Liste des messages
Le : 07/11/2014 17:55
PAR AMITIée SI QUELQU'UN CONNAIT MICHELE MARTINEZ DU 16 RUE JEAN-JAQUES ROUSSEAU J'AIMERAI AVOIR DE SES NOUVELLES SES GRANDS-PARENTS HABITAIENT DANS MON ALLée MR FARèS UN SALUT CHALEUREU TOUT CEUX DE BABELOUED
Le : 07/11/2014 10:24
Sincères condoléances à toute la famille Lazaro . Henri toi notre ami , repose désormais en paix dans ce grand paradis blanc , qui petit à petit voit arriver de belles Ames , des Ames Pieds Noirs . Pour vous tous , qui êtes là haut , aujourd'hui des veilleuses sont allumées . Ainsi soit il
Le : 06/11/2014 20:50
Bonsoir
Je me permet de mettre un message pour vous dire que les obsèques de notre ami Henri Lazaro , auront lieu demain vendredi 7 novembre à 10 h en l'église Notre Dame de Villepinte , route de Paris . Repose en paix mon ami .
Je me permet de mettre un message pour vous dire que les obsèques de notre ami Henri Lazaro , auront lieu demain vendredi 7 novembre à 10 h en l'église Notre Dame de Villepinte , route de Paris . Repose en paix mon ami .
Le : 06/11/2014 20:45
Demain a 10heures seront célébrées les obsèques de notre ami Henri LAZARO. Il reposera prés de son Papa a VILLEPINTE dans le 93 Adieu mon ti frère
Le : 06/11/2014 09:23
Bonjour Mr Oualikene.Merci pour votre message retraçant votre carrière et celle de votre famille , mais vous n'avez pas répondu à ma question concernant les deux derniéres saisons 1960/1961 et 1961/1962 de CFA etDH .Pouvez-vous me donner votre adresse mail,car je suis moi aussi un enfant de la basse Casbah.Au plaisir de vous lire ,et de pouvoir reprendre cette discussion.Amicalement.ROGER BOCCIA.
Le : 05/11/2014 10:56
Je suis à la recherche d'une personne qui était de Bab El Oued, elle
travaillait à l'époque à la mairie d'Alger aux services de la voirie,
nous avons fait connaissance professionnelle étant à la subdivision
de la Rampe vallée. Bien entendu, nous nous sommes perdus de vue à
l'indépendance du pays. Son de jeune fille était JORNET Yvette,
Si vous pouvez m'aider dans ma recherche, vous me voyez ravis
et vous remercie d'avance pour tous renseignements que vous
pourriez me donner.
Pied noir en Allemagne
travaillait à l'époque à la mairie d'Alger aux services de la voirie,
nous avons fait connaissance professionnelle étant à la subdivision
de la Rampe vallée. Bien entendu, nous nous sommes perdus de vue à
l'indépendance du pays. Son de jeune fille était JORNET Yvette,
Si vous pouvez m'aider dans ma recherche, vous me voyez ravis
et vous remercie d'avance pour tous renseignements que vous
pourriez me donner.
Pied noir en Allemagne
Le : 05/11/2014 10:03
j'ai retrouvè des photos d'école (maternelle normandie 1958 et CE1A place lelievre 1960)que vous ne possedez pas dans votre liste de photos je peut vous faire parvenir des photocopies si vous le souhaitez. merci.....ELIOU jean luc
Le : 31/10/2014 15:13
La rue Cardinal Verdier à l'honneur grâce à André Trives. En effet ma rue (objet de mon Blog)était une des deux rues (avec l'Avenue Malakoff) par lesquelles, nous enfants de B.E.O. étions obligés de passer pour notre dernier voyage...
Certains ne l'ont pas voulus...
Ayons tous une pensée pour ceux restés "Là-Bas"...et prions pour tous nos morts...
Demain cela feras 60 ans que notre malheur a commencé.
Certains ne l'ont pas voulus...
Ayons tous une pensée pour ceux restés "Là-Bas"...et prions pour tous nos morts...
Demain cela feras 60 ans que notre malheur a commencé.
Le : 31/10/2014 13:37
Un rappel en cette période du souvenir : n'oublions pas ceux qui sont nés et sont enterrés à jamais en terre d'Algérie.
La rue Cardinal Verdier
La rue Cardinal Verdier cheminait de la vie à la mort. Elle prenait naissance au marché de Bab el Oued et aboutissait au cimetière de St-Eugène. Les corbillards municipaux empruntaient régulièrement ce trajet.
Depuis des générations et chaque année jusqu'en 1961, les deux dernières semaines d'octobre, voyaient se dérouler un rituel immuable entre le marché et le cimetière ( créé en 1880 ). Une foule immense empruntait à pied et en famille ce trajet afin de rendre hommage à ses défunts. Durant deux semaines, les trottoirs regorgeaient de fleuristes occasionnels et la rue se colorait de magnifiques arcs-en ciel de chrysanthèmes. Jeunes et vieux, recueillis comme il se doit, remplissaient un devoir générationnel transmis par les us et coutumes hérités de leurs ancêtres : rénover l'encadrement des tombes en fer forgé, nettoyer la pierre des monuments, redorer les inscriptions gravées dans le marbre, désherber les alentours, fleurir sans compter vases et jardinières. Le travail était ardu, c'est pour cela qu'il était entrepris dès la mi-octobre. Pour rien au monde, les descendants de cette tradition séculaire auraient failli à la mission de relier le présent au passé. Durant cette période du souvenir, où la ferveur remettait en lumière au près des jeunes la mémoire de ceux qu'ils n'avaient pas connus, il ne serait venu à l'idée de personne d'avoir un souci autre que celui d'aller accomplir son devoir en allant se recueillir sur la tombe familiale. Les Juifs et les Chrétiens se rendaient au cimetière de St Eugène, tandis que les Musulmans grimpaient au cimetière d'El Khettar. Les choses avaient été bien pensées : il n'y avait aucune différence, tous avaient la vue sur la mer.
Il y a 53 ans, jour pour jour, en cette fin d'octobre 1961, le peuple de Bab el Oued ignorait qu'il rendait hommage à ses morts pour la dernière fois. Comment pouvait-il imaginer qu'un destin aussi injuste allait mettre fin à une tradition familiale et le contraindre à l'abandon d'un rite ancestral ? Aujourd'hui, le cimetière de St-Eugène est délabré sur plusieurs endroits, les tombes abandonnées, les parterres de fleurs absents de l'hommage qui était rendu aux défunts. Il existe toujours des visages pétrifiés dans la porcelaine sur les livres de marbre. Leurs regards souriants restent imperturbables dans le silence des allées désertes. Ils ont fini par prendre l'habitude depuis tout ce temps : personne ne viendra les visiter. Les herbes hautes, les monuments penchés, la rouille épaisse des fers forgés, témoignent que la tradition de la Toussaint ne reviendra plus. Seul le gazouillement éternel des moineaux dans les cyprès ravivent un semblant de gaieté comme un clin d'oeil à l'oubli. Tout les décors sont à leur place : les cris du stade sont toujours là, la mer bleue aussi est à deux pas, tout comme le ciel azur qui descend des collines de Sidi Bennour. Non, les décors n'ont pas changé.
Depuis 1962, dans le monde où l'on nous a obligés à vivre, y a-t-il un enfant de Bab el Oued qui ait trouvé dans la docte société métropolitaine, ou dans la savante littérature qui s'entasse dans la poussière des bibliothèques, un Directeur de Conscience ou un Maître à Penser ? Moi, jamais! Tous ceux qui ont construit les valeurs auxquelles je crois, les exemples auxquels je me réfère, demeurent toujours présents au cimetière de Saint-Eugène.
La rue Cardinal Verdier
La rue Cardinal Verdier cheminait de la vie à la mort. Elle prenait naissance au marché de Bab el Oued et aboutissait au cimetière de St-Eugène. Les corbillards municipaux empruntaient régulièrement ce trajet.
Depuis des générations et chaque année jusqu'en 1961, les deux dernières semaines d'octobre, voyaient se dérouler un rituel immuable entre le marché et le cimetière ( créé en 1880 ). Une foule immense empruntait à pied et en famille ce trajet afin de rendre hommage à ses défunts. Durant deux semaines, les trottoirs regorgeaient de fleuristes occasionnels et la rue se colorait de magnifiques arcs-en ciel de chrysanthèmes. Jeunes et vieux, recueillis comme il se doit, remplissaient un devoir générationnel transmis par les us et coutumes hérités de leurs ancêtres : rénover l'encadrement des tombes en fer forgé, nettoyer la pierre des monuments, redorer les inscriptions gravées dans le marbre, désherber les alentours, fleurir sans compter vases et jardinières. Le travail était ardu, c'est pour cela qu'il était entrepris dès la mi-octobre. Pour rien au monde, les descendants de cette tradition séculaire auraient failli à la mission de relier le présent au passé. Durant cette période du souvenir, où la ferveur remettait en lumière au près des jeunes la mémoire de ceux qu'ils n'avaient pas connus, il ne serait venu à l'idée de personne d'avoir un souci autre que celui d'aller accomplir son devoir en allant se recueillir sur la tombe familiale. Les Juifs et les Chrétiens se rendaient au cimetière de St Eugène, tandis que les Musulmans grimpaient au cimetière d'El Khettar. Les choses avaient été bien pensées : il n'y avait aucune différence, tous avaient la vue sur la mer.
Il y a 53 ans, jour pour jour, en cette fin d'octobre 1961, le peuple de Bab el Oued ignorait qu'il rendait hommage à ses morts pour la dernière fois. Comment pouvait-il imaginer qu'un destin aussi injuste allait mettre fin à une tradition familiale et le contraindre à l'abandon d'un rite ancestral ? Aujourd'hui, le cimetière de St-Eugène est délabré sur plusieurs endroits, les tombes abandonnées, les parterres de fleurs absents de l'hommage qui était rendu aux défunts. Il existe toujours des visages pétrifiés dans la porcelaine sur les livres de marbre. Leurs regards souriants restent imperturbables dans le silence des allées désertes. Ils ont fini par prendre l'habitude depuis tout ce temps : personne ne viendra les visiter. Les herbes hautes, les monuments penchés, la rouille épaisse des fers forgés, témoignent que la tradition de la Toussaint ne reviendra plus. Seul le gazouillement éternel des moineaux dans les cyprès ravivent un semblant de gaieté comme un clin d'oeil à l'oubli. Tout les décors sont à leur place : les cris du stade sont toujours là, la mer bleue aussi est à deux pas, tout comme le ciel azur qui descend des collines de Sidi Bennour. Non, les décors n'ont pas changé.
Depuis 1962, dans le monde où l'on nous a obligés à vivre, y a-t-il un enfant de Bab el Oued qui ait trouvé dans la docte société métropolitaine, ou dans la savante littérature qui s'entasse dans la poussière des bibliothèques, un Directeur de Conscience ou un Maître à Penser ? Moi, jamais! Tous ceux qui ont construit les valeurs auxquelles je crois, les exemples auxquels je me réfère, demeurent toujours présents au cimetière de Saint-Eugène.
Le : 31/10/2014 11:17
A l'attention des anciens et des autres, j'ai commis un petit blog ou vous pouvez retrouver nos jeux d'enfants : Tchappes,Carrioles, Déraillés, Noyaux et autres... "cetaitlabaslalgerie.eklablog.fr"
Amitiés.
Alain
Amitiés.
Alain