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Le : 06/08/2014 11:43
Jean Jean bonjour.
Que de souvenirs les colos.
Pour l.instant ,ma colo est a bab el oued. Cet apres ,midi je prendrais la navette reliant Alger a la Madrague ou je passerais d"agreables moments en famille/
Je sillone les rues d.Alger en pensant a vous tous et toutes qui aviez connu Alger et bien sur notre cher Bab el oued.
Je te souhaite une tres belle journee
Nacera
PS:Ne pas adresser de courriels; n;arrive pas a ouvrir ma messagerie.
Que de souvenirs les colos.
Pour l.instant ,ma colo est a bab el oued. Cet apres ,midi je prendrais la navette reliant Alger a la Madrague ou je passerais d"agreables moments en famille/
Je sillone les rues d.Alger en pensant a vous tous et toutes qui aviez connu Alger et bien sur notre cher Bab el oued.
Je te souhaite une tres belle journee
Nacera
PS:Ne pas adresser de courriels; n;arrive pas a ouvrir ma messagerie.
Le : 06/08/2014 09:27
pour mustapha oualikéne,
merci de ta réponse, j'attends ton mail sur ma boite privé,
super le bateau, je vais pouvoir y monter dans la semaine du 1 au 6 septembre, et prendre quelques photos sympa (si j'arrive à bien placé), et longer les plages de mon enfance et adolescence (padovani,deux chameaux, 2 moulins, les 2 sources, la vigie, bain romain et la madrague) super!!!
au plaisir
merci de ta réponse, j'attends ton mail sur ma boite privé,
super le bateau, je vais pouvoir y monter dans la semaine du 1 au 6 septembre, et prendre quelques photos sympa (si j'arrive à bien placé), et longer les plages de mon enfance et adolescence (padovani,deux chameaux, 2 moulins, les 2 sources, la vigie, bain romain et la madrague) super!!!
au plaisir
Le : 05/08/2014 14:45
A LA UNE ACTUALITÉ (Journal EL WATAN du 05 Août 2014)
Transport maritime de voyageurs
Inauguration d'une ligne-pilote dans la baie d'Alger
Une ligne-pilote de transport urbain maritime de voyageurs reliant le port d'Alger à celui d'El Djamila (Aïn Benian), à l'ouest de la capitale, pour laquelle un bateau de 344 places est affrété, a été officiellement inaugurée, hier, une première en Algérie. Cette ligne sera accessible au grand public dès aujourd’hui, avec un départ à 15h30 à partir de la Pêcherie (port d'Alger), a indiqué le ministre des Transports, Amar Ghoul, lors de son inauguration.
Le coût de la place à bord de ce bateau, le Capitan Morgan, affrété auprès d'un armateur italien par l'Entreprise nationale de transport maritime des voyageurs (ENTMV), est de 50 DA par personne. «Ce tarif, subventionné par l'Etat, est très acceptable quand on le compare aux dépenses et aux investissements engagés pour la réalisation de cette ligne-pilote», a estimé M. Ghoul. Le Capitan Morgan effectuera cinq navettes quotidiennes à raison de trente minutes par voyage, du 5 août au 7 septembre, correspondant à la durée de l'opération-pilote, selon un programme affiché dans les gares maritimes d'El Djamila et de la Pêcherie d'Alger.
Le premier départ de la Pêcherie d'Alger est programmé mardi à 8h et le dernier à 18h30, tandis qu'au port de pêche et de plaisance d'El Djamila, le Capitan Morgan réalisera son premier départ à 9h et le dernier à 19h30, selon ce programme de navettes. Pour autant, «ce programme est appelé à être modifié et la programmation dépendra des conditions météorologiques», indique-t-on. «Les enfants de moins de 16 ans non accompagnés ne peuvent voyager seuls. Ils devront être constamment sous la garde de leurs parents ou de toute autre personne qui en a la responsabilité», selon les «Règles générales de transport maritime de voyageurs», un document placardé dans les deux gares.
Pour son premier voyage dans la partie ouest de la baie d'Alger, le Capitan Morgan a quitté le port d'El Djamila à 10h50 avec à son bord une délégation conduite par M. Ghoul, accompagné du wali d'Alger Abdelkader Zoukh, des autorités locales et de plusieurs invités. Sous bonne escorte de la Protection civile, le bateau a longé les communes côtières de Aïn Benian, Hammamet, Raïs Hamidou, Bologhine et Bab El Oued avant de faire un large tour dans le port d'Alger pour accoster à la Pêcherie à midi, une heure et dix minutes après son départ du port d'El Djamila.
Les 344 sièges, qui constituent la capacité de transport du navire, sont répartis en deux niveaux dont une partie (une trentaine de sièges) se trouve sur le pont du navire. Les compartiments intérieurs, dotés d'une buvette, offrent cependant peu de visibilité aux voyageurs à travers les hublots. Cette ligne-pilote de transport urbain maritime de voyageurs sera par la suite élargie à toute la baie d'Alger, du port de Tamentfoust à celui d'El Djamila, avant son extension vers les wilayas limitrophes de Boumerdès et Tipasa et sa généralisation progressive à tout le littoral du pays, a annoncé M. Ghoul.
L'ENTMV, chargée de son exploitation, va acquérir «4 à 5 bateaux» pour les besoins du transport urbain dans la baie d'Alger, a encore indiqué le ministre, soulignant l'intérêt de cette ligne dans la lutte contre la congestion de la circulation automobile à Alger et la promotion du tourisme dans la baie algéroise, notamment à travers son futur pole d'attraction, la promenade des Sablettes.
APS
Le : 05/08/2014 14:42
Pour Barthélémy J'ai bien pris note de ton message je vais mettre ce soir un message sur ta boite privé.
Le : 05/08/2014 08:00
pour Mustapha oualikene
bonjour, je viens de remettre sur le site, et évidemment, je vois que je reste une des source d'information et de lecture. Merci de nous donner un peu de l'ambiance d'alger.
HA! je te renouvelle que je viens du 1septembre au 6 septembre à alger.
J'espère que j'arriverai à te rencontrer??? car c'est toi qui par tes quelques phrases sages, a déclenchée ma décision.
Musse,autre participant du site, m'a aussi éclairé..
donc au plaisir de rencontrer et d'un resto..
A PLUS
bonjour, je viens de remettre sur le site, et évidemment, je vois que je reste une des source d'information et de lecture. Merci de nous donner un peu de l'ambiance d'alger.
HA! je te renouvelle que je viens du 1septembre au 6 septembre à alger.
J'espère que j'arriverai à te rencontrer??? car c'est toi qui par tes quelques phrases sages, a déclenchée ma décision.
Musse,autre participant du site, m'a aussi éclairé..
donc au plaisir de rencontrer et d'un resto..
A PLUS
Le : 04/08/2014 19:31
Qui pourrait me donner des informations,des renseignements,sur les deux derniéres années de championnats de foot ball de CFA et de DH .Je serais trés heureux de rencontrer ou de correspondre avec des personnes ayant vécues ces moments là .Moi même étant présent lors d'un des derniers matchs de CFA au municipal entre le Gallia et SCBA ; je pense que c'etait en février 1962,et il pleuvait , ce qui a valu une belle anecdote....
En éspérant,et,en attendant des réponses,un grand merci
ROGER BOCCIA
En éspérant,et,en attendant des réponses,un grand merci
ROGER BOCCIA
Le : 03/08/2014 11:55
Nos colonies de vacances (1955/1960)
Quand arrive le début de chaque mois d’aout, avec ce temps estival et nos petites tenues légères, j’ai souvent, pour ne pas dire toujours en tête, ces images de colonies de vacances de notre jeunesse passées en France et qui duraient un mois, le mois d’aout en l’occurrence. Même si le temps ne nous arrange pas, il ne nous enlèvera pas nos meilleurs souvenirs et pour ma part, ces souvenirs-là sont à cette époque !
À ce moment de l’été, les vacances scolaires étaient déjà bien entamées et nos occupations journalières de juillet se limitaient à retrouver les copains et les copines du quartier pour des parties de foot, de billes, de noyaux (d’abricots qua même !), de courses et autres jeux – interdits ou non, va saouar ! – et, de temps en temps, les retrouvailles avec les copains de mon école prés du cimetière de St Eugène pour descendre sur la plage de l’Eden, celle qui était en face le cimetière ou l’autre à côté du stade Marcel Cerdan « les Bains de chevaux ». Rien qu’on jouait à faire les fanfarons et les « regarde-moi comme je sais nager et plonger ». Heureusement qu’on avait des bouées !
L’inscription à la colonie de vacances du mois d’aout était un rituel pour ma mère et moi. En début d’année, je pense, nous nous rendions en bus à la mairie d’Alger et après avoir patienté quelques instants dans le hall, l’inscription était faite.
C’était avec une certaine appréhension de ma part que le jour du départ vers la France arrivait. Le regroupement des enfants pour la colo se faisait souvent dans une cour d’école ou même dans les sous-sols de la mairie d’Alger d’où nous partions ensuite, chargés de notre paquetage, en bus vers le port. Qu’est-ce qu’on était beau avec nos sandalettes toutes neuves, nos cuissettes bien serrées et nos casquettes marquées de publicités « Cruch, Hamoud Boualem et autres » ou même un grand mouchoir noué aux quatre coins pour ceux qui n’avaient pas de casquettes (comme moi par exemple !) Au préalable nous avions fait connaissance par petits groupes de nos moniteurs ou monitrices respectifs.
La séparation familiale ne se passait pas toujours d’une façon agréable. Beaucoup de larmes contenues pour nos parents et de pleurs parmi nous les enfants. Après un embarquement sur le Kairouan ou le Ville d’Alger ou bien l’ Eldjézaïr qu’ece j’en sais moi mainant, on s’installait sur le pont arrière pour un au revoir aux parents en agitant nos casquettes ou nos mouchoirs. Moment émouvant pour ceux qui restaient sur le quai mais sur le pont les sentiments étaient mélangés. Certains resplendissaient de la joie à l’idée de se retrouver seuls sans les parents pendant un mois et d’autres comme moi affichaient plutôt un visage de tristesse et surtout de regret d’avoir été si enthousiaste à la préparation de ce voyage.
Quand arrive le début de chaque mois d’aout, avec ce temps estival et nos petites tenues légères, j’ai souvent, pour ne pas dire toujours en tête, ces images de colonies de vacances de notre jeunesse passées en France et qui duraient un mois, le mois d’aout en l’occurrence. Même si le temps ne nous arrange pas, il ne nous enlèvera pas nos meilleurs souvenirs et pour ma part, ces souvenirs-là sont à cette époque !
À ce moment de l’été, les vacances scolaires étaient déjà bien entamées et nos occupations journalières de juillet se limitaient à retrouver les copains et les copines du quartier pour des parties de foot, de billes, de noyaux (d’abricots qua même !), de courses et autres jeux – interdits ou non, va saouar ! – et, de temps en temps, les retrouvailles avec les copains de mon école prés du cimetière de St Eugène pour descendre sur la plage de l’Eden, celle qui était en face le cimetière ou l’autre à côté du stade Marcel Cerdan « les Bains de chevaux ». Rien qu’on jouait à faire les fanfarons et les « regarde-moi comme je sais nager et plonger ». Heureusement qu’on avait des bouées !
L’inscription à la colonie de vacances du mois d’aout était un rituel pour ma mère et moi. En début d’année, je pense, nous nous rendions en bus à la mairie d’Alger et après avoir patienté quelques instants dans le hall, l’inscription était faite.
C’était avec une certaine appréhension de ma part que le jour du départ vers la France arrivait. Le regroupement des enfants pour la colo se faisait souvent dans une cour d’école ou même dans les sous-sols de la mairie d’Alger d’où nous partions ensuite, chargés de notre paquetage, en bus vers le port. Qu’est-ce qu’on était beau avec nos sandalettes toutes neuves, nos cuissettes bien serrées et nos casquettes marquées de publicités « Cruch, Hamoud Boualem et autres » ou même un grand mouchoir noué aux quatre coins pour ceux qui n’avaient pas de casquettes (comme moi par exemple !) Au préalable nous avions fait connaissance par petits groupes de nos moniteurs ou monitrices respectifs.
La séparation familiale ne se passait pas toujours d’une façon agréable. Beaucoup de larmes contenues pour nos parents et de pleurs parmi nous les enfants. Après un embarquement sur le Kairouan ou le Ville d’Alger ou bien l’ Eldjézaïr qu’ece j’en sais moi mainant, on s’installait sur le pont arrière pour un au revoir aux parents en agitant nos casquettes ou nos mouchoirs. Moment émouvant pour ceux qui restaient sur le quai mais sur le pont les sentiments étaient mélangés. Certains resplendissaient de la joie à l’idée de se retrouver seuls sans les parents pendant un mois et d’autres comme moi affichaient plutôt un visage de tristesse et surtout de regret d’avoir été si enthousiaste à la préparation de ce voyage.
Le : 03/08/2014 11:54
Si la traversée de notre Méditerranée se passait dans le calme et sans mer trop agitée, nous étions autorisés à séjourner à l’air libre sur le pont du bateau. En contrepartie si la mer nous secouait, c’était la catastrophe ! Nous devions rester cloitrés dans la cale du navire avec maux de tête et de ventre sur des transats sachant que la traversée pour rejoindre Marseille ou Port Vendre durait en moyenne 22 heures. Dur métier que celui de vacanciers de colonies ! J’allais écrire « colons » mais est-ce le mot adéquat ?
Je me souviens de l’arrivée dans le port de Marseille. Elle se faisait souvent au petit matin avec la vue de Notre dame de la garde, l’entrée du port de Marseille nous faisait penser à notre chère ville d’Alger surplombée de notre chère Notre Dame d’Afrique. Au débarquement, nous étions pris en charge immédiatement afin d’avaler un petit déjeuner et, celui-ci terminé, sans perdre de temps, nous entamions le voyage en car ou en train vers notre destination « coloniale ».
Je dois avouer que ce mois d’aout passait relativement vite bien que nos parents nous manquaient cruellement surtout le soir. Faut dire que toute la sainte journée nous étions occupés en plein air avec des jeux et des travaux manuels réservaient aux garçons et pour cause, nous n’étions (malheureusement) que des gars dans ces colonies !
Chacun d’entre nous avait économisé pendant ce mois d’aout une petite somme d’argent pour acheter « le souvenir de France » qu’il fallait impérativement ramener aux parents. Ces achats se faisaient juste avant la fin de la colo et annonçaient le retour au pays dans les mêmes conditions que l’aller.
Pas besoin de vous décrire l’accueil de nos parents à la descente du bateau ! Un mois de séparation avait été l’enfer pour eux ! Ça ne les empêchait pas du tout, cinq minutes après nos embrassades, nos effusions de joie, de nous tarabuster en nous reprochant les « médailles »sur la belle chemisette toute neuve ou les superbes sandales toutes « escagacées » qui devaient nous faire 3 ans au moins !
Actuellement la tendance est au dénigrement de ces colonies de vacances. On dit qu’elles reviennent trop chères non seulement à la collectivité mais également aux parents. Avec ce besoin implicite de sécurité, de qualité de soins, de nourriture, d’encadrement, d’activités que nous souhaitons tous pour nos enfants, fait que nos colos d’antan sont mortes et enterrées.
J.J. Moréno aout 2014
Le : 02/08/2014 19:07
He oui, Nacéra, c’est toujours dramatique ces tremblements de terre ! J’ai appris qu’il y avait 6 morts et plus de 400 blessés entre la Kabylie et Alger ! J’ai lu que Bab el Oued a également été touché, de vielles bâtisses effondrées. Quelques photos sur El Watan.
Le : 01/08/2014 14:28
Bonjour.
Ce matin belle frayeur sur Alger,un tsunami à. St Eugène vers cinq heures.
Ce matin belle frayeur sur Alger,un tsunami à. St Eugène vers cinq heures.