontres sportives de l'OSSU, devenue ASSU et les résultats correspondants, les blâmes éventuels (mais là c'était très rare !). C'est dans ce préau que s'alignaient les seconde 1 et 2 et les premières 1 et 2 et quelques années plus tôt l'unique classe de math elem (mon cousin Henri Claude Dbjay a été élève de math elem au collège Guillemin).
Les préaux étaient peints en beige jusqu'à une hauteur d'environ 1.8 mètres ; au-dessus ils étaient blancs.
Dans le préau des "petits", à la récréation, on jouait à une espèce de pelote basque : le jeu se jouait à deux joueurs : on devait envoyer, chacun son tour, à main nue, une balle de tennis sur la partie blanche du mur, après un rebond de la balle. A défaut (2° rebond ou renvoi de la balle sur la partie beige du mur), on perdait le point. Les professeurs nous regardaient jouer.
Le soir, lorsqu'on restait à l'étude, on disposait d'une demi-heure de récréation entre le dernier cours et le travail en étude ; alors dans le préau des "grands" on faisait des matchs de football avec une petite balle. Parfois, compte-tenu de la nature des portes des toilettes, la balle y pénétrait et on n'hésitait pas à aller chercher où qu’elle fût !
A l'intersection des deux ailes s'ouvrait la cage d'escaliers. Comme pour le reste du bâtiment, la cage d'escaliers était symétrique ; elle se décomposait en deux escaliers semi circulaires. Comme nous étions en rangs par deux, ceux de droite montaient par l'escalier de droite et ceux de gauche par l'escalier de gauche, et ils se rejoignaient sur le palier de l'étage supérieur (même scénario en descendant). A l'arrivée du premier étage, monsieur Abdelli (surveillant professionnel) assurait le maintien de l'ordre (alignement, calme et silence) ; parfois il était aidé par un pion intérimaire au deuxième étage. Il se plaçait toujours devant la fenêtre au sommet de l’angle formé par les deux ailes de l’immeuble.
Le reste du bâtiment comprenait les classes de cours, à l'exception du début de l'aile droite du premier étage qui était organisé en amphithéâtre et qui était réservé aux cours de physique et de chimie. Cet amphithéâtre comprenait deux grands tableaux noirs coulissants ; l'un était en hauteur (jusqu'au plafond) lorsque l'autre était en bas à portée du professeur ou de l'élève interrogé, et inversement.
Dans cette salle il y avait également une paillasse carrelée de blanc, sur laquelle nous effectuions nos travaux pratiques de chimie.
Chaque professeur avait sa classe réservée, et les élèves devaient changer de classe à chaque inter-cours.
A partir de la cinquième et jusqu’en première, j’ai été désigné chef de classe au collège. Mon rôle principal était de faire signer le cahier de présence au professeur à la fin de chaque cours.

Serge Timsit
Les enfants d'Alger d'avant 62


 

De : François ESTEVEEnvoyer un mail

Le : 04/02/2021 17:13

Je recherche ou avoir des infos sur CLAUDE BRACCO ,cousin de André ESCOBEDO

 

De : Poveda jean François Envoyer un mail

Le : 04/02/2021 17:01

Bonjour
Je souhaite entrer en contact avec Henri Dahan . J'ai égaré ses coordonnées. Il a été en contact avec Robert Parc . Nous étions dans les mêmes classes.
Merci.

 

De : André ESCOBEDOEnvoyer un mail

Le : 04/02/2021 09:50

Bonjour.
Est ce que Chenennou Didine à qui je présente mes sincères condoléances était en classe de 6ème rue franklin en 1955. Merci pour la réponse.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 03/02/2021 15:23


515 MAGNIFIQUES VIDÉOS : Taper BABELOUED ou ALGER ou....
Je ne fais que proposer; c'est vous qui choisissez ! ! !
À VOIR ET À CONSERVER POUR LE PROCHAIN CONFINEMENT ......! SI ON N' A PAS EU LE TEMPS DE TOUT VOIR. .....

À CONSERVER dans l'onglet des favoris.

https://www.youtube.com/channel/UC6zQhfK0n2NY_9PCbHdTdYA/videos

 

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