Liste des messages
Le : 06/02/2008 17:38
je suis à la recherche de Roger, sa famille avait le cinéma mignon à notre dame d'afrique
Le : 06/02/2008 16:30
A Rachid FAID
Rachid,n'es tu pas celui qui a travaillé à la SONATRO/Réghaia avec tous les gus ,GARIDI
BEDJA,LAHLOU, CHIKHI et cie?
Le : 06/02/2008 12:57
Bonjour
Concernant le plan d'Alger des années 60 il existe sur le site de mon beau-frère
http://www.pieds-noirs.org/
A la rubrique géographie vous trouverez un plan d'Alger, un d'Oran et un de .......Birmandreis. Il suffit de cliquer sur le carré qui vous interesse dans le plan.
En page d'accueil du site l'angle du 38 rue Montaigne et de la rue Général Verneau où j'habitais.Amitiés
Concernant le plan d'Alger des années 60 il existe sur le site de mon beau-frère
http://www.pieds-noirs.org/
A la rubrique géographie vous trouverez un plan d'Alger, un d'Oran et un de .......Birmandreis. Il suffit de cliquer sur le carré qui vous interesse dans le plan.
En page d'accueil du site l'angle du 38 rue Montaigne et de la rue Général Verneau où j'habitais.Amitiés
Le : 06/02/2008 12:32
pour Fasano
je me permets de donner un avis pour le plan de 1m2:
prendre une photo du plan avec un appareil numérique et le télécharger ensuite sur le micro
A+
je me permets de donner un avis pour le plan de 1m2:
prendre une photo du plan avec un appareil numérique et le télécharger ensuite sur le micro
A+
Le : 05/02/2008 20:48
A Billotta Antoine.J'ai voulu te repondre sur ton adresse, Impossible!!!!! alors je passe par le site de notre Ami Christian, pour te demander comment faire pour mettre sur ecran un plan qui fait pratiquement 1 m2, mes neurones sont en place mais je ne suis pas ingenieur en informatique, alors si tu as la solution, tu l'ecris sur le site, elle servira a tous et nous ferons des progres. Bien gentiment de ta part et amitié PN
Le : 05/02/2008 13:07
A Jean Francois Poveda
Bonjour,
Merci pour le site répertoirepn.net, c'est un puits d'info que je vais exploiter thèmes par thèmes ainsi que mon mari qui est d'Oran.
Bonjour,
Merci pour le site répertoirepn.net, c'est un puits d'info que je vais exploiter thèmes par thèmes ainsi que mon mari qui est d'Oran.
Le : 05/02/2008 12:32
Bonjour
C'est pas facile de se connecter aux éditions Gandini. Faut chercher et être patient...le temps de dire 2.
04 97 09 80 06 voila leur téléphone , vous leur demandez qu'ils vous envoient leur catalogue (c'est gratuit) et vous avez tout le temps d'en prendre connaissance chez vous.
Et commandez ensuite.
J'ai essayé Jacques et avec la meilleur volonté, je tombais sur des pages inconnues.
Au fait, vous êtes inscrit sur repertoirepn.net ? Non, car il y en a qui recherche untel, anciens voisins...Vous savez que c'est GRATUIT ? Ceux qui s'inscrivent on le choix de se mettre sur liste rouge, pas de problème, un message leur parvient les prévenant. Il y a des retrouvailles. On est passé au cap des 1000 inscrits. C'est peu par rapport à ceux que nous sommes. Cela demande 5 mn l'inscription. Et si vous êtes emmerbétés Jacques vous aidera. C'est trop bête des fois on se cherche et on est pas loin....J'ai retrouvé un copain qui était avec moi en classe. Vous savez où il demeure ? en Suisse.
Quel outil merveilleux INTERNET!
Grand Merci aux concepteurs de ces sites qui nous permettent de nous retrouver.
C'est pas facile de se connecter aux éditions Gandini. Faut chercher et être patient...le temps de dire 2.
04 97 09 80 06 voila leur téléphone , vous leur demandez qu'ils vous envoient leur catalogue (c'est gratuit) et vous avez tout le temps d'en prendre connaissance chez vous.
Et commandez ensuite.
J'ai essayé Jacques et avec la meilleur volonté, je tombais sur des pages inconnues.
Au fait, vous êtes inscrit sur repertoirepn.net ? Non, car il y en a qui recherche untel, anciens voisins...Vous savez que c'est GRATUIT ? Ceux qui s'inscrivent on le choix de se mettre sur liste rouge, pas de problème, un message leur parvient les prévenant. Il y a des retrouvailles. On est passé au cap des 1000 inscrits. C'est peu par rapport à ceux que nous sommes. Cela demande 5 mn l'inscription. Et si vous êtes emmerbétés Jacques vous aidera. C'est trop bête des fois on se cherche et on est pas loin....J'ai retrouvé un copain qui était avec moi en classe. Vous savez où il demeure ? en Suisse.
Quel outil merveilleux INTERNET!
Grand Merci aux concepteurs de ces sites qui nous permettent de nous retrouver.
Le : 05/02/2008 12:27
Le petit arabe.
Depuis le début des vacances d’été mes parents louent une partie d’un cabanon à la Trappe. Ils y viennent le soir et chaque fin de semaine. Le reste du temps j’y suis seul sous l’autorité bienveillante de ma grand-mère.
Je vis en permanence au paradis. Toutes mes journées débordent de liberté. Elles se partagent entre la baignade, la pêche, les jeux dans les bosquets situés en haut de la zone occupée par les cabanons et limitée par le haut mur du « Club des Pins ». A vivre ainsi totalement en plein air et sous le soleil ma peau s’est noircie. Cet extrême bronzage a exacerbé les spécificités de mes origines espagnole et mahonnaise.
Ce samedi après-midi, après avoir respecté le sacro-saint temps de la digestion, ce sera baignades avec mes parents. Alors qu’eux se dirigent vers la plage, chargés du parasol, des serviettes et autres rabanes, moi je file vers cette zone de rochers plats qui affleurent la surface de l’eau. Là, dans les cavités comblées par la mer, il est facile de capturer à la main un cabot, une fine girelle multicolore ou une crevette translucide. Je dépose mes prises minuscules dans un petit seau de plage dont la rouille dévore les clowns qui le décorent.
C’est l’heure où les baigneurs arrivent. De mon terrain de chasse j’aperçois mes parents qui s’installent. Près d’eux une dame et une petite fille font de même. La dame parle avec maman. Mon père prépare ses palmes, son masque et son tuba. C’est le signal, la digestion s’achève. On peut aller à la « baille ». Il est temps de cesser ma pêche. Dans mon seau, trois cabots tournent en rond. Pour regagner l’endroit où sont mes parents, je croise la route de cette petite fille qui doit avoir mon âge. Elle jette un regard dans mon seau et s’exclame « Ho ! des goujons ! » . Elle a un drôle d’accent pointu. L’an dernier, toujours pendant les vacances, j’étais à Amélie-les-Bains, en métropole, avec mes grands-parents qui y faisaient une cure. Leurs amis de Paris avaient ce même accent. Je pose mon seau dans la sable et nous nous accroupissons pour observer mes prises. Je rectifie «C’est pas des goujons, c’est des cabots ! ». La petite fille n’a pas le temps de me répondre. Sa mère lui intime sèchement de revenir près d’elle. La gamine obéit et fait volte-face. Quand elle arrive à hauteur de sa maman celle-ci la saisit par le bras et lui déclare, elle aussi avec un accent pointu : « Je t’interdis de jouer avec ce petit arabe ! ». Elle l’a dit si fort que je l’ai entendu et mes parents aussi.
Je suis surpris par la réaction de cette adulte qui refuse à sa fille la possibilité de jouer avec un arabe. Moi, les arabes je m’amuse avec eux dans la rue, la cour de récréation ou à la placette Lelièvre. Je ne suis pas le seul et il n’y a pas d’interdiction. Confronté à cette attitude surprenante, je me sens coupable comme après avoir fait une bêtise mais laquelle ? Mon seau repose sur le sable. Pour me donner une contenance, je l’empoigne, cours vers la mer pour le vider et libérer mes trois poissons.
Mon père se lève. Très calmement, très distinctement, avec sa voix forte il m’appelle « Pierre-Emile, viens ici ! ». Immédiatement la dame s’enferme dans un silence embarrassé. Craint-elle que le fait m’avoir confondu avec un arabe ne nous irrite et déclenche une altercation ? Comme rien ne se passe, la surprise s’ajoute à sa confusion. Je rejoins mes parents que cette gêne amuse.
Il y a un moment de vide puis, mon père se dresse d’un bon. J’attendais cet instant. Je connais le jeu et son scénario rituel. Il me soulève, me prend sous son bras, pénètre dans l’eau en courant à grandes enjambées puis me jette dans les vagues. Je pousse le cri d’effroi réglementaire. C’est ensuite une grande bataille d’éclaboussures. Rapidement l’amusement gomme l’incident, mais cet épisode se colle dans un coin de ma mémoire.
Bien plus tard, dans mon esprit, cette scène illustrera, une des causes de notre douloureuse séparation d’avec ce pays. Ceux-la même qui, sans nous connaître totalement, nous reprochaient de maintenir des différences entre les communautés présentes en Algérie s’autorisaient à pratiquer de réelles discriminations.
PS : Je range les textes que je dépose sur ce site dans un blog :
http://www.sbeo.blogspot.com/
Depuis le début des vacances d’été mes parents louent une partie d’un cabanon à la Trappe. Ils y viennent le soir et chaque fin de semaine. Le reste du temps j’y suis seul sous l’autorité bienveillante de ma grand-mère.
Je vis en permanence au paradis. Toutes mes journées débordent de liberté. Elles se partagent entre la baignade, la pêche, les jeux dans les bosquets situés en haut de la zone occupée par les cabanons et limitée par le haut mur du « Club des Pins ». A vivre ainsi totalement en plein air et sous le soleil ma peau s’est noircie. Cet extrême bronzage a exacerbé les spécificités de mes origines espagnole et mahonnaise.
Ce samedi après-midi, après avoir respecté le sacro-saint temps de la digestion, ce sera baignades avec mes parents. Alors qu’eux se dirigent vers la plage, chargés du parasol, des serviettes et autres rabanes, moi je file vers cette zone de rochers plats qui affleurent la surface de l’eau. Là, dans les cavités comblées par la mer, il est facile de capturer à la main un cabot, une fine girelle multicolore ou une crevette translucide. Je dépose mes prises minuscules dans un petit seau de plage dont la rouille dévore les clowns qui le décorent.
C’est l’heure où les baigneurs arrivent. De mon terrain de chasse j’aperçois mes parents qui s’installent. Près d’eux une dame et une petite fille font de même. La dame parle avec maman. Mon père prépare ses palmes, son masque et son tuba. C’est le signal, la digestion s’achève. On peut aller à la « baille ». Il est temps de cesser ma pêche. Dans mon seau, trois cabots tournent en rond. Pour regagner l’endroit où sont mes parents, je croise la route de cette petite fille qui doit avoir mon âge. Elle jette un regard dans mon seau et s’exclame « Ho ! des goujons ! » . Elle a un drôle d’accent pointu. L’an dernier, toujours pendant les vacances, j’étais à Amélie-les-Bains, en métropole, avec mes grands-parents qui y faisaient une cure. Leurs amis de Paris avaient ce même accent. Je pose mon seau dans la sable et nous nous accroupissons pour observer mes prises. Je rectifie «C’est pas des goujons, c’est des cabots ! ». La petite fille n’a pas le temps de me répondre. Sa mère lui intime sèchement de revenir près d’elle. La gamine obéit et fait volte-face. Quand elle arrive à hauteur de sa maman celle-ci la saisit par le bras et lui déclare, elle aussi avec un accent pointu : « Je t’interdis de jouer avec ce petit arabe ! ». Elle l’a dit si fort que je l’ai entendu et mes parents aussi.
Je suis surpris par la réaction de cette adulte qui refuse à sa fille la possibilité de jouer avec un arabe. Moi, les arabes je m’amuse avec eux dans la rue, la cour de récréation ou à la placette Lelièvre. Je ne suis pas le seul et il n’y a pas d’interdiction. Confronté à cette attitude surprenante, je me sens coupable comme après avoir fait une bêtise mais laquelle ? Mon seau repose sur le sable. Pour me donner une contenance, je l’empoigne, cours vers la mer pour le vider et libérer mes trois poissons.
Mon père se lève. Très calmement, très distinctement, avec sa voix forte il m’appelle « Pierre-Emile, viens ici ! ». Immédiatement la dame s’enferme dans un silence embarrassé. Craint-elle que le fait m’avoir confondu avec un arabe ne nous irrite et déclenche une altercation ? Comme rien ne se passe, la surprise s’ajoute à sa confusion. Je rejoins mes parents que cette gêne amuse.
Il y a un moment de vide puis, mon père se dresse d’un bon. J’attendais cet instant. Je connais le jeu et son scénario rituel. Il me soulève, me prend sous son bras, pénètre dans l’eau en courant à grandes enjambées puis me jette dans les vagues. Je pousse le cri d’effroi réglementaire. C’est ensuite une grande bataille d’éclaboussures. Rapidement l’amusement gomme l’incident, mais cet épisode se colle dans un coin de ma mémoire.
Bien plus tard, dans mon esprit, cette scène illustrera, une des causes de notre douloureuse séparation d’avec ce pays. Ceux-la même qui, sans nous connaître totalement, nous reprochaient de maintenir des différences entre les communautés présentes en Algérie s’autorisaient à pratiquer de réelles discriminations.
PS : Je range les textes que je dépose sur ce site dans un blog :
http://www.sbeo.blogspot.com/
Le : 05/02/2008 10:48
Pour Gérard Darmon,
j'ai remarqué que ma recopie d'adresse avait foiré une fois que mon message a été envoyé : l'adresse était trop longue, sans doute. Mais bon, c'est pas grave : il suffit de se connecter ici : http://www.editions-gandini.com/, puis de cliquer sur le lien "Editions Gandini" (dans la rubrique "Au catalogue des Editions...") puis, dans la page suivante, sur le lien "Cartes et plans(13)".
Bon achat et grosse émotion garantis : je sais de quoi je parle...
j'ai remarqué que ma recopie d'adresse avait foiré une fois que mon message a été envoyé : l'adresse était trop longue, sans doute. Mais bon, c'est pas grave : il suffit de se connecter ici : http://www.editions-gandini.com/, puis de cliquer sur le lien "Editions Gandini" (dans la rubrique "Au catalogue des Editions...") puis, dans la page suivante, sur le lien "Cartes et plans(13)".
Bon achat et grosse émotion garantis : je sais de quoi je parle...
Le : 05/02/2008 09:59
J'aimerai retrouver un copain d'enfance qui habitait rue Léon Roches au 8 bis, et qui s'appelait René PEDRO.Il habitait avec ses parents la conciergerie.
Merci d'avance pour des informations.
Merci d'avance pour des informations.