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Le : 11/10/2017 16:14
Mustapha oualikene bonjour. Merci pour votre message et vos explications concernant le mca.je suis en panne d ordinateur. Je me suis fait piraté samedi après midi. Des réparations je reprends contact. Amicalement.
Le : 11/10/2017 15:38
pour mustapha
en complément, je viens donc de m'apercevoir, que tu venais jouer dans mon quartier!!! sans que j'en sois informé,et que de plus tu chevauchais le canon d'en face de chez moi, situé devant la porte du musée franchey d'esperray (lieu ou avait eu lieu le coup d'éventail, qui à servi d'excuse à la france pour envahir l’Algérie et démarré la colonisation...)... Donc on s'est croisé il y a bien des années, et s'est connu il y a peu d'année...
PORTE toi bien ami
en complément, je viens donc de m'apercevoir, que tu venais jouer dans mon quartier!!! sans que j'en sois informé,et que de plus tu chevauchais le canon d'en face de chez moi, situé devant la porte du musée franchey d'esperray (lieu ou avait eu lieu le coup d'éventail, qui à servi d'excuse à la france pour envahir l’Algérie et démarré la colonisation...)... Donc on s'est croisé il y a bien des années, et s'est connu il y a peu d'année...
PORTE toi bien ami
Le : 11/10/2017 11:47
pour mustapha
tu es vraiment le wikipédia de bab el oued et ses environs
tu décris les lieux bien mieux que moi, et heureusement que tu es là car personne semble se souvenir de ces lieux hormis toi
tout ces lieux je les connais aussi bien que toi que ce soit la rue porte neuve, en bas du boulevard de la victoire, et face la descente de la rampe des zouaves
cette rue porte neuve descendait la casbah parallèlement aux escaliers
gambetta. Il y avait un grand bar, à l'angle du bld de la victoire et de lar rue porte neuve, mais aussi et surtout, un marchand de beignets dont j'étais friand, effectivement en face il y avait une école de filles, c'était une école de couture..
OUI je connaissais, le kilo qui habitait face à l'école de la victoire (du moins avant que soit construit cette école (à laquelle j'ai était un an pour passer brillamment mon certificat d'études)....
D'ailleurs toujours en hauteur de l'autre coté du rocher, il y avait un bidon ville.. J'ai monté pour prendre les plumeaux de roseaux qui permettait de faire de jolie sarbacanes fines.. j'utilisais les petits fruit d’eucalyptus comme projectiles..
oui je l'ai connu cet carcasse d'avions du stade mingasson.. D'ailleurs j'ai retrouvé, sur internet une photo de cet avion... Cet avion servait aux militaires de la caserne d'orléans de faire des entrainement de saut en parachute.. De plus il y avait une tyrolienne toujours pour l'entrainement militaire, et avec laquelle nous jouions... Sans oublier le marché au puces, ou nous achetions les jean.. A noter qu'avant la construction de l'école de la victoire, il y avait au pied de l'immeuble ancien ou j'habitais, un bidon ville.. SOUVENIRS SOUVENIRS.. Porte bien mustapha..
tu es vraiment le wikipédia de bab el oued et ses environs
tu décris les lieux bien mieux que moi, et heureusement que tu es là car personne semble se souvenir de ces lieux hormis toi
tout ces lieux je les connais aussi bien que toi que ce soit la rue porte neuve, en bas du boulevard de la victoire, et face la descente de la rampe des zouaves
cette rue porte neuve descendait la casbah parallèlement aux escaliers
gambetta. Il y avait un grand bar, à l'angle du bld de la victoire et de lar rue porte neuve, mais aussi et surtout, un marchand de beignets dont j'étais friand, effectivement en face il y avait une école de filles, c'était une école de couture..
OUI je connaissais, le kilo qui habitait face à l'école de la victoire (du moins avant que soit construit cette école (à laquelle j'ai était un an pour passer brillamment mon certificat d'études)....
D'ailleurs toujours en hauteur de l'autre coté du rocher, il y avait un bidon ville.. J'ai monté pour prendre les plumeaux de roseaux qui permettait de faire de jolie sarbacanes fines.. j'utilisais les petits fruit d’eucalyptus comme projectiles..
oui je l'ai connu cet carcasse d'avions du stade mingasson.. D'ailleurs j'ai retrouvé, sur internet une photo de cet avion... Cet avion servait aux militaires de la caserne d'orléans de faire des entrainement de saut en parachute.. De plus il y avait une tyrolienne toujours pour l'entrainement militaire, et avec laquelle nous jouions... Sans oublier le marché au puces, ou nous achetions les jean.. A noter qu'avant la construction de l'école de la victoire, il y avait au pied de l'immeuble ancien ou j'habitais, un bidon ville.. SOUVENIRS SOUVENIRS.. Porte bien mustapha..
Le : 10/10/2017 23:33
Bonsoir mon ami Mimi Tu nous demandes de parler de ton quartier Bab Ejddid. Justement j'ai des souvenirs d'enfance de ce quartier quand j'allais chez ma tante qui habitait au 17 rue de la Casbah. Je sent que mon billet va faire surgir des souvenirs enfouis au fond de toi l'ami. Je commence par le bas au croisement de la rue Rovigo, la Rampe des Zouaves et le fin du Boulevard de la Victoire. . A droite à la fin du boulevard de la Victoire de l’intersection il y avait la fontaine malha "3winet malha" c’était là où les gens du quartier de Bab Ejddid venaient chercher de l'eau en cas de coupures (surtout en été). C’était là aussi que les ouvriers et man½uvres que nous appelions « zouafra » venaient pour se laver et faire leur lessive. Les zouafra c’était des gens qui venaient des bleds et qui descendaient de leurs montagnes et de leurs douars pour venir travailler dans la vieille cité de la Casbah c’était aussi des gens qui dormaient dans des caves et les bains maures. Ils résidaient pour la plus part dans le quartier que nous appelions « Essouaradj » et qui était sous le stade Mingasson entre la caserne d’Orléans et la rue Rovigo
En face de cette fontaine c’est l’école de fille .à proximité il y a les escaliers qui mènent vers Soustara et les escaliers Gambetta juste à gauche sur le même trottoir vers rue Rovigo d'autres escaliers qui mènent aussi à Soustara sur le côté gauche en face c'est la rue Porte Neuve et à coté il y avait une petite boutique ou on achetait des sandwichs de Karantita on acheté aussi des sandwichs de karantita dans une autre petite échoppe en face de l'école . Tout à fait plus haut vers la prison civil, en face de l’école la Victoire il y'avait le café le « Maghreb » de Mr.Bouzourene et un peu plus bas il y avait le gargotier ââmi Berrazouane qui préparait la bonne sardine avec la « derssa! » (Farce aux piments) dont tout le monde en raffolait un peu plus haut que le café Bouzourene toujours face à l’école il y avait une épicerie c'était aussi un commerce de fruits et légumes c’est là que je faisais les commissions pour ma tante. Juste un peu plus bas à droite en descendant la rue de la Casbah il y a la rue Tambouctou (ce nom est gravé pour toujours dans ma mémoire) la rue Tombouctou est une petite ruelle en voûte très étroite qui descend vers le c½ur de la Casbah , à gauche juste après c’est la rue des frère Racim qui aboutie sur la rue Hanibal. Mimi je ne sais pas si tu te souviens de Albert le kilo un pauvre ivrogne qui avait sa cabane perchée au sommet du grand rocher « djebel Albert » ( ancien vestige des remparts de la citadelle) Juste face de l'entrée de l'école la victoire et de la prison Barberousse. Avec mes cousins qu’est ce qu’on a fait chier ce pauvre bonhomme inoffensif. (On était cons à l’époque) Plus haut entre le rocher et ta maison c’est la mosquée Al-Berrani datant de 1653, elle fut reconstruite en 1818, pour être transformée en caserne pour les troupes en 1830, puis transformé une deuxième fois en église Sainte-Croix en 1839. Elle a retrouvé sa vocation première à l’indépendance de l’Algérie. Cette église tu la connais mieux que moi puisque tu habitais juste derrière dans l’impasse, tu l’avais aussi revu quand tu étais revenu la dernière fois avec ta cousine "M.C". Entre la cité de la garde mobile et la prison Barberousse c’est bien sur la rue Docteur Bentami que tu avais emprunter dans ta jeunesse plusieurs fois pour descendre chez nous à Bab El Oued en passant par les escaliers du chemin d'El-Kettar en face du rocher coté Casbah c’est la grande rue Maugrébin avec son commissariat de police et sa place d’Estrée et à sa gauche le boulevard de Verdun et les escaliers de la croix rouge qui aboutissent à la Medersa et au Mausolée Sidi Aberrahmane le Saint patron d’Alger. On ne peut pas parler de ce mytique quartier de la haute Casbah sans évoquer le grand marché au puces ou nous achetions jadis nos espadrilles en toile avec leur semelles en corde de chanvre et de lin on acheter aussi nos Jeans et nos pulls marin (Marinières) à bandes horizontal bleus et blancs. Alors Mimi que pense tu de tous ces souvenirs. Attend j'ai autre chose pour toi ya khouya puisque tu as évoquer le stade Mingasson ou j’ai joué au foot quand j’allais chez ma tante à la rue de la Casbah j'ai le souvenir de cette carcasse de l’avion de chasse allemand un Spitfir abattu par la DCA allié dans les années 43/44 (nous on était pas nés bien sur) mais cette avion nous l'avons approcher et grimper dessus cette épave était fond du stade sous les eucalyptus face à la caserne d'Orléans. Il y avait aussi le célèbre canon qui trônait juste en face de chez toi et de l’église il était devant la grande porte blindée dans le petit coin de la voûte de la porte de la Casbah ce canon nous l'avons chevauché nous sommes tous monté sur son fût. Je profite pour saluer Vidal. Bonsoir Vidal cela fait un bon moment que l'on ne s'est pas écrit. Je vous souhaite à toutes et tous une très bonne nuit portez vous tous bien et prenez bien soin de vous.
En face de cette fontaine c’est l’école de fille .à proximité il y a les escaliers qui mènent vers Soustara et les escaliers Gambetta juste à gauche sur le même trottoir vers rue Rovigo d'autres escaliers qui mènent aussi à Soustara sur le côté gauche en face c'est la rue Porte Neuve et à coté il y avait une petite boutique ou on achetait des sandwichs de Karantita on acheté aussi des sandwichs de karantita dans une autre petite échoppe en face de l'école . Tout à fait plus haut vers la prison civil, en face de l’école la Victoire il y'avait le café le « Maghreb » de Mr.Bouzourene et un peu plus bas il y avait le gargotier ââmi Berrazouane qui préparait la bonne sardine avec la « derssa! » (Farce aux piments) dont tout le monde en raffolait un peu plus haut que le café Bouzourene toujours face à l’école il y avait une épicerie c'était aussi un commerce de fruits et légumes c’est là que je faisais les commissions pour ma tante. Juste un peu plus bas à droite en descendant la rue de la Casbah il y a la rue Tambouctou (ce nom est gravé pour toujours dans ma mémoire) la rue Tombouctou est une petite ruelle en voûte très étroite qui descend vers le c½ur de la Casbah , à gauche juste après c’est la rue des frère Racim qui aboutie sur la rue Hanibal. Mimi je ne sais pas si tu te souviens de Albert le kilo un pauvre ivrogne qui avait sa cabane perchée au sommet du grand rocher « djebel Albert » ( ancien vestige des remparts de la citadelle) Juste face de l'entrée de l'école la victoire et de la prison Barberousse. Avec mes cousins qu’est ce qu’on a fait chier ce pauvre bonhomme inoffensif. (On était cons à l’époque) Plus haut entre le rocher et ta maison c’est la mosquée Al-Berrani datant de 1653, elle fut reconstruite en 1818, pour être transformée en caserne pour les troupes en 1830, puis transformé une deuxième fois en église Sainte-Croix en 1839. Elle a retrouvé sa vocation première à l’indépendance de l’Algérie. Cette église tu la connais mieux que moi puisque tu habitais juste derrière dans l’impasse, tu l’avais aussi revu quand tu étais revenu la dernière fois avec ta cousine "M.C". Entre la cité de la garde mobile et la prison Barberousse c’est bien sur la rue Docteur Bentami que tu avais emprunter dans ta jeunesse plusieurs fois pour descendre chez nous à Bab El Oued en passant par les escaliers du chemin d'El-Kettar en face du rocher coté Casbah c’est la grande rue Maugrébin avec son commissariat de police et sa place d’Estrée et à sa gauche le boulevard de Verdun et les escaliers de la croix rouge qui aboutissent à la Medersa et au Mausolée Sidi Aberrahmane le Saint patron d’Alger. On ne peut pas parler de ce mytique quartier de la haute Casbah sans évoquer le grand marché au puces ou nous achetions jadis nos espadrilles en toile avec leur semelles en corde de chanvre et de lin on acheter aussi nos Jeans et nos pulls marin (Marinières) à bandes horizontal bleus et blancs. Alors Mimi que pense tu de tous ces souvenirs. Attend j'ai autre chose pour toi ya khouya puisque tu as évoquer le stade Mingasson ou j’ai joué au foot quand j’allais chez ma tante à la rue de la Casbah j'ai le souvenir de cette carcasse de l’avion de chasse allemand un Spitfir abattu par la DCA allié dans les années 43/44 (nous on était pas nés bien sur) mais cette avion nous l'avons approcher et grimper dessus cette épave était fond du stade sous les eucalyptus face à la caserne d'Orléans. Il y avait aussi le célèbre canon qui trônait juste en face de chez toi et de l’église il était devant la grande porte blindée dans le petit coin de la voûte de la porte de la Casbah ce canon nous l'avons chevauché nous sommes tous monté sur son fût. Je profite pour saluer Vidal. Bonsoir Vidal cela fait un bon moment que l'on ne s'est pas écrit. Je vous souhaite à toutes et tous une très bonne nuit portez vous tous bien et prenez bien soin de vous.
Le : 10/10/2017 21:47
Bonsoir Nacéra.
L'Impasse aprés le bar Ave Malakoff, n'était pas tout à fait une impasse, puisqu'au fond, il y avait une porte qui donnait sur la cour où habitait Bambino et sa famille, ainsi que Malika Annie.
Aprés on pouvait accéder au rez de chaussèe du 10 rue de Colmar avec Mme Maurice, les familles Passarelli et Winzy.
Abed et Azzedine Kerroum (tous 2 décédés) étaient au 2ème avec leurs soeur et mère, au dessus de la famille Robinet.
Pour revenir à Popaul, il créchait à droite sur le passage aprés l'imprimerie juste en face de votre fenêtre. Lui et Kabrane (2 joyeux lurons) s'en donnaient à coeur joie avec Latrèche (le sourd).
Il y avait aussi, de loin en loin, Le Manchôt, Yeux rouges, Le Rouget, Drimouche,etc...qui ont accompagné notre enfance.
Mais tous avaient un immense respect pour ton père (Dieu ait son âme).
Beaucoup de choses ont disparu dans ce petit bout de quartier. Même la plaque commémorative dédièe à Emile Maupas au 1 rue de Dijon.
Mais malgré cela, ces murs délabrés nous accueillent toujours en familiers.
Je revois clairement Kabrane et sa cariole, transportant les oeufs de Mr Salah lui aussi décédé. Je le revois gravir douloureusement la pente de son supplice (rue de Dijon) son rocher de Sisyphe devant lui.
Mais je crois qu'il ne faut pas conjuguer le présent au passé, car tout cela c'était AVANT. Et AVANT est un pays magique.
Bonne soirèe à toutes et à tous.
Le : 10/10/2017 17:27
Salut à tous,
Franchement, que s’est-il passé, pour que nous ayons cet amour fou pour ce quartier Bab el Oued. Alors oui, certains diront « c’était notre quartier là où nous sommes nés et avons vécu » Je trouve cela un peu réducteur. Autant de passion, des uns et des autres, chrétiens, musulmans ou juifs, 50 ans après, dépasse l’entendement. Ha ! si on pouvait refaire l’histoire, mais bon ! li fet met.
Moi je crois que nous avons attrapé un virus, un truc qui rend fou, fou d’amour pour un pays, notre pays.
Franchement, que s’est-il passé, pour que nous ayons cet amour fou pour ce quartier Bab el Oued. Alors oui, certains diront « c’était notre quartier là où nous sommes nés et avons vécu » Je trouve cela un peu réducteur. Autant de passion, des uns et des autres, chrétiens, musulmans ou juifs, 50 ans après, dépasse l’entendement. Ha ! si on pouvait refaire l’histoire, mais bon ! li fet met.
Moi je crois que nous avons attrapé un virus, un truc qui rend fou, fou d’amour pour un pays, notre pays.
Le : 10/10/2017 14:42
a tous
vous avez la mémoire vive, et vous égrénez avec plaisir, ces instants beni de bab el oued
pour relance vos souvenirs, qui se rappelle "du muet", grand et baraké !!!
autre chose, pour élargir le périmetre de bab el oued.
qui a été et connait bab el djid, la clinique de verdun, la gendarmerie, la prison de barberousse, le marché au puces, les escaliers gambetta, le fort de la casbah (la citadelle), le musée franchey d'espérey, l église ste croix, la rampe des zouaves, la caserne d'orléan et le stade mingasson, les tournants rovigo,
les plages des 2 moulins, des 2 chameaux, des 2 sources, de la vigerie, et evidemment pointe pescade
allez à plus
vous avez la mémoire vive, et vous égrénez avec plaisir, ces instants beni de bab el oued
pour relance vos souvenirs, qui se rappelle "du muet", grand et baraké !!!
autre chose, pour élargir le périmetre de bab el oued.
qui a été et connait bab el djid, la clinique de verdun, la gendarmerie, la prison de barberousse, le marché au puces, les escaliers gambetta, le fort de la casbah (la citadelle), le musée franchey d'espérey, l église ste croix, la rampe des zouaves, la caserne d'orléan et le stade mingasson, les tournants rovigo,
les plages des 2 moulins, des 2 chameaux, des 2 sources, de la vigerie, et evidemment pointe pescade
allez à plus
Le : 10/10/2017 14:07
Merzak bonjour
Andrée par les photos et toi par la narration.
Je pense que nous sommes nombreux (ses) à revivre les beaux moments de notre enfance dans ce quartier. Rue de Dijon où je suis née, rue Colmar qui finissait vers le boulevard de Champagne me semble -t-il tout comme la rue Lavoisier.L'école élémentaire Dijon à l'heure de la récréation et la sortie des classes, manufacture de tabac, Madame Pappalardo pour acheter les blocs de glace et parfois du vin à la demande des voisins. Les couffins chargés que nous faisions monter par les fenêtres avec une corde attachée aux anses.La synagogue lors des fêtes. Abed boxeur au coeur d'or mais qui me faisait peur ; peut être à cause de sa corpulence ou sa voix grave...
Les jeux dans la rue (un poteau sur lequel nous grimpions ou nous faisions des rondes en face de notre immeuble). Lorsqu'il pleuvait les garçons montaient leurs cerfs volants dans le hall d'entrée , ils se reconnaitront . Le petit salon de coiffure.Sans oublier les métiers de la rue ( rémouleur , marchand de vaisselle ) etc.... la rue des Lavandières que j'empruntais pour me rendre à l'école. La rue du Dey me paraissait très loin.
Comment s'appelait le petit passage où habitait Monsieur Popaul?
Amitiés à ta famille.
Andrée par les photos et toi par la narration.
Je pense que nous sommes nombreux (ses) à revivre les beaux moments de notre enfance dans ce quartier. Rue de Dijon où je suis née, rue Colmar qui finissait vers le boulevard de Champagne me semble -t-il tout comme la rue Lavoisier.L'école élémentaire Dijon à l'heure de la récréation et la sortie des classes, manufacture de tabac, Madame Pappalardo pour acheter les blocs de glace et parfois du vin à la demande des voisins. Les couffins chargés que nous faisions monter par les fenêtres avec une corde attachée aux anses.La synagogue lors des fêtes. Abed boxeur au coeur d'or mais qui me faisait peur ; peut être à cause de sa corpulence ou sa voix grave...
Les jeux dans la rue (un poteau sur lequel nous grimpions ou nous faisions des rondes en face de notre immeuble). Lorsqu'il pleuvait les garçons montaient leurs cerfs volants dans le hall d'entrée , ils se reconnaitront . Le petit salon de coiffure.Sans oublier les métiers de la rue ( rémouleur , marchand de vaisselle ) etc.... la rue des Lavandières que j'empruntais pour me rendre à l'école. La rue du Dey me paraissait très loin.
Comment s'appelait le petit passage où habitait Monsieur Popaul?
Amitiés à ta famille.
Le : 09/10/2017 15:52
Bonjour a tous
MERCI MERZAK OUI NOS SOUVENIRS QUE LES MOINS DE 20ANS NE PEUVENT PAS CONNAITRE CELLE DE NOTRE ENFANCE NOTRE ADOLESCENCE JE PENSE SOUVENT AU QUARTIER AUX PERSONNES QUI NOUS ONT VU GRANDIR JOUER COURIR DANS CES CHEMINS LA PLAGE DE L'EDEN OU TOUS LES ENFANTS DE LA BEO SE RÉUNISSAIENT A NOS JEUX DE DÉRAILLÈ AUX NOYAUX D'ABRICOTS AUX BILLES
A LA MARELLE A SAUTE MOUTONS LES COMMERÇANTS AU MARCHE DE BAB EL OUED HAUT EN COULEUR OU TOUTE LES COMMUNAUTÉS ÉTAIENT REUNIES TOUS CES SOUVENIRS RESTENT A JAMAIS DANS NOS C¼URS ET DANS UN COIN DE NOTRE MÉMOIRE IL SUFFIT DE PEU DE CHOSES POUR RÉVEILLER TOUS CES SOUVENIRS
UN SOUVENIR NE MEURT JAMAIS IL S'ENDORT SIMPLEMENT
LA MÉMOIRE EST DANS LE C¼UR
UN COUCOU A TOUS LES AMIS(ES) DE LA CONSOLATION ET A VOUS TOUS
BON APRES MIDI
MERCI MERZAK OUI NOS SOUVENIRS QUE LES MOINS DE 20ANS NE PEUVENT PAS CONNAITRE CELLE DE NOTRE ENFANCE NOTRE ADOLESCENCE JE PENSE SOUVENT AU QUARTIER AUX PERSONNES QUI NOUS ONT VU GRANDIR JOUER COURIR DANS CES CHEMINS LA PLAGE DE L'EDEN OU TOUS LES ENFANTS DE LA BEO SE RÉUNISSAIENT A NOS JEUX DE DÉRAILLÈ AUX NOYAUX D'ABRICOTS AUX BILLES
A LA MARELLE A SAUTE MOUTONS LES COMMERÇANTS AU MARCHE DE BAB EL OUED HAUT EN COULEUR OU TOUTE LES COMMUNAUTÉS ÉTAIENT REUNIES TOUS CES SOUVENIRS RESTENT A JAMAIS DANS NOS C¼URS ET DANS UN COIN DE NOTRE MÉMOIRE IL SUFFIT DE PEU DE CHOSES POUR RÉVEILLER TOUS CES SOUVENIRS
UN SOUVENIR NE MEURT JAMAIS IL S'ENDORT SIMPLEMENT
LA MÉMOIRE EST DANS LE C¼UR
UN COUCOU A TOUS LES AMIS(ES) DE LA CONSOLATION ET A VOUS TOUS
BON APRES MIDI
Le : 08/10/2017 22:58
pour Pivon Sala Pour votre information Abdeldjalil (Pas Abdelatif) Dahmoun était né le 17 avril 1933 au Clos Salembier sa première licence en minime c’est son père Omar Dahmoun trésorier et secrétaire général du club M.C.A qui lui fit signer en minime et c’est sous la houlette de Hamidi Benhamou Smail Khabatou et le hongrois Weiss Alexandre qu’il se perfectionne et qu’il monte en grade pour devenir cet ailier virevoltant que l’on avait tous connu D’après ce que mon père m’avait dit un jour au sujet de la carrière de Abdeldjalil il fut souvent titulariser au poste d’ailier droit suite au deux buts qu’il avait inscrit pour son premier match en équipe première un jour de mars 1954. Ce jour le Mouloudia avait gagné deux à zéro contre le RUA au stade de St. Eugène. Effectivement il était monteur électricien à la CFA il est décédé le 23 mars 2009. Une petite précision il y avait un autre grand joueur au Mouloudia c’était son oncle Mahfoud le père de Abdeldjalil Omar Dahmoun en plus d’avoir était secrétaire et trésorier du Mouloudia d’Alger il a était aussi président du Comité Olympique Algérien de Mars 1965 à Janvier 1968. Quand à mon père il avait commencé au SCUEB il a jouait toute sa carrière au poste d’arrière central au M.C.A il a eu le mérite d’être sélectionner en sélection d’Alger parmi les meilleurs joueurs de l’époque. Il a fini sa vie de footballeur comme entraîneur. Pour me joindre voici mon Email m.oualikene@gmail.com . J’espère que vous arriverez à me joindre comme tout le monde d’ici là portez-vous bien et au plaisir de vous relire.