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Le : 29/10/2008 14:30
Mon mari et moi-même nous nous sommes posé la même question : accepteront-ils si on demande le 9A ? Il faudrait une demande générale, mais est-ce que tous le feront ?
Idée géniale qui ferait revivre notre passé et nos racines ...
Il faudrait faire une grande pub dans ce sens autour de nous non?
Amitiés à tous .
Idée géniale qui ferait revivre notre passé et nos racines ...
Il faudrait faire une grande pub dans ce sens autour de nous non?
Amitiés à tous .
Le : 29/10/2008 13:31
Pierre-Emile, j'ai eu la même idée que toi et nous en avons discuté avec mon épouse l'Alsacienne. Oui, ce serait super mais est-ce-que l'Administration serait d'accord ???
Amitiés.
Amitiés.
Le : 29/10/2008 12:03
Le 9A
Avec les nouvelles plaques d’immatriculation l’automobiliste pourra choisir le numéro de département de son choix. …et si la communauté Pieds-Noirs demandait le 9A ???
A méditer et peut-être agir, qui sait.
Avec les nouvelles plaques d’immatriculation l’automobiliste pourra choisir le numéro de département de son choix. …et si la communauté Pieds-Noirs demandait le 9A ???
A méditer et peut-être agir, qui sait.
Le : 28/10/2008 20:36
J’ai appris avec une grande tristesse le décès de Jean Pierre REISH, ancien instituteur à l’école primaire de Bellefontaine (Tidjelabine) et ancien habitant de la Brise Marine.
A sa famille, ses amis et ceux qui l’ont connu, je leur présente mes sincères condoléances et les assure de toute ma sympathie.
Ait Mohand Idir.
A sa famille, ses amis et ceux qui l’ont connu, je leur présente mes sincères condoléances et les assure de toute ma sympathie.
Ait Mohand Idir.
Le : 28/10/2008 13:20
Cher Sauveur, bonjour.
Je me permet de te tutoyer, je suis à 100% d'accord avec toi. Evidemment, qu'il faut dénoncer becs et ongles,les contres vérités et les mensonges. Sois sûr que je n'ai rien oublié et n'oublierai jamais. Les non pieds noirs qui m'entourent, en savent quelque chose. Bien qu'ils fassent semblant de ne rien y comprendre.
Ce que je voulais relever simplement: c'est d'opposer: les pauvres, les nanties, les élèves de tels ou tels établissements scolaires etc... Nous avons été dans des écoles de quartier, puis collèges où lycées. Les conditions d'accés y étaient difficiles en 51, elles l'étaient un peu moins plus tard, c'est vrai. Mais c'etait une généralité à l'époque et partout ailleurs. Qu'est ce, tout cela, par rapport aux malheurs qui ont touchés toutes les familles de Bab el Oeud. Et pourtant, la majorité s'en est sortie, n'en déplaise à ceux qui ont oeuvré pour notre déchéance.
Encore une fois, nous sommes de la race des seigneurs.
Mes amitiés pieds noirs
Le : 27/10/2008 19:00
Bonjour à Tous
La vie des uns ou des autres ne concerne que chacun
Mais quand une contre vérité est dite,il faudrait la relever
laisser dire les autres c'est donner du crédit a leur information
Jusqu'alors nous avons suffisamment subi en se taisant
La vie des uns ou des autres ne concerne que chacun
Mais quand une contre vérité est dite,il faudrait la relever
laisser dire les autres c'est donner du crédit a leur information
Jusqu'alors nous avons suffisamment subi en se taisant
Le : 27/10/2008 18:13
Bonjoue à vous tous.
Mon père etait employé de bureau, ma mère vendeuse "Chez Jules" ave de la bouzharéa. Je suis allé aux Lavandieres, puis à Lelievre du cours préparatoir à la 5ème.
Je voulais juste dire, que nous soyons enfants: de paysans, d'ouvriers, d'employés,fils de ou non. Nous étions tous des enfants de Bab el Oued, le reste ont s'en fout un peu. Ce qui est important, c'est ce que nous avons fait de notre vie, malgrés toutes les embûches de départ. C'est pour cela que sommes de la race des seigneurs.
Cordialement
Mon père etait employé de bureau, ma mère vendeuse "Chez Jules" ave de la bouzharéa. Je suis allé aux Lavandieres, puis à Lelievre du cours préparatoir à la 5ème.
Je voulais juste dire, que nous soyons enfants: de paysans, d'ouvriers, d'employés,fils de ou non. Nous étions tous des enfants de Bab el Oued, le reste ont s'en fout un peu. Ce qui est important, c'est ce que nous avons fait de notre vie, malgrés toutes les embûches de départ. C'est pour cela que sommes de la race des seigneurs.
Cordialement
Le : 26/10/2008 10:49
Sans vouloir polémiquer, en s'appuyant sur des documents historiques, j'aimerais apporter quelques précisions concernant l'institution scolaire en Algérie.
S'il est exact que la France et ce dès la promulgation des lois de l'enseignement public a fait un effort considérable pour le développement de l'instruction primaire des populations indigènes (cf. la création de la section: "Autour des années 1880, et après le vote des lois françaises sur la gratuité et l'obligation scolaire, l'enseignement primaire des indigènes reçut "une vive impulsion due à l'intérêt que des hommes comme J.FERRY, F, BUISSON, M. BERTHELLOT se sont mis à lui porter"...je vous renvoie à l'excellent site d'E.Pons:
http://www.bouzarea.org/PageMENU.htm), force est de constater que cet effort n'a pas vraiment été prolongé pour le secondaire et encore moins évidemment pour le supérieur (on peut consulter des coupures de journaux sur le site de B.Venis qui donne la liste des réussites à l'examen d'entrée en 6ème à Bugeaud en 1953, la liste des admis en 1958 (j'y suis)... pour constater que le nombre des "indigènes" ne respecte pas la proportion). Mais pour contredire Fatiha, ce n'était pas toujours un problème d'appartenance communautaire mais plutôt une appartenance sociale . En effet, on peut se demander combien d'enfants issus des faubourgs populaires comme Bab el Oued ont pu suivre des études longues (je fais remarquer que ce problème perdure en France: 46% des enfants d'ouvriers et encore moins chez les agriculteurs).
Quant au masochisme dont parle Carchano-Négri, cela doit être le même qui a poussé mon trisaïeul à partir d'Italie en 1852 pour venir s'installer en Algérie.
S'il est exact que la France et ce dès la promulgation des lois de l'enseignement public a fait un effort considérable pour le développement de l'instruction primaire des populations indigènes (cf. la création de la section: "Autour des années 1880, et après le vote des lois françaises sur la gratuité et l'obligation scolaire, l'enseignement primaire des indigènes reçut "une vive impulsion due à l'intérêt que des hommes comme J.FERRY, F, BUISSON, M. BERTHELLOT se sont mis à lui porter"...je vous renvoie à l'excellent site d'E.Pons:
http://www.bouzarea.org/PageMENU.htm), force est de constater que cet effort n'a pas vraiment été prolongé pour le secondaire et encore moins évidemment pour le supérieur (on peut consulter des coupures de journaux sur le site de B.Venis qui donne la liste des réussites à l'examen d'entrée en 6ème à Bugeaud en 1953, la liste des admis en 1958 (j'y suis)... pour constater que le nombre des "indigènes" ne respecte pas la proportion). Mais pour contredire Fatiha, ce n'était pas toujours un problème d'appartenance communautaire mais plutôt une appartenance sociale . En effet, on peut se demander combien d'enfants issus des faubourgs populaires comme Bab el Oued ont pu suivre des études longues (je fais remarquer que ce problème perdure en France: 46% des enfants d'ouvriers et encore moins chez les agriculteurs).
Quant au masochisme dont parle Carchano-Négri, cela doit être le même qui a poussé mon trisaïeul à partir d'Italie en 1852 pour venir s'installer en Algérie.
Le : 25/10/2008 21:00
Je précise que le passage dans une classe supérieure se fait et se faisait en Conseil des Maîtres (où siegeaient des Instituteurs de toutes confessions religieuses
Le : 25/10/2008 20:14
Chréa le retour : g de belles photos de Maman-Papa en luge avec des copains. Ils allaient passer certain week-end au chalet pendant que Mémé me gardait (c'est pour ça qu'il neigeait... lol).Ct le bon temps. Yallah.