Liste des messages
Le : 26/08/2010 08:46
Henriette,
t'as pas compris qu'il y avait la rubrique "perdu de vue". Il faut te l'écrire en pataouette !
t'as pas compris qu'il y avait la rubrique "perdu de vue". Il faut te l'écrire en pataouette !
Le : 26/08/2010 07:25
bonjour.qui peut me donner des nouvelles de claude ballester photographe en 1961 habiter au champ de manoeuvres.merci
Le : 26/08/2010 06:26
Bonjour
Le Professeur SAID
Il a été mon prof de mathématiques dans les années 1950,soit au Collège Technique du Ruisseau,
Il habitait le bas de la rue des Moulins,immeuble du Docteur CONIL pres de la pharmacie LEVEILLEY
Je ne peux pas en dire plus
Bonnes recherches
Le Professeur SAID
Il a été mon prof de mathématiques dans les années 1950,soit au Collège Technique du Ruisseau,
Il habitait le bas de la rue des Moulins,immeuble du Docteur CONIL pres de la pharmacie LEVEILLEY
Je ne peux pas en dire plus
Bonnes recherches
Le : 26/08/2010 00:11
A Christian Timoner,
merci d'avoir rétabli le fonctionnement du site, j'avais une recherche à faire, mais au regard des échanges, j'ai abandonné.
Alors je recherche une famille Saïd qui était mes voisins d'étage, à la rue des moulins, le père était professeur de mathématiques ou autre dans un établissement important, les fils étaient déjà en cours secondaires, et l'un deux me donner des cours, je crois que c'est Jean ou Pierre mais ?????
Le dernier et j'en suis sure s'appelait Maurice, un peu plus vieux que moi, c'est une famille qui m'a fait découvrir la première télé, ils étaient les seuls en avoir une, et Maurice ne manquait pas de m'appeler pour voir Rintintin ou Zorro, et autre série, David C qui m'échappe, et à chaque séquence émouvante nous pleurions devant cet écran.
Ce sont des mémoires d'enfance, sur un passé lointain, et je garde le souvenir d'une famille très unie, on suppose qu'une partie d'elle serait sur Annecy.
Alors je regretterai d'être passée à côté d'eux pendant toutes ces années, et surtout de n'avoir pu donner encore des nouvelles de ma mére
Merci à tous ceux qui peuvent m'apporter une info
merci d'avoir rétabli le fonctionnement du site, j'avais une recherche à faire, mais au regard des échanges, j'ai abandonné.
Alors je recherche une famille Saïd qui était mes voisins d'étage, à la rue des moulins, le père était professeur de mathématiques ou autre dans un établissement important, les fils étaient déjà en cours secondaires, et l'un deux me donner des cours, je crois que c'est Jean ou Pierre mais ?????
Le dernier et j'en suis sure s'appelait Maurice, un peu plus vieux que moi, c'est une famille qui m'a fait découvrir la première télé, ils étaient les seuls en avoir une, et Maurice ne manquait pas de m'appeler pour voir Rintintin ou Zorro, et autre série, David C qui m'échappe, et à chaque séquence émouvante nous pleurions devant cet écran.
Ce sont des mémoires d'enfance, sur un passé lointain, et je garde le souvenir d'une famille très unie, on suppose qu'une partie d'elle serait sur Annecy.
Alors je regretterai d'être passée à côté d'eux pendant toutes ces années, et surtout de n'avoir pu donner encore des nouvelles de ma mére
Merci à tous ceux qui peuvent m'apporter une info
Le : 25/08/2010 22:39
salut marie-jeanne je me suis regalee encore avec tes anecdotes a bientot bisous
Le : 25/08/2010 16:21
Bonjour ROBERT. Je suis encore en Espagne, j'ai l'occasion de faire un petit message sur l'ordi d'un Ami, j'ai lu un peu quelques messages sur le site de Christian, a qui je fais la bise, il fait trés beau ici, plage le matin et l'apres midi, nous sommes un groupe de bons vivants,et grace a Dieu cela va bien pour nous tous, j'espere que le soleil est present aussi chez toi en Suede, je fais également la bise a tous nos Ami(e)s de BAB-EL-OUED,et toute l'equipe dirigeante de notre association. A bientôt!!!!!
Le : 25/08/2010 14:43
Bonjour à tous,
j'espère que ces vacances se sont bien passées pour tous et pour ceux qui ne sont pas encore partis, qu'elles se passeront bien.
REMARQUE : à tous les nouveaux du site, sachez que le site est un site de retrouvailles et de convivialité. Les e-mail strictement personnels doivent passer par les adresses e-mail personnelles et non par le site car ils seront alors effacés. Amitiés à tous.
Le : 25/08/2010 08:06
Dans si bab el oued m'été conté : la pipe à papa !
Certains jours d’automne étaient monotones !
Un d’cé jour-là, là-haut d’en mon pigeonnier du 5ème étage, j’tourné en rond ne savant pas quoi fére des mes dix doigts, lorsque papa, complètement raplapla, installé tchala tchala dans son fauteuil « crapaud », me d'manda de lui apporter sa pipe. Une idée géniale vint chatouiller mon esprit inventif, et si j’me payé une bonne bosse de rire !
Doc’ment, doc’ment, dans la « kich’nette », j’ prends le poivrier et vinga que j’ commence à lui bourrer la pipe d’ poive, j’ la lui tends et lui, par d’ssus, complète l’ bourrage avec l’amsterdamer. En attendant la mise à feu, j’commencé à régoler tout en l’matant dans l’embrasure de la porte !
Au bout de deux/trois bouffées, oilà papa qui crachouillé d’la fumée, on oré dit le démarrage d’une locomotive, sa tête d’vené de plus z’en plus roge, comme le darrière d’un babouin !
Moi sentant qu’iallé avoir d’ l’eau dans l’gaz, ni une ni deux, j’ fé taillo dans les vatères et j’tire la targette. Mon esgourde collée à la porte, j’attendé l’extinction du feu et l’arrêt total d’la machine ! Papa à la voix poussive réclamé vein’ment, entre deux quintes de toux, un verre d’eau ! pove papa, même manman lui en voulé :
« Tias vu néné l’ tabac c’est pas bon pour ton ulcère ! tu tousse comme un poitrinaire ! Nom d’une pipe ! caboute que tié et caboute que tu restera !».
Une fois ses z’esprits retrouvés, le darrière d’babouin se transforma en « Poirot ». Hercule mena son enquête, bien sûr, il fallé un coupabe, eh ben, c’été bibi :
« Maria-Quana (c’été mové signe quant l’un de mes parents m’appelé comme ça !) viens par ici ! ».
Bon après interrogatoire (la torture se s’ra pour plus tard !), j’avé z’avoué puisqu’un proverbe à la noix disé :
- « fote avouée, fote à d’mi pardonnée », qué d’mi, j’avé la s’melle entière d’ la savate marquée au fer rouge sur ma cuisse (bourreau d’enfants !) et manman qui’en rajouté une couche :
- « ma pove fi, tias des bliblis dans la tête, la purée de nous z’otes, tu veux nous tuer à p’tit feu où quoi ? »
Moi dans mes fors intérieurs :
« Eh bin oilà ! tout s’uite les grands mots ! à p’tit feu et yalors plus ça mijote et meilleur c’est, si on peut plus régoler main’nant, tout fini bian, puisque papa n’a pas cassé ça pipe ! »
Certains jours d’automne étaient monotones !
Un d’cé jour-là, là-haut d’en mon pigeonnier du 5ème étage, j’tourné en rond ne savant pas quoi fére des mes dix doigts, lorsque papa, complètement raplapla, installé tchala tchala dans son fauteuil « crapaud », me d'manda de lui apporter sa pipe. Une idée géniale vint chatouiller mon esprit inventif, et si j’me payé une bonne bosse de rire !
Doc’ment, doc’ment, dans la « kich’nette », j’ prends le poivrier et vinga que j’ commence à lui bourrer la pipe d’ poive, j’ la lui tends et lui, par d’ssus, complète l’ bourrage avec l’amsterdamer. En attendant la mise à feu, j’commencé à régoler tout en l’matant dans l’embrasure de la porte !
Au bout de deux/trois bouffées, oilà papa qui crachouillé d’la fumée, on oré dit le démarrage d’une locomotive, sa tête d’vené de plus z’en plus roge, comme le darrière d’un babouin !
Moi sentant qu’iallé avoir d’ l’eau dans l’gaz, ni une ni deux, j’ fé taillo dans les vatères et j’tire la targette. Mon esgourde collée à la porte, j’attendé l’extinction du feu et l’arrêt total d’la machine ! Papa à la voix poussive réclamé vein’ment, entre deux quintes de toux, un verre d’eau ! pove papa, même manman lui en voulé :
« Tias vu néné l’ tabac c’est pas bon pour ton ulcère ! tu tousse comme un poitrinaire ! Nom d’une pipe ! caboute que tié et caboute que tu restera !».
Une fois ses z’esprits retrouvés, le darrière d’babouin se transforma en « Poirot ». Hercule mena son enquête, bien sûr, il fallé un coupabe, eh ben, c’été bibi :
« Maria-Quana (c’été mové signe quant l’un de mes parents m’appelé comme ça !) viens par ici ! ».
Bon après interrogatoire (la torture se s’ra pour plus tard !), j’avé z’avoué puisqu’un proverbe à la noix disé :
- « fote avouée, fote à d’mi pardonnée », qué d’mi, j’avé la s’melle entière d’ la savate marquée au fer rouge sur ma cuisse (bourreau d’enfants !) et manman qui’en rajouté une couche :
- « ma pove fi, tias des bliblis dans la tête, la purée de nous z’otes, tu veux nous tuer à p’tit feu où quoi ? »
Moi dans mes fors intérieurs :
« Eh bin oilà ! tout s’uite les grands mots ! à p’tit feu et yalors plus ça mijote et meilleur c’est, si on peut plus régoler main’nant, tout fini bian, puisque papa n’a pas cassé ça pipe ! »
Le : 24/08/2010 22:51
à mon amie rosette de la consolation il fait tres beau 30 degré la mer tres calme et deserte par les estivants cause du ramadhan.
à bientôt. saidi de bab el oued.
à bientôt. saidi de bab el oued.
Le : 24/08/2010 22:30
Et oui,Sauveur,les taches d'encre,quelle horreur!Avec nos plumes Sergent Major,nos buvards et nos cahiers,on était équipés pour la calligraphie,les pleins et les déliés.