pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 28/07/2014 01:17


A TOUTE LA COMMUNAUTE MUSULMANE ET A TOUT NOS AMIS(ES) INTERNAUTES QUI NOUS FONT LE PLAISIR DE VISITER LE SITE NE A BAB EL OUED JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE FETE DE L'AID
"SAHA AIDKOUM. TOUS MES MEILLEURS VOEUX, KOUL 3AM OUANTOUM BIKHEIR"

 

De : Papi Clodou, Mamie Marie-Paule Envoyer un mail

Le : 25/07/2014 11:01

À notre petite fille adorée Lucile. Aujourd'hui 25 juillet 2014 nous te souhaitons un joyeux anniversaire, ainsi que toute la famille (cousin et cousine) nous t'embrassons très affectueusement.
Papi et Mamie

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 22/07/2014 20:50

L'Algérie de 1940 à 2011
DOCUMENTS IMPORTANTS A CONSERVER PRÉCIEUSEMENT DANS L'ORDINATEUR

Algérie 1940-1962
Des documents exceptionnels!!

Un document EXCEPTIONNEL
1° clique sur l'adresse du site
2° clique sur la vidéo choisie
3° clique sur l'image principale
4° clique sur la case jaune " Info "
5° clique sur le triangle : lecture
Cette médiathèque exceptionnelle est une mine d'information à partir de documents INA.
Formidable pour ceux qui ne connaissent pas.
Très intéressant pour ceux qui ont été en Algérie et qui veulent se replonger dans les archives de L'INA .
http://sgo12.free.fr/Pays/Algerie.0.htm#ACTUALITES

 

De : AZAM DanielEnvoyer un mail

Le : 21/07/2014 17:18

A l'attention de Norbert POVEDA
Je n'arrive pas a avoir votre adresse mail sur l'enveloppe.J'ai en effet
3 adresses de nommés Antoine POVEDA.
Pour me contacter et avoir votre e mail voici le mien
d.azam@laposte.net
Cordialement

 

De : Norbert PovedaEnvoyer un mail

Le : 20/07/2014 21:48

A l'intention de J.CASTELLI
bonsoir, je suis à la recherche de mon cousin Antoine POVEDA qui était avec toi a Guillemin, photos de classe de 58/59 en 2° M' en haut de la photo de gauche à droite le second, et sur celle de 59/60 en 1° M' au premier rang à gauche du prof. Lors de mes présences à Rognes j'ai eu des demande le concernant mais j'étais dans l'impossibilité d'y répondre.
Étant actuellement en réalisation de l'arbre généalogique familial je suis devant un mur par manque d'éléments.
Alors si par hasard tu peux par le biais de tes copains m'aider à le retrouver.
Avec mes remerciements
Cordialement
Norbert Poveda

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 20/07/2014 01:10

Les soirées en ce mois de ramadan prennent de plus en plus de couleur dans la capitale. L'ambiance bat son plein et commence à donner lieu à une atmosphère festive.
Bab-El-Oued. L'appel à la rupture du jeûne et à la prière du Maghreb est attendu avec un mélange de soulagement et d'impatience. Certains se regroupent aux pieds des bâtiments pendant que d'autres, les femmes en particulier, se mettent aux balcons. Dès l'appel du muezzin, le vide s'installe. Quelques retardataires pressent le pas pour rejoindre leurs foyers. Déjà le cliquetis des cuillères se fait entendre.
Le quartier le plus peuplé de la capitale ressemble à un désert pendant presque une demi-heure. Les adeptes du café «bien serré» sortent les premiers pour retrouver leur eden. Petit à petit, le bruit reprend et la ville s'anime. «Les ouled el Houma» (les enfants du quartier) investissent le marché des Trois-Horloges et le «saha ftourek» se fait entendre de partout. A cette heure-ci, le marché est dominé par les vendeurs des sucreries, des jus, appelés communément charbet et des Compact-disc (CD) contrefaits. A quelques encablures du marché, au jardin Guillemin, les bambins investissent la fontaine de l'Espérance inaugurée par le maire de Marseille Jean Claude Godin et le wali d' Alger en 2010. Ils n'hésitent pas à plonger dans l'eau sale du bassin. Les adultes se contentent d'y poser les pieds pour se rafraîchir. «Quand le ventre est plein, la tête chante», dit l'adage populaire. Cela se vérifie amplement au niveau de cette place : tout le monde discute sans … s'écouter, mais c'est comme ça, l'essentiel est de dégourdir ... l'esprit. En contre bas sur les plages El-Kettani et Padovani ce sont des baigneurs et des familles entière qui investissent les deux plages
L'esplanade adjacente au manège de la place d'El Kitani est investie par des jeunes qui jouent au football. «A chaque mois de ramadhan, des tournois inters quartiers», sont organisés. Même au stade Ferhani Ex : Cerdan les rencontres se jouent jusqu’à 2 h du matin. Sur l’esplanade face à la cité de la messagerie une grand chapiteau serre de resto de c 1/2 ur aux plus démunis 750 repas sont servis tous les jours Un peu plus loin, le manège attire beaucoup de familles. Le diktat des enfants fait la loi ! Les parents cèdent devant l'exigence de l'innocence. Juste à coté les triplettes se forment sur le boulodrome. La pétanque comme le foot dure toute la nuit.
«Tout le monde jeûne, les fast-foods, les restaurants sont fermés, les rues se vident aux heures où habituellement elles doivent être animées et puis à la fin de l'après-midi, les tables se dressent au profit de ceux qui n'ont nulle part où manger. Côté commerce, c’est le grand rush. Les propriétaires de magasins d’habillements voient une grande affluence en ce mois sacré.
Les Algérois vivent pendant la nuit durant tout un mois»,.
Pour ce qui est de la sécurité, les familles disent qu'elles n'ont pas à se plaindre. Les agents de police veillent au grain.
Dans certains endroits de la ville, des marchands et même des supérettes ferment à des heures tardives de la nuit avant que tout le monde ne regagne enfin son foyer après une longue soirée de défoulement. Il est deux heures du matin. Bab el Oued somnole enfin.

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 20/07/2014 01:08

QUAND LE JEUNE JEÛNEUR PÉNÈTRE DANS LA COUR DES GRANDS
Un cérémonial sans égal
Vieux souvenir quand tu nous tiens. Tu ne nous lâches point. Les années passent et tu restes là, accroché à notre mémoire comme l'Histoire reste accrochée à l'événement.
Il se trouve que le premier jour de jeûne chez l'enfant était un événement, jadis. Ce premier pas dans la vie d’adulte était même fêté chez bon nombre de familles modestes ou aisées.
En ce qui me concerne, ce jour «test» se tient la veille de la moitié du mois de jeûne, un jour exceptionnel pour moult raisons, presque autant que celui de ma circoncision (baptême) qui s'en suivit en la veille du 27e jour du Ramadhan.
Ainsi, en mon premier jour de jeûne, coiffé d'une «chéchia Stamboul», j'avais accompagné mon père pour faire le marché. Muni d'un petit couffin, tressé identique au sien et acheté pour la circonstance, mon père y glissait un légume ou un fruit de tout achat effectué. Il ne cessait de me présenter à ses connaissances non sans fierté tout en leur annonçant l'épreuve que je vivais pour l'heure, ce qui faisait glisser leurs mains dans les poches pour m'offrir quelques menues pièces ou pour m'acheter une friandise.
A la maison, moi jeune et tout nouveau jeûneur, je n'étais pas bien sûr en reste. J'étais entouré de toutes les attentions féminines. L'une venait parfois m'éventer tout en me caressant avec douceur le front où ma chevelure qui me tombait sur les yeux, l'une d'elles me mitraillait de bisous, tandis que les autres n'avaient cesse de louer mon «courage et ma témérité» en mon premier jour de jeûne qui prenait l'air d'une épreuve titanesque pour moi. Après un petit somme bien mérité et réparateur, moi qui avait horreur des siestes, c'était le long moment de l'attente de l'heure du «f'tour». Il fallait grimper sur la terrasse pour chanter à la gloire d'Allah et du Ramadhan de petites chansonnettes rythmées qui résonnent encore dans ma tête.
Un vrai gazouillis d'enfants de tout âge amplifiait la terrasse qui domine le Fort l’Empereur. Nous avions tous les yeux et oreilles braqués sur la jetée nord du site Kheireddine, sur les hauteurs du Climat de France à l'époque. C'est de cet endroit précis, en effet, que le fameux coup de canon était tiré chaque jour à l'heure de la prière du crépuscule (Maghreb) qui libérait les ouailles algéroises du jeûne. La radio était très rare et la télé n'existait pas encore pour l'annonce du f'tour. Seul le coup de canon ou l'appel du muezzin à la prière étaient nos repères pour la rupture du jeûne.
Chacun des très jeunes adolescents jeûneurs, filles et garçons, même les non-jeûneurs qui resquillaient une place parmi nous, avait caché précieusement sa friandise, souvent mielleuse pour rompre le jeûne. Parfois l'un d'eux ramenait même de la «gazouze», déjà tiède, car le réfrigérateur n'existait pas à l'époque encore dans nos modestes habitations. Les boissons fraîches étaient conservées dans des glacières artisanales remplies de blocs de glace qu'on achetait chez notre moutchou.
Pendant ce temps, nos mamans et voisines s'affairaient autour des «kanouns» ou des fourneaux à pétrole à pompe pour les ultimes cuissons dont le café pour le maître de maison (moul el beit) qui ne devrait pas tarder à rentrer après la prière de la rupture du jeûne. Chez moi, l'ambiance était à son summum, c'était la fête dans la fête. Toute la famille était aux anges devant leur chérubin adoré que j'étais auquel elles n'avaient pas omis d'appliquer du henné dans le creux de la main droite. Ma mère ne cessait de me cajoler à tout bout de champ, les yeux étaient langoureux à mon adresse, un vrai bonheur...je me souviens. En plus des occupations communes et journalières, il fallait préparer aussi les ingrédients pour dresser une «somptueuse» meïda richement garnie à cette occasion.
De la «cherbet» à gogo et des friandises de toutes sortes ont été achetées pour ce jour particulier. Dans un petit pot en cuivre empli de cherbet, était glissée une bague, un «ourbyaa» qui était une pièce en argent ou même une pièce d'or (un louis à l'époque). Le petit pot m'était offert à boire à l'heure du f'tour au moment où on enfilait la bague trempée au doigt.
Le cérémonial était presque identique pour la petite fille candidate à cette épreuve sacro-sainte. Sa maman lui aurait acheté une petite marmite avec son «couscousier» dans laquelle elle préparait sa chorba personnelle. Sous le regard attentif de sa maman, elle mimait ses gestes dans la préparation en découpant soigneusement les légumes et ajoutait les épices nécessaires. C'était là les premiers pas d'un futur cordon bleu comme le furent toutes nos mamans On l'habillait d'une réplique de toilette d'une grande personne, à savoir, b'dehiya (corset) brodée, d'un pantalon «Saroual echerqa», des ballerines aux couleurs chatoyantes comme sorties du conte de Cendrillon, oserais-je dire tellement elles étaient bien mises. On lui faisait même porter des bijoux d'adulte dont parfois le fameux diadème algérois (kheit errouh) et ses mains étaient empreintes de henné sur les bouts des dix doigts

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 16/07/2014 18:47

Bonjour Andre merci d'avoir repondu a mon message concernant De-Villeneuve. Qu'il repose en paix. J'ai donner l'information a Hamid Bernaoui il a etait peiner d'apprendre le deces de ce grand monsieur qui a tout donner au foot. Merci encore pour l'info. Portez vous bien

 

De : Shiano-di-Coscia AndréEnvoyer un mail

Le : 15/07/2014 10:56

pour Mustapha OUALIKENE
Bonjour.
D'après les informations que je possède il semblerait que le célèbre foot-balleur De VILLENEUVE soit décédé.

 

De : BelhadiEnvoyer un mail

Le : 14/07/2014 19:51

Bonjour,
Avoir fait l'ecole primaire le Jura au climat de france,rue du Jura, je demande a ceux qui on des photos d'ecole des années 1960 a 1962, de me les envoyer a mon adresse mai: servant_ila@hotmail.com
Que sois ecolier a l'epoque ou instituteur ( institutrice )
NB: y'a erreur dans le précédant message a mon adresse mail, j'ai corriger sur ce message!
Merci d'avance
Belhadi

 

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