Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

martinez manuel toi qui t’interroge pour y aller ou ne pas y aller, a alger!!! sache que je suis parti à 19ans et que donc peut etre je connaissais très bien pour l'avoir écumé au cours de ma jeunesse, et mon adolescence.. Grâce à Mustapha ouAlikéne qui a trouvé les mot justes, en me disant que cela faisait 52 ans que j'ai été partie, si l'envie y était c'était encore temps. et autre mousse (mustapha à paris) qui m'a aidé à enlevé les appréhensions, et les derniers freins. MAIS une des bonnes questions est : que vais je y faire??? Retrouver comme c'était avant, faire des comparaisons. pour moi ce n'était pas ma jeunesse, que j'allais chercher, ni faire des comparaisons... POUR MOI, c'était toutes ces rues que je connaissais, pourrais les retrouver seul, pourrais je remarcher sur mes pas (uniquement sans comparaison avec le passé). Routes chemins, quartier, qui trottaient dans ma tête,est ce que je reconnaitrais la ville cette période bénie de notre enfance et adolescence. J'ai fait le pas, une semaine début septembre, à l’hôtel à l'aletti, (hotel safir) pour moi séjour magique, rencontre qu'avec des gens bienveillants, attentionnés, au dela du commun (mustapha oualikéne et sa famille, et tant d'autres... ce qui importe??? est ce les gens ou les immeubles pour les immeubles le mauvais cotoie, le bon, mais je m'en foutais, je déambulait comme un enfant qui retrouve ses traces.. Petit détail, la vie nous marque tous, et marques les villes, pour nous si nous comparons nos photo entre 14 et 20ans et 60et 70, cela fait un drôle d'effet!!! je ne cherche à convaincre personne, loin s'en faut car personnellement jusqu’à début septembre, je ne voulais pas retourner, à l'époque pas questions meme de l'envisager... POUR MOI CELA A ETE MAGIQUE!!!

super une naissance,
bravo de le signaler, car autant je pense que nous arrivons à transmettre notre culture pieds noir, autant nous la ferons vivre,
non simplement en parlant de nos souvenir, et de ceux qui le temps passant nous quittent..
Mais surtout, en parlant de ce que nos enfants petits enfant deviennent,
car s'ils montrent souvent un regard intéressés, ils sont au contraire friand, mais discrètement de savoir d’où ils viennent, pourquoi etc..
si nombre d'entre nous en égrenant nos souvenirs d'enfance et d'adolescence, si nous parlions aussi de nos familles
non pour faire un étalage inutile, mais permettre aux nôtres de montrer que le passé heureux, nous empêchent pas de se projeter dans l'avenir, et que comme dans la vie courante, nous les associons, et les mettons en valeur..
Et comme les sites sociaux, regorgent, pourquoi pas celui ci, pour faire la liaison entre nos jeunes pieds noirs né en France..
C'est un des rares moyen de perpétuer notre culture, que nous avons déjà inculpé à nos enfants.
EVIDEMMENT, ce n'est qu'un point de vue,
à plus

bjr à tous, je recherche des personnes ayant habité au 24 rue jean jaurès à bab el oued jusqu'en 1962 et notamment la famille ERICHIELLO (je crois que ça s'écrit comme ça mais je n'en suis pas sur). merci de vos renseignements
michelle ayache

Mémoire des Hommes

Superbe site. un travail magnifique.

La possibilité d'y retrouver vos éventuels ancêtres morts pour la France.

Recherche possible jusqu'aux soldats de l'Empire.

Les hommes et les matériels sont répertori2s.

http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/article.php?laref=1

C'est avec une immense tristesse que nous apprenons le décès de Claude BOU

Viviane il faudra beaucoup de courage pour affronter cette dure épreuve, il est allé rejoindre les anges et il va retrouver tous ses amis qui eux aussi sont partis trop tôt.

Francette et toute sa famille t'adressent ses plus sincères condoléances.

Nous seront là pour accompagner Claude qui va rejoindre KIKI il l'attend là haut
et ils vont terriblement nous manquer.

Viviane il te faudra être forte on t'embrasse très fort

Marie Jo Francette et toute la famille

Bonjour
Avant qu'il ne soit trop tard, j'aimerais avoir des nouvelles de " TOINOU" et sa soeur " JEANNINE " FERRIGNO .Ils vivraient dans la région de NICE .Leur cousin Raphael PASTOR rencontré à DRAGUIGNAN voilà un certain temps déjà devait me communiquer leurs coordonnées .Mais Raphael est étrangement silencieux .
Les FERRIGNO à bab-el-oued ,habitaient au 70 de l'avenue de la Bouzaréha sur le palier du Dr. Pozo di borgo .
Si vous les connaissez actuellement,je vous serais reconnaissant de transmettre mon message ou me donner des informations . Merci

Bonjour
Je suis né et abandonné par ma mère à Colombéchar en 1955. Après de multiples recherches je l'ai retrouvé 35 ans après. Evidemment,nous n'avons pas grand chose à nous dire...
Par contre j'ai appris récemment qu'elle a eu une fille dans les années 1950-1953 et qu'elle l'a aussi abandonné. Elle prétend que sa fille serait née à Alger à l'hopital Mustapha, mais elle ment tellement sur sa vie !!!

Je jette malgré tout une bouteille à la mer pour savoir si sur ce magnifique site quelqu'un pourrait m'aider à retrouver GAROFALO (Mireille, Mathilde ou Colette) Ma mère dit aussi qu'elle aurait été adoptée par un juge de paix (?). Vrai ou faux j'ignore.

Je serais vraiment très heureux de retrouver cette soeur.

je suis tres heureuse d avoir pu partager ses souvenirs merci beaucoup

ah nostalgie quand tu nous tient merci et bonne journée

A Nacéra
Merci pour ton message que je partage et qui me touche .
Le voyage à bab-el-oued est-ce vraiment une chance ?Beaucoup d'amis y sont allés et sont revenus terriblement partagés même s'ils reconnaissent tous que la chaleur humaine était au rendez-vous .
Alors je m'interroge. Certes les pierres, les odeurs, les parfums seront toujours là, mais quand je fouine dans les sites montrant des photos actuelles des larmes amères m'envahissent .
La guerre d'algérie a commencé, je n'avais pas encore quatorze ans .Elle m'a volé ma jeunesse et ouvert des plaies qui ne cicatriseront jamais.
Quant aux enfants et petits enfants auxquels je ne manque jamais de parler de là-bas , chez moi, avec des détails , j'ai l'impression qu'ils me regardent comme un extra terrestre .
C'est pourquoi je me dis qu'il est des souvenirs difficiles à partager, et qu'il faut les garder dans son jardin secret si l'on tient à les emporter dans ses bagages pour le grand voyage.
Moi je tiens à garder l'image d'une ville d'un quartier, tels qu'ils étaient quand je les ai aimé parce que je n'ai emporté que terre à mes souliers .Je veux croire que je viens d'un pays qui n'existe plus .
Avec dans mes pensées Nacéra comme un parfum d'amitié . Manuel
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A Manuel

Faisons en sorte que notre histoire se perpétue .

Personnellement j'ai écrit mon histoire à mes enfants. La maison où je suis née, ma vie à Bab el oued et à El Biar, les personnes que j'ai côtoyées, les écoles , collège et lycée. Le prénom des élèves (Colette, Paule, Christine, Malika, Aziza...), les Noel et les Pâques fêtés à l'école des Lavandières.Les jeux de la rue, les activités à l'école. Les fêtes entre voisins . T'en souviens tu Georgeot?
A Pâques et Noêl ta mère et grand mère nous offraient des sujets en chocolat et pour ramadhan et l'Aîd ma tante et ma mère vous offraient de délicieux gâteaux.
Les personnages ont beaucoup marqué mon enfance. Choucha, Caporal, Titine et autres...
Les odeurs, les parfums, les couleurs, les coins et recoins de rues tout est écrit et pris en photos .
J'ai eu la chance de retourner à Alger et leur ai fait visiter les maisons où j'ai grandi ainsi que les écoles .
Aussi, ils peuvent se documenter sur le site à Christian où il y a beaucoup d'écrits et de photos.