Liste des messages
Le : 03/03/2013 10:11
bonjour tout le monde
je souhaite à Ginette et à toutes nos grands-mères de BEO une très bonne fête entourées de vos petits ou pas et à tous un bon dimanche
bises
Perlette
je souhaite à Ginette et à toutes nos grands-mères de BEO une très bonne fête entourées de vos petits ou pas et à tous un bon dimanche
bises
Perlette
Le : 02/03/2013 23:06
bonsoir a toutes & a tous j habitais 1 rue nobel a alger bab el oued si ya des personnes qui me reconnaissent laissais moi un message merci d avance a tous & a bientot sur le site
Le : 28/02/2013 00:25
J'attacherais un grand prix à retrouver avant de prendre le dernier train en partance pour l'au delà,2 camarades de régiment qui comme moi ont 85 ans Nous etions du 27è Train ,détachés au Sce du Recrutement caserne d'Orléans Il s'agit de Christian DELLA MONICA qui habitait Bd de Provence Cité des Italiens ( son frére était accordéoniste)et de André DEBONO Qui habitait route de N D D'Afique Il était relieur (de talent) à La TYPO LITHO Les frères DEBONO étaient nombreux et s'il me souvient bien, tenaient le Garage des Cars SOUFI rue Montaigne J'habitais moi meme 5rue ROSETTI immeuble face au cinéma BIJOU qui appartenait à la famille SIARI dont le fils Richard s'était établi comme chirurgien dentiste au 1 de la rue ROSetti Que sont_ils devenus? Merçi à celles ou à ceux qui pourraient me fixer sur leur sort
Le : 27/02/2013 18:28
Pour avoir des souvenirs de jeunesse, encore faut-il avoir un certain âge, sinon un âge certain !
Les jeunes et les ados sont en train de les vivre, sans s'en rendre compte et un détail, une saveur, une odeur ou un bruit leur explosera aux yeux, en bouche, en nez ou en oreilles dans quelques dizaines d'années : il faut leur souhaiter que ce sera alors un excellent souvenir .... Chacun a sa "madeleine de Proust".
Les messages échangés le 22 février dernier entre Claude-France et Joce à propos d’un prof de danse ont brusquement soulevé une feuille parmi les milliers de mille-feuilles de mes souvenirs en libérant ces images, ces bruits et ces odeurs des années 58, les faisant revivre et les réanimant comme dans ces contes de notre enfance où, après un long sommeil, la vie reprend son cours et le temps ses rythmes plus ou moins sereins.
Ceci pour raconter les dimanches matin où ce peuple si attachant d’hommes, de femmes et d’enfants de Babeloued envahissaient les alentours du marché, discutaient partout, au milieu de la chaussée, s’écartant au passage lent des véhicules peu pressés ou marquant l’arrêt pour échanger quelques plaisanteries avec les copains, dans une atmosphère de bonheur simple qui leur permettait de profiter de la trêve dominicale et d’oublier les misères de la semaine …
Les bars étaient pleins à craquer, les uns jouant aux cartes, d’autres au jacquet, d’autres encore au comptoir, mangeant la kémia ou buvant l’anisette jusque sur les trottoirs, parlant des matchs qui auraient lieu l’après-midi, s’enflammant et s’affrontant suivant qu’ils étaient supporters de l’ASSE ou du GALLIA, dans un halo de fumée de plus en plus épais, au milieu des conversations de plus en plus sonores et inaudibles, des odeurs multiples des fritures, escargots, sardines, cacahuètes grillées, moules à l’escabèche etc…
Et puis, sortie de nulle part, comme un sortilège, une apparition ! ! !
Un silence, court il est vrai, la salue ; un silence accompagné d’un déplacement précipité de nos habitués vers l’extérieur ou près des fenêtres et des dizaines de paires d’yeux, hors les orbites, à la manière du loup des films de Tex Avery, admirent sa démarche dynamique, sa robe légère et virevoltante, ses jambes musclées juchées sur de hauts talons, sa taille de guêpe, sa longue queue de cheval, sa jeune beauté empreinte d’une élégance et d’un port peu communs.
Andrée, à l’époque, je me demandais comment tu pouvais traverser au milieu de ces mâles dont les compliments étaient sûrement très osés mais je ne connaissais rien au monde des danseuses de l’Opéra et je comprends aujourd’hui que tu n’y prêtais pas attention.
Si tu me lis, sache que nous t’admirions tous comme Melle A… , danseuse elle aussi ou comédienne, qui était aussi brune que toi, blonde. Véritable bombe, elle a certainement fait tourner la tête de nombreux admirateurs.
Toi, tu habitais du côté de la place Willermoz, près du commissariat du 5è arrondissement,
elle, du côté du Bd de Champagne chez ses parents avec son frère Jean-Pierre, copain de classe au Lycée, devenu grand reporter sur Antenne 2.
Merci donc à Claude-France et à Joce de m’avoir permis de retrouver ces souvenirs, de les partager avec vous et de continuer à chanter
« Ah ! Quelles étaient jolies les filles de mon pays »
Les jeunes et les ados sont en train de les vivre, sans s'en rendre compte et un détail, une saveur, une odeur ou un bruit leur explosera aux yeux, en bouche, en nez ou en oreilles dans quelques dizaines d'années : il faut leur souhaiter que ce sera alors un excellent souvenir .... Chacun a sa "madeleine de Proust".
Les messages échangés le 22 février dernier entre Claude-France et Joce à propos d’un prof de danse ont brusquement soulevé une feuille parmi les milliers de mille-feuilles de mes souvenirs en libérant ces images, ces bruits et ces odeurs des années 58, les faisant revivre et les réanimant comme dans ces contes de notre enfance où, après un long sommeil, la vie reprend son cours et le temps ses rythmes plus ou moins sereins.
Ceci pour raconter les dimanches matin où ce peuple si attachant d’hommes, de femmes et d’enfants de Babeloued envahissaient les alentours du marché, discutaient partout, au milieu de la chaussée, s’écartant au passage lent des véhicules peu pressés ou marquant l’arrêt pour échanger quelques plaisanteries avec les copains, dans une atmosphère de bonheur simple qui leur permettait de profiter de la trêve dominicale et d’oublier les misères de la semaine …
Les bars étaient pleins à craquer, les uns jouant aux cartes, d’autres au jacquet, d’autres encore au comptoir, mangeant la kémia ou buvant l’anisette jusque sur les trottoirs, parlant des matchs qui auraient lieu l’après-midi, s’enflammant et s’affrontant suivant qu’ils étaient supporters de l’ASSE ou du GALLIA, dans un halo de fumée de plus en plus épais, au milieu des conversations de plus en plus sonores et inaudibles, des odeurs multiples des fritures, escargots, sardines, cacahuètes grillées, moules à l’escabèche etc…
Et puis, sortie de nulle part, comme un sortilège, une apparition ! ! !
Un silence, court il est vrai, la salue ; un silence accompagné d’un déplacement précipité de nos habitués vers l’extérieur ou près des fenêtres et des dizaines de paires d’yeux, hors les orbites, à la manière du loup des films de Tex Avery, admirent sa démarche dynamique, sa robe légère et virevoltante, ses jambes musclées juchées sur de hauts talons, sa taille de guêpe, sa longue queue de cheval, sa jeune beauté empreinte d’une élégance et d’un port peu communs.
Andrée, à l’époque, je me demandais comment tu pouvais traverser au milieu de ces mâles dont les compliments étaient sûrement très osés mais je ne connaissais rien au monde des danseuses de l’Opéra et je comprends aujourd’hui que tu n’y prêtais pas attention.
Si tu me lis, sache que nous t’admirions tous comme Melle A… , danseuse elle aussi ou comédienne, qui était aussi brune que toi, blonde. Véritable bombe, elle a certainement fait tourner la tête de nombreux admirateurs.
Toi, tu habitais du côté de la place Willermoz, près du commissariat du 5è arrondissement,
elle, du côté du Bd de Champagne chez ses parents avec son frère Jean-Pierre, copain de classe au Lycée, devenu grand reporter sur Antenne 2.
Merci donc à Claude-France et à Joce de m’avoir permis de retrouver ces souvenirs, de les partager avec vous et de continuer à chanter
« Ah ! Quelles étaient jolies les filles de mon pays »
Le : 27/02/2013 11:09
BONJOUR A VOUS TOUS.
BONNE ANNIVERSAIRE A GINETTE,BISES A VOUS DEUX .ET MERVEILLEUSE HISTOIRE RACONTÉ PAR NOTRE GRAND AMI MUSTAPHA.
APRÈS LA NEIGE ,NOUS A VONS UN BEAU SOLEIL A TOULOUSE,ET ÇA NOUS RÉCHAUFFE LE COEUR.BISES A TOUS ,ROSETTE.
BONNE ANNIVERSAIRE A GINETTE,BISES A VOUS DEUX .ET MERVEILLEUSE HISTOIRE RACONTÉ PAR NOTRE GRAND AMI MUSTAPHA.
APRÈS LA NEIGE ,NOUS A VONS UN BEAU SOLEIL A TOULOUSE,ET ÇA NOUS RÉCHAUFFE LE COEUR.BISES A TOUS ,ROSETTE.
Le : 27/02/2013 02:55
Salut,mon ami ton message m'a fait venir les larmes aux yeux,et je pense a tout ceux qui ne connaissent pas notre paradis a jamais.Notre plus tendre enfance ne peu s'oublier.Amitiéssss .
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Le : 26/02/2013 18:55
Joyeux Anniversaire Ginette, bises à tous les deux à bientôt etoile*
Le : 25/02/2013 20:15
C’est une Histoire vrais vécu par un compatriote algérien à l’aéroport Charles De Gaulle
Départ Paris /Alger. Notre compatriote remet son passe port à la préposée de la police des frontières. Lorsque celle-ci lu né à Bab El Oued Algérie. Elle lui demanda. Comment va l’Algérie ? Ca va très bien, répond l’algérien. Tout ce que l’on souhaite, c’est que ça continue à aller autant bien que mal.
Depuis combien de temps, vivez vous en France ?
Je viens de boucler ma 20ème année.
A quand remonte votre dernière visite en Algérie ?
C’était il y a deux ans.
Elle le fixe des yeux en souriant et lui dit : Laquelle vous aimez le plus l’Algérie ou la France ?
La différence que je fais entre l’Algérie et la France est comme celle que je fais entre mon épouse et ma mère. Mon épouse je l’ai choisie je suis tombé sous son charme, je l’aime, j’en suis amoureux, mais elle ne peut en aucun cas me faire oublier ma mère. Je n’ai pas choisi ma mère, mais je sais que je lui appartiens. Je ne me sens bien que dans ses bras, je ne pleure que sur son épaule.
L’agent de la PAF referma le passe port ; le fixa avec étonnement et lui dit : On entend souvent dire que la vie est dure en Algérie. Comment pouvez vous aimer autant ce pays ?
Vous voulez dire ma mère.
Elle sourit et dit si vous voulez.
Ma mère est peut-être pauvre ; elle n’a pas de quoi me payer mes soins, encore moins les honoraires du médecin. Mais la tendresse de son giron quand elle m’étreint et la chaleur de son c 1/2 ur lorsque je suis dans ses bras, suffisent à me guérir.
Décrivez moi l’Algérie.
Elle n’a pas la beauté d’une blonde, mais la vue de son visage vous apaise. Elle n’a pas les yeux bleus, mais sa vue vous met en sécurité. Ses vêtements sont simples, mais elle a dans ses plis bonté et miséricorde. Elle ne se pare pas d’or et d’argent, mais elle porte à son cou un collier d’épis de blé dont elle nourrit tout affamé. Les brigands l’ont spolié et pillé de ses richesses.
L’agent de la PAF continue de sourire. Elle lui rend son passe port et lui dit.
Je connais l’Algérie à travers les écrans de télé, mais je ne trouve rien de ce que vous m’avez décrit.
Vous avez vu l’Algérie des cartes de géographie. Quand à moi je parle de l’Algérie enfouie dans mes entrailles.
Je souhaite que votre fidélité pour la France égale celle que vous ressentez pour l’Algérie, Je veux dire votre fidélité à l’épouse autant qu’à la mère.
Entre la France et moi existe un contrat auquel je dois fidélité et respect. Et je ne suis pas de ceux qui ne respectent pas leur contrat. Et je souhaiterais que vous sachiez que cette fidélité, c’est ma mère qui me l’a enseignée.
Départ Paris /Alger. Notre compatriote remet son passe port à la préposée de la police des frontières. Lorsque celle-ci lu né à Bab El Oued Algérie. Elle lui demanda. Comment va l’Algérie ? Ca va très bien, répond l’algérien. Tout ce que l’on souhaite, c’est que ça continue à aller autant bien que mal.
Depuis combien de temps, vivez vous en France ?
Je viens de boucler ma 20ème année.
A quand remonte votre dernière visite en Algérie ?
C’était il y a deux ans.
Elle le fixe des yeux en souriant et lui dit : Laquelle vous aimez le plus l’Algérie ou la France ?
La différence que je fais entre l’Algérie et la France est comme celle que je fais entre mon épouse et ma mère. Mon épouse je l’ai choisie je suis tombé sous son charme, je l’aime, j’en suis amoureux, mais elle ne peut en aucun cas me faire oublier ma mère. Je n’ai pas choisi ma mère, mais je sais que je lui appartiens. Je ne me sens bien que dans ses bras, je ne pleure que sur son épaule.
L’agent de la PAF referma le passe port ; le fixa avec étonnement et lui dit : On entend souvent dire que la vie est dure en Algérie. Comment pouvez vous aimer autant ce pays ?
Vous voulez dire ma mère.
Elle sourit et dit si vous voulez.
Ma mère est peut-être pauvre ; elle n’a pas de quoi me payer mes soins, encore moins les honoraires du médecin. Mais la tendresse de son giron quand elle m’étreint et la chaleur de son c 1/2 ur lorsque je suis dans ses bras, suffisent à me guérir.
Décrivez moi l’Algérie.
Elle n’a pas la beauté d’une blonde, mais la vue de son visage vous apaise. Elle n’a pas les yeux bleus, mais sa vue vous met en sécurité. Ses vêtements sont simples, mais elle a dans ses plis bonté et miséricorde. Elle ne se pare pas d’or et d’argent, mais elle porte à son cou un collier d’épis de blé dont elle nourrit tout affamé. Les brigands l’ont spolié et pillé de ses richesses.
L’agent de la PAF continue de sourire. Elle lui rend son passe port et lui dit.
Je connais l’Algérie à travers les écrans de télé, mais je ne trouve rien de ce que vous m’avez décrit.
Vous avez vu l’Algérie des cartes de géographie. Quand à moi je parle de l’Algérie enfouie dans mes entrailles.
Je souhaite que votre fidélité pour la France égale celle que vous ressentez pour l’Algérie, Je veux dire votre fidélité à l’épouse autant qu’à la mère.
Entre la France et moi existe un contrat auquel je dois fidélité et respect. Et je ne suis pas de ceux qui ne respectent pas leur contrat. Et je souhaiterais que vous sachiez que cette fidélité, c’est ma mère qui me l’a enseignée.