Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Pour Sauveur

pour le cimetière virtuel , tu tappes sur google : cimetière virtuel sur le net , et tu trouves ce que tu desires
amicalement a toi et tous les habitués du site
Guy de la rue taine

Bonjour à Tous

Que nos disparus dormant de leur dernier sommeil là-bas reposent en paix! Amen!

J'ai entendu à la radio qu'il existait depuis peu sur leNet,un cimetiere virtuel,où l'on pouvait mettre des photos,mettre des fleurs,inscrire certains faitsrelatifs à la personne
Qui pourrait donner l'adresse de ce site?

Dis-moi Henriette, ton lit tu l'fesé que le 2 novembre ?
Merci à tous les copines et copains qui nous rappellent nos traditions

J'ai toujours gardée en mémoire le 2 novembre jour des MORTS. Ce jour là ma MAMAN d'origine Italienne avait à coeur de nous voir se lever tôt , afin de faire les lits car les Ames venaient nous rendre visite et se reposaient dans leur Famille ,vous en souvenez vous ? je pense qu'elle n'était pas la seule MAMAN à nous avoir inculquer cette tradition .

Quelques précisions au sujet de Savorgnan de Brazza (ces précisions étaient de notre ami Momo, avec échange de mails).
Savorgnan de Brazza était au cimetière du Bd Bru jusqu'au 1er octobre 2006, puis au cimetière d'El Madania (hauteurs d'Alger)et ensuite au Congo (ex Brazzaville)où il demeure.

Les origines de la Toussaint : La fête de la Toussaint est à l'origine CELTE. Ceux ci divisaient l'année en 2 saisons : L'hiver et l'été.
Le 1er novembre était le début de l'année. C'était aussi la fête des morts, plus exactement la communication entre les vivants et les défunts.
La fête de la Toussaint est accompagnée de la célèbre Halloween où les morts symbolisés par la fameuse citrouille vidée dans laquelle on a placée une chandelle.
Pour l'église catholique, la Toussaint est la fête de tous les saints,c'est à dire la communauté des vivants et des morts.
Le jour des morts (2 novembre)ne doit pas être confondu avec la Toussaint (1er novembre)qui est une fête joyeuse. Elle marque le rassemblement de ceux qui sont et de ceux qui ne sont plus, dans l'espérance qu'a la fin des temps, les retrouvailles seront définitives.
La tradition de déposer des fleurs sur les tombes le jour de la Toussaint semble dater du 19eme siècle. Une autre coutume consistait à allumer une bougie sur la tombe des morts.
Dans mes recherches avec Google, j'ai vu qu'il existe un registre nominatif avec emplacement, du cimetière de St Eugène coté israelite.

C'est de saison
Voici un souvenir du cimetiere neuf de Saint Eugene (entrée du côté Barbier Hugo)(Dansle vieux cimetiere separé su neuf par un mur perce d'une porte etroite et dans ce vieux cimetiere i y avait la tombe de Savorgnan de Brazza'reclamée par le Congo) et la modeste tombe de la Reine RANAVALO,exilée de Madagascar
Il me semble,d'apres mes souvenirs des années 43-45,que l'on allumait des bougies durant une certaine nuit(Celle du Vendrei Saint ou bien celle de la Toussaint) Cette habitude est tombée en desuetude,interdite? apres cette epoque.
Qui se souvient de cette tradition identique à celle des Mexicains?

BONJOUR A TOUS
A LA VEILLE DE LA TOUSSAINT
TOUS NOS SOUVENIRS NOUS REVIENNENT
UNE PENSEE POUR TOUS NOS PARENTS ET AMIS(ES)
QUI SONT ENTERRES LABAS
QU'ILS REPOSENT EN PAIX
VOUS ETES DANS NOS COEURS A JAMAIS

BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE

moi aussi je me souvient quand nous allions nettoyés les tombes de nos chers disparus . hélas maintenant nous sommes loin mais ils sont toujours dans nos coeurs et demeureront à jamais . aujourdh'ui plus que jamais nous penseront à eux , sans oublié ceux qui nous ont quittés en France . que ND d'Afrique veille sur eux .

En dehors du nettoyage des tombes avec ma mère. on partait avec la pierre ponce pour nettoyer la dalle en marbre, ce qui me reviens à l'esprit c'est l'hommage que rendait l'association des "Routiniers de la musique" à ces musiciens décédés.

On avaient rendez vous au local des répétitions, rue Cardinal Verdier sous l'école Lelièvre, et on partait en groupe vers le cimetière de St-Eugène.

Derrière l' hôpital Maillot, toujours sur la rue Cardinal Verdier, en face de la cité de Picardie on achetait les fleurs aux marchands qui longeaient tout le long du mur.

Nos parents nous donnaient à chaque gosse un pot et on continuait vers le cimetière. Je ne vous parle pas de la tchatche qu'ils avaient

Au cimetière c'était un rituel, on commençait toujours par le même et on faisait le tours des défunts toujours dans le même ordre.

Une fois cette tache terminée, et c'était le meilleur, on rentrait vers le local, et à l'angle de la rue Cardinal Verdier et de la rue des Moulins Il y avait un bar (je ne me rappelle plus le nom) et là, on sortait de nos cabacets le bol que l'on nous avait demandé de porté et on mangeait une bonne loubia.

Ce souvenir me reviens ce soir. Hay Nostalgia quand tu nous tiens.

Bonne Fêtes de la Toussaint à tout le monde.

Gégé de la cité Temime.

Bravo!!Très bon récit sur la Toussaint,Marie-Jeanne..
Amicalement