Liste des messages
Le : 20/10/2008 20:20
Je ne sais pas qui a écrie ce message a josette mais ce n'est pas moi la véritable monique Baldacchino et je ne connais pas non plus de Ortéga.
Désolé mais je ne connais ces personne Monique
Désolé mais je ne connais ces personne Monique
Le : 20/10/2008 11:53
Bonjour
Comment se fait il que nous ne voyons plus de message de Christiane COPPA??
Elle nous donnait des renseignements lorsque nous ne pouvions pas les avoir et nous régalait avec son blog. Existe t il toujours?
J'espère qu'elle reviendra vite
Amitiés
Comment se fait il que nous ne voyons plus de message de Christiane COPPA??
Elle nous donnait des renseignements lorsque nous ne pouvions pas les avoir et nous régalait avec son blog. Existe t il toujours?
J'espère qu'elle reviendra vite
Amitiés
Le : 20/10/2008 02:52
Aprés 46 années de séparation, nous avons eu le plaisir d'acceuillir un copain d'enfance et de classe à Copenhague.
Venu de France en compagnie de sa charmante épouse, Garcia Georges est un ancien de la rue de Dijon, Sigwalt et Lelièvre. Emotion, joie, émoi, tout était là, et malgré tout ce temps, tous les souvenirs étaient présents, indélébiles.
La mémoire étant sélective, toute l'enfance et une partie de l'adolescence, sont remontées à la surface. Tous ces souvenirs refoulés se sont imposés à nouveau. Nous avons fait " l'appel " d'une classe, mais beaucoup d'absents: Sauvin, Massa, Montiel, Lucido, Azzopardi, Seksek, Balzano (le Maire) et tant d'autres... qui se reconnaitront aisément. Merci Georgeot pour ta visite.
J'ai voulu partager avec vous ces instants, et j'espère que beaucoup d'autres enfants de Bab El Oued, se retrouveront un jour, où qu'ils soient dans le monde.
Bonne nuit à toutes et à tous.
Tamene Merzak.
Le : 18/10/2008 11:18
A Tous
Allez...... tous les copains de Bab El Oued il est temps "de descendre" de Chréa...... il est temps "de sortir" des abris !
Pensons, plutot, et évoquons nos souvenirs de la CARAMOUSA , des cerfs volants et des mounas ; de la plage de l'EDEN et de nos bains, bien souvent sans maillot car partis sans la permission des parents ; de nos descentes en carriole à roulements à billes du PONT EN FER, jusqu'au marché ;d' un bon beignet, tout chaud, de chez BLANCHETTE ; d'un film de ZORRO au RIALTO....
Voila j'arrete car je suis sur que vous pouvez continuer la liste et meme envahir le site, comme "LA MARABOUNTA" quand elle se mettait en route!
Amitiés
Freddy
Allez...... tous les copains de Bab El Oued il est temps "de descendre" de Chréa...... il est temps "de sortir" des abris !
Pensons, plutot, et évoquons nos souvenirs de la CARAMOUSA , des cerfs volants et des mounas ; de la plage de l'EDEN et de nos bains, bien souvent sans maillot car partis sans la permission des parents ; de nos descentes en carriole à roulements à billes du PONT EN FER, jusqu'au marché ;d' un bon beignet, tout chaud, de chez BLANCHETTE ; d'un film de ZORRO au RIALTO....
Voila j'arrete car je suis sur que vous pouvez continuer la liste et meme envahir le site, comme "LA MARABOUNTA" quand elle se mettait en route!
Amitiés
Freddy
Le : 17/10/2008 15:54
En parlant d'abrit datant de la guerre, je me souviens que ma mère un jour m'avait montré une porte en fer et m'avait dit que c'était la porte d'un abrit durant la guerre.
Il se trouvait en bas des escaliers du Cassis, juste à côté de la Boulangerie de Madame Campagne. Boulangerie où me vient le souvenir du fournil la veille des fêtes de Paques, là toutes les femmes du quartier amenaient dans de grandes plaques les monas à cuires. La patience du boulanger avec toutes ces femmes qui le rendaient fou " Un peu plus cuite, attention elle vont être trop cuites,etc etc...".
De l'autre côté du bas des escaliers du Cassis,Il y avait un marchand de beignets et de patisserie orientales, et juste à côte l'épicerie du kabile "Zezette" je ne sais pas pourquoi on l'appelait par ce nom. Ce que je me souviens c'est que c'est là que j'ai connu le premier téléphone de Bab el oued, et c'est là qu'on allait téléphoner.
Il se trouvait en bas des escaliers du Cassis, juste à côté de la Boulangerie de Madame Campagne. Boulangerie où me vient le souvenir du fournil la veille des fêtes de Paques, là toutes les femmes du quartier amenaient dans de grandes plaques les monas à cuires. La patience du boulanger avec toutes ces femmes qui le rendaient fou " Un peu plus cuite, attention elle vont être trop cuites,etc etc...".
De l'autre côté du bas des escaliers du Cassis,Il y avait un marchand de beignets et de patisserie orientales, et juste à côte l'épicerie du kabile "Zezette" je ne sais pas pourquoi on l'appelait par ce nom. Ce que je me souviens c'est que c'est là que j'ai connu le premier téléphone de Bab el oued, et c'est là qu'on allait téléphoner.
Le : 16/10/2008 22:01
je comble mon retard dans la lecture des mails
il y avait rampe vallée apres les batiments de la mairie qui abritaient
les ambulances de la ville et le fameux "galoufa "un tunnel qui servait d'abri juste en face de l'ancienne caserne vallée qui abritait les tirailleurs sénégalais,c'est là que j'ai eu mes premiers poux dans la tête et je me souviens malgré mon jeune âge de l'époque de cette bombe qui avait détruis in peu notre logement
de cette caserne de me souvient également d'un soulard ou " kilo "
qui tous les soirs venait chercher sa soupe devant la caserne,il avait été surnommé " 85 "son n° de la guerre de 14/18 et chantait toutes les chansons militaires nottement " la madelon " un jour il a disparu mort de son pêché l'alcool
ah souvenirs d'enfance tu nous tiens bien,etmaintien notre mémoire
il y avait rampe vallée apres les batiments de la mairie qui abritaient
les ambulances de la ville et le fameux "galoufa "un tunnel qui servait d'abri juste en face de l'ancienne caserne vallée qui abritait les tirailleurs sénégalais,c'est là que j'ai eu mes premiers poux dans la tête et je me souviens malgré mon jeune âge de l'époque de cette bombe qui avait détruis in peu notre logement
de cette caserne de me souvient également d'un soulard ou " kilo "
qui tous les soirs venait chercher sa soupe devant la caserne,il avait été surnommé " 85 "son n° de la guerre de 14/18 et chantait toutes les chansons militaires nottement " la madelon " un jour il a disparu mort de son pêché l'alcool
ah souvenirs d'enfance tu nous tiens bien,etmaintien notre mémoire
Le : 15/10/2008 11:41
Bonjour,
André TRIVES, à la façon pour faire remonter les souvenirs. Il raconte une anecdote, parle d'un lieu et tout revient comme une pellicule que l'on remonte.
A l'école Lelievre une année, il y avait eu un voyage organisé pour Chréa, mes parents avaient économisé pour m'y envoyer. Des voisins avaient prétés des pulls ect. Et je me souviens d'une paire de gros godillots avec des lacets rouges que je n'arrêtais pas d'essayer, même qu'ils étaient trop grand pour moi. Mais voilà, mon classement et mes notes étaient tellement mauvaises que "OUALOU" pas de Chréa.
Lors du décés de ma mère il y a quelques années, j'ai retrouvé ces godillots dans un placard, elles les avaient amener en France!!!!!
Merci, André.
André TRIVES, à la façon pour faire remonter les souvenirs. Il raconte une anecdote, parle d'un lieu et tout revient comme une pellicule que l'on remonte.
A l'école Lelievre une année, il y avait eu un voyage organisé pour Chréa, mes parents avaient économisé pour m'y envoyer. Des voisins avaient prétés des pulls ect. Et je me souviens d'une paire de gros godillots avec des lacets rouges que je n'arrêtais pas d'essayer, même qu'ils étaient trop grand pour moi. Mais voilà, mon classement et mes notes étaient tellement mauvaises que "OUALOU" pas de Chréa.
Lors du décés de ma mère il y a quelques années, j'ai retrouvé ces godillots dans un placard, elles les avaient amener en France!!!!!
Merci, André.
Le : 14/10/2008 20:54
Aux Babelouediens.
Ce n'était pas la peine d'être riche pour monter à Chréa, pour ma part je montais en été avec la Croix-Rouge à l'aerium de 1944 à 1950, puis avec la mairie d'Alger qui organisait des Week-ends à la neige,elle possédait un chalet prés du parc (le Chameau) nous dormions dans un dortoir ( il y en avait un pour les femmes, un pour les hommes ) et nous mangions le soir au réfectoire. J'ai de trés bons souvenirs de là-bas malgré les gamelles prisent sur la piste du ski-club au bas du phare.
En écrivant ces quelques lignes j'ai l'impression d'y être, je revois encore cette place avec cet énorme Cèdre qui trônait en son milieu.
Bonne soirée à tous
Ce n'était pas la peine d'être riche pour monter à Chréa, pour ma part je montais en été avec la Croix-Rouge à l'aerium de 1944 à 1950, puis avec la mairie d'Alger qui organisait des Week-ends à la neige,elle possédait un chalet prés du parc (le Chameau) nous dormions dans un dortoir ( il y en avait un pour les femmes, un pour les hommes ) et nous mangions le soir au réfectoire. J'ai de trés bons souvenirs de là-bas malgré les gamelles prisent sur la piste du ski-club au bas du phare.
En écrivant ces quelques lignes j'ai l'impression d'y être, je revois encore cette place avec cet énorme Cèdre qui trônait en son milieu.
Bonne soirée à tous
Le : 13/10/2008 16:43
Ce qui est bien chaque generation de BEouediens a une experience differente,voire personnelle
Souvenez vous de la mince couche de neige du debut (janvier 1957) tombée pendant la nuit
Je passais en tram devant l'arrêt du Square Bresson,les Bananiers et les palmiers sousla neige etaient magnifiques -Une certaine lumiere irradiait
A midi,tout avait fondu,ne restait qu'une tres mince pellicule de neigepres du figuier sur le toit des Ecuries à l'angle de la rue du Dey et de la rue de la Consolation
Souvenez vous de la mince couche de neige du debut (janvier 1957) tombée pendant la nuit
Je passais en tram devant l'arrêt du Square Bresson,les Bananiers et les palmiers sousla neige etaient magnifiques -Une certaine lumiere irradiait
A midi,tout avait fondu,ne restait qu'une tres mince pellicule de neigepres du figuier sur le toit des Ecuries à l'angle de la rue du Dey et de la rue de la Consolation
Le : 13/10/2008 14:22
Au sujet de Chréa évoqué par André Trives et les autres, OUALA, mon souvenir :
Je devais avoir 7-8 ans, dans les années 48-49, mon oncle Roland Scognamiglio, en revenant d'une excursion à Chréa, peut-être organisée par son employeur « La Typolito », me ramena un sac de sport (un genre de boudin long et rond, d'usage à l'époque), rempli de neige. Quelle surprise ! Il l'a versée dans l'évier de la cuisine et pour la première fois de ma vie, j'ai plongé mes mains dans cette masse glacée en train de fondre. Ravissement éphémère !
Une autre petite anecdote : je me souviens qu'en hiver, la speekrine de radio Alger, en donnant la météo, disait « à Chréa, piste de l'Arbre Mort skiable » (ou non skiable, selon le temps) ; cette annonce me faisait rêver et je ne l'ai jamais oubliée. Cette voix, je l'entends encore.
Amitiés à tous
Guy.
Je devais avoir 7-8 ans, dans les années 48-49, mon oncle Roland Scognamiglio, en revenant d'une excursion à Chréa, peut-être organisée par son employeur « La Typolito », me ramena un sac de sport (un genre de boudin long et rond, d'usage à l'époque), rempli de neige. Quelle surprise ! Il l'a versée dans l'évier de la cuisine et pour la première fois de ma vie, j'ai plongé mes mains dans cette masse glacée en train de fondre. Ravissement éphémère !
Une autre petite anecdote : je me souviens qu'en hiver, la speekrine de radio Alger, en donnant la météo, disait « à Chréa, piste de l'Arbre Mort skiable » (ou non skiable, selon le temps) ; cette annonce me faisait rêver et je ne l'ai jamais oubliée. Cette voix, je l'entends encore.
Amitiés à tous
Guy.