Liste des messages
Le : 27/06/2012 23:39
Bonsoir mes amis.
Une SOS, qui a chanté la chansson "les hirondelles du Casour" vous qui avez une bonne mémoire !!
Mes amitiés
Une SOS, qui a chanté la chansson "les hirondelles du Casour" vous qui avez une bonne mémoire !!
Mes amitiés
Le : 27/06/2012 22:41
Bonsoir
J'ai regardé le film d'Hélène COHEN hier soir. Film assez bien raconté dans son ensemble. Par contre le débat avec la famille, surtout certaines personnes, m'a mis en colère, dommage qu'OBADIA n'était pas en face de moi, je lui aurais craché à la figure. Comment peut-on nier comme lui les 3700 disparus après l'indépendance! cet homme par 3 fois a dit que ce n'était pas vrai. Il a déclaré avoir été pour l'algérie Algérienne, Question : que fait-il en France ou ailleurs c'est en algérie qu'il devrait être.
J'ai regardé le film d'Hélène COHEN hier soir. Film assez bien raconté dans son ensemble. Par contre le débat avec la famille, surtout certaines personnes, m'a mis en colère, dommage qu'OBADIA n'était pas en face de moi, je lui aurais craché à la figure. Comment peut-on nier comme lui les 3700 disparus après l'indépendance! cet homme par 3 fois a dit que ce n'était pas vrai. Il a déclaré avoir été pour l'algérie Algérienne, Question : que fait-il en France ou ailleurs c'est en algérie qu'il devrait être.
Le : 27/06/2012 21:48
La famille MASSA vous remercie pour toutes les marques de sympathie que vous avez témoignées lors du décès de notre maman sans oublier les amis de Bab El Oued.
MASSA Charles.
Le : 27/06/2012 11:36
message pour jean-françois et ses enfants
Il est difficile de trouver les mots pour traduire ce que l'on ressent en pareille circonstance, mais sachez que nous sommes avec vous en pensée et que nous vous offrons nos plus sincères condoléances - huguette et michel SEGUI
Il est difficile de trouver les mots pour traduire ce que l'on ressent en pareille circonstance, mais sachez que nous sommes avec vous en pensée et que nous vous offrons nos plus sincères condoléances - huguette et michel SEGUI
Le : 27/06/2012 10:37
Très affecté par le décès de l'épouse de mon ami Jean François Poveda, je présente à Jean François à son fils et à ses petits enfants ainsi qu'à sa famille toutes mes sincère condoléances et l'assure de ma profonde sympathie dans cette douloureuse épreuve je prie Dieu le tout puissant d'accueillir la défunte dans son vaste paradis
Le : 27/06/2012 10:21
L´épouse de notre cher ami Jean Francois Poveda est décédée aprés une longue maladie le 26juin.
Paix en toi Madame Poveda.
Paix en toi Madame Poveda.
Le : 26/06/2012 22:32
je voudrais avoir le numero de telephone de Mr Raymond Chayat MERCI
Le : 26/06/2012 12:23
"ALGERIE 1962. Le jour où ma famille a disparu" le documentaire de Hélène Cohen est diffusé ce soir sur France Télévision. Ne manquez pas ce film.
Le : 26/06/2012 11:59
Guerre d'Algérie, 50 ans après
Le 18 mars 1962 étaient signés les accords d'Evian qui mettaient officiellement fin à huit ans de conflit. (Photo AFP)
Médias
Guerre d'Algérie, des vies devant l'histoire
26 juin 2012 à 11:16
Sur France 3, quatre mini-docus confrontent héritages familiaux et éclairages de chercheurs.
Par BÉATRICE VALLAEYS
[Ceci est la version longue d'un article paru dans l'édition de Libération du 26 juin]
Sandrine Mercier et Laurence Giordano sont passionnées d’histoires dans l’Histoire. Auteurs et productrices d’une série diffusée de 2004 à 2010 sur France Inter - «L’histoire et moi» - qui croisait la quête d’un anonyme paumé dans de vagues souvenirs familiaux et l’expertise d’un historien pour donner chair à des événements historiques, elles passent cette fois par la télévision et consacrent quatre mini-documentaires et trois soirées sur France 3 à la Guerre d’Algérie.
50 ans après la signature des accords d’Evian qui mit fin à 8 ans d’une guerre coloniale jamais nommée comme telle malgré son extrême violence, et à deux semaines de la célébration de l’Indépendance algérienne (le 5 juillet), quatre enfants d’acteurs de cette tragédie montrent les mystères, non-dits, mensonges, et autres manipulations qui demeurent autour de cet épisode peu glorieux de l’Histoire de France.
La série, «Nos guerres d’Algérie» commence ce soir avec Corinne, 58 ans, face à l’historien Yann Scioldo-Zurcher. En 1962, Corinne a 8 ans et connait une double séparation: elle quitte Mostaganem et ses parents qui, eux, vont rester encore deux ans, le temps pour son père de liquider l’entreprise de vins de ses employeurs, propriétaires négociants rentrés eux en France.
Un témoignage de pieds-noirs poussés au retour après l’élection de Boumediene en 1964, tandis que d’autres Européens, les pieds-rouges pourront demeurer là en remerciement de leur solidarité avec les Algériens.
Le 3 juillet le feuilleton se poursuit avec deux héritages familiaux nettement plus lourds à porter. Gabrielle, 25 ans, redoute que son grand-père, officier dans la Navale, ait rejoint l’OAS, après le putsch d’Alger en 1961, quand des généraux de l’Armée française ont riposté à la volte-face gaullienne de l’Algérie algérienne. Occasion pour l’historien Tramor Quémeneur de revenir sur ces soldats partisans de l’Algérie française. Enquête faite, le grand-père de Gabrielle n’a pas rejoint ces déserteurs activistes d’extrême-droite, adeptes de la terreur et des attentats aveugles. Il partageait cependant leurs idées.
Le père de Jean-Yves était aussi militaire. C’était son métier. En 1954, à 22 ans, le voilà en Algérie, chef de section chargé du renseignement. En clair, de faire parler l’ennemi. Jean-Yves se demande quelles étaient vraiment ses méthodes et missions, il craint bien sûr d’avoir eu un père tortionnaire, d’autant qu’il a découvert chez lui, la photo d’un Algérien torturé. Pourquoi son père détenait-il un tel document? L’historienne Raphaëlle Branche ne répond pas à cette douloureuse question, elle raconte qu’en effet la torture fut couramment utilisée comme moyen de guerre en Algérie. Et pas seulement par les parachutistes.
C’est justement chez les parachutistes que le père de Karim a passé plusieurs mois en 1957, quand il fut arrêté pour «complicité reconnue avec le FLN». On verra Karim à la télévision le 10 juillet se demander quelles furent les conditions de détention de ce jeune policier algérien, militant nationaliste et membre du FLN auquel, grâce à sa position de brigadiste à Alger, il livre des armes.
Torturé, il le fut, avant de passer devant un tribunal militaire qui le condamne à 10 ans de travaux forcés pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Il sera libéré par les accords d’Evian. L’historienne Sylvie Thenault, spécialiste du FLN, montre que l’engagement politique est antérieur à 1954, puis comment il devient militaire, matériel sur le terrain.
«Nos guerres d’Algérie» n’est pas seulement une formidable leçon d’histoire et de journalisme. Elle confirme, au travers de quatre «témoins» comment leurs parents ont gardé secrets leur vie et leur situation au cours de ces 8 années de guerre. Quelle que fut la place qu’ils occupaient alors.
«Nos guerres d’Algérie» diffusées sur France 3 à l’occasion de 3 soirées spéciales les 26 juin, 3 et 10 juillet, de 0h20 à 0h25. Si vous ratez la diffusion, pas de panique, il y a une interface web http://plateautele.