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Le : 03/06/2017 21:49
JUSTE QUELQUES MOTS POUR VOUS SOUHAITER DEMAIN A ROGNES UNE BELLE JOURNEE DE RETROUVAILLES FRATERNELLE ET ENSOLEILLEE. COMME A SIDI FERRUCH OU A BAINEM...
ET N'OUBLIEZ PAS LE CABASSET BIEN REMPLI DE KEMIA, SOUBROSSADE, ET... L'ANISETTE BIEN SUR.
ET FAITES DE BELLES PHOTOS A METTRE SUR LE SITE DE CHRISTIAN.
ET N'OUBLIEZ PAS LE CABASSET BIEN REMPLI DE KEMIA, SOUBROSSADE, ET... L'ANISETTE BIEN SUR.
ET FAITES DE BELLES PHOTOS A METTRE SUR LE SITE DE CHRISTIAN.
Le : 03/06/2017 18:42
bonjours a tous
juste pour vous dire.
passez d'agréable moments a vous retrouvées.mettez de belles photos que je puisse vous voir.bonne journée.rosette.
juste pour vous dire.
passez d'agréable moments a vous retrouvées.mettez de belles photos que je puisse vous voir.bonne journée.rosette.
Le : 03/06/2017 18:40
A l'ATTENTION BELGACEM.
C'est vraiment bien votre étude sur les jardins publics, je pense que pour avoir les meilleurs renseignements, vous devriez vous adresser au CDHA ( CENTRE DE DOCUMENTATION HISTORIQUE DE L'ALGERIE) À AIX EN PROVENCE. BEAUCOUP D'ÉTUDIANT ALGÉRIENS Y PASSENT ASSEZ SOUVENT RELEVER DES RENSEIGNEMENTS SUR LE PASSÉ DE L'ALGERIE. D'autre part figurent beaucoup de cartes postales sur les jardins d'ALGER dans les sites EBAY et DELCAMPE. Si vous avez besoin d'autres renseignements contactez moi. J'ai toujours en mémoire tous les jardins d'ALGER, mais notamment le PARC DE GALLAND, c'était fabuleux à l'époque. Bien à vous et bon travail.
C'est vraiment bien votre étude sur les jardins publics, je pense que pour avoir les meilleurs renseignements, vous devriez vous adresser au CDHA ( CENTRE DE DOCUMENTATION HISTORIQUE DE L'ALGERIE) À AIX EN PROVENCE. BEAUCOUP D'ÉTUDIANT ALGÉRIENS Y PASSENT ASSEZ SOUVENT RELEVER DES RENSEIGNEMENTS SUR LE PASSÉ DE L'ALGERIE. D'autre part figurent beaucoup de cartes postales sur les jardins d'ALGER dans les sites EBAY et DELCAMPE. Si vous avez besoin d'autres renseignements contactez moi. J'ai toujours en mémoire tous les jardins d'ALGER, mais notamment le PARC DE GALLAND, c'était fabuleux à l'époque. Bien à vous et bon travail.
Le : 03/06/2017 10:17
Aux oualiones du quartier, aux moins que rien, aux exilés de la honte subie en 62, aux cocus de l'histoire, demain 4 juin retrouvons-nous en fraternité. C'est la meilleure réponse aux insultes que l'on nous adresse depuis 55 ans. Soyez nombreux pour que nous ayons envie l'année prochaine de nous revoir encore...
Le : 03/06/2017 07:48
Bonjour à vous toutes et tous, enfants de Bab-El-Oued.
J'aurais vraiment aimé pouvoir vous rencontrer, hélas, je ne pourrais m'absenter de Marseille ce dimanche je pense. Je suis trop isolé, coupé de tout contact.
Je recherche depuis deux ans l'histoire de mon grand-père et de sa famille à Bab-El Oued. C'est comme un appel irrépressible. Un désir de vivre là-bas comme si mes racines s'y trouvaient, et elles s'y trouvent ! : mon grand-père était un enfant de la Bassetta, il est né en 1898 au 1 rue de Phalsbourg. Son père s'appelait Albert Pierre RAVIS et y travaillait comme cocher avant de devenir maçon, il en mourut à 37 ans, dix jours après la naissance de son second fils : mon grand père François-Alexandre. Le premier, Albert, était mort avant ses 5 ans.
La mère de mon grand-père s'appelait Françoise RIPOLL (Francisca) et était cigarière, elle était une des filles de Maria PONT et d'Antonio RIPOLL qui étaient venus de Tàrbena, un village près d'Alicante. Elle eut 3 enfant : Albert, Germaine, et François, mon grand-père.
Après le décès de son mari en 1898 elle se remaria en 1903 avec un gars de son village : Juan Battista MASCARO et vécut avec lui au 3 rue du Lavoir jusqu'en 1910, ou elle décéda à son tout avant ses 55 ans. La vie devait être extrêmement dure entre 1850 et 1920 en Algérie pour les pieds-noirs de BEO : plus de 4 enfant sur cinq mouraient avant 5 ans et 2 sur 3 de ceux qui survivaient décédaient avant leurs 30 ans ! : des familles de dix personnes et des enterrements continuels, en moyenne tous les 2 ans... la vie ne pesait pas lourd. Bob-El-Oued fut construit avec du sang et des larmes et fut quitté de même.
Mon grand-père, orphelin de sa mère à 12 ans qui avait perdu son père à sa naissance et son frère et sa s 1/2 ur décédés entre 1895 et 1910 de maladie avant la fin de leur enfance, il du quitter la Bassetta pour survivre à l'hécatombe de sa famille et sauver sa peau en s'engageant volontaire dans la marine au port d'Alger en 1913 comme novice. Il fit toute sa vie comme marins aux machines des paquebots à vapeur.
A Bab-El-Oued, Il avait connu les diligences à cheval, les rameaux et la mouna, la tendresse de la fraternité espagnole de ses frères de galère de BEO. Il nous offrait les rameaux en 1974 quand il venait nous voir avec la mouna, nous racontant peu de chose de son enfance, traumatisé bien avant le second traumatisme de l'exode de 1962. Pour lui, celle-ci avait déjà eu lieu avant : il avait eu son lot de désespoir avant ses 12 ans.
il fit toute sa vie la traversée entre Marseille et les ports d'Algérie de 1913 à 1953 comme soutier puis chauffeur-graisseur aux machines des cargos-mixte de poste des Messageries Maritimes et de la Transat. Il finit comme premier chauffeur du Gouverneur Général CHANZY, son bateau que je réalise en maquette. Il connu aussi les Dardanelles en 14-18, puis le naufrage du Lamoricière où il vit des draine d'enfant se noyer.
Mon grand-père fut le seul survivant de sa famille. J'ai entrepris de raconter son incroyable vie sur cette page d'un cargo où il fut sauvé in-extremis :
http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/languedoc-sgtm-sujet_1751_1.htm
Je cherche avidement des descendants des famille RAVIS, RIPOLL, et MASCARO de la Bassetta et de Tarbena ou des amis a eux. Mon grand-père avait gardé des liens avec les RIPOLL et ils ses cousins venaient le voir à Marseille en 1970 encore. ils mangeaient une Mouna, buvaient l'anisette Gras (qui était fabriquée rue des Moulins) et ils était très sympathique et chaleureux.
Je suis à Marseille et cherche des pieds-noirs qui veuille répondre à mon besoin d'amitié, me raconter ce que fut la vie des premiers colons d'Algérie à Bab-El-Oued, tout spécialement à la Basseta, cette vie pauvre et dure des pionniers qui comme mon arrière-grand père Albert Pierre RAVIS ou Juan Battista MASCARO construisirent Bab-El-Oued, tour à tour comme cocher, maçon, ou plâtrier en sortant les matériaux de la carrière Jaubert.
Je suis certain que nombre d'enfants de BEO ont dans leurs ancêtres les mêmes racines et valeurs que moi car nous avons eu les mêmes grand-pères : des ouvriers pauvres, des enfant des rues fraternels Je me sens en communion avec ces premiers colons car comme eux, je suis déraciné : toute ma famille m'a tourné le dos, me faisant vivre la solitude que connu mon grand-père, et fuit cette histoire et leur racine. Mon père, ethnologue, n'est jamais allé sur les traces de son grand-père là-bas.
J'aimerai beaucoup voir à quoi ressemblaient les maisons où vécurent durement mes aïeux pour comprendre ce qu'il s'est passé là-bas au 1 rue de Phalsbourg et au 3 rue du Lavoir avant 1900 (mais cette rue existe t'elle seulement encore aujourd'hui ?). Il me semble qu'il y a eu des drames et des tragédies sur ces 2 rues car aucune photo n'en existe sur Internet et encore aujourd'hui, il semble que ce quartier soit devenu un repaire de dealers comme le relateun article de 2014.
Si je ne retrouve pas l'histoire de mes aïeux là-bas et une nouvelle famille parmi les pieds-noirs de Bab-El-Oued, alors je devrais me dire que j'ai "la Scoumoune" ou "un mauvais karma", mais je ne crois pas à tout cela. Je crois par contre aux traumas qui se transmettent de générations en génération par le non-dit qui voue les enfants à revivre la souffrance de leurs parents, et je ne veux pas transmettre cela à ma fille le jour où je pourrai lui parler de ses racines algéroises.
Je vous embrasse tous et toutes et suis certain que malgré la perte de certains d'entre vous qui ne pourront être à nouveau présents à ce grand rassemblement qu'ils attendaient tant, vous pourrez féter vos retrouvailles avec l'amitié et le c 1/2 ur dans le partage et la fraternité qui font la valeur des pieds-noirs, celle de tous les méditerranéens de c 1/2 ur, celle que j'ai connu dans mon enfance et qui me manque tant aujourd'hui à mes 51 ans.
Alors, mouna, kémia, pastilla et bonheur et longue vie d'amitié réunis ce dimanche "po po po !!! comme des mouches sur du miel qu'on étais !!! " comme aurait dit mon grand-père .
merci par avance pour vos réponses et pour vos mains secourables.
"un mendiant de l'amour"
Jean-Jean
J'aurais vraiment aimé pouvoir vous rencontrer, hélas, je ne pourrais m'absenter de Marseille ce dimanche je pense. Je suis trop isolé, coupé de tout contact.
Je recherche depuis deux ans l'histoire de mon grand-père et de sa famille à Bab-El Oued. C'est comme un appel irrépressible. Un désir de vivre là-bas comme si mes racines s'y trouvaient, et elles s'y trouvent ! : mon grand-père était un enfant de la Bassetta, il est né en 1898 au 1 rue de Phalsbourg. Son père s'appelait Albert Pierre RAVIS et y travaillait comme cocher avant de devenir maçon, il en mourut à 37 ans, dix jours après la naissance de son second fils : mon grand père François-Alexandre. Le premier, Albert, était mort avant ses 5 ans.
La mère de mon grand-père s'appelait Françoise RIPOLL (Francisca) et était cigarière, elle était une des filles de Maria PONT et d'Antonio RIPOLL qui étaient venus de Tàrbena, un village près d'Alicante. Elle eut 3 enfant : Albert, Germaine, et François, mon grand-père.
Après le décès de son mari en 1898 elle se remaria en 1903 avec un gars de son village : Juan Battista MASCARO et vécut avec lui au 3 rue du Lavoir jusqu'en 1910, ou elle décéda à son tout avant ses 55 ans. La vie devait être extrêmement dure entre 1850 et 1920 en Algérie pour les pieds-noirs de BEO : plus de 4 enfant sur cinq mouraient avant 5 ans et 2 sur 3 de ceux qui survivaient décédaient avant leurs 30 ans ! : des familles de dix personnes et des enterrements continuels, en moyenne tous les 2 ans... la vie ne pesait pas lourd. Bob-El-Oued fut construit avec du sang et des larmes et fut quitté de même.
Mon grand-père, orphelin de sa mère à 12 ans qui avait perdu son père à sa naissance et son frère et sa s 1/2 ur décédés entre 1895 et 1910 de maladie avant la fin de leur enfance, il du quitter la Bassetta pour survivre à l'hécatombe de sa famille et sauver sa peau en s'engageant volontaire dans la marine au port d'Alger en 1913 comme novice. Il fit toute sa vie comme marins aux machines des paquebots à vapeur.
A Bab-El-Oued, Il avait connu les diligences à cheval, les rameaux et la mouna, la tendresse de la fraternité espagnole de ses frères de galère de BEO. Il nous offrait les rameaux en 1974 quand il venait nous voir avec la mouna, nous racontant peu de chose de son enfance, traumatisé bien avant le second traumatisme de l'exode de 1962. Pour lui, celle-ci avait déjà eu lieu avant : il avait eu son lot de désespoir avant ses 12 ans.
il fit toute sa vie la traversée entre Marseille et les ports d'Algérie de 1913 à 1953 comme soutier puis chauffeur-graisseur aux machines des cargos-mixte de poste des Messageries Maritimes et de la Transat. Il finit comme premier chauffeur du Gouverneur Général CHANZY, son bateau que je réalise en maquette. Il connu aussi les Dardanelles en 14-18, puis le naufrage du Lamoricière où il vit des draine d'enfant se noyer.
Mon grand-père fut le seul survivant de sa famille. J'ai entrepris de raconter son incroyable vie sur cette page d'un cargo où il fut sauvé in-extremis :
http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/languedoc-sgtm-sujet_1751_1.htm
Je cherche avidement des descendants des famille RAVIS, RIPOLL, et MASCARO de la Bassetta et de Tarbena ou des amis a eux. Mon grand-père avait gardé des liens avec les RIPOLL et ils ses cousins venaient le voir à Marseille en 1970 encore. ils mangeaient une Mouna, buvaient l'anisette Gras (qui était fabriquée rue des Moulins) et ils était très sympathique et chaleureux.
Je suis à Marseille et cherche des pieds-noirs qui veuille répondre à mon besoin d'amitié, me raconter ce que fut la vie des premiers colons d'Algérie à Bab-El-Oued, tout spécialement à la Basseta, cette vie pauvre et dure des pionniers qui comme mon arrière-grand père Albert Pierre RAVIS ou Juan Battista MASCARO construisirent Bab-El-Oued, tour à tour comme cocher, maçon, ou plâtrier en sortant les matériaux de la carrière Jaubert.
Je suis certain que nombre d'enfants de BEO ont dans leurs ancêtres les mêmes racines et valeurs que moi car nous avons eu les mêmes grand-pères : des ouvriers pauvres, des enfant des rues fraternels Je me sens en communion avec ces premiers colons car comme eux, je suis déraciné : toute ma famille m'a tourné le dos, me faisant vivre la solitude que connu mon grand-père, et fuit cette histoire et leur racine. Mon père, ethnologue, n'est jamais allé sur les traces de son grand-père là-bas.
J'aimerai beaucoup voir à quoi ressemblaient les maisons où vécurent durement mes aïeux pour comprendre ce qu'il s'est passé là-bas au 1 rue de Phalsbourg et au 3 rue du Lavoir avant 1900 (mais cette rue existe t'elle seulement encore aujourd'hui ?). Il me semble qu'il y a eu des drames et des tragédies sur ces 2 rues car aucune photo n'en existe sur Internet et encore aujourd'hui, il semble que ce quartier soit devenu un repaire de dealers comme le relateun article de 2014.
Si je ne retrouve pas l'histoire de mes aïeux là-bas et une nouvelle famille parmi les pieds-noirs de Bab-El-Oued, alors je devrais me dire que j'ai "la Scoumoune" ou "un mauvais karma", mais je ne crois pas à tout cela. Je crois par contre aux traumas qui se transmettent de générations en génération par le non-dit qui voue les enfants à revivre la souffrance de leurs parents, et je ne veux pas transmettre cela à ma fille le jour où je pourrai lui parler de ses racines algéroises.
Je vous embrasse tous et toutes et suis certain que malgré la perte de certains d'entre vous qui ne pourront être à nouveau présents à ce grand rassemblement qu'ils attendaient tant, vous pourrez féter vos retrouvailles avec l'amitié et le c 1/2 ur dans le partage et la fraternité qui font la valeur des pieds-noirs, celle de tous les méditerranéens de c 1/2 ur, celle que j'ai connu dans mon enfance et qui me manque tant aujourd'hui à mes 51 ans.
Alors, mouna, kémia, pastilla et bonheur et longue vie d'amitié réunis ce dimanche "po po po !!! comme des mouches sur du miel qu'on étais !!! " comme aurait dit mon grand-père .
merci par avance pour vos réponses et pour vos mains secourables.
"un mendiant de l'amour"
Jean-Jean
Le : 02/06/2017 14:29
A tous les amis de Bab el Oued, bonne journée à Rogne.
Je serais avec vous en pensée.
Norbert de la basseta(2 rue Nelson Chierico)
Je serais avec vous en pensée.
Norbert de la basseta(2 rue Nelson Chierico)
Le : 02/06/2017 12:39
Bonjour,
Actuellement je mene un travail de recherche sur les jardins et les espaces publics de la periode coloniale, et plus precisement sur la question de la memoire collective de ces lieux.
Dans cette derniere decenie pour de multiple causes et sous differente facteurs ces espaces ont perdus beaucoup de leurs attractivite, dont certains sont completement ferme au public (a cause de leurs etat degrade) a l instar du square port said ex square bresson.
Les collectivites locals ont toujours essaye d entretenir le square , et d aller a des propositions d amenagement differente dune annee a une autre mais sans succee, l etat du square aujourdhui ent terme de couvert vegetal ne presente que 30% de sa surface total qui etait plantee a 100% avec d espece d arbres des 4 coin du monde parfaitement acclimate avec le climat modere d alger ( ficus, magnolia, bambou , palmier et araucaria du chili)
Lobjectif de mon travail de recherche, avant tout c est sauver, proteger et sauvegarder cest espaces on s appuyant sur la memoire collective partage entre francais juifs et algerien et toute personne ayant vecus un moment avec ces espace.
Retournant a la memoire collective je vise egalement la memoire indeviduelle a travers des temoignage pour reconstruire ces lieux et les rendre a la vie.
je compte beaucoup sur le temoignage que vous pouvait porter sur le square bresson , sur tout ce que vous garder comme souvenir sur ce lieux d histoire. Si c est possible de diffuser ce message autours de vous pour des personnes ayant vecu a alger.
dans le temoignage il est important de m entioner l age a l epauque et le sexe du temoin car l activite et l usage des lieux se definit par des catevories d age et par des groupe d individus.
j espere que mon message trouvera un bon retour de votre cote
Avec mes meilleurs sentiments
Dr. Souici belgacem
Ecole polytechnique d architecture et d urbanisme
Alger, Algerie
Actuellement je mene un travail de recherche sur les jardins et les espaces publics de la periode coloniale, et plus precisement sur la question de la memoire collective de ces lieux.
Dans cette derniere decenie pour de multiple causes et sous differente facteurs ces espaces ont perdus beaucoup de leurs attractivite, dont certains sont completement ferme au public (a cause de leurs etat degrade) a l instar du square port said ex square bresson.
Les collectivites locals ont toujours essaye d entretenir le square , et d aller a des propositions d amenagement differente dune annee a une autre mais sans succee, l etat du square aujourdhui ent terme de couvert vegetal ne presente que 30% de sa surface total qui etait plantee a 100% avec d espece d arbres des 4 coin du monde parfaitement acclimate avec le climat modere d alger ( ficus, magnolia, bambou , palmier et araucaria du chili)
Lobjectif de mon travail de recherche, avant tout c est sauver, proteger et sauvegarder cest espaces on s appuyant sur la memoire collective partage entre francais juifs et algerien et toute personne ayant vecus un moment avec ces espace.
Retournant a la memoire collective je vise egalement la memoire indeviduelle a travers des temoignage pour reconstruire ces lieux et les rendre a la vie.
je compte beaucoup sur le temoignage que vous pouvait porter sur le square bresson , sur tout ce que vous garder comme souvenir sur ce lieux d histoire. Si c est possible de diffuser ce message autours de vous pour des personnes ayant vecu a alger.
dans le temoignage il est important de m entioner l age a l epauque et le sexe du temoin car l activite et l usage des lieux se definit par des catevories d age et par des groupe d individus.
j espere que mon message trouvera un bon retour de votre cote
Avec mes meilleurs sentiments
Dr. Souici belgacem
Ecole polytechnique d architecture et d urbanisme
Alger, Algerie
Le : 01/06/2017 15:57
Ce dimanche 4 juin à AIX EN PROVENCE, au lieu dit "Le Grand St Jean" route de Rognes, les enfants de Bab el Oued et d'Alger retrouveront sous l'égide de l'A.B.E.O. la plus belle des richesse emportée d'Algérie il y a 55 ans déjà : l'amitié.
Le : 31/05/2017 18:28
Bonsoir.
Est ce que l'un des participants à notre journée à Rognes et habitant Nîmes aurait la possibilité de prendre une personne (ma fille) pour le retour.Je suis obligé de rester sur place le soir.
Merci par avance.
Est ce que l'un des participants à notre journée à Rognes et habitant Nîmes aurait la possibilité de prendre une personne (ma fille) pour le retour.Je suis obligé de rester sur place le soir.
Merci par avance.
Le : 31/05/2017 11:29
Bonjour,
Pour le Monsieur qui vient de Nice. Direction Aix en Provence ensuite Cap sortir Jas de Bouffard et prendre la direction Célony " il y a une grande cheminée"en suite Rognes.Bonne route.
Pour le Monsieur qui vient de Nice. Direction Aix en Provence ensuite Cap sortir Jas de Bouffard et prendre la direction Célony " il y a une grande cheminée"en suite Rognes.Bonne route.