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Le : 18/01/2013 20:04
Pot-pourri de la culture de la soute à bagages il fut le royaume des conquistadors en "esbarden.
Il était une fois Bab-el-Oued. La " porte de la rivière " a gardé cette résonance, folle et nostalgique, grosse de son lot de regrets farouchement éternels, au c 1/2 ur de tous ceux qui par une sorte de destin plus que par réelle destination, l'a connue. " l'histoire des Pieds-noirs" est celle de l'inconsolable et de l'engloutissement ", nous dit en forme d'entrée en matière, Alain Vircondelet** : " De la même manière que nous avons vu Alger s'engloutir dans les eaux de la Méditerranée, quand nous étions sur le pont, et qu'on n'avait plus rien ".
Reste aujourd'hui ce singulier creuset, cette mémoire très particulière mais tue, faute peut-être d'avoir ici suscité l'intérêt : il est vrai qu'avoir été de Bab-el-Oued, c'était, Espagnol, Italien ou Français, être d'abord sans le sou. Or, apprend-on quelque chose de ces gens là : Ecoutons.
Une véritable tour de Babel Bab-el-Oued n'a jamais été à une contradiction près : quand pour la protéger, entre le Xe siècle et le XIXe siècle, Alger fut bâtie exclusivement sur le rocher dont elle tire son nom Bab-el-Oued était cette carrière d'un calcaire très bleu utilisé pour construire les maisonnettes de la casbah. Habiter là, c'était déjà en soi être hors la ville. Y vivaient ceux qui travaillaient à la carrière. Espagnols venus de Valence pour trouver là un travail, Italiens dont plus personne ne voulait, même en Sicile. Eh bien, ce conglomérat de la Mare nostrum fut créé par un Allemand ! Un jour, en effet, un certain Lichtenstein qui ne se prénommait pas Roy, obtint de créer un véritable quartier, à l'une des six portes d'Alger: la carrière de Bab-el-Oued devint ce faubourg populeux, cette nouvelle Naples qui aurait fusionné avec Marseille, Tanger, Barcelone, Tunis. On y était un peu juif, un peu chrétien, un peu musulman, ressortissant Anglais sans raison, Suisse à l'occasion, tout à la fois mélangé et séparé, nourri de soleil et de mots, pétri de blague et de misère : " ils étaient heureux, parce qu'ils avaient trouvé plus malheureux qu'eux-mêmes au. au temps des déchirures, ce chaudron exalté du nord-ouest, d'Alger sombre pourtant dans l'excès. Reste malgré tout le souvenir d'autre chose. A ce titre, mais aussi parce que ce Lieux de mémoire est des plus réussis, nous ne saurions trop en recommander l'écoute.
Il était une fois Bab-el-Oued. La " porte de la rivière " a gardé cette résonance, folle et nostalgique, grosse de son lot de regrets farouchement éternels, au c 1/2 ur de tous ceux qui par une sorte de destin plus que par réelle destination, l'a connue. " l'histoire des Pieds-noirs" est celle de l'inconsolable et de l'engloutissement ", nous dit en forme d'entrée en matière, Alain Vircondelet** : " De la même manière que nous avons vu Alger s'engloutir dans les eaux de la Méditerranée, quand nous étions sur le pont, et qu'on n'avait plus rien ".
Reste aujourd'hui ce singulier creuset, cette mémoire très particulière mais tue, faute peut-être d'avoir ici suscité l'intérêt : il est vrai qu'avoir été de Bab-el-Oued, c'était, Espagnol, Italien ou Français, être d'abord sans le sou. Or, apprend-on quelque chose de ces gens là : Ecoutons.
Une véritable tour de Babel Bab-el-Oued n'a jamais été à une contradiction près : quand pour la protéger, entre le Xe siècle et le XIXe siècle, Alger fut bâtie exclusivement sur le rocher dont elle tire son nom Bab-el-Oued était cette carrière d'un calcaire très bleu utilisé pour construire les maisonnettes de la casbah. Habiter là, c'était déjà en soi être hors la ville. Y vivaient ceux qui travaillaient à la carrière. Espagnols venus de Valence pour trouver là un travail, Italiens dont plus personne ne voulait, même en Sicile. Eh bien, ce conglomérat de la Mare nostrum fut créé par un Allemand ! Un jour, en effet, un certain Lichtenstein qui ne se prénommait pas Roy, obtint de créer un véritable quartier, à l'une des six portes d'Alger: la carrière de Bab-el-Oued devint ce faubourg populeux, cette nouvelle Naples qui aurait fusionné avec Marseille, Tanger, Barcelone, Tunis. On y était un peu juif, un peu chrétien, un peu musulman, ressortissant Anglais sans raison, Suisse à l'occasion, tout à la fois mélangé et séparé, nourri de soleil et de mots, pétri de blague et de misère : " ils étaient heureux, parce qu'ils avaient trouvé plus malheureux qu'eux-mêmes au. au temps des déchirures, ce chaudron exalté du nord-ouest, d'Alger sombre pourtant dans l'excès. Reste malgré tout le souvenir d'autre chose. A ce titre, mais aussi parce que ce Lieux de mémoire est des plus réussis, nous ne saurions trop en recommander l'écoute.
Le : 18/01/2013 12:09
Une bonne et heureuse Année à vous tous de BEO et d'ailleurs, a bientôt amitiées etoile*
Le : 18/01/2013 12:08
Bonjour Christian, Une Bonne et heureuse Année 2013 pour toi, Ginette et famille, sinon je suis de retour dans le Var, et impossible de discuter avec les Copines, puisque je ne suis pas identifiée, pourquoi?, merçi de me répondre, bises etoile*
Le : 17/01/2013 23:53
bonjour,
je recherche lafamille qui habitait à côté de chez nous au Triolet, une fille s'appelait Monica, et les frères André et Antoine, je me rapelle plus du nom, c'est Batta ou Baca, je sais plus, les garçons faisaient de la boxe et Monica était ma copine d'école,
merci d'avance,
Felicia
je recherche lafamille qui habitait à côté de chez nous au Triolet, une fille s'appelait Monica, et les frères André et Antoine, je me rapelle plus du nom, c'est Batta ou Baca, je sais plus, les garçons faisaient de la boxe et Monica était ma copine d'école,
merci d'avance,
Felicia
Le : 17/01/2013 13:13
bonjour
je voulez vous remrcier pour tout se que vous fete pour nous les gent qui sont de bab eloud franchement du top je suis de bab eloued a la rue de nancy et j'ai vue la cite nancy au j'ai passe mon enfants
bon continuation
a bientot
je voulez vous remrcier pour tout se que vous fete pour nous les gent qui sont de bab eloud franchement du top je suis de bab eloued a la rue de nancy et j'ai vue la cite nancy au j'ai passe mon enfants
bon continuation
a bientot
Le : 16/01/2013 22:25
à l'attention de Michel Such
Je t'ai envoyé mes voeux qui sont restés sans réponse. Il est vrai que j'ai changé d'adresse e-mail, tu la trouveras dans la petite enveloppe. J'espère que tout va bien.
Je t'embrasse.
Anne Marie Cassar
Je t'ai envoyé mes voeux qui sont restés sans réponse. Il est vrai que j'ai changé d'adresse e-mail, tu la trouveras dans la petite enveloppe. J'espère que tout va bien.
Je t'embrasse.
Anne Marie Cassar
Le : 16/01/2013 01:22
Le tableau d'Alexandre Debelle "Alger 17 septembre 1860" n'est pas à Tunis mais chez moi !
Le : 15/01/2013 10:14
merci.pour.votre.devouement.j)etais.de.la.rue.j.j.rousseau.pres.de.l)epicerie.soriano....amicalement
Le : 14/01/2013 23:59
Bonjour,Jean-Louis,
ça fait un bail que nous ne nous sommes plus contactés.Il faut dire que j'ai eu des soucis d'ordi.
Je viens de lire avec "tendresse"aussi,le message que tu as écrit sur le livre d'or.ça en remue des souvenirs,tous ces mopts !!
Contacte-moi ,ça me fera un immense plaisir.
Je t'embrasse
Jacqueline
ça fait un bail que nous ne nous sommes plus contactés.Il faut dire que j'ai eu des soucis d'ordi.
Je viens de lire avec "tendresse"aussi,le message que tu as écrit sur le livre d'or.ça en remue des souvenirs,tous ces mopts !!
Contacte-moi ,ça me fera un immense plaisir.
Je t'embrasse
Jacqueline
Le : 14/01/2013 17:47
MEILLEURS VOEUX POUR 2013
BONNE SANTÉ SURTOUT ET POUVOIR SE RENCONTRER À ROGNES EN JUIN ET PASSER UNE EXCELLENTE JOURNÉE.
AMITIÉ
Jean-Pierre
BONNE SANTÉ SURTOUT ET POUVOIR SE RENCONTRER À ROGNES EN JUIN ET PASSER UNE EXCELLENTE JOURNÉE.
AMITIÉ
Jean-Pierre