Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Chère Madame votre message est reçu 5/5 Affirmatif pour votre information concernant le petit bureau de tabac angle Rue Cardinal Lavigerie ( pas rue Picardie) et le début du chemin de notre Dame d'Afrique ce Bureau de tabac existe toujours par moment j'achète ma presse quand je suis de passage sur la rue Cardinal Verdier Vous nous dites que vous habitez dans le petit village de Vedène qui est effectivement tous prêt de Avignon sur la route Avignon Carpentras a mi chemin d'Avignon et Althen de Paluds et entre Bédarrids et Morières les Avignon pas loin du croisement de l'A7 et les deux Départementales la D225 et la D942 Ce qui est une bonne chose pour vous. Cet après midi je vous ai fait un message sur votre boite privée pour vous demander d'entrer en contact avec moi en privé sur mon adresse électronique perso. Pour vous annoncer peut être une bonne petite nouvelle Je pense qu'une amie qui habite pas loin de chez vous et qui à fait la même école que vous(c'est une enfant du quartier) cette dame je ne vous dirais son nom en privé. Je pense qu'elle peut beaucoup vous aider et pourquoi pas vous rencontrer pour papoter ensemble de vos souvenirs d'enfance. Passez une douce nuit amitié de Bab El Oued.

merci Mustapha oui des pieds
noir il y en a un peu partout j'habite a vedene un petit village pas très loin D’Avignon j'aimerais rencontrer des personnes qui sait que j'ai peu être connu j’étais souvent rue Picardie au magasin de journaux et autre
qui était en face de barbier Hugo et a l'angle de la rue qui aller a notre dame d’Afrique j'avais mes deux copines Josiane andreo et georgette Fabrizio un peu plus loin que le magasin il y avait un coiffeur pour homme
la il y avait un coifeur jeune qui avait une moto souvent nous partions quelques un au forum simplement pour bavarder et moi je monter sur la moto qui était rouge si mes souvenir sont bon j'aurais aimer avoir des nouvelle de cette personne
voila je jette ma bouteille a l’eau

pour Alain trives et Mustapha
c'est bon de vous lire, vous narrez cette époque bénie, avec la faconde d'un reportage,
on s'y voit, on s'y croit!!!

je m'interroge pourquoi, tout cela ne et nous remonte avec autant de ferveur mêlé de nostalgie,
je pensais avoir tiré un trait sur ce passé et il remonte, et je suis friend d'aller à sa rencontre..

POUR mustapha, où se trouvait les bains de chevaux, (à coté du stade marcel cerdan, proche de padovani??)

portez vous bien

merci MOMO pour ces paroles,

ça fait plaisir,c'est pas facile avec les temps qui courent

d'avoir ces souhaits,a bientot.

Rue des Moulins, juste après la cité des Vieux Moulins, sur l'emplacement où fut construit le Centre Villeneuve en 1956/1957 (Ecole de Formation professionnelle pour jeunes filles), il y avait " le champ " où se disputaient tous les matchs de foot entre gamins. Lorsque deux équipes se défiaient, la première parole sur laquelle on s'accordait était : " ON DISPUTE UN MATCH CONTRAT ! ". Et pour différencier les équipes, on tirait au sort qui seraient "LES TORSES NUS " et
"LES TRICOTS DE PEAU ". Lorsque le match commençait, nous avions le sentiment de représenter l'honneur et la fierté de sa rue. Les plus belles rencontres se déroulaient entre les Messageries, la Bassetta, la rue des Moulins et les équipes qui venaient du Beau Fraisier, de la consolation , de la rue Camille Douls et de la rue Léon Roches. Dans nos têtes, la partie se déroulait entre le Gallia et le Mouloudia, l'ASSE et le Red Star, le Sporting et le SABO, mais aussi entre le stade de Reims et le Réal de Madrid, le Brésil et la France...Alors le champ devenait le Stade Bernabeu, le Maracaña ou le parc des Princes. On voulait ressembler à nos aînés du cru comme Salva, Ponsetti, Jasseron, Maouch ( le docteur)... et aussi à Kopa, Di Stéphano, Koksis... Pour ceux qui avaient un grand frère qui jouait dans un club ils mettaient trois paires de chaussettes trouées dans les chaussures à barrettes complètement usagées. Pour les autres ils commençaient en espadrilles et finissaient pieds-nus. Pour se désaltérer, il suffisait d'aller à la fontaine située devant le lavoir de la Bassetta. On avait bonne mine avec nos gueules rougies de transpiration. Ce qui était formidable, c'est que tout recommençait le lendemain...Ainsi, notre enfance à Bab el Oued était belle, heureuse et sans soucis parce que nous la vivions sous la protection de nos parents.

Bonsoir ya khouya Mimi tu déconnes mon frère d'abord ce n'est pas mes règles à moi c'est les règles de toute notre bande de footeux et de tous les enfants de notre époque sauf que nous zahmââ à Bab El Oued nous avons rajouter quelques articles pour faire zahmââ un peu plus professionnel on était un tout petit peu plus intelligent que tous les autres enfants d'Alger (enfin sois disant). Autre chose ya mon frère moi je ne gagnais pas par privilège parce-que j'étais le propriétaire du ballon. Oui certes la plus part du temps on jouais avec un vrais ballon(le mien) n' oubli pas que mon père jouait au M.C.A ( Mouloudia d'Alger) et que des ballons ce n'est pas ce qui manquait chez nous surtout que toute ma famille jouait au foot. J'était comme tous les mâles de ma famille j'avais le foot dans le sang et sans aucune prétention de ma part j'étais un très bon joueur c'était moi qui avait la tache de choisir les joueurs pour mon équipe et c’était toujours moi le capitaine d'équipe. Evidemment la SELECTO HAMOUD BOUALEM c'était souvent mon équipe qui la buvait et quand ce n'était pas la GAZOUZ c'était le lait pasteurisé en bouteille de verre d'un litre de chez Bettouche et glacée pardon. Dés fois on obliger le livreur à s’arrêter devant notre stade improviser pour lui acheter deux ou trois bouteilles sans oublier de lui piquer une bouteille gratis le bonhomme pilotait toujours le même engin( un triporteur Peugeot de couleur bleu clair je m'en rappel très bien) Ce lait pasteurisé très frais était comme un apéritif pour nous avec la chaleur et la partie de foot qui ne se terminait jamais on se régaler. En ce qui concerne la baignade à Padovani après le match oui c'est vrais c'était toute la bande qui piquait une tête dans l'eau, mais pas à Padovani nous on le faisait aux bains des chevaux puisque de temps en temps on jouait au foot en déplacement sur le terrain de l'adversaire près de l’héliport du stade Cerdan. Mais la plus par du temps on jouait au foot sur notre petit terrain a coté du four à chaux de la carrière Jaubert ou sur le petit terrain dans le ravin qui est en bas du boulodrome du triolet et des ruines du vieux moulin face à notre université (école Léon Roche) ou derrière l'église St Louis à la rue Léon Roche. Mimi appel moi demain vers 14h sinon c'est moi qui va t'appeler. Aller tchao bonne nuit (Buenas noches) bons rêves (Buenos sueños)

Pour Leclerc Chère madame des gens de nos quartiers et de nos écoles ils en existent surement dans votre région du Vaucluse. Il serait souhaitable de publier un autre message sur le site Née à Bab El Oued en indiquant le nom de votre village et en précisant votre nom et prénom même s'il n'y a pas une personne de votre connaissance que vous avez connue à l'école de la rue Camille Douls qui réside approximé de votre village vous aurez plus de chance d'avoir une réponse qui vous fera plaisir et pourquoi pas rencontrer des amis(es) d'enfance. De tout cœur je vous souhaite que votre bouteille à la mer trouvera un écho c'est tout le mal que je vous souhaite chère madame. Avec toute mon amitié portez vous bien.

je suis née en 1941 a Alger
j'ai était a l’école de la rue Camille douls puis pendant les vacances a saint joseph
je vis dans un petit village du Vaucluse je suis seule pas d'amis autour de moi
j'aimerais faire la connaisance d'une personne se trouvant dans les environs on pourrais se voir en toute amitiés ce qui nous permettrais d’être moins seule

Un jour en avance je souhaite un joyeux Yom Kippour a la communaute juice.Shalom .MOMO de londres

sacré MUSTAPHA
a tes régles on s'y croirait
on entend le cri des enfant, et comme c'est toi qui devait porter le ballon, évidemment tu gagnais tout le temps
et tu partais te baigner à padovani
a plus ami