Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Pour Mme Marylise Soler .Bonsoir Madame .
Merci d'avoir eu la gentillesse de me répondre si rapidement .Hélas je ne puis en dire plus .je vais me renseigner au prés de ma mère si elle se souvient de l'année(1941).Comme je l'ai écrit si souvent , j'ai habité au 1Bd de Provence BtC jusqu'à septembre 1962.Amicalement , et au plaisir de vous lire. Roger Boccia

Parler de la mort nous aide à la vivre. Parler de la mort pour se sentir vivant. "
Poèmes sur la mort : pourquoi ce besoin d'en rédiger ?
La personne qui perd un être cher est confrontée à un chagrin et à une tristesse sans nom. Elle doit faire face à une épreuve difficile qu'elle doit surmonter en apprenant à vivre sans l'autre. Dans ces douloureuses circonstances demeure toutefois une lueur; celle du réconfort.
Le premier pas à faire afin de guérir la blessure qu'engendre un décès est de supporter l'absence mais le plus important est de trouver du réconfort, un soutien moral. Ce dernier peut venir d'un ami, d'un membre de la famille ou d'une simple connaissance. Dans tous les cas, il ne faut pas s'enfermer mais accepter les témoignages de soutien car les mots de réconfort peuvent être d'une grande aide.
Quand nous voyons une personne en souffrance parce qu'elle a perdu tel être qui lui était cher, nous aimerions pouvoir l'aider et diminuer sa peine. Or, trouver les mots justes n'est pas toujours faciles. Cet ensemble de poème sur la mort rédigés par de grands auteurs vous permettra de soutenir un proche dans ces moments difficiles, n’hésitez pas à les accompagner d’un bouquet de fleurs.

RE BONJOUR AMIS D ALGER LA PERSONNE QUE JE RECHERCHE MARLENE KASPI D ALGER MERCI AMICALEMENT PIEDS NOIRS ANTOINE

bonjours les amis d alger en 1962 j ai travailler a paris avec une amie algeroise que je recherche amicalement je suis oranais merci si une personne pôurai me donner de ses nouvelles amicalement pieds noirs

Bonsoir Mr Roger Boccia.Mon père avait bien un frère François(Paco), né vers 1903/1905, décédé en 1941. Mais je ne me souviens pas du nom de son épouse. Je vais demander à mon frère. Par contre je suis sure qu'aucune veuve de notre branche Soler n'a tenu un bar. Amitiés "babelouediennes". Marylise.

Tant pis je l'écris ,je voulais depuis un petit moment vous faire souvenir de la place du Tertre avec ses commerces, le Rialto ,Mme Nivard la maison de Mme Martinez(Maman de José du film la Famille Hernanez)le marchand de vins,le cordonnier(Matheux je crois)le mozabite et le bijoutier qui a remplacé Mitzi le laitier,on repart de l'autre côté,le marchand de céréale,l'épicerie, Galéa le cordonnier et LLoret le charcutier,mais je reviens sur l'épicerie RUIZ,figurez-vous que je viens de rencontrer Madame Ruiz: OUAILLE: 100 ans en aôut 2016,mais avec une mémoire phénoménale, se rappellant de tout.Je n'en reviens pas.Si il y a une personne qui voudrais lui téléphonner.Je suis à sa disposition en m'écrivant à mon adresse(E.Mel)Salutation Henri

A l'attention de Mme Marylise Soler
Bonjour Madame . Etes-vous de la famille de François Soler époux de Rosalie Garcia ? Ainsi que Madame veuve Soler qui était propriétaire du Bercy Bar rue Burdeau. Amicalement . ROGER BOCCIA

.à Marie-Hélène Wentzy.Ce nom m'a interpelée. Mais il ne me rappelle pas la personne qui le portait. J'habitais 9 bis avenue Durando et la s 1/2 ur de mon père: Marie Soler épouse Vincent Garcia 5 bd de Provence: la plupart de mes camarades étaient du 1,3 et5 bd de Provence ou 4,6et 8 rue de la Consolation. J'ai fait 2 années scolaires à l'école des s 1/2 urs :1946-1947 puis 1947-1948 et ma communion le 13 Aout 1948 à Saint-Joseph.Si tu te rappelle de moi contacte moi.D'avance merci. Marylise ,
. .

Merci Jogui, la mémoire me fait défaut...

A Mr Oualiquen.Bonjour Mr Mustapha: je me permets de vous contacter: à la suite d'un mail ou je citais le 9 bis av. Durando, vous m'avez répondu vouloir regarder dans vos albums. D'avance merci si vous pouvez m.e faire parvenir une photo de ce petit pavillon ou ma mère (mon père est mort à Orléansville en 1942), mon frère et moi avons habité depuis début 1947 jusque début 1962.Je vous précise qu'il s'agit d'une dépendance de la Villa Jaubert" et non de la villa elle même. Amitiés "babelouediennes". Marylise