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Le : 02/09/2010 19:30
' A crédit pas un radis
Au comptant, toujours content'
C'était la maxime de Daoud, notre épicier mozabite de l'avenue malakoff. Il était ingénieux Daoud. Pour caler sa jambe de bois sur la pédale de son vélo, il y avait fixé une boîte de conserve (vide...). Il enfilait le moignon de sa jambe de bois dans la boîte et hop... Plus rapide que Khébaïli. Enfin, plus rapide quand un de la bande n'avait pas usé les ficelles qui tenaient la boîte sur la pédale. Nous étions tous cachés dans le jardin, face à l'épicerie, cachés derrière ces énormes plantes à épines dont je ne sais pas le nom. Nous étions facétieux, cruels mais pas méchants. La jambe de bois de Daoud ripait sur la pédale. Daoud insultait tous les enfants du quartier mais il se calmait vite pour ne pas perdre de clients. Et puis pas con le Daoud, c'est bien vite qu'il remplaça la ficelle par du fil de fer... Il ne vendait pas de crayons, ni de cahiers Daoud. Ce n'est pas une histoire pour la rentrée des classes. Hors sujet aurait noté Monsieur Cohen. Alors, pas bonne échappe. A propos de Pas Bonne Echappe, le PBE pourait très bien remplacer le "lol" dont nous bassinnent nos petits enfants PBE...
Au comptant, toujours content'
C'était la maxime de Daoud, notre épicier mozabite de l'avenue malakoff. Il était ingénieux Daoud. Pour caler sa jambe de bois sur la pédale de son vélo, il y avait fixé une boîte de conserve (vide...). Il enfilait le moignon de sa jambe de bois dans la boîte et hop... Plus rapide que Khébaïli. Enfin, plus rapide quand un de la bande n'avait pas usé les ficelles qui tenaient la boîte sur la pédale. Nous étions tous cachés dans le jardin, face à l'épicerie, cachés derrière ces énormes plantes à épines dont je ne sais pas le nom. Nous étions facétieux, cruels mais pas méchants. La jambe de bois de Daoud ripait sur la pédale. Daoud insultait tous les enfants du quartier mais il se calmait vite pour ne pas perdre de clients. Et puis pas con le Daoud, c'est bien vite qu'il remplaça la ficelle par du fil de fer... Il ne vendait pas de crayons, ni de cahiers Daoud. Ce n'est pas une histoire pour la rentrée des classes. Hors sujet aurait noté Monsieur Cohen. Alors, pas bonne échappe. A propos de Pas Bonne Echappe, le PBE pourait très bien remplacer le "lol" dont nous bassinnent nos petits enfants PBE...
Le : 02/09/2010 19:25
Merci à vous tous venus au secours de ma mémoire ( librairies- papeteries) défaillante autour des jours d'anciennes rentrées ...
Le : 02/09/2010 18:23
antoine le magasin de mon pere se trouvait a cote de la cave des grands vins et effectivement il y avait bien un arret de bus mais le commerce ne faisait pas l'angle il etait en face du boulodrome et mon nom est caselles avec un s.
amities a tous.
marie-jeanne tu me laches reviens vite.
amities a tous.
marie-jeanne tu me laches reviens vite.
Le : 02/09/2010 15:43
Voilà la rentrée "est faite" !
Pour les anciens du Cours Complémentaire FRANKLIN :
- vous souvenez-vous de la "petite papeterie" (non péjoratif) qui se trouvait face à l'entrée des garçons ?
Je crois qu'on y achetait plus des sucreries que des fournitures, mais cea dépannait bien pour un cahier, un crayon ou autre, en cours d'année.
Puisque nous sommes dans cette rue et pour l'anecdote :
- vous souvenez vous de ce commerce "débit de vin", du meme coté que la papeterie et à l'angle de la rue Montaigne ?
Cette boutique en somme ordinaire avait une particularité : sur un de ses murs, celui face à l'entrée, se trouvait inscrite une "maxime" bien en rapport avec le lieu.
Sous ou au dessus de deux tonneaux, de vin bien sur, était écrit :
- SI TU ES PLEIN : JE TE VIDE !
- SI TU ES VIDE : JE TE PLAINS !
Pour les ancien footeux cela rappelle, un peu, la phrase de la buvette du bar du stade de Saint Eugéne.
SOUVENIR ! SOUVENIR ! QUAND TU NOUS TIENS !
Amitiés à Tous et......... bonne rentrée!
Freddy
Pour les anciens du Cours Complémentaire FRANKLIN :
- vous souvenez-vous de la "petite papeterie" (non péjoratif) qui se trouvait face à l'entrée des garçons ?
Je crois qu'on y achetait plus des sucreries que des fournitures, mais cea dépannait bien pour un cahier, un crayon ou autre, en cours d'année.
Puisque nous sommes dans cette rue et pour l'anecdote :
- vous souvenez vous de ce commerce "débit de vin", du meme coté que la papeterie et à l'angle de la rue Montaigne ?
Cette boutique en somme ordinaire avait une particularité : sur un de ses murs, celui face à l'entrée, se trouvait inscrite une "maxime" bien en rapport avec le lieu.
Sous ou au dessus de deux tonneaux, de vin bien sur, était écrit :
- SI TU ES PLEIN : JE TE VIDE !
- SI TU ES VIDE : JE TE PLAINS !
Pour les ancien footeux cela rappelle, un peu, la phrase de la buvette du bar du stade de Saint Eugéne.
SOUVENIR ! SOUVENIR ! QUAND TU NOUS TIENS !
Amitiés à Tous et......... bonne rentrée!
Freddy
Le : 02/09/2010 13:26
Juste pour signaler que cette papeterie de l'avenue des Consulats se nommait "LACAZE", nom qui a la même consonance que celui de M.Cazelles...
Y a-t-il un lien?
Y a-t-il un lien?
Le : 02/09/2010 10:48
A Antoine Billota.
Ce n'est plus un dépôt Hachette mais une librairie papeterie qui se trouve à l' angle de la rue Rosetti et la rue Montaigne.Au mois d'Avril dernier j'étais passée.Les propriétaires sont des anciens de Bab el oued.
Ce n'est plus un dépôt Hachette mais une librairie papeterie qui se trouve à l' angle de la rue Rosetti et la rue Montaigne.Au mois d'Avril dernier j'étais passée.Les propriétaires sont des anciens de Bab el oued.
Le : 02/09/2010 09:28
Puisque c'est la rentrée aujourd'hui et que certain-e-s d'entre vous l'avaient anticipée en évoquant nos papetiers de quartier (Bloget, Coco Riri? Riveil), il y en avait une, plutôt luxueuse qui fleurait bon le cuir; elle se trouvait au terminus de la ligne 3 des TA à l'angle de l'avenue des Consulats et celui de la rue Normandie vers la Typolitho.
Mais peut-être s'agit-il de celle dont parlait Claude Fenollar Borg quand il /elle citait M. Caselles?
Par ailleurs (et je ne l'ai connu que pendant mes années lycée) se trouvait en sous-sol,rue Rosetti me semble-t-il, un entrepôt de fournitures HACHETTE....
Mais peut-être s'agit-il de celle dont parlait Claude Fenollar Borg quand il /elle citait M. Caselles?
Par ailleurs (et je ne l'ai connu que pendant mes années lycée) se trouvait en sous-sol,rue Rosetti me semble-t-il, un entrepôt de fournitures HACHETTE....
Le : 02/09/2010 05:29
Bonjour Tous
Autrefois la ligne de chemin defer à voie etroite,longeait la côte pour aller vers Castiglione
A bab El Oued,en face des immeubles de RFVA,il y avait la gare
cette ligne passait en sous sol dans un tunnel du bas de Guillemin pour deboucher à l'Amirauté,logeant en sous sol le Kassour
Pendant la guerre,sous le tunnel s'exercaient,apprentis soldats ,les Chantiers de Jeunesse
Et sur l'esplanade de la gare de Bab El Oued,se tenait un camp de prisonniers italiens dont les menageres du quartier italien rendaient de menus services(lavagedu linge,ravaudage etc...)
Autrefois la ligne de chemin defer à voie etroite,longeait la côte pour aller vers Castiglione
A bab El Oued,en face des immeubles de RFVA,il y avait la gare
cette ligne passait en sous sol dans un tunnel du bas de Guillemin pour deboucher à l'Amirauté,logeant en sous sol le Kassour
Pendant la guerre,sous le tunnel s'exercaient,apprentis soldats ,les Chantiers de Jeunesse
Et sur l'esplanade de la gare de Bab El Oued,se tenait un camp de prisonniers italiens dont les menageres du quartier italien rendaient de menus services(lavagedu linge,ravaudage etc...)
Le : 02/09/2010 05:21
Bonjour
Les souvenirs que j'egrene sont si lointains
BLOGET se trouvait,pres du Bar Olympique en allant vers place de l'Alma
une autre papeterie se trouvait en face du départ de la lingne 1 des trams
RIVEIL se trouvait avenue de la Marne,apres le decochement du faisan d'or
A Cette epoque la Defense Passive nous avait indique de masquer les fenêtres,chose faite avec du papier bleu d'ecolier et des le coup de siffletde la DP,obligation d'eteindre toutes les lampes et severes rappels à l'ordre à ceux qui l'oubliaient
Si certains immeubles avaient des abris en sous sol pour s'abriter en cas de bombardement;A lentrée etaient indiqué en noir le nombre de personnes pouvant y acceder
D'autres comme les Messageries,à mon epoque ,n'en possedaient pas
Les locataires la cage d'escalier se réunissaient au rez de chaussée chez une voisine compatissante-Nous enfants dormions dans le giron de nos mamans,insensibles à ce qui se passait
Les mamans au plus fort du passage d'avion marmonnaient des prieres ouf de soulagement quand le siflet annoncait la fin de l'alerte
Ceux qui avaient de la famille hors d'Alger s'etaient refugiés dans cette famille pendant cette période -On les revit réapparaître dans le quartier à la fin de la guerre
Puis on a vu arriver les tanks americains,ils ont stationnés,rue des Lavandieres,pres du 4 de la rue de la Consolation-Les soldats,que nous appelions Johnny, distribuaient des chewing gum (produit inconnu)du pain de mie (du pain gâteai disions nous apres avoir mangé ,du pain tres bis) et des cigarettes (une tete de marin dans une bouée)
Les souvenirs que j'egrene sont si lointains
BLOGET se trouvait,pres du Bar Olympique en allant vers place de l'Alma
une autre papeterie se trouvait en face du départ de la lingne 1 des trams
RIVEIL se trouvait avenue de la Marne,apres le decochement du faisan d'or
A Cette epoque la Defense Passive nous avait indique de masquer les fenêtres,chose faite avec du papier bleu d'ecolier et des le coup de siffletde la DP,obligation d'eteindre toutes les lampes et severes rappels à l'ordre à ceux qui l'oubliaient
Si certains immeubles avaient des abris en sous sol pour s'abriter en cas de bombardement;A lentrée etaient indiqué en noir le nombre de personnes pouvant y acceder
D'autres comme les Messageries,à mon epoque ,n'en possedaient pas
Les locataires la cage d'escalier se réunissaient au rez de chaussée chez une voisine compatissante-Nous enfants dormions dans le giron de nos mamans,insensibles à ce qui se passait
Les mamans au plus fort du passage d'avion marmonnaient des prieres ouf de soulagement quand le siflet annoncait la fin de l'alerte
Ceux qui avaient de la famille hors d'Alger s'etaient refugiés dans cette famille pendant cette période -On les revit réapparaître dans le quartier à la fin de la guerre
Puis on a vu arriver les tanks americains,ils ont stationnés,rue des Lavandieres,pres du 4 de la rue de la Consolation-Les soldats,que nous appelions Johnny, distribuaient des chewing gum (produit inconnu)du pain de mie (du pain gâteai disions nous apres avoir mangé ,du pain tres bis) et des cigarettes (une tete de marin dans une bouée)
Le : 02/09/2010 00:36
A GAB. Si ma mémoire ne me fait pas défaut,la librairie-papeterie Riveil se trouvait Avenue de la Marne.J'ai encore en mémoire l'odeur particulière des fournitures scolaires qui s'y dégageait.Salut.