Liste des messages
Le : 28/10/2010 17:36
en cette période de l année, qui nous rapproche de la 1er novembre, aillions une pensée pour tous les notres qui sont enterrés "là-bas", dans la terre sur laquelle ils sont nés. nous ne pouvons pas fleurir leure tombe, mais nos pensées peuvent être plus fleuries que tous les chrysentèmes quand nous nous les rappelons à nos souvenirs bises à tous
Le : 28/10/2010 16:44
merci M langlois pour votre message,bon courage.rosette
Le : 28/10/2010 16:15
A MONSIEUR LANGLOIS ALFRED
JE VOUS PRESENTE MES SINCERES CONDOLEANCES A VOUS ET A TOUTE VOTRE FAMILLE POUR LE DECES DE VOTRE FRERE QU'IL REPOSE EN PAIX
ANDREE
JE VOUS PRESENTE MES SINCERES CONDOLEANCES A VOUS ET A TOUTE VOTRE FAMILLE POUR LE DECES DE VOTRE FRERE QU'IL REPOSE EN PAIX
ANDREE
Le : 28/10/2010 15:09
message à avecmesabodondaines ....je suis de la rampe vallée je suis de 43 j'ai été aussi avec mr Tur en classe ...depuis la maternelle j'ai toujours fréquenté la rampe vallée en dernier je suis descendu a bab el oued et je suis parti en juin 62..à bientot ..jean claude
Le : 28/10/2010 14:37
à Claude Socquet....j'ai répondu à ton message sur facebook mais il ny avait aucune adresse donc je pense que c'est ici que tu m'as trouvé je me rappelle trés bien de toi et de toute ta famille ,j'ai beaucoup de nouvelles à te donner des copains laisse moi un message à mon adresse email mais n'oublies pas la tienne sur ce site on a pas le droit de laisser de numéros de téléphone c'est l'auteur du site qui habite à Vitrolles à quelques kms de chez moi qui me l'a demandé...ensuite on pourra se communiquer nos nos de téléphone je t'appelerai moi A tres bientot de tes nouvelles ...Jean Claude..
Le : 28/10/2010 13:16
1960.qui se souvient des propriétaires du café situé au début du chemin Beaurepaire,place de la COLONNE VOIROL(vers HYDRA)?Merci si vous avez de leurs nouvelles.
Le : 28/10/2010 11:18
Pour Fredy Langlois
on ne se connait pas,mais je vous présente mes sincères condoléances a vous et votre famille,et comme on le dit,un jour on ce retrouvera ,Permettez moi de vous embrasser.rosette
on ne se connait pas,mais je vous présente mes sincères condoléances a vous et votre famille,et comme on le dit,un jour on ce retrouvera ,Permettez moi de vous embrasser.rosette
Le : 28/10/2010 11:01
a l'attention de fredy langlois
toutes mes sincères condoléance pour le deuil qui te touche après la mort de ton frère gaby,encore un enfant de
bab el oued qui part.La vie est comme sa .
Le : 28/10/2010 10:11
Mantécao !
Si ti'adores les rédactions, alors ma fi quesse ti'attends, la mort d'pépette en prison, vas-y : introduit, dév'loppe et conclut, n'est pas le sousto avec le zéro + zéro = la tête à toto que tias eu, tu pourras pas aller plus bas !! alors ! dis-nous "si tiété riche". ça m'fé penser (j'ai oublier son nom) ce russe qui chanté "si j'avais des millions....la dida...dida...)
amitié
Si ti'adores les rédactions, alors ma fi quesse ti'attends, la mort d'pépette en prison, vas-y : introduit, dév'loppe et conclut, n'est pas le sousto avec le zéro + zéro = la tête à toto que tias eu, tu pourras pas aller plus bas !! alors ! dis-nous "si tiété riche". ça m'fé penser (j'ai oublier son nom) ce russe qui chanté "si j'avais des millions....la dida...dida...)
amitié
Le : 27/10/2010 19:30
Henriette, ma parole tu veux ma mort ou quoi ! jé le sousto d'attirer sur moi les foudres des grands poètes, alors j'préfére dire du mal d'mon voisin :
Georges, mé on l’appelé Georgeo, été note voisin de palier (nous étions 3 à chaque palier). On va dire c’été le « Tanguy » de note époque, sa mère (veuve) avé casé les 2 filles, mé lui, mamamia, y fallé fére totes les botiques de BEO avant d’lui trouver chaussure à son pied à çui-là !
Dès les beaux jours, totes les fenétes de nos cuisines, qui donné dans une cour à ciel ouvert, (horos’ment avec les z’odeurs de nos boustifailles !) été ouvertes.
Comme distraction (à 11/12 ans), d’ma fenéte d’cuisine, j’ m’régalé à mater le Georgeo !
Zarma ! au saut du lit, y t’inspiré pas à « fére Pâques avant les Rameaux » ! (j’parle pour les fi bien sûr!).
En le zieutant, comme ça, d'façon qui m'voyé pas, mé moi qui l'voyé, enfin bref ! quant il r'v'né du fond d' sa salle manger, regagnant sa cuisine avec son grand bol, mon Dieu ! Qué gavatchol, dans sa tenue d’soirée. Jugnot « Dans le père noël est une ordure » :
Un bas d’pyjama rayé, tenu par un p’tit cordon au-d’ssous d’sa pantcha, qui v’né mourir d'ennui en accordéon sur ses savates. Y marché pas, y patiné sur l’parterre comme çi il voulé l’cirer. Et le décolleté d’son tricot d’por (avec un « c » ou un « e » chacun y choise !) « blanc cassé » dévoilé un "sac à puces" qu’une chienne y oré pas trouvé ses p’tits, il avé pluss de poils sur sa poitrine que sur l’caillou ! mé ça d'vé le réconforter dans sa virilité !
Non sol’ment tiavé l’image, mé en pluss ti'avé le son, passeque, le long d' son parcours y laché quelques puissants « guems », bon fo pas pousser, après tout il été chez lui qua même !
Un jour, en l’absence de sa mère, il avé entrepris d' repasser un d' ses falzars et une de ses camisas, un b’soin urgent j' suppose ! Sol’ment, va saouar pourquoi (à l’époque peu d’gens avé le téléphone, encore moins le portable), son repassage fut interrompu et on vit débouler ce cogno d’ Georgeo à note porte et s'adressant à ma mère :
"V'nez voir jé fé une conn'rie ! quesse qu’elle va dire manman ! oulala en rentrant, elle va m’arranger la cravate !».
Tu m’as compris ! l’ fer à r’passer, oublié à plat, il avé fé une « bonne goffa », non sol’ment sur sa « limace », mé il avé carrément traversé la planche à r’passer et y s’balancé dans le vide comme un pendule. Moi qui été très étourdie, j’été bien contente que l’Georgeo avé décroché l’pompon ! En pluss, lui qui passé son temps à m’fére maronner, j’m’bidonné en pensant dans mon for intérieur : « Eh Georgo ! le matcho ! tu f’ras moins le mariole d’vant manman !"
Enfin comme dit le proverbe : « Tout vient à point à qui sait attendre » et le conte de fée se finit bien, le Georgeo, comme Cendrillon, manman finit par lui trouver chaussure à son pied, une charmante jeune fille (une sainte sûr’ment !) qui lui donna une belle pitchounette. Peut’ête qu’il y en a eu d’otes, mé moi, mon histoire s’arrête là !