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Le : 20/06/2012 18:09
Solstice d'été : le Soleil est à la fête
Le solstice d'été est source de nombreuses réjouissances. Si en France on pense surtout à la Fête de la musique, il existe aussi une Fête du Soleil qui se perpétue plus ou moins depuis un peu plus d'un siècle à l'initiative de l'astronome Camille Flammarion. Certaines années, observatoires professionnels et associations astronomiques profitent de cette date symbolique pour ouvrir leurs portes et offrir à chacun l'opportunité d'observer notre étoile en toute sécurité, une bonne occasion de découvrir sa surface tachée à l'approche de son maximum d'activité.
Même dans l'hémisphère sud qui bascule pourtant dans l'hiver, ce solstice est l'occasion de grandes fêtes en l'honneur du Soleil, comme à Cuzco, la capitale inca située dans les Andes péruviennes où processions et chants implorent le Soleil à cette date depuis plus d'un millénaire pour qu'il revienne.
Le prochain solstice d'été aura lieu le 21 juin 2013 à 5 h 03 TU.
Le solstice d'été est source de nombreuses réjouissances. Si en France on pense surtout à la Fête de la musique, il existe aussi une Fête du Soleil qui se perpétue plus ou moins depuis un peu plus d'un siècle à l'initiative de l'astronome Camille Flammarion. Certaines années, observatoires professionnels et associations astronomiques profitent de cette date symbolique pour ouvrir leurs portes et offrir à chacun l'opportunité d'observer notre étoile en toute sécurité, une bonne occasion de découvrir sa surface tachée à l'approche de son maximum d'activité.
Même dans l'hémisphère sud qui bascule pourtant dans l'hiver, ce solstice est l'occasion de grandes fêtes en l'honneur du Soleil, comme à Cuzco, la capitale inca située dans les Andes péruviennes où processions et chants implorent le Soleil à cette date depuis plus d'un millénaire pour qu'il revienne.
Le prochain solstice d'été aura lieu le 21 juin 2013 à 5 h 03 TU.
Le : 20/06/2012 18:05
Le solstice d'été : L'été 2012 commence le 20 juin
Dans le mot solstice, on retrouve deux mots issus du latin : « sol » qui veut dire Soleil et « stice » qui vient de stare qui signifie « s’arrêter ». Chaque jour, le Soleil est le plus haut dans le ciel à midi (heure solaire). Si on mesure cette hauteur tous les jours, on constate qu'elle varie.
Cette variation de hauteur du Soleil entraine alors une variation de la durée du jour.
Le mercredi 20 juin à 23 h 08 TU (soit le jeudi 21 juin à 1 h 08 en heure locale) marquera le début de l'été pour l'hémisphère nord et de l'hiver pour l'hémisphère sud.
Le 22 décembre 2011 nous avait plongé dans l'hiver, il est temps pour le Soleil d'atteindre sa déclinaison la plus élevée pour marquer le début de l'été, la saison la plus longue avec 93,65 jours (contre 88,99 pour l'hiver, 89,84 pour l'automne et 92,76 pour le printemps actuellement).
Le 21 juin, le Soleil atteint sa hauteur la plus haute de l'année à midi et cela correspond au jour le plus long.
Il est bon de se souvenir que les variations de distances entre le Soleil et la Terre ne sont pas responsables des saisons. C'est l'inclinaison de l'axe de rotation de notre planète qui en est seule la cause. Si vous imaginez un hypothétique observateur installé sur le Soleil, il verra le 20 juin le pôle Nord terrestre tourné vers lui alors que le pôle Sud lui sera invisible.
En effet, à cette période de l'année, les rayons du Soleil éclairent alors d'avantage l'hémisphère nord que l'hémisphère sud. Le pôle nord est tout le temps ensoleillé et le pôle sud reste tout le temps dans la nuit. Mais six mois plus tard, tout est inversé. (Cette situation s'est produite le 22 décembre 2011 lors de l'arrivée de l'hiver).
Dans le mot solstice, on retrouve deux mots issus du latin : « sol » qui veut dire Soleil et « stice » qui vient de stare qui signifie « s’arrêter ». Chaque jour, le Soleil est le plus haut dans le ciel à midi (heure solaire). Si on mesure cette hauteur tous les jours, on constate qu'elle varie.
Cette variation de hauteur du Soleil entraine alors une variation de la durée du jour.
Le mercredi 20 juin à 23 h 08 TU (soit le jeudi 21 juin à 1 h 08 en heure locale) marquera le début de l'été pour l'hémisphère nord et de l'hiver pour l'hémisphère sud.
Le 22 décembre 2011 nous avait plongé dans l'hiver, il est temps pour le Soleil d'atteindre sa déclinaison la plus élevée pour marquer le début de l'été, la saison la plus longue avec 93,65 jours (contre 88,99 pour l'hiver, 89,84 pour l'automne et 92,76 pour le printemps actuellement).
Le 21 juin, le Soleil atteint sa hauteur la plus haute de l'année à midi et cela correspond au jour le plus long.
Il est bon de se souvenir que les variations de distances entre le Soleil et la Terre ne sont pas responsables des saisons. C'est l'inclinaison de l'axe de rotation de notre planète qui en est seule la cause. Si vous imaginez un hypothétique observateur installé sur le Soleil, il verra le 20 juin le pôle Nord terrestre tourné vers lui alors que le pôle Sud lui sera invisible.
En effet, à cette période de l'année, les rayons du Soleil éclairent alors d'avantage l'hémisphère nord que l'hémisphère sud. Le pôle nord est tout le temps ensoleillé et le pôle sud reste tout le temps dans la nuit. Mais six mois plus tard, tout est inversé. (Cette situation s'est produite le 22 décembre 2011 lors de l'arrivée de l'hiver).
Le : 20/06/2012 18:03
Le solstice d'été, qu'est-ce que c'est ?
Aujourd'hui, mardi 21 juin 2011, c'est la fête de la musique, mais c'est aussi le solstice d'été. Il s'agit du jour le plus long de l'année. Mais comment l'expliquer ?
La réponse en vidéo avec un épisode de Tous sur orbite !, une émission éducative et scientifique, auparavant diffusée sur La Cinquième.
http://www.maxisciences.com/solstice-d-%E9t%E9/le-solstice-d-039-ete-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art15297.html
Aujourd'hui, mardi 21 juin 2011, c'est la fête de la musique, mais c'est aussi le solstice d'été. Il s'agit du jour le plus long de l'année. Mais comment l'expliquer ?
La réponse en vidéo avec un épisode de Tous sur orbite !, une émission éducative et scientifique, auparavant diffusée sur La Cinquième.
http://www.maxisciences.com/solstice-d-%E9t%E9/le-solstice-d-039-ete-qu-039-est-ce-que-c-039-est_art15297.html
Le : 19/06/2012 13:20
Terre d'Algérie
L'Express.frPar LEXPRESS.fr par la rédaction de Lire | L'Express.fr
Par Tristan Savin (Lire), publié le 19/06/2012 à 10:00
La foule, le bruit, la chaleur, l'exotisme séduiront Théophile Gautier et André Gide qui y achètera une terre. Mais la folie guette les ombres de Camus.
Théophile Gautier arrive à Alger le 16 juillet 1845. Un officier de spahis lui sert de guide. L'écrivain romantique décrit ainsi la place du Gouvernement, centre névralgique de la capitale: "Un mélange incroyable d'uniformes, d'habits, de burnous, de cabans, de manteaux et de capes. Un tohu-bohu! Un capharnaüm! Le mantelet noir de la Parisienne effleure en passant le voile blanc de la Moresque; la manche chamarrée de l'officier égratigne le bras nu du nègre frotté d'huile; les haillons du Bédouin coudoient le frac de l'élégant français. Le bruit qui surnage sur cette foule est tout aussi varié: c'est une confusion d'idiomes à dérouter le plus habile polyglotte; on se croirait au pied de la tour de Babel le jour de la dispersion des travailleurs."
Il participe à une expédition en Kabylie, se rend à Oran par la mer, à Constantine à cheval. A Blidah, il assiste à une cérémonie des Aïssaouas, une confrérie mystique. Le pays le séduit, il décide de s'y installer comme colon et demande au ministre de la Guerre une concession de quatre-vingt-dix-neuf hectares, dans la vallée de Zerhamma... Un rêve resté lettre morte.
Mais aussitôt rentré, Gautier s'attelle à l'écriture de son Voyage pittoresque en Algérie.
Contrairement à lui, André Gide parviendra à acheter un terrain à Biskra, où il séjourne en 1893 avec le peintre Paul Laurens. Deux ans plus tard, il retrouve par hasard Oscar Wilde à Blidah, au pied de l'Atlas. Il racontera, dans Si le grain ne meurt, sa nuit avec un jeune musicien, "recommandé" par un Wilde plus cynique que jamais.
Dans son Dictionnaire amoureux de l'Algérie, Malek Chebel nous éclaire sur la colonisation française, d'abord "simple exutoire oriental". Il cite cette "étrange supplique" de Victor Hugo: "Allez, peuples! Emparez-vous de cette terre. Prenez-la. A qui? A personne. Prenez cette terre à Dieu."
Plus que tout autre, Isabelle Eberhardt a lié son destin à la terre algérienne. L'aristocrate russe, née à Genève en 1877, connaît la révélation lors d'un reportage dans le Sud oranais. "Sous l'accablement d'un ciel sans nuages, Alger dormait. Les rues, où les passants étaient rares, semblaient plus larges, et des essaims de mouches bleues bourdonnaient dans l'ombre brève des maisons. Les collines de Mustapha se voilaient de poussières ténues, et les blancheurs laiteuses de la haute ville s'éteignaient. Là, pourtant, dans les ruelles étranglées, la vie continuait ardente, ivre de lumière et de couleurs avec les étalages de fruits et d'étoffes, et le chant pensif des rossignols captifs devant les cafés maures." (Notes de route, p. 27.)
Elle se convertit à l'islam, se fait appeler Si Mahmoud Saadi et sillonne le Maghreb déguisée en bédouin. "J'aimais l'âme de l'islam et je la sentis vibrer en moi. Je goûtai dans l'âpreté splendide du décor, la résignation, le rêve très vague, l'insouciance profonde des choses."
Isabelle Eberhardt meurt à Aïn-Sefra, à l'âge de 27 ans, noyée dans un oued en cru. Les textes qu'elle laisse, chargés de mysticisme, alimenteront la légende de celle que l'on prenait pour la fille de Rimbaud.
Simple touriste en Algérie, Guy de Maupassant a la curiosité de visiter les mosquées. Il s'intéresse, lui aussi, à une religion si exotique pour un Européen de l'époque. "Sur les quais d'Alger, dans les rues des villages indigènes, dans les plaines du Tell, sur les montagnes du Sahel ou dans les sables de Sahara, tous ces corps drapés comme en des robes de moines, la tête encapuchonnée sous le turban flottant par derrière, ces traits sévères, ces regards fixes, ont l'air d'appartenir à des religieux d'un même ordre austère, répandus sur la moitié du globe." (La Vie errante)
On retrouve les mêmes silhouettes sous la plume d'Albert Camus, enfant du pays: "Noirs oui, car ils sont habillés de longues étoffes noires et le sel qui envahit jusqu'aux ongles qu'on remâche amèrement dans le sommeil polaire des nuits, le sel, qu'on boit dans l'eau qui vient à l'unique source au creux d'une entaille brillante, laisse parfois sur leurs robes sombres des traces semblables aux traînées des escargots après la pluie." (L'Exil et le Royaume)
Camus fera dire à l'un de ses personnages: "Le jour se lève sur le désert, il fait encore très froid, tout à l'heure il fera trop chaud, cette terre rend fou et moi, depuis tant d'années que je n'en sais plus le compte..."
L'Express.frPar LEXPRESS.fr par la rédaction de Lire | L'Express.fr
Par Tristan Savin (Lire), publié le 19/06/2012 à 10:00
La foule, le bruit, la chaleur, l'exotisme séduiront Théophile Gautier et André Gide qui y achètera une terre. Mais la folie guette les ombres de Camus.
Théophile Gautier arrive à Alger le 16 juillet 1845. Un officier de spahis lui sert de guide. L'écrivain romantique décrit ainsi la place du Gouvernement, centre névralgique de la capitale: "Un mélange incroyable d'uniformes, d'habits, de burnous, de cabans, de manteaux et de capes. Un tohu-bohu! Un capharnaüm! Le mantelet noir de la Parisienne effleure en passant le voile blanc de la Moresque; la manche chamarrée de l'officier égratigne le bras nu du nègre frotté d'huile; les haillons du Bédouin coudoient le frac de l'élégant français. Le bruit qui surnage sur cette foule est tout aussi varié: c'est une confusion d'idiomes à dérouter le plus habile polyglotte; on se croirait au pied de la tour de Babel le jour de la dispersion des travailleurs."
Il participe à une expédition en Kabylie, se rend à Oran par la mer, à Constantine à cheval. A Blidah, il assiste à une cérémonie des Aïssaouas, une confrérie mystique. Le pays le séduit, il décide de s'y installer comme colon et demande au ministre de la Guerre une concession de quatre-vingt-dix-neuf hectares, dans la vallée de Zerhamma... Un rêve resté lettre morte.
Mais aussitôt rentré, Gautier s'attelle à l'écriture de son Voyage pittoresque en Algérie.
Contrairement à lui, André Gide parviendra à acheter un terrain à Biskra, où il séjourne en 1893 avec le peintre Paul Laurens. Deux ans plus tard, il retrouve par hasard Oscar Wilde à Blidah, au pied de l'Atlas. Il racontera, dans Si le grain ne meurt, sa nuit avec un jeune musicien, "recommandé" par un Wilde plus cynique que jamais.
Dans son Dictionnaire amoureux de l'Algérie, Malek Chebel nous éclaire sur la colonisation française, d'abord "simple exutoire oriental". Il cite cette "étrange supplique" de Victor Hugo: "Allez, peuples! Emparez-vous de cette terre. Prenez-la. A qui? A personne. Prenez cette terre à Dieu."
Plus que tout autre, Isabelle Eberhardt a lié son destin à la terre algérienne. L'aristocrate russe, née à Genève en 1877, connaît la révélation lors d'un reportage dans le Sud oranais. "Sous l'accablement d'un ciel sans nuages, Alger dormait. Les rues, où les passants étaient rares, semblaient plus larges, et des essaims de mouches bleues bourdonnaient dans l'ombre brève des maisons. Les collines de Mustapha se voilaient de poussières ténues, et les blancheurs laiteuses de la haute ville s'éteignaient. Là, pourtant, dans les ruelles étranglées, la vie continuait ardente, ivre de lumière et de couleurs avec les étalages de fruits et d'étoffes, et le chant pensif des rossignols captifs devant les cafés maures." (Notes de route, p. 27.)
Elle se convertit à l'islam, se fait appeler Si Mahmoud Saadi et sillonne le Maghreb déguisée en bédouin. "J'aimais l'âme de l'islam et je la sentis vibrer en moi. Je goûtai dans l'âpreté splendide du décor, la résignation, le rêve très vague, l'insouciance profonde des choses."
Isabelle Eberhardt meurt à Aïn-Sefra, à l'âge de 27 ans, noyée dans un oued en cru. Les textes qu'elle laisse, chargés de mysticisme, alimenteront la légende de celle que l'on prenait pour la fille de Rimbaud.
Simple touriste en Algérie, Guy de Maupassant a la curiosité de visiter les mosquées. Il s'intéresse, lui aussi, à une religion si exotique pour un Européen de l'époque. "Sur les quais d'Alger, dans les rues des villages indigènes, dans les plaines du Tell, sur les montagnes du Sahel ou dans les sables de Sahara, tous ces corps drapés comme en des robes de moines, la tête encapuchonnée sous le turban flottant par derrière, ces traits sévères, ces regards fixes, ont l'air d'appartenir à des religieux d'un même ordre austère, répandus sur la moitié du globe." (La Vie errante)
On retrouve les mêmes silhouettes sous la plume d'Albert Camus, enfant du pays: "Noirs oui, car ils sont habillés de longues étoffes noires et le sel qui envahit jusqu'aux ongles qu'on remâche amèrement dans le sommeil polaire des nuits, le sel, qu'on boit dans l'eau qui vient à l'unique source au creux d'une entaille brillante, laisse parfois sur leurs robes sombres des traces semblables aux traînées des escargots après la pluie." (L'Exil et le Royaume)
Camus fera dire à l'un de ses personnages: "Le jour se lève sur le désert, il fait encore très froid, tout à l'heure il fera trop chaud, cette terre rend fou et moi, depuis tant d'années que je n'en sais plus le compte..."
Le : 19/06/2012 10:25
j ai le regre de vous annoncez le decede du papa de gerard pace qui habite a graveson
Le : 19/06/2012 09:35
Salut Michel
je te remercie pour ton message je suis d'accord pour avoir l'adresse de Filoutch
J'espere que tu vas bien je te fait de gros bisous Marie paule !!!
Merci
je te remercie pour ton message je suis d'accord pour avoir l'adresse de Filoutch
J'espere que tu vas bien je te fait de gros bisous Marie paule !!!
Merci
Le : 18/06/2012 23:44
bonsoir à vous tous (tes) j'ai une question , peut être que parmi vous , ils y en a qui se souviennent du bar de MR Cannatelli qui se situait en face du petit jardin sur le boulevard Malakoff à la Consolation , il y avait ses 3 filles , Ginette , Claudine , et Jacqueline . Dimanche nous étions réunis avec ma Famille et bien sur de quoi avons nous parlés ? de notre quartier et des personnes qui l'habitaient bien sur , voilà comment nous en sommes arrivés à parler des Cannatelli , alors si vous avez une information sur ces personnes c'est avec plaisir que je transmettrais à ma Famille qui compte sur moi , pour avoir de leurs nouvelles . Amitiés et bises PN à vous tous ( tes )
Le : 18/06/2012 21:24
je suis nee a alger pied noir j usqu a la moelle des os comment faire svp pour retrouver des amis d alger en particulier jean garguillo que j ai connu dans les annees 50 a alger justement je vous en remercie infiniment par avance josiane
Le : 17/06/2012 10:30
BONJOUR A TOUS
JE SOUHAITE A TOUS LES PAPAS UNE BONNE FETE
QUE CETTE JOURNEE SOIT ENSOLEILLEE DE JOIE ET DE BONHEUR
UNE PENSEE POUR TOUS NOS PAPAS QUI NE SONT PLUS LA
JE SOUHAITE A TOUS LES PAPAS UNE BONNE FETE
QUE CETTE JOURNEE SOIT ENSOLEILLEE DE JOIE ET DE BONHEUR
UNE PENSEE POUR TOUS NOS PAPAS QUI NE SONT PLUS LA
Le : 17/06/2012 09:16
BONJOUR A VOUS TOUS
JE VIENS SOUHAITEZ UNE TRÈS BONNE ET HEUREUSE FÊTE DES PAPAS A VOUS TOUS.
BONNE JOURNÉE ET SOYEZ TOUS GÂTER PAR L'AMOUR DE VOS ENFANTS.BISES A VOUS TOUS ET TOUTES.BISES ROSETTE.
JE VIENS SOUHAITEZ UNE TRÈS BONNE ET HEUREUSE FÊTE DES PAPAS A VOUS TOUS.
BONNE JOURNÉE ET SOYEZ TOUS GÂTER PAR L'AMOUR DE VOS ENFANTS.BISES A VOUS TOUS ET TOUTES.BISES ROSETTE.