Liste des messages
Le : 02/09/2016 01:09
Pour Cassar Hauth Anne Marie Bonsoir chère madame. Pour ce que vous m'aviez demander cela ne pose aucun problème pour moi, puisque quand je vais voir des amis au café qui se trouve sous la tribune Sud du stade de St. Eugène je passe deux fois par jours devant la cité de la Consolation. Dés que les travaux seront terminés je vous ferais les photos, le plaisir sera pour moi de vous rendre ce petit service d'autan plus que je le ferais aussi pour une autre amie qui avait habité au numéro 74 et avec qui je suis toujours en contact. C'est une personne charmant et généreuse que vous avez connue puisque elle était votre voisine.
D'ici là portez vous bien chère madame et prenez bien soin de vous. Amitié Mustapha
D'ici là portez vous bien chère madame et prenez bien soin de vous. Amitié Mustapha
Le : 02/09/2016 00:57
Une Rétrospective sur deux éminents médecins pieds noirs les Docteurs Gilles Barcelo et José Aboulkerque tous les algérois et plus spécialement les Babelouédiens ont connus et apprécié et dont leur presences nous manque beaucoup.
Pour Paste Gérard
Suite à votre massage concernant Le Docteur Gilles Barcelo que j'avais bien connu et dont je garde de très bons souvenirs, puisque il était notre médecin de famille. Il avait son cabinet de consultations au 11 Avenue de la Bouzaréa l'immeuble angle rue Koechlin et avenue de la Bouzaréa en haut des escalier du cinéma le Mon Ciné prés du vulgarisateur Bernard et entre le bar la grande Brasserie de Solivarés et la boulangerie Villagrossa juste en face de la rue Champlin et de la boulangerie Mullor. C'était un grand spécialiste des maladies respiratoires. Avec l'autre Docteur pied noir Dr. Aboulker que tous les algérois estimaient pour leur disponibilité et pour leur dévouement à la médecine. Le Docteur Gilles Barcelo avait exercer toujours à Bab El Oued jusqu'en 2002 et juste avant son décés en mai 2003
Au sujet du Dr José Aboulker,(patronyme Abou el Khère qui signifie Père du bien en arabe) il était issu d'une grande famille israélite algéroise dont on retrouve des traces à Alger depuis le xve siècle qui avait donné des rabbins comme celui d'Alger, Isaac Aboulker, décapité en 1815 sur ordre du Dey d'Alger ainsi que beaucoup de
médecins connus, comme le docteur Moïse Aboulker, l'un des premiers
juifs d'Algérie à faire ses études de médecine en France, ou encore le
professeur Pierre Aboulker qui avait opérer le Général De Gaulle Le professeur Pierre Aboulker (Né le 1er Novembre 1906 à Alger, mort le le 24 mai 1976 à Paris) lui même fils d'un grand chirurgien le Dr. Charles Aboulker medecin et chirurgien des pauvres. Une rue d'Alger, proche de leur domicile de la rue Bab-Azoun, portera le nom de Charles Aboulker après la Libération.
Le docteur José Aboulker, né 5 mars 1920 à Alger, était un médecin, homme politique et résistant français. Il était le fils d'Henri Aboulker, chirurgien des hôpitaux et professeur à la Faculté de médecine d'Alger, président du
Parti radical socialiste local et ancien député maire d'Alger. La mère
de José était Berthe Sultana Benichou- Aboulker, femme de lettres,
auteure, notamment de La Kahéna. Reine berbère, une pièce de théâtre en
trois actes et sept tableaux en vers, publiée en 1933 aux éditions P.&G.
Soubiron à Alger. En avril 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, José
Aboulker, étudiant en médecine, était mobilisé comme élève-officier de
réserve. Il sera démobilisé en février 1941. Dans la nuit précédant le
Débarquement allié du 8 novembre 1942, en Afrique du Nord, José Aboulker,
aidé de son adjoint Bernard Karsenty, déclencha, avec le concours de Guy
Calvet et du commissaire Achiary l'occupation d'Alger par 400
résistants, ce qui neutralisa les forces vichystes et facilita l’entrée
des Américains dans la ville d'Alger. En octobre 1943, il fut envoyé
clandestinement en France occupée comme délégué à l'organisation du
service de santé des maquis et des Forces françaises de l’intérieur
(FFI). Après un passage par Londres en juin 1944, il retourne à Alger où
il soutint sa thèse de médecine. José Aboulker fut délégué de la
Résistance d'Algérie à l’Assemblée consultative provisoire de Paris en
1944-1945 et déposa une proposition de modification de la loi électorale
en Algérie, afin de permettre l’élection de députés musulmans indigènes.
Il dénonça également les massacres de Sétif de mai 1945 qui en Algérie
avaient suivi la fête de la victoire des alliés contre le nazisme. Après
la guerre, José Aboulker adhéra au Parti communiste et reprit en 1946
ses études de médecine. Il passa successivement les concours d’interne
des Hôpitaux de Paris, puis d’assistant et termina sa carrière comme
professeur de neurochirurgie et chef de service des Hôpitaux de Paris.
José Aboulker est mort le 17 novembre 2009 à Manosque, en France.
En 2012 a été publié, à titre posthume, son ouvrage La victoire du 8 novembre 1942. La Résistance et le débarquement des Alliés à Alger,
Pour Paste Gérard
Suite à votre massage concernant Le Docteur Gilles Barcelo que j'avais bien connu et dont je garde de très bons souvenirs, puisque il était notre médecin de famille. Il avait son cabinet de consultations au 11 Avenue de la Bouzaréa l'immeuble angle rue Koechlin et avenue de la Bouzaréa en haut des escalier du cinéma le Mon Ciné prés du vulgarisateur Bernard et entre le bar la grande Brasserie de Solivarés et la boulangerie Villagrossa juste en face de la rue Champlin et de la boulangerie Mullor. C'était un grand spécialiste des maladies respiratoires. Avec l'autre Docteur pied noir Dr. Aboulker que tous les algérois estimaient pour leur disponibilité et pour leur dévouement à la médecine. Le Docteur Gilles Barcelo avait exercer toujours à Bab El Oued jusqu'en 2002 et juste avant son décés en mai 2003
Au sujet du Dr José Aboulker,(patronyme Abou el Khère qui signifie Père du bien en arabe) il était issu d'une grande famille israélite algéroise dont on retrouve des traces à Alger depuis le xve siècle qui avait donné des rabbins comme celui d'Alger, Isaac Aboulker, décapité en 1815 sur ordre du Dey d'Alger ainsi que beaucoup de
médecins connus, comme le docteur Moïse Aboulker, l'un des premiers
juifs d'Algérie à faire ses études de médecine en France, ou encore le
professeur Pierre Aboulker qui avait opérer le Général De Gaulle Le professeur Pierre Aboulker (Né le 1er Novembre 1906 à Alger, mort le le 24 mai 1976 à Paris) lui même fils d'un grand chirurgien le Dr. Charles Aboulker medecin et chirurgien des pauvres. Une rue d'Alger, proche de leur domicile de la rue Bab-Azoun, portera le nom de Charles Aboulker après la Libération.
Le docteur José Aboulker, né 5 mars 1920 à Alger, était un médecin, homme politique et résistant français. Il était le fils d'Henri Aboulker, chirurgien des hôpitaux et professeur à la Faculté de médecine d'Alger, président du
Parti radical socialiste local et ancien député maire d'Alger. La mère
de José était Berthe Sultana Benichou- Aboulker, femme de lettres,
auteure, notamment de La Kahéna. Reine berbère, une pièce de théâtre en
trois actes et sept tableaux en vers, publiée en 1933 aux éditions P.&G.
Soubiron à Alger. En avril 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, José
Aboulker, étudiant en médecine, était mobilisé comme élève-officier de
réserve. Il sera démobilisé en février 1941. Dans la nuit précédant le
Débarquement allié du 8 novembre 1942, en Afrique du Nord, José Aboulker,
aidé de son adjoint Bernard Karsenty, déclencha, avec le concours de Guy
Calvet et du commissaire Achiary l'occupation d'Alger par 400
résistants, ce qui neutralisa les forces vichystes et facilita l’entrée
des Américains dans la ville d'Alger. En octobre 1943, il fut envoyé
clandestinement en France occupée comme délégué à l'organisation du
service de santé des maquis et des Forces françaises de l’intérieur
(FFI). Après un passage par Londres en juin 1944, il retourne à Alger où
il soutint sa thèse de médecine. José Aboulker fut délégué de la
Résistance d'Algérie à l’Assemblée consultative provisoire de Paris en
1944-1945 et déposa une proposition de modification de la loi électorale
en Algérie, afin de permettre l’élection de députés musulmans indigènes.
Il dénonça également les massacres de Sétif de mai 1945 qui en Algérie
avaient suivi la fête de la victoire des alliés contre le nazisme. Après
la guerre, José Aboulker adhéra au Parti communiste et reprit en 1946
ses études de médecine. Il passa successivement les concours d’interne
des Hôpitaux de Paris, puis d’assistant et termina sa carrière comme
professeur de neurochirurgie et chef de service des Hôpitaux de Paris.
José Aboulker est mort le 17 novembre 2009 à Manosque, en France.
En 2012 a été publié, à titre posthume, son ouvrage La victoire du 8 novembre 1942. La Résistance et le débarquement des Alliés à Alger,
Le : 01/09/2016 20:30
Je réponds à Jean Jean Moréno :
Les vacances duraient 3 mois. On reprenait début octobre.
Et je me souviens quand on venait en France, les petits patos allaient à l'école jusqu'au 14 juillet.
Je me souviens aussi de la collection de buvards.
Nostalgie quand tu nous tiens.
Les vacances duraient 3 mois. On reprenait début octobre.
Et je me souviens quand on venait en France, les petits patos allaient à l'école jusqu'au 14 juillet.
Je me souviens aussi de la collection de buvards.
Nostalgie quand tu nous tiens.
Le : 01/09/2016 20:09
Merci Jean Jean pour cette ballade à travers le temps.
NOSTALGIE = Bonheur à l'imparfait.
Au fait! avais tu comme nous à Sigwalt un tablier noir au liseré
rouge? Et ne pas oublier le capuchon couleur mastic.
Une enfance inachevée ne cicatrise jamais.
Bonjour à toute la famille.
Merzak.
Le : 01/09/2016 19:17
À l’occasion de la rentrée scolaire de nos chers petits enfants
Mes rentrées d’école (primaire)
La fin de l’été approchait, les longues vacances scolaires se terminaient également. Depuis quelques jours, ma mère avait reçu comme chaque année le courrier de la mairie d’Alger lui indiquant que la distribution d’affaires scolaires aux enfants nécessiteux était ouverte. Il fallait se rendre dans les sous sols de la mosquée de la place du Gouvernement, des escaliers à descendre entre la place et la mosquée, afin de pouvoir retirer le contenu d’un cartable environ. Je ne me souviens plus si le cartable (en carton mâché) en faisait parti mais en tout cas, pour mes frères, ma s 1/2 ur et moi, tout ce beau matériel ne venait pas de chez COCO RIRI ni d’autre part même, trop cher pour nous sauf peut être les protège cahiers, le papier à recouvrir les livres qu’on achetait et les buvards remplis de publicités qui nous étaient gracieusement offerts.
Faut dire que c’était avec une certaine joie et fierté que j’empruntais le chemin de l’école de la rue Larrey qui était nommée école Cécaldi, au dessus du cimetière de St Eugène, muni de mon cartable pour le premier jour de la rentrée. Je savais qu’une nouvelle classe et un nouveau maitre ou maitresse allaient m’accueillir pour cette nouvelle année scolaire. Je retrouvais dans la cour de notre école les copains de l’année dernière, ceux qui habitaient le chemin de Notre Dame d’Afrique, la cité Picardie et certains de la Consolation, sauf les plus bourricots qui étaient redoublants. Ils étaient peu nombreux en général car dans l’ensemble nous étions assez studieux sinon, gare aux oreilles ! Les parents nous attendaient au tournant comme on disait, ce n’était pas comme maintenant, toujours la faute des enseignants, rarement celle des parents et encore moins celle des élèves.
À cette époque j’étais un garçon assez discret et dès l’entrée en classe je tâchais de m’installer au milieu de celle-ci. Pas trop devant pour ne pas être remarqué et interrogé souvent par le maitre ni trop derrière pour ne pas donner l’impression de vouloir glander. Dans les classes du 1er étage de notre école, certains rêveurs préféraient la proximité d’une des trois fenêtres. Elles donnaient non seulement sur la cour de récré et sur la cime des cyprès du cimetière mais également en contre bas sur le bleu de notre Méditerranée entre le stade Marcel Cerdan et celui de St Eugène, juste de quoi prolonger les vacances en rêvant !
La première journée passée, les devoirs à faire à la maison notés sur le cahier, le chemin du retour emprunté et voila, une autre année scolaire recommençait. On avait déjà presque oublié qu’on avait passé 2 mois et demi ou 3 mois à ne rien faire qu’à jouer !
Au fait ! Avez-vous une idée exacte de la durée de nos vacances scolaires en primaire avant 1962 ? Je sais que l’agriculture en général avait besoin de main d’ 1/2 uvre en septembre à cette époque et que l’administration scolaire cédait facilement à cette demande.
Bonne rentrée à tous nos bambins, nous on veut bien les conduire à l’école mais……basta !
Mes rentrées d’école (primaire)
La fin de l’été approchait, les longues vacances scolaires se terminaient également. Depuis quelques jours, ma mère avait reçu comme chaque année le courrier de la mairie d’Alger lui indiquant que la distribution d’affaires scolaires aux enfants nécessiteux était ouverte. Il fallait se rendre dans les sous sols de la mosquée de la place du Gouvernement, des escaliers à descendre entre la place et la mosquée, afin de pouvoir retirer le contenu d’un cartable environ. Je ne me souviens plus si le cartable (en carton mâché) en faisait parti mais en tout cas, pour mes frères, ma s 1/2 ur et moi, tout ce beau matériel ne venait pas de chez COCO RIRI ni d’autre part même, trop cher pour nous sauf peut être les protège cahiers, le papier à recouvrir les livres qu’on achetait et les buvards remplis de publicités qui nous étaient gracieusement offerts.
Faut dire que c’était avec une certaine joie et fierté que j’empruntais le chemin de l’école de la rue Larrey qui était nommée école Cécaldi, au dessus du cimetière de St Eugène, muni de mon cartable pour le premier jour de la rentrée. Je savais qu’une nouvelle classe et un nouveau maitre ou maitresse allaient m’accueillir pour cette nouvelle année scolaire. Je retrouvais dans la cour de notre école les copains de l’année dernière, ceux qui habitaient le chemin de Notre Dame d’Afrique, la cité Picardie et certains de la Consolation, sauf les plus bourricots qui étaient redoublants. Ils étaient peu nombreux en général car dans l’ensemble nous étions assez studieux sinon, gare aux oreilles ! Les parents nous attendaient au tournant comme on disait, ce n’était pas comme maintenant, toujours la faute des enseignants, rarement celle des parents et encore moins celle des élèves.
À cette époque j’étais un garçon assez discret et dès l’entrée en classe je tâchais de m’installer au milieu de celle-ci. Pas trop devant pour ne pas être remarqué et interrogé souvent par le maitre ni trop derrière pour ne pas donner l’impression de vouloir glander. Dans les classes du 1er étage de notre école, certains rêveurs préféraient la proximité d’une des trois fenêtres. Elles donnaient non seulement sur la cour de récré et sur la cime des cyprès du cimetière mais également en contre bas sur le bleu de notre Méditerranée entre le stade Marcel Cerdan et celui de St Eugène, juste de quoi prolonger les vacances en rêvant !
La première journée passée, les devoirs à faire à la maison notés sur le cahier, le chemin du retour emprunté et voila, une autre année scolaire recommençait. On avait déjà presque oublié qu’on avait passé 2 mois et demi ou 3 mois à ne rien faire qu’à jouer !
Au fait ! Avez-vous une idée exacte de la durée de nos vacances scolaires en primaire avant 1962 ? Je sais que l’agriculture en général avait besoin de main d’ 1/2 uvre en septembre à cette époque et que l’administration scolaire cédait facilement à cette demande.
Bonne rentrée à tous nos bambins, nous on veut bien les conduire à l’école mais……basta !
Le : 01/09/2016 17:53
A l'attention de M. Oualikene
Je viens de consulter les photos que vous avez pris durant cette année qui concerne la Consolation, l'immeuble en réfection du 74 Avenue Malakoff ou j'ai vécu 18 ans au 6ème étage. Auriez vous la gentillesse, lorsque les travaux seront fini, de l'insérer à nouveau dans le site si cela vous est possible. Je vous en remerciant par avance. Cordialement.
Je viens de consulter les photos que vous avez pris durant cette année qui concerne la Consolation, l'immeuble en réfection du 74 Avenue Malakoff ou j'ai vécu 18 ans au 6ème étage. Auriez vous la gentillesse, lorsque les travaux seront fini, de l'insérer à nouveau dans le site si cela vous est possible. Je vous en remerciant par avance. Cordialement.
Le : 01/09/2016 15:01
Je continue mon message qui a été envoyé trop vite...
Le docteur Barcelo serait décédé ? Avez vous plus d'informations?
Atteint aux 2 poumons il m'a remis sur pied, je ne l'oubli pas.
Le docteur Barcelo serait décédé ? Avez vous plus d'informations?
Atteint aux 2 poumons il m'a remis sur pied, je ne l'oubli pas.
Le : 01/09/2016 14:55
Bonjour,
J'ai lu dans la presse que le docteur Gilles Barcelo qui excercait bd Lotfi sera
J'ai lu dans la presse que le docteur Gilles Barcelo qui excercait bd Lotfi sera
Le : 31/08/2016 23:17
Bonjour à tout le monde,j'ai une amie qui est née à St Denis du Sig,elle est à la recherche d'un site qui indiquerait les noms actuels des rues de St Denis du Sig.
Quelqu'un serait-il en mesure de me donner des renseignements.
Je vous remercie par avance pour elle.
Une Algéroise fidèle au site.
Quelqu'un serait-il en mesure de me donner des renseignements.
Je vous remercie par avance pour elle.
Une Algéroise fidèle au site.
Le : 31/08/2016 18:53
Même si nous ne nous connaissons que par des liens virtuels mais quand même affectifs, je tiens à m’associer à tous ceux qui ont perdu un proche récemment afin de partager vos peines et douleurs envers vos chers disparus originaires de notre ancien quartier.