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Le : 06/09/2008 09:48
CHERS AMIS BONSOIR
JE VIENS VOUS DONNER DES NOUVELLES DE RAYMOND.
IL EST SORTI DES SOINS INTENSIFS ET IL EST MAINTENANT DANS UNE CHAMBRE EN ATTENDANT D'ALLER EN MAISON DE REPOS, JE PENSE QUE CELA SE FERA LA SEMAINE PROCHAINE.
TOUS LES DEUX NOUS VOUS REMERCIONS DU FOND DU COEUR DE TOUTES LES MARQUES DE SYMPATHIE QUE VOUS NOUS AVEZ TEMOIGNEZ.
A BIENTOT
jOSIANE
JE VIENS VOUS DONNER DES NOUVELLES DE RAYMOND.
IL EST SORTI DES SOINS INTENSIFS ET IL EST MAINTENANT DANS UNE CHAMBRE EN ATTENDANT D'ALLER EN MAISON DE REPOS, JE PENSE QUE CELA SE FERA LA SEMAINE PROCHAINE.
TOUS LES DEUX NOUS VOUS REMERCIONS DU FOND DU COEUR DE TOUTES LES MARQUES DE SYMPATHIE QUE VOUS NOUS AVEZ TEMOIGNEZ.
A BIENTOT
jOSIANE
Le : 06/09/2008 02:59
Bien le bonjour á toi André Trives et merci pour tous tes formidables récits.
Je crois que c´était l´équipe de Judo de B E O á Paris.
je m´excuse de répondre á ta place, je veux juste montrer que je suis á jour encore étant donné qu´un de mes fils a fait beaucoup de judo.
Amitiés á tous les amis
Sellam de Suède
Je crois que c´était l´équipe de Judo de B E O á Paris.
je m´excuse de répondre á ta place, je veux juste montrer que je suis á jour encore étant donné qu´un de mes fils a fait beaucoup de judo.
Amitiés á tous les amis
Sellam de Suède
Le : 05/09/2008 22:32
bonsoir arlette,dans ton éntreé ,te rappel tu de est son grand pere avais un bar.pour info q'elle ville habite tu.j'us pour savoir.mes amitiée pierre.
Le : 05/09/2008 19:57
BAB EL OUED LA SPORTIVE
A Bab el Oued la pratique du sport occupait une place importante dans la vie tout naturellement. Il suffisait de voir le regard admiratif des enfants pour les tenues de sport aux couleurs distinctives des clubs et associations du quartier pour comprendre que la relève était assurée pour des siècles. Les aînés marquaient de leurs exploits chaque époque et servaient d'exemple à tous ces gamins en espadrilles qui courraient à perdre haleine derrière une balle en papier ficelé. La consécration suprême c'était de revêtir à son tour le maillot portant l'écusson distinctif de son club chéri et faire partie de l'équipe fanion qui disputait une rencontre sur le stade Marcel Cerdan ou sur le terrain des HBM de la rue Cardinal Verdier. Le quartier pouvait se venter de posséder la première piscine olympique à l'eau de mer construite sur les bains militaires d'El Khettani dont les plans-béton avaient été dessinés par un fils de BEO: Henri AIME. Si le foot était le sport le plus pratiqué avec notre vedette internationale Marcel SALVA, l'enfant du Beau Fraisier, force est de constater que BEO faisait montre d'un éclectisme remarquable: la jeunesse s'adonnait avec passion au basket, au hand ball, au volley ball, au cyclisme, au cyclo cross, à la gymnastique, à la natation, au sauvetage en mer, à l'athlétisme, au motocross, à la boxe avec notre champion d'Europe Albert YVEL, à l'halthérophilie, au culturisme, au judo, à la danse, aux jeux de boules, et les associations loi 1901 dont certaines avaient fêté leur cinquante ans d'existence avaient pour nom: le Sporting Club Algérois ( SCA dit"la spardégna"), le Sport Athlétique de BEO(SABO), l'Olympique de BEO (OBO), la Joyeuse Union Algéroise (JUA), le Foot Ball Club Rochambeau (FCR), le Racing Club de Nelson (RCN), l'Association Sportive des Habitations à Bon Marché (ASHBM), la Pro Patria, la Patriote, le club de gymnastique Ste Thérèse.
Tous les jeudis voyaient les confrontations sportives des écoles et collèges de BEO aux divers championnats de l'OSSU qui se déroulaient au stade Leclerc des Tagarins. Tôt le dimanche matin alors que Bab el Oued s'éveillait lentement, de partout des groupes de jeunes, sac de sport en bandoulière, prenaient d'assaut les vestiaires où une odeur d'huile camphrée remplissait copieusement les narines. Les salles situées en sous-sol, les terrains enclavés au sein des cités HLM, le stade Cerdan que la mer inondait à chaque tempête, le Foyer Civique, le stade de St Eugène ou le Stade municipale qui disposait d'un vélodrome, accueillaient une foule de passionnés où les cris résonnaient d'enthousiame et les applaudissements appuyés marquaient les joies de la victoire.Souvent par la fenêtre des cuisines qui surplombait le déroulement d'une partie, les mamans qui gardaient un oeil sur les marmites, ne manquaient pas de participer à la liesse collective. C'étaient de beaux moments d'allégresse ou de déception qui s'emparait de ce petit monde sensible aux valeurs que le sport essaie de transmettre: dépassement de soi, solidarité, courage, fidélité.
Faire revivre Bab el Oued la sportive, c'est remettre en mémoire des beaux moments de camaraderie et de fraternité, des périodes délicieuses de rencontre et d'amitié. Plusieurs générations à leur tour y ont cru et se sont évertuées à transmettre ces valeurs de respect et du goùt de l'effort que la discipline sportive peut apporter; elles ont écrit de belles pages d'avanture humaine et donné la passion du sport aux générations qui suivaient.
Si je vous pose cette question:" quelle a été le dernier club sportif en Algérie et dans quelle discipline, a avoir été champion de France avant notre départ en 1962?"
Vous connaîtrez la réponse dans un prochain message.
A Bab el Oued la pratique du sport occupait une place importante dans la vie tout naturellement. Il suffisait de voir le regard admiratif des enfants pour les tenues de sport aux couleurs distinctives des clubs et associations du quartier pour comprendre que la relève était assurée pour des siècles. Les aînés marquaient de leurs exploits chaque époque et servaient d'exemple à tous ces gamins en espadrilles qui courraient à perdre haleine derrière une balle en papier ficelé. La consécration suprême c'était de revêtir à son tour le maillot portant l'écusson distinctif de son club chéri et faire partie de l'équipe fanion qui disputait une rencontre sur le stade Marcel Cerdan ou sur le terrain des HBM de la rue Cardinal Verdier. Le quartier pouvait se venter de posséder la première piscine olympique à l'eau de mer construite sur les bains militaires d'El Khettani dont les plans-béton avaient été dessinés par un fils de BEO: Henri AIME. Si le foot était le sport le plus pratiqué avec notre vedette internationale Marcel SALVA, l'enfant du Beau Fraisier, force est de constater que BEO faisait montre d'un éclectisme remarquable: la jeunesse s'adonnait avec passion au basket, au hand ball, au volley ball, au cyclisme, au cyclo cross, à la gymnastique, à la natation, au sauvetage en mer, à l'athlétisme, au motocross, à la boxe avec notre champion d'Europe Albert YVEL, à l'halthérophilie, au culturisme, au judo, à la danse, aux jeux de boules, et les associations loi 1901 dont certaines avaient fêté leur cinquante ans d'existence avaient pour nom: le Sporting Club Algérois ( SCA dit"la spardégna"), le Sport Athlétique de BEO(SABO), l'Olympique de BEO (OBO), la Joyeuse Union Algéroise (JUA), le Foot Ball Club Rochambeau (FCR), le Racing Club de Nelson (RCN), l'Association Sportive des Habitations à Bon Marché (ASHBM), la Pro Patria, la Patriote, le club de gymnastique Ste Thérèse.
Tous les jeudis voyaient les confrontations sportives des écoles et collèges de BEO aux divers championnats de l'OSSU qui se déroulaient au stade Leclerc des Tagarins. Tôt le dimanche matin alors que Bab el Oued s'éveillait lentement, de partout des groupes de jeunes, sac de sport en bandoulière, prenaient d'assaut les vestiaires où une odeur d'huile camphrée remplissait copieusement les narines. Les salles situées en sous-sol, les terrains enclavés au sein des cités HLM, le stade Cerdan que la mer inondait à chaque tempête, le Foyer Civique, le stade de St Eugène ou le Stade municipale qui disposait d'un vélodrome, accueillaient une foule de passionnés où les cris résonnaient d'enthousiame et les applaudissements appuyés marquaient les joies de la victoire.Souvent par la fenêtre des cuisines qui surplombait le déroulement d'une partie, les mamans qui gardaient un oeil sur les marmites, ne manquaient pas de participer à la liesse collective. C'étaient de beaux moments d'allégresse ou de déception qui s'emparait de ce petit monde sensible aux valeurs que le sport essaie de transmettre: dépassement de soi, solidarité, courage, fidélité.
Faire revivre Bab el Oued la sportive, c'est remettre en mémoire des beaux moments de camaraderie et de fraternité, des périodes délicieuses de rencontre et d'amitié. Plusieurs générations à leur tour y ont cru et se sont évertuées à transmettre ces valeurs de respect et du goùt de l'effort que la discipline sportive peut apporter; elles ont écrit de belles pages d'avanture humaine et donné la passion du sport aux générations qui suivaient.
Si je vous pose cette question:" quelle a été le dernier club sportif en Algérie et dans quelle discipline, a avoir été champion de France avant notre départ en 1962?"
Vous connaîtrez la réponse dans un prochain message.
Le : 05/09/2008 18:14
Bonjour Loly,
Quel joie de revoir les rues de son enfance, j'en ai très envie d'y retourner dans notre petite capitale d'Alger : Bab el Oued. Je ne me rappelle que des bons souvenirs et nous en avons à raconter.
Très amicalement
Arlette
Quel joie de revoir les rues de son enfance, j'en ai très envie d'y retourner dans notre petite capitale d'Alger : Bab el Oued. Je ne me rappelle que des bons souvenirs et nous en avons à raconter.
Très amicalement
Arlette
Le : 05/09/2008 18:06
Bonjour Josette,
Michel Gésina habitait l’immeuble en face du mien rue Curie, par contre je ne savais pas que Marcel Ayella était de la Basseta. La première fois que j’ai vu Michel Gésina passé à la télé j’ai été très contente. Que de bons souvenirs
Très amicalement
Michel Gésina habitait l’immeuble en face du mien rue Curie, par contre je ne savais pas que Marcel Ayella était de la Basseta. La première fois que j’ai vu Michel Gésina passé à la télé j’ai été très contente. Que de bons souvenirs
Très amicalement
Le : 05/09/2008 18:01
Bonjour Pierre,
Je me rappelle bien de Mr Chertas qui vendait des brosses et des balais, c’était mon voisin, sa petite fille qui était à l’école avec moi s’appelait Marie-Rose Arnaud, son petit-fils Henri jouait toujours avec mon frère. Tu peux retrouver la photo de Marie-Rose dans les photos de classe de la rue de Normandie. Je vois qui est Mme Califano, je m’en souviens maintenant que tu m’en parles. Merci à Christian qui a créé ce site, dommage qu’Internet n’ait pas existé avant.
Très amicalement
Arlette
Je me rappelle bien de Mr Chertas qui vendait des brosses et des balais, c’était mon voisin, sa petite fille qui était à l’école avec moi s’appelait Marie-Rose Arnaud, son petit-fils Henri jouait toujours avec mon frère. Tu peux retrouver la photo de Marie-Rose dans les photos de classe de la rue de Normandie. Je vois qui est Mme Califano, je m’en souviens maintenant que tu m’en parles. Merci à Christian qui a créé ce site, dommage qu’Internet n’ait pas existé avant.
Très amicalement
Arlette
Le : 05/09/2008 05:44
merci louis junior de nous avoir permis de devoiler ce magnifique site.je me suis revue dans les rues d'isly......dans la casbah ou ma grand mere habitait...