pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : DOMENECH LilianeEnvoyer un mail

Le : 08/11/2016 09:36

Pour ceux qui souhaitent revenir sur notre terre natale :
J'ai vu dans la vitrine d'une agence de voyages à Montpellier :
Aller/Retour sur Alger le lundi et le jeudi pour 111 euros.
Si çà intéresse quelqu'un...

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 20:30

INFO 613 LA NOSTALGERIE psychanalyse d une déchirure – Auteur Denis Rene Kremer

Le Dimanche 6 novembre 2016 16h44, Jean-Claude ROSSO a écrit :

SI VOUS NE POUVEZ LIRE LE PDF VOUS AVEZ LA POSSIBILITE DE VISUALISER L' INFO, EN FONCTION DU MOMENT SOUHAITE, EN CLIQUANT SUR CE LIEN
http://notrejournal.info/ROSSO-pour-la-memoire-au-present

En vous inscrivant vous pouvez la recevoir, GRATUITEMENT.
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NON AU 19 MARS 1962
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Bonjour

Madame ou Monsieur,

Chers compatriotes ou Amis.
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Vous adresse, en pièce jointe, l’ INFO 613 consacrée à la thèse de notre compatriote, le docteur Denis KREMER, ayant pour thème « LA NOSTALGERIE psychanalyse d une déchirure »
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PROLOGUE

Suivant la suggestion de la très aimable professeure de français qui a corrigé mon mémoire, j'ai rajouté page 6 du mémoire un avertissement au lecteur à propos de nom composé Pied-Noir dont on trouve, y compris dans ce mémoire, de très nombreuses orthographes différentes. J'en avais déjà parlé avec les psychanalystes du jury et ma directrice de mémoire, établissant un parallèle entre les incertitudes identitaires, communes chez les Pieds-Noirs, et l'orthographe du mot. Cette aimable professeure à qui je faisais ce même commentaire pour justifier ces orthographes variées, m'a suggéré de préciser la chose en début de mémoire.

J'ai retenu dans le mémoire le terme Pied-Noir. Mais je me demande s'il ne faudrait pas réunir un petit groupe de travail pour décider comment écrire ce mot. Personnellement, je penche pour Piednoir au masculin et Piednoire au féminin, et sans majuscule quand le mot est employé comme adjectif. Ce choix me paraît cohérent avec le néologisme "piednoiritude" que l'on trouve déjà dans certains textes.

Un Pied-Noir, des Pieds-Noirs me laissent perplexe. Un pris tout seul aurait donc un seul pied noir et il faudrait au moins deux PN pour avoir les pieds noirs. De plus, de nos jours le mot Pied-Noir fait référence au descendant d'un colon d'Algérie et non à un terme que l'on voulait ironique pour désigner ces personnes. Quand je dis je suis pied-noir tout le monde comprend que je suis né en AFN, descendant de colon, et ne se penche plus pour voir de quelle couleur sont mes chaussures. Un Piednoir désignerait un habitant de l'Algérie française, comme un Alsacien définit quelqu'un vivant en Alsace. Le Piednoir devient alors un Français sans province, comme l'a écrit un auteur.

Exemple: Mme Hernandez, auteure de pièces de théâtre et Piednoire d'Alger à créer un forum ouvert à tout Piednoir et toute Piednoire où ils et elles peuvent développer un argumentaire typiquement piednoir et défendre avec conviction les valeurs piednoires.

Remarquons que le psychiatre du dessinateur Ors dont je publie le dessin dans le mémoire, s'appelle Dr Pienouar.
Denis KREMER

Qu’il en soit vivement remercié de nous avoir autorisés à le diffuser.

Bonne journée à tous

Jean-Claude ROSSO
ROSSO, pour la mémoire au présent ! - NotreJournal
Cette rubrique est conçue et animée par Jean Claude ROSSO. Ces publications sont gratuites et pour l’information de tous sur 7 jours glissants, au (...)
notrejournal.info|Par Collectif Sarka-SPIP

 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 18:41

pour norbert vicente
bizzare ton histoire du "ga" qui arrive au cinéma avec une fille, et dont toi inconnu d'eux, tu flirte avec la fille que tu ne connaissais pas...
Ton histoire est proche de la mienne, sauf que toi tu en tiré les bénéfices, puisque tu as flirté, et moi à l 'inverse comme le "ga" de ton anecdote, je me suis fait piqué la fille!!!
serait ce une spécialité des cinémas d’Alger!!!!!

allez à vos souvenirs!!!!

 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 18:28

Toujours pour FALZON et d'autres
je reprends car j'ai bugué, -pas bon échap)

donc FALZON nous rappelle les casse croute de luxe..

qui se rappellent de cela :
pour ma part j'ai beaucoup pris ces type de casse-croûte
on ouvrait la baguette et on y mettait de lui et du sel (bien salé pour le goût), l'huile je sais pas quelle marque on achetait l'huile au quart de litre au détail...
Donc tu vois, moins luxueux

ok parfois comble de luxe, à l'huile et sel, ma mère rajoutait du poivre rouge (vous savez la fameuse poudre qu'on appelle le poivre rouge)

je vous rassure c'était délicieux!!! un régal

je ne passerai pas sous silence, le pain et le sucre en morceau, et parfois les fameuse barres de chocolat de table...

Evidemment d'autres kémia (fritures de poisson, tramousses olives etc) ou autres, Roillettes, j'en ai en cours le gouts, le boudin à l'oignon (acheté à bab el oued)

mais cela à duré peu de temps, car ensuite ce fut le départ

allez racontez vos anecdotes, car il n'y a que sur site ou nous avons un passé proches, et des lieux connus que par nous, que ces anecdotes prennent vigueur, et ne sont pas ridicules..


 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 18:12

pour FALZON et d'autres :
toi FALZON

 

De : Robert FalzonEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 17:46

Souvenirs,souvenirs
Je revois les 4heures après midi quand avec mon frère Gérard,Ticettic,Pépé,Lémon,Tchebol, on se mettait dans la rue des Messageries,face á la cour d´Achour,et chacun avait sa facon d´appeler sa mère ou sa grand mère pour qu´elle lui lance son casse croûte...
Mon frère et mmoi on crait " Ma j´ai faim "je revois notre grand mère sortir sur le balcon,toujours pareille avec son chignon gris,son tablier,
elle nous regardait puis rentrait en cuisine nous préparer nos casses croûtes: une demi baguette bien imbibée d´huile d´olive Tamzali,de belles tranches de tomates de Guyotville et des anchois qu´on avait dans une jarre au balcon
L´autre sorte de casse croûte c´était avec un bon morceau de soubressade
Un jour avec les anchois, et un autre á la soubressade,tout simplement...
Elle enroulait les baguettes avec du papier journal et elle nous les lancait du balcon ( on était au 2ème du 5 Bd de Provence
On "faisait goal"..parfois on loupait et la baguette s´étalait sur le trotoir..on ramassait le tout, et on se régalait!!
Parfois, comme aujourd´hui,je me suis refait une baguette,mais ce n´était pas de l´huile Tamzali,pas des tomates de Guyotville et pas les anchois de chez nous...mais j´ai fermé les yeux et un moment, j´étais de retour Chez moi...
Bonne soirée Robert

 

De : DOMENECH LilianeEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 15:22

Ce serait chouette que la fille qui a flirté avec Norbert au cinoch sans connaître son nom, sans voir le film et qui doit être une mamie maintenant nous fasse un petit clin d' 1/2 il.

On attend sur ce site d'autres anecdotes de ce genre.

 

De : Norbert VICENTEEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 14:21

Pour SOLA

Tu fais remonter en moi des souvenirs qie je croyais enfouis à jamais. Ainsi je me souviens des dimanches passés entre amis.J'ai quitté Bab el Oued à l'âge de 11 ans, mais tous mes potes étaient resté là bas.
De 11 à 15 ans, ma vie s'est déroulé dans mon nouveau quartier, nous descendions régulièrement à Bab el Oued, car pour ma mère c'était son quartier, avec ses amis.
Dès que j'ai atteint l'âge de quinze ans, tous les dimanches je prenais le bus puis le tram et j'allais rejoindre mes copains. Balade avenue de la Bouzarhea, apéro avec kemia, puis l'après midi cinéma ou bouffa.
Je me souviens d'un après-midi au cinéma, nous étions une bande de caopains, la lumière venait de s(éteindre, un couple s'est installé à coté de nous, un jeune homme avec un jeune fille, accompagnés d'une fille un peu plus jeune,mon âge.
Alors que j'étais fasciné par le film (que j'ai vite oublié), une main c'est glissé dans la mienne. J'ai tourné la tête, la fille me regardait, elle avança son visage vers le mien, et c'étais parti pour un flirt qui a duré toute la scéance. Je ne me souviens plus du film, ni mêmme du cinéma, mais cette fille, dont je n'ai jamais su le nom, je ne l'ai jamais oublié.

 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 07/11/2016 10:47

POUR Norbert vicente!!!
ah enfin 1 qui confirme le concert de sacha distel, et que y étions ensemble!!! C un peu magique,
ah! Histoire de rajouter à l’anecdote, ce dont tout le monde s'en fout, mais c'est ce qui fait le piment de l'anecdote..
J'étais à ce concert, avec des copains, dont mon meilleur ami bernard, et j’étais accompagnée d'une jolie fille marie Jeanne, disons que c était ma petite amie,
et bien mon pote , ma piquée, ma petite amie, c'est pas beau cela.. EN plus du remplaçant DE Sacha distel cocu, me voila aussi cocus...LOL
De plus à la fin du concert, comme les transport en commun ne fonctionnaient pas, nous sommes rentréS à pied, du majectic, jusqu'au champ de man 1/2 uvre et du champs de man 1/2 uvre jusqu'au ruisseau...
Cela reste tout de même un excellent souvenir??

AH Pour relancer les échanges, par ce qui précède vous avez pu constater que non simplement j'étais pas très fort ou très malin, mais en plus je n'étais pas motorisé..
AH la belle époque des premières vespa, imbretta, 125 peugeot, et aussi et surtout les RUMI blanc... Et les filles qui avec leurs jupes portefeuille montaient en amazone, derrière le pilote... ET moi je n'avais pas de ces aspirateurs à filles....
et la vie était belle et elle encore très belle

a vous les gens de bab el oued,
signé le roi de bab el djid


 

De : Norbert VicenteEnvoyer un mail

Le : 06/11/2016 17:06

Salut SOLA, je me souviens très bien du concert de Sacha DISTEL, j'y étais avec des copains. Quand il s'est fait traité de Cocu, Sacha a répondu avec humour : "Ce n'est plus moi le cocu c'est l'autre"
Ah les bouffas du dimanche, nous étions trois inséparables José (Martinez le fils du père Hernandez de la famimme du même nom) Léon (Zerbib) et moi même, nous organisions souvent des bouffas dans les arrières salle de café
Du rock, des slows (drague oblige), des cha cha des mambos, malgrès l'ambiance incertaine et les attentats permanents, nous nous sommes jamais laissés abattre.

 

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