Liste des messages
Le : 14/04/2013 19:59
A Mr OUALIKENE Cher Monsieur,je viens de lire "Lettre d'un vieux père à son fils . J'en ai été très touché , et vous en félicite . Ce message plein d'amour d'un père pour son fils , reflète bien l'état d'esprit des personnes agées qui se sentent délaissées par leur progéniture au moment ou elles en auraient le plus besoin. C'est intolérable pour ces personnes qui se sont sacrifiées pour leurs enfants, et qui malheureusement finissent pratiquement dans la solitude la plus insupportable. Sans compter celles qui se retrouvent enfermées, contraintes et forcées ,dans certaines maisons de retraite ,souvent malmenées et incapables de se plaindre ,de peur de s'attirer les foudres du personnel. C'est bien triste d'assister de nos jours à de tels comportement. Je dois reconnaitre que cet abandon n'existait pas chez nous,comme en Afrique Noire où je me suis expatrié plutot que de rejoindre la France " Terre d'Asile" Agé de 85 Ans je n'ai pas à me plaindre de ce coté là .J'ai élevé ma fille aujourd'hui médeçin dans la tradition PN. Les miens n'en ont jamais soufferts non plus,malgré l'exil forcé et "l'accueil chaleureux de mes concitoyens" Cordialement votre.
Le : 14/04/2013 19:44
Bonjour à tous,
Juste une petite question, la source de l'Eden plage, est-ce le lieu que décrit Camus dans "l'Etranger".
:-)
Juste une petite question, la source de l'Eden plage, est-ce le lieu que décrit Camus dans "l'Etranger".
:-)
Le : 14/04/2013 16:55
Moi aussi mon cher ami je suis né à la rampe valée plus précisément à la clinique Verdun .Je suis né le 31 août 1948.Nous avons habité jusqu'en 1960 puis on a déménagé à notre dame d'Afrique nous avons habité la rue André Chenier.J'ai étudié à l'école St.Augustin,le directeur s'appelait si ma mémoire est bonne monsieur Caporal.Que de souvenirs.Justement j'ai trouvé une de mes photos à côté de Bétrouni Omar un célèbre joueur de football en Algérie .Le plaisir de te lire mon cher compatriote et ami!!!
Le : 11/04/2013 22:19
Lettre d’un vieux père à son fils
Si un jour tu me voies vieux, si je me sali quand je mange et que je ne réussi pas à m’habiller, soit compréhensif, souvient toi du temps que j’ai passé pour t’apprendre.
Si quand je parle avec toi je répète toujours les mêmes choses, ne m’interromps pas, écoute moi. Quand tu étais petit je devais te raconte chaque soir la même histoire avant que tu ne t’endormes.
Quand je ne veux pas me laver ne me fait pas honte, souviens toi quand je devais te courir après en inventant milles excuses pour que tu aille au bain.
Quand tu vois mon ignorance pour les nouvelles technologies, donne moi le temps nécessaire pour apprendre et ne me regarde pas avec se sourire ironique, j’ai eu tant de patience pour t’apprendre l’alphabet.
Quand par moment je n’arrive pas à me souvenir ou que je perd le fil de la conversation, donne moi le temps nécessaire à retrouver la mémoire et si je n’y arrive pas ne t’énerve pas, la chose la plus importante n’est pas ce que je dit mais le besoin d’être avec toi et de t’avoir là a m’écouter.
Quand mes jambes fatiguées n’arrivent plus à tenir la cadence de tes pas, ne me considère pas comme un boulet, viens vers moi et offre moi la force de tes bras comme je l’ai fait lorsque tu as fait tes premiers pas.
Quand je dis que j’aimerais être mort, ne te fâche pas, un jour tu comprendras se qui me pousse à le dire. Essaie de comprendre qu’à mon âge on ne vie pas on survie.
Un jour tu découvriras que malgré mes erreurs je n’ai toujours voulu que le meilleur pour toi, que j’ai tenté de te préparer la route.
Donne moi un peut de ton temps, donne moi un peut de ta patience, donne moi une épaule sur laquelle poser ma tête de la même façon que je l’ai fait pour toi.
Aide moi à avancer, aide moi à finir mes jours avec amour et compréhension, en échange je n’aurais que mon sourire et l’immense amour que j’ai toujours eu pour toi.
Je t’aime mon fils.
Si un jour tu me voies vieux, si je me sali quand je mange et que je ne réussi pas à m’habiller, soit compréhensif, souvient toi du temps que j’ai passé pour t’apprendre.
Si quand je parle avec toi je répète toujours les mêmes choses, ne m’interromps pas, écoute moi. Quand tu étais petit je devais te raconte chaque soir la même histoire avant que tu ne t’endormes.
Quand je ne veux pas me laver ne me fait pas honte, souviens toi quand je devais te courir après en inventant milles excuses pour que tu aille au bain.
Quand tu vois mon ignorance pour les nouvelles technologies, donne moi le temps nécessaire pour apprendre et ne me regarde pas avec se sourire ironique, j’ai eu tant de patience pour t’apprendre l’alphabet.
Quand par moment je n’arrive pas à me souvenir ou que je perd le fil de la conversation, donne moi le temps nécessaire à retrouver la mémoire et si je n’y arrive pas ne t’énerve pas, la chose la plus importante n’est pas ce que je dit mais le besoin d’être avec toi et de t’avoir là a m’écouter.
Quand mes jambes fatiguées n’arrivent plus à tenir la cadence de tes pas, ne me considère pas comme un boulet, viens vers moi et offre moi la force de tes bras comme je l’ai fait lorsque tu as fait tes premiers pas.
Quand je dis que j’aimerais être mort, ne te fâche pas, un jour tu comprendras se qui me pousse à le dire. Essaie de comprendre qu’à mon âge on ne vie pas on survie.
Un jour tu découvriras que malgré mes erreurs je n’ai toujours voulu que le meilleur pour toi, que j’ai tenté de te préparer la route.
Donne moi un peut de ton temps, donne moi un peut de ta patience, donne moi une épaule sur laquelle poser ma tête de la même façon que je l’ai fait pour toi.
Aide moi à avancer, aide moi à finir mes jours avec amour et compréhension, en échange je n’aurais que mon sourire et l’immense amour que j’ai toujours eu pour toi.
Je t’aime mon fils.
Le : 11/04/2013 18:12
Mon cher Mustapha, avec ces débuts de la télévision, tu nous fais revivre des moments de bonheur de notre jeunesse ! On n’avait pas de poste chez nous mais comme beaucoup, on la regardait derrière la vitrine de chez « Discophone, avenue de la Bouzaréah ou on allait – rarement - chez une connaissance voir en particulier « la piste aux Etoiles » je crois. Maintenant la télé a déréglé complètement notre vie, certains passent trop de temps devant leur écran !
Je me souviens du temps où nos parents, sur la soirée à la fraîche, s’asseyaient sur le pas de la porte qu’on nommait « portalette » ou même sur une chaise et tenaient la conversation, en tricotant ou pas, avec leurs voisins et voisines ! Va saouar qu’est-ce qu’ils se racontaient ceux-là !
Je me souviens du temps où nos parents, sur la soirée à la fraîche, s’asseyaient sur le pas de la porte qu’on nommait « portalette » ou même sur une chaise et tenaient la conversation, en tricotant ou pas, avec leurs voisins et voisines ! Va saouar qu’est-ce qu’ils se racontaient ceux-là !
Le : 09/04/2013 22:51
Pour Philippe Mazzela Sur le site né à Bab El Oued il y a des photos de la rue Jean Jaurès que j'ai pris et que Christian à bien mis sur le site il faut juste aller sur photos diverses rues de Bab El Oued. Je vous souhaite une bonne visite. Portez vous bien
Le : 09/04/2013 19:33
bonsoir
a tous hasard je suis nee a alger en 1959 je suis partis j'avais 2 ans
je n'ais pas connu l'algerie qu'a travers des photos sur internet mes parents habite rue jean jaures a bab el oued au 22 avez vous des photos ?
bien cordialement
a tous hasard je suis nee a alger en 1959 je suis partis j'avais 2 ans
je n'ais pas connu l'algerie qu'a travers des photos sur internet mes parents habite rue jean jaures a bab el oued au 22 avez vous des photos ?
bien cordialement
Le : 09/04/2013 08:42
Je me souviens de la 1ère télé à Alger qui est arrivée en décembre.
Mon père l'avait achetée 2 mois plus tard et nous étions pratiquement les seuls dans le quartier à en posséder une. Aussi quand il y avait un beau programme, il y avait tous les voisins à la maison.
Je me rappelle que ma voisine madame Sabatier demandait à ma mère :
"il y a Gilles Margaritis ce soir" ? Et hop elle arrivait avec les autres voisins dans une ambiance très conviviale et très familiale.
Mais cette voisine ne manquait pas aussi lorsqu'elle faisait du couscous ou de la laoubia d'en apporter une assiette.
C'était çà les PN...
Et tout çà me manque face à l'indifférence d'aujourd'hui.
Mon père l'avait achetée 2 mois plus tard et nous étions pratiquement les seuls dans le quartier à en posséder une. Aussi quand il y avait un beau programme, il y avait tous les voisins à la maison.
Je me rappelle que ma voisine madame Sabatier demandait à ma mère :
"il y a Gilles Margaritis ce soir" ? Et hop elle arrivait avec les autres voisins dans une ambiance très conviviale et très familiale.
Mais cette voisine ne manquait pas aussi lorsqu'elle faisait du couscous ou de la laoubia d'en apporter une assiette.
C'était çà les PN...
Et tout çà me manque face à l'indifférence d'aujourd'hui.
Le : 09/04/2013 00:53
Histoire de la Télévisipn en Algérie (3émé partie et fin)
Le 24 décembre 1956, la Radiodiffusion-télévision française (R.T.F.) dans les départements français d'Algérie inaugure son premier émetteur de télévision au standard VHF 819 lignes, installé au Cap Matifou, face à Alger dont il est distant de quinze kilomètres. L'émetteur, qui a couté 1 200 000 000 francs, couvre presque toute la ville d'Alger, sa banlieue et une grande partie de la Mitidja. Une astuce technique permet la diffusion simultanée du son en deux langues (français et arabe) pour certaines de ses émissions. La R.T.F. Télévision en Algérie est ainsi la première au monde a être bilingue et à émettre des spectacles français et arabes commentés dans les deux langues. Les speakrines francophones et arabophones se partagent à tour de rôle la présentation des programmes, les unes apparaissant en direct à l'écran pendant que les autres font la traduction en voix off, et inversement le lendemain. Les émissions sont entièrement réalisées sur place, aucun relais n'étant possible avec la Métropole. Trente et une heures de programmes sont diffusés chaque semaine en 1957, composés de films, de théâtre, de musique et d' 1/2 uvres lyriques, de variétés, d'information, de magazines et reportages sportifs et d'émissions enfantines. La télévision métropolitaine fournit 11 heures de programmes sur ces 31 heures hebdomadaires, essentiellement du théâtre, des variétés et des ouvrages lyriques. Le journal télévisé est diffusé à 20 heures et rediffusé à 22h30 et est présenté par Jean Luc, Jean Lanzi, Jean-Claude Narcy et Jean-Pierre Elkabbach. Il est réalisé entièrement sur place à l'aide de bandes envoyées par United Press et France Vidéo auxquelles s'ajoutent deux ou trois reportages tournés localement chaque jour avec des commentaires en français et en arabe pour une diffusion simultanée sur les deux canaux sonores. De nombreux programmes (émissions musicales, folkloriques, enfantines, concerts et théâtre) et courts-métrages sont spécialement créés pour alimenter la grille des émissions arabophones placées sous la direction de Fathallah Benhassine, déjà en charge des émissions en langues arabe et kabyle à la radio R.T.F. France V1. Dès sa naissance, la Télévision d'Algérie souhaite donc s'adresser à toutes les composantes de la population algérienne susceptibles de la recevoir.
Un second émetteur de télévision est inauguré par le Directeur Général de la R.T.F., Gabriel Delaunay, pour desservir Alger le 22 février 19582. Oran est la seconde ville équipée d'un émetteur de télévision, installé sur l’immeuble Perret qui dresse ses quinze étages au carrefour de la rue Mostaganem et de la route du Port, et qui rayonne très correctement sur toute l’étendue de l’agglomération dès le 17 décembre 1958. Le réseau s'étend avec la construction d'un émetteur de télévision à la station de ski de Chréa en janvier 1960, puis la mise en service de l'émetteur de Constantine le 26 octobre 19603.
La R.T.F. présente sa dernière édition en direct du journal télévisé le 30 juin 1962, veille du référendum d'autodétermination.
À la suite de l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet 1962, la Radiodiffusion-télévision algérienne (R.T.A.) se substitue à la R.T.F. le 28 octobre 1962 et reprend ses infrastructures et bâtiments. Un accord de coopération technique entre les deux organismes de radiodiffusion est signé le 22 janvier 1963
Le 24 décembre 1956, la Radiodiffusion-télévision française (R.T.F.) dans les départements français d'Algérie inaugure son premier émetteur de télévision au standard VHF 819 lignes, installé au Cap Matifou, face à Alger dont il est distant de quinze kilomètres. L'émetteur, qui a couté 1 200 000 000 francs, couvre presque toute la ville d'Alger, sa banlieue et une grande partie de la Mitidja. Une astuce technique permet la diffusion simultanée du son en deux langues (français et arabe) pour certaines de ses émissions. La R.T.F. Télévision en Algérie est ainsi la première au monde a être bilingue et à émettre des spectacles français et arabes commentés dans les deux langues. Les speakrines francophones et arabophones se partagent à tour de rôle la présentation des programmes, les unes apparaissant en direct à l'écran pendant que les autres font la traduction en voix off, et inversement le lendemain. Les émissions sont entièrement réalisées sur place, aucun relais n'étant possible avec la Métropole. Trente et une heures de programmes sont diffusés chaque semaine en 1957, composés de films, de théâtre, de musique et d' 1/2 uvres lyriques, de variétés, d'information, de magazines et reportages sportifs et d'émissions enfantines. La télévision métropolitaine fournit 11 heures de programmes sur ces 31 heures hebdomadaires, essentiellement du théâtre, des variétés et des ouvrages lyriques. Le journal télévisé est diffusé à 20 heures et rediffusé à 22h30 et est présenté par Jean Luc, Jean Lanzi, Jean-Claude Narcy et Jean-Pierre Elkabbach. Il est réalisé entièrement sur place à l'aide de bandes envoyées par United Press et France Vidéo auxquelles s'ajoutent deux ou trois reportages tournés localement chaque jour avec des commentaires en français et en arabe pour une diffusion simultanée sur les deux canaux sonores. De nombreux programmes (émissions musicales, folkloriques, enfantines, concerts et théâtre) et courts-métrages sont spécialement créés pour alimenter la grille des émissions arabophones placées sous la direction de Fathallah Benhassine, déjà en charge des émissions en langues arabe et kabyle à la radio R.T.F. France V1. Dès sa naissance, la Télévision d'Algérie souhaite donc s'adresser à toutes les composantes de la population algérienne susceptibles de la recevoir.
Un second émetteur de télévision est inauguré par le Directeur Général de la R.T.F., Gabriel Delaunay, pour desservir Alger le 22 février 19582. Oran est la seconde ville équipée d'un émetteur de télévision, installé sur l’immeuble Perret qui dresse ses quinze étages au carrefour de la rue Mostaganem et de la route du Port, et qui rayonne très correctement sur toute l’étendue de l’agglomération dès le 17 décembre 1958. Le réseau s'étend avec la construction d'un émetteur de télévision à la station de ski de Chréa en janvier 1960, puis la mise en service de l'émetteur de Constantine le 26 octobre 19603.
La R.T.F. présente sa dernière édition en direct du journal télévisé le 30 juin 1962, veille du référendum d'autodétermination.
À la suite de l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet 1962, la Radiodiffusion-télévision algérienne (R.T.A.) se substitue à la R.T.F. le 28 octobre 1962 et reprend ses infrastructures et bâtiments. Un accord de coopération technique entre les deux organismes de radiodiffusion est signé le 22 janvier 1963
Le : 09/04/2013 00:32
L'invention de la télévision (2 ème Partie)
20 septembre 1964
Première diffusion de "Flipper le Dauphin"
La série télévisée est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis sous le nom "Flipper". Pourtant ce n'est pas à la télévision mais au cinéma que Flipper a fait ses premières apparitions avec "Aventures en Floride" et "Flipper et les pirates" Au début de la série, le dauphin qui jouait le rôle de Flipper s'appelait Susie. Il y eut par la suite plusieurs animaux pour jouer le rôle mais tous étaient des femelles. En France, la première diffusion des 88 épisodes de la série a lieu sur la seconde chaîne de l'ORTF à partir de novembre 1966.
8 septembre 1966
La sortie de "Star Trek"
La plus célèbre série télévisée de science-fiction sort sur la chaîne de télévision américaine NBC. 79 épisodes de 48 minutes seront diffusés entre 1966 et 1969. Les aventures du capitaine Kirk et de Mr Spock seront diffusées en France à partir de 1982 sur TF1, puis en 1986 sur la Cinq.
1 octobre 1967
La couleur arrive sur les écrans de télévision français
A 14h15, la télévision en couleurs fait ses débuts officiels en France. Le premier reportage diffusé pour cette inauguration est réalisé par Alexandre Tarta et commenté par Pierre Tchernia : il montre un largage de parachutistes. Le procédé SECAM (Séquentiel Couleur A Mémoire) dû à l'inventeur Henri de France fut présenté officiellement en 1959. Aux Etats-Unis, les premières émissions de télévision couleur sont diffusées depuis 1954. En Europe, c'est l'Allemagne de l'ouest qui a ouvert la voie à partir du mois d'août. Lorsque la couleur est mise en service en France, seuls 1 500 téléviseurs couleurs sont en service
14 octobre 1968
Première émission télévisée en direct de l'espace
Les trois astronautes de la navette spatiale Apollo 7 Walet Cunningham, Donn Eisele et Walter Schirra, communiquent avec la Terre au cours de la première émission télévisée retransmise depuis l'espace. Parti le 11 octobre, la mission Apollo 7 restera en orbite autour de la terre jusqu'au 26 décembre.
4 janvier 1972
Première des "Chiffres et des lettres"
Le nouveau jeu d'Armand Jammot "Des chiffres et des lettres" remplace "Le mot le plus long". Le producteur du programme en est aussi le présentateur. En 1967 il lancera un nouveau concept d'émission qui lancera la mode des soirées-débats: "Les dossiers de l'écran". "Des chiffres et des lettres" déteint le record de longévité de toutes les jeux de la télévision française puisqu'il continue à être diffusé aujourd'hui.
31 décembre 1972
Lancement de la troisième chaîne
La société nationale française de programmes de télévision lance la "troisième chaîne" française. Elle n'est reçue que par un quart de la population à ses débuts. La chaîne deviendra FR3 le 1er janvier 1975 après la dissolution de l'ORTF.
7 août 1974
Chirac annonce l'éclatement de l'ORTF
Le Premier ministre Jacques Chirac présente la réforme de l'audiovisuel. La loi prévoit le démantèlement de l'Office de la radiodiffusion-télévision française (ORTF) en 7 sociétés indépendante : 3 chaînes (Télévision Française1, Antenne2 et France-Régions3), la Société française de production (SFP), Télédiffusion de France (TDF), Radio France, et l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le monopole d'Etat est maintenu. La loi sera mise en application l'année suivante avec la colorisation de TF1.
10 janvier 1975
Début d'"Apostrophe"
L'émission littéraire de Bernard Pivot est diffusée pour la première fois sur Antenne 2. "Apostrophe" remplace le programme "Ouvrez les guillemets" présenté par le même Bernard Pivot."Apostrophe" sera remplacé par "Bouillon de culture", dont le premier numéro sera diffusé le 12 janvier 1991.
22 mars 1976
Première des "Jeux de 20 heures"
La nouvelle émission de Jacques Solness est diffusée sur FR3. Des questions de culture générale sont posées à des célébrités (chanteurs, comiques ou acteurs) et à des candidats de province. Le duplex est assuré par "Super 20 heures" alias Pierre Descombes, et l'arbitrage est assuré par l'érudit Jacques Capellovici ("Maître Capello"). Le créateur du jeux présentera les deux premières émissions avant de passer le relais à Maurice Favières. Face à l'énorme succès du jeux, les invités du spectacle se précipiteront pour y participer. Micheline Dax, Roger Carel, Juliette Mills, Pierre Desproges, Maurice Biraud en deviendront les candidats quasi-permanents. Les "Jeux de 20 heures" continueront à être diffusés sur FR3 jusqu'en janvier 1987.
19 mai 1976
Premier tirage du Loto
L'inauguration du nouveau jeu national, le Loto, a lieu au théâtre de l'Empire à Paris. Le ministre des Finances peut se réjouir : plus 73 000 habitants de la région parisienne ont tenté leur chance. Les points de vente seront progressivement étendus à toute la France et le nouveau jeu remportera un grand succès.
20 septembre 1964
Première diffusion de "Flipper le Dauphin"
La série télévisée est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis sous le nom "Flipper". Pourtant ce n'est pas à la télévision mais au cinéma que Flipper a fait ses premières apparitions avec "Aventures en Floride" et "Flipper et les pirates" Au début de la série, le dauphin qui jouait le rôle de Flipper s'appelait Susie. Il y eut par la suite plusieurs animaux pour jouer le rôle mais tous étaient des femelles. En France, la première diffusion des 88 épisodes de la série a lieu sur la seconde chaîne de l'ORTF à partir de novembre 1966.
8 septembre 1966
La sortie de "Star Trek"
La plus célèbre série télévisée de science-fiction sort sur la chaîne de télévision américaine NBC. 79 épisodes de 48 minutes seront diffusés entre 1966 et 1969. Les aventures du capitaine Kirk et de Mr Spock seront diffusées en France à partir de 1982 sur TF1, puis en 1986 sur la Cinq.
1 octobre 1967
La couleur arrive sur les écrans de télévision français
A 14h15, la télévision en couleurs fait ses débuts officiels en France. Le premier reportage diffusé pour cette inauguration est réalisé par Alexandre Tarta et commenté par Pierre Tchernia : il montre un largage de parachutistes. Le procédé SECAM (Séquentiel Couleur A Mémoire) dû à l'inventeur Henri de France fut présenté officiellement en 1959. Aux Etats-Unis, les premières émissions de télévision couleur sont diffusées depuis 1954. En Europe, c'est l'Allemagne de l'ouest qui a ouvert la voie à partir du mois d'août. Lorsque la couleur est mise en service en France, seuls 1 500 téléviseurs couleurs sont en service
14 octobre 1968
Première émission télévisée en direct de l'espace
Les trois astronautes de la navette spatiale Apollo 7 Walet Cunningham, Donn Eisele et Walter Schirra, communiquent avec la Terre au cours de la première émission télévisée retransmise depuis l'espace. Parti le 11 octobre, la mission Apollo 7 restera en orbite autour de la terre jusqu'au 26 décembre.
4 janvier 1972
Première des "Chiffres et des lettres"
Le nouveau jeu d'Armand Jammot "Des chiffres et des lettres" remplace "Le mot le plus long". Le producteur du programme en est aussi le présentateur. En 1967 il lancera un nouveau concept d'émission qui lancera la mode des soirées-débats: "Les dossiers de l'écran". "Des chiffres et des lettres" déteint le record de longévité de toutes les jeux de la télévision française puisqu'il continue à être diffusé aujourd'hui.
31 décembre 1972
Lancement de la troisième chaîne
La société nationale française de programmes de télévision lance la "troisième chaîne" française. Elle n'est reçue que par un quart de la population à ses débuts. La chaîne deviendra FR3 le 1er janvier 1975 après la dissolution de l'ORTF.
7 août 1974
Chirac annonce l'éclatement de l'ORTF
Le Premier ministre Jacques Chirac présente la réforme de l'audiovisuel. La loi prévoit le démantèlement de l'Office de la radiodiffusion-télévision française (ORTF) en 7 sociétés indépendante : 3 chaînes (Télévision Française1, Antenne2 et France-Régions3), la Société française de production (SFP), Télédiffusion de France (TDF), Radio France, et l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le monopole d'Etat est maintenu. La loi sera mise en application l'année suivante avec la colorisation de TF1.
10 janvier 1975
Début d'"Apostrophe"
L'émission littéraire de Bernard Pivot est diffusée pour la première fois sur Antenne 2. "Apostrophe" remplace le programme "Ouvrez les guillemets" présenté par le même Bernard Pivot."Apostrophe" sera remplacé par "Bouillon de culture", dont le premier numéro sera diffusé le 12 janvier 1991.
22 mars 1976
Première des "Jeux de 20 heures"
La nouvelle émission de Jacques Solness est diffusée sur FR3. Des questions de culture générale sont posées à des célébrités (chanteurs, comiques ou acteurs) et à des candidats de province. Le duplex est assuré par "Super 20 heures" alias Pierre Descombes, et l'arbitrage est assuré par l'érudit Jacques Capellovici ("Maître Capello"). Le créateur du jeux présentera les deux premières émissions avant de passer le relais à Maurice Favières. Face à l'énorme succès du jeux, les invités du spectacle se précipiteront pour y participer. Micheline Dax, Roger Carel, Juliette Mills, Pierre Desproges, Maurice Biraud en deviendront les candidats quasi-permanents. Les "Jeux de 20 heures" continueront à être diffusés sur FR3 jusqu'en janvier 1987.
19 mai 1976
Premier tirage du Loto
L'inauguration du nouveau jeu national, le Loto, a lieu au théâtre de l'Empire à Paris. Le ministre des Finances peut se réjouir : plus 73 000 habitants de la région parisienne ont tenté leur chance. Les points de vente seront progressivement étendus à toute la France et le nouveau jeu remportera un grand succès.