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Le : 14/02/2013 22:19
Pô! Pô! Pô! Mustapha, mon frère, comment tu nous présentes l'affaire de la Saint Valentin! J'en reste babao ma parole! J'avais entendu dire que la Saint Valentin venait du fait que les oiseaux commençaient à s'accoupler à cette date et voila que tu nous apportes une autre version de la fête des amoureux! Bien entendu je préfère ta version, elle est tout aussi poétique, Merci encore Mustapha pour tes petits mots, en ce jour de Saint Valentin ce sont surement des mots d'amour! On apprécie beaucoup!
Le : 14/02/2013 13:44
Une fête vieille de 16 siècles
Et si la St-Valentin était berbère ?
La légende raconte que cette fête a été instaurée par un Berbère de la tribu des Djelass. Il est le descendant d’une lignée princière.
Oui, la Saint Valentin, fête de l’amour et des amoureux est bien une fête instaurée et décrétée par un Berbère de la tribu des Djelass, originaire du Maghreb, que les historiens localisent tantôt à Mila, dans le Constantinois, tantôt à Beni Yefrène (sud de Mostaganem) ou à Béni Saf (nord de Tlemcen). Ce Berbère de lignée princière - qu’importe son rang ou son origine géographique du Maghreb berbère - est devenu le 49e Pape de Rome (492/496) sous le nom de Saint-Gelasse 1er, succédant au Pape Phélix III.
L’une des toutes premières mesures qu’il eut à décréter, en 493, fut la suppression des fêtes Lupercales, grandes cérémonies païennes dédiées au paganisme et, par extension, aux excès sexuels pour une meilleure fécondité que recherchaient les femmes romaines. La fête des Lupercales est une fête de purification qui avait lieu à Rome du 13 au 15 février, c’est-à-dire à la fin de l’année romaine, qui commençait le 1er mars. Les Luperques, prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal (au pied du mont Palatin) où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus, après avoir découvert les deux jumeaux sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis), situé devant l’entrée de celle-ci, avant qu’il ne soient recueillis et élevés par le berger Faustulus et son épouse Acca Larentia, une prostituée surnommée lupa (en latin la louve), par les autres bergers de la région. Il est à noter que le terme de «figuier sauvage» ne s’applique qu’au figuier commun mâle, appelé aussi «caprifiguier» (caprificu, c’est-à-dire figuier de bouc).
Deux jeunes hommes, vêtus uniquement d’un pagne en peau de bouc, assistaient à la cérémonie. Le prêtre sacrificateur leur touchait le front de son couteau. Puis, le sang était essuyé d’un flocon de laine trempé dans le lait. A ce moment, les jeunes gens devaient rire aux éclats. Puis, ils couraient dans toute la ville de Rome. Ils étaient armés de lanières taillées dans la peau du bouc sacrifié, avec lesquelles ils fouettaient les femmes rencontrées sur leur passage et qui souhaitaient avoir un enfant dans l’année, afin de les rendre fécondes. Gelasse 1er, le Berbère de rang et de sang, ne se contenta pas de supprimer et d’interdire ces Lupercales païennes dédiées au paganisme, mais les fit remplacer par la Saint-Valentin, décrétée par lui Fête de l’amour, des amoureux et des fiancés. Il la datera entre le 13 et le 15 février, en plein c 1/2 ur des fêtes lupercales, c’est-à-dire le 14 février.
Et voilà plus de seize siècles, chaque année, le 14 février, des millions de femmes et d’hommes se rappellent et se disent pour la St-Valentin «combien je t’aime». Combien de millions d’Algériens et d’Algériennes savent-ils que c’est un petit Algérien devenu pape qui planta la première fleur du dire «je t’aime» ? Un petit Djelass anonyme de Béni-Yefrène ou de Béni Yenni, devenu Saint-Gilasse 1er, pontife reconnu et vénéré de l’Eglise romaine et des amours universelles a su planter la seule fleur qui pousse depuis des siècles pour dire combien je t’aime et combien on devrait s’aimer.
A toutes et à tous je vous souhaite une bonne fête de la St. Valentin
Et si la St-Valentin était berbère ?
La légende raconte que cette fête a été instaurée par un Berbère de la tribu des Djelass. Il est le descendant d’une lignée princière.
Oui, la Saint Valentin, fête de l’amour et des amoureux est bien une fête instaurée et décrétée par un Berbère de la tribu des Djelass, originaire du Maghreb, que les historiens localisent tantôt à Mila, dans le Constantinois, tantôt à Beni Yefrène (sud de Mostaganem) ou à Béni Saf (nord de Tlemcen). Ce Berbère de lignée princière - qu’importe son rang ou son origine géographique du Maghreb berbère - est devenu le 49e Pape de Rome (492/496) sous le nom de Saint-Gelasse 1er, succédant au Pape Phélix III.
L’une des toutes premières mesures qu’il eut à décréter, en 493, fut la suppression des fêtes Lupercales, grandes cérémonies païennes dédiées au paganisme et, par extension, aux excès sexuels pour une meilleure fécondité que recherchaient les femmes romaines. La fête des Lupercales est une fête de purification qui avait lieu à Rome du 13 au 15 février, c’est-à-dire à la fin de l’année romaine, qui commençait le 1er mars. Les Luperques, prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal (au pied du mont Palatin) où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus, après avoir découvert les deux jumeaux sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis), situé devant l’entrée de celle-ci, avant qu’il ne soient recueillis et élevés par le berger Faustulus et son épouse Acca Larentia, une prostituée surnommée lupa (en latin la louve), par les autres bergers de la région. Il est à noter que le terme de «figuier sauvage» ne s’applique qu’au figuier commun mâle, appelé aussi «caprifiguier» (caprificu, c’est-à-dire figuier de bouc).
Deux jeunes hommes, vêtus uniquement d’un pagne en peau de bouc, assistaient à la cérémonie. Le prêtre sacrificateur leur touchait le front de son couteau. Puis, le sang était essuyé d’un flocon de laine trempé dans le lait. A ce moment, les jeunes gens devaient rire aux éclats. Puis, ils couraient dans toute la ville de Rome. Ils étaient armés de lanières taillées dans la peau du bouc sacrifié, avec lesquelles ils fouettaient les femmes rencontrées sur leur passage et qui souhaitaient avoir un enfant dans l’année, afin de les rendre fécondes. Gelasse 1er, le Berbère de rang et de sang, ne se contenta pas de supprimer et d’interdire ces Lupercales païennes dédiées au paganisme, mais les fit remplacer par la Saint-Valentin, décrétée par lui Fête de l’amour, des amoureux et des fiancés. Il la datera entre le 13 et le 15 février, en plein c 1/2 ur des fêtes lupercales, c’est-à-dire le 14 février.
Et voilà plus de seize siècles, chaque année, le 14 février, des millions de femmes et d’hommes se rappellent et se disent pour la St-Valentin «combien je t’aime». Combien de millions d’Algériens et d’Algériennes savent-ils que c’est un petit Algérien devenu pape qui planta la première fleur du dire «je t’aime» ? Un petit Djelass anonyme de Béni-Yefrène ou de Béni Yenni, devenu Saint-Gilasse 1er, pontife reconnu et vénéré de l’Eglise romaine et des amours universelles a su planter la seule fleur qui pousse depuis des siècles pour dire combien je t’aime et combien on devrait s’aimer.
A toutes et à tous je vous souhaite une bonne fête de la St. Valentin
Le : 13/02/2013 21:47
BONSOIR
C EST TRES INTÉRESSANT SE QUE VOUS FAITE POUR NOUS , GRACE A VOUS NOUS AVONS LA CHANCE D'EXPLORER NOTRE PASSER AU PRESENT RECENT POUR CONSULTER
NOS SOUVENIR .
CAR JE VOUDRAI VOIR MES PHOTOS QUI DATENT DE 1981 à 1983
MERCI
SALUTATION DISTINGUÉE
C EST TRES INTÉRESSANT SE QUE VOUS FAITE POUR NOUS , GRACE A VOUS NOUS AVONS LA CHANCE D'EXPLORER NOTRE PASSER AU PRESENT RECENT POUR CONSULTER
NOS SOUVENIR .
CAR JE VOUDRAI VOIR MES PHOTOS QUI DATENT DE 1981 à 1983
MERCI
SALUTATION DISTINGUÉE
Le : 13/02/2013 00:13
Bonsoir Bonsoir à toutes mes amies et à tous vu le nombre important de messages que j'ai reçu ces deux derniers jours je suis entrain de faire un effort pour répondre à toutes et à tous. J'ai gardé le lit depuis hier , mais c'est ma faute dés qu'il fait un peut beau je me met en demie manche , puis 3 ou 4 heures après en pull manches longues et Rebelote.
Ma femme n'arrête pas de me dis "Toi un jour tu va avoir un gros problème de santé si tu ne t'arrêtes pas de crois que tu a encore 20 ans" . Et elle a bien raison je fait le con et je le paye cash. Vous connaissez tous le sketch " Tonton pourquoi tu tousse " de Fernand Raynaud et bien je suis comme lui .Passez une bonne nuit et ne faites pas comme moi prenez bien soin de vous et portez vous bien. Je vous promet que je répondrais à tous.
Mustapha
Ma femme n'arrête pas de me dis "Toi un jour tu va avoir un gros problème de santé si tu ne t'arrêtes pas de crois que tu a encore 20 ans" . Et elle a bien raison je fait le con et je le paye cash. Vous connaissez tous le sketch " Tonton pourquoi tu tousse " de Fernand Raynaud et bien je suis comme lui .Passez une bonne nuit et ne faites pas comme moi prenez bien soin de vous et portez vous bien. Je vous promet que je répondrais à tous.
Mustapha
Le : 12/02/2013 13:06
Belle journée à vous les amis.
Merci Mustapha pour ces belles nouvelles photos du quartier, ah que de souvenirs.
Merci Mustapha pour ces belles nouvelles photos du quartier, ah que de souvenirs.
Le : 10/02/2013 14:27
Bonjour à tous les pieds-noirs.Est-ce que le rassemblement à Rognes est le jour de la Pentecôte ou bien le 2 juin,comme certains le disent.Est-ce que il y aura confirmation sur le site afin que mon fils puisse prendre des congès car c'estlui qui nous conduit,car nous partons toujours la veille et retournons chez nous le lendemain.Amitiés à tous.
Le : 08/02/2013 19:14
Ceci est un avertissement au lecteur au sens figuré bien entendu !
(Familier) se dit d’un événement ou de toute autre chose qui peut avertir qu’on doit prendre certaines précautions pour sa conduite.
anglais : warning (en) arabe : تَحْذير (ar) (taḥḏîr)
Nous n'avons pas en face de nous des personnes cyniques ou nulles, nous avons en face de nous des croyances solidement ancrées dans l'esprit des gens, doublées parfois d’une couche épaisse de résignation et de fatalité. Changer ces croyances et combattre cette résignation ne sera pas chose aisée mais nous devons nous y atteler, et surtout ne pas nous résigner nous-mêmes. Tout ne dépend pas de nous, mais ce qui dépend de nous, il faut le continuer sans relâche.
Ceci est exprimé pour répondre aux très nombreux messages reçus du fait de mon absence du site que je retrouve avec bonheur en partageant mes lectures (ci-dessous) et qui me permet entre autres de remercier et féliciter très chaleureusement pour leurs écrits les amis contributeurs Mustapha et Youcef Delhoum notamment pour son pot-pourri de la soute à bagages….
(Familier) se dit d’un événement ou de toute autre chose qui peut avertir qu’on doit prendre certaines précautions pour sa conduite.
anglais : warning (en) arabe : تَحْذير (ar) (taḥḏîr)
Nous n'avons pas en face de nous des personnes cyniques ou nulles, nous avons en face de nous des croyances solidement ancrées dans l'esprit des gens, doublées parfois d’une couche épaisse de résignation et de fatalité. Changer ces croyances et combattre cette résignation ne sera pas chose aisée mais nous devons nous y atteler, et surtout ne pas nous résigner nous-mêmes. Tout ne dépend pas de nous, mais ce qui dépend de nous, il faut le continuer sans relâche.
Ceci est exprimé pour répondre aux très nombreux messages reçus du fait de mon absence du site que je retrouve avec bonheur en partageant mes lectures (ci-dessous) et qui me permet entre autres de remercier et féliciter très chaleureusement pour leurs écrits les amis contributeurs Mustapha et Youcef Delhoum notamment pour son pot-pourri de la soute à bagages….
Le : 08/02/2013 18:55
Jocelyne-Eléonore MAROT - Les dentelles de la mémoire - 2011 Géhess Editions (260 p.)
Géhess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-113-9
En 2005, l’élégante Sylvia revient dans la morne Angoulême enseigner au lycée privé dans lequel elle fut une élève brillante mais aussi « la moricaude frisée » constamment humiliée par ses camarades en raison des origines « pied-noir » de sa mère. Ce retour, le rachat discret de la superbe propriété de son père, sa liberté assumée de « fille-mère », tout cela excite aussitôt curiosité, jalousie et médisances. Elle retrouve, parmi d’autres, l’hostile et riche famille La Ribardière, incarnation de la bourgeoisie provinciale mesquine, hypocrite, campée sur ses privilèges et ses préjugés jusqu’à la caricature. L’occasion pour l’auteur de dresser une galerie de portraits sans concession. Sylvia, revivant tout un passé de vexations et de mépris, observe, avec un certain plaisir de revanche, le délitement de cette famille au sein de laquelle se dévoilent peu à peu des secrets peu glorieux.
Elle fréquente aussi ses cousins, ses amis pieds-noirs. Accueil chaleureux, générosité, affection… Quel contraste ! Pourtant ils ont tout perdu dans leur terrible exil imposé en 1962. Ensemble ils évoquent ce traumatisme d’autant plus douloureux qu’ils ont été bien mal accueillis en métropole. Mais la trop belle héroïne généreuse, magnanime, saura faire taire son besoin de vengeance et mettre son intelligence et son coeur au-dessus de ces triviales contingences. Enfin apaisée, elle pourra renouer avec le bonheur.
Un roman intéressant et réussi dans la création de cette atmosphère entachée de médiocrité et de fiel qui ne manque pas de rappeler celle de Mauriac ou de Maupassant et qui dit avec justesse la souffrance des rapatriés d’Algérie.
Géhess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-113-9
En 2005, l’élégante Sylvia revient dans la morne Angoulême enseigner au lycée privé dans lequel elle fut une élève brillante mais aussi « la moricaude frisée » constamment humiliée par ses camarades en raison des origines « pied-noir » de sa mère. Ce retour, le rachat discret de la superbe propriété de son père, sa liberté assumée de « fille-mère », tout cela excite aussitôt curiosité, jalousie et médisances. Elle retrouve, parmi d’autres, l’hostile et riche famille La Ribardière, incarnation de la bourgeoisie provinciale mesquine, hypocrite, campée sur ses privilèges et ses préjugés jusqu’à la caricature. L’occasion pour l’auteur de dresser une galerie de portraits sans concession. Sylvia, revivant tout un passé de vexations et de mépris, observe, avec un certain plaisir de revanche, le délitement de cette famille au sein de laquelle se dévoilent peu à peu des secrets peu glorieux.
Elle fréquente aussi ses cousins, ses amis pieds-noirs. Accueil chaleureux, générosité, affection… Quel contraste ! Pourtant ils ont tout perdu dans leur terrible exil imposé en 1962. Ensemble ils évoquent ce traumatisme d’autant plus douloureux qu’ils ont été bien mal accueillis en métropole. Mais la trop belle héroïne généreuse, magnanime, saura faire taire son besoin de vengeance et mettre son intelligence et son coeur au-dessus de ces triviales contingences. Enfin apaisée, elle pourra renouer avec le bonheur.
Un roman intéressant et réussi dans la création de cette atmosphère entachée de médiocrité et de fiel qui ne manque pas de rappeler celle de Mauriac ou de Maupassant et qui dit avec justesse la souffrance des rapatriés d’Algérie.
Le : 08/02/2013 18:54
Jocelyne-Eléonore MAROT - Carrefour des incertitudes - (Alger 1962) Récit (293 p.)
Frank Pitel & Gehess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-047-7
Jocelyne-Eléonore MAROT Docteur en littérature, professeur de Lettres, titulaire des Palmes Académiques, membre de l’Académie du Var, elle a partagé sa carrière entre la Charente et le Var.
Cet ouvrage n’est pas un roman mais un récit authentique précise l’auteur en avant-propos. Il se présente en effet comme une chronique fragmentaire et subjective des événements vécus par la jeune héroïne de 19ans.
Alger : 27 janvier – 26 mars 1962.
Etudiante en droit, Claudette a rejoint son père, officier de police en poste à Alger. Elle fréquente l’Otomatic, point de ralliement de ses nouveaux amis pieds-noirs dont elle veut partager les idéaux et le destin. Le bar s’anime de leurs disputes politiques, ranc 1/2 urs, sarcasmes, élans désespérés mais sans compromis pour une Algérie française.
Parmi eux, Frédéric, interne à l’hôpital, avec qui elle découvre l’amour absolu, lumineux, malgré leur environnement éprouvant, secoué par des plasticages quotidiens, des attentats meurtriers… Une expérience qui bouleverse sa vie.
Frank Pitel & Gehess Agence Editoriale - ISBN : 978-2-35464-047-7
Jocelyne-Eléonore MAROT Docteur en littérature, professeur de Lettres, titulaire des Palmes Académiques, membre de l’Académie du Var, elle a partagé sa carrière entre la Charente et le Var.
Cet ouvrage n’est pas un roman mais un récit authentique précise l’auteur en avant-propos. Il se présente en effet comme une chronique fragmentaire et subjective des événements vécus par la jeune héroïne de 19ans.
Alger : 27 janvier – 26 mars 1962.
Etudiante en droit, Claudette a rejoint son père, officier de police en poste à Alger. Elle fréquente l’Otomatic, point de ralliement de ses nouveaux amis pieds-noirs dont elle veut partager les idéaux et le destin. Le bar s’anime de leurs disputes politiques, ranc 1/2 urs, sarcasmes, élans désespérés mais sans compromis pour une Algérie française.
Parmi eux, Frédéric, interne à l’hôpital, avec qui elle découvre l’amour absolu, lumineux, malgré leur environnement éprouvant, secoué par des plasticages quotidiens, des attentats meurtriers… Une expérience qui bouleverse sa vie.