Liste des messages
Le : 07/08/2006 23:07
pour Momo, Alain Faus, Fasano Pierre-claude,
Merci pour les réponses à vous trois, mais
alain Faus, Claude Ribou c'est mon cousin germain avec qui j'ai de très bonnes relations, moi je m'apelle jean-claude ribou, voilà pour les précisions.je rigole bien sur c'est sans grande importance.Encore une fois merci de répondre car tous ces souvenirs finissent pas s'estomper et faire défaut, au moins il y a toujours quelqu'un sur se cite qui se souvient de notre histoire et des annecdotes,
jean-claude ribou à +
Merci pour les réponses à vous trois, mais
alain Faus, Claude Ribou c'est mon cousin germain avec qui j'ai de très bonnes relations, moi je m'apelle jean-claude ribou, voilà pour les précisions.je rigole bien sur c'est sans grande importance.Encore une fois merci de répondre car tous ces souvenirs finissent pas s'estomper et faire défaut, au moins il y a toujours quelqu'un sur se cite qui se souvient de notre histoire et des annecdotes,
jean-claude ribou à +
Le : 07/08/2006 22:43
a l'attention de momo (AFFAIRE OSMAN )°
Heureusement que nous sommes la pour la mémoire , avec toutes les photos
il y avait son nom marqué sur un genre de diplôme officiel et comme tu le dit
si bien il habitait le climat de France sa femme prenait des coups de bâton
et oui c'était une pathos
amitiés momo c'est bien tu suit et tu donne les bonnes informations
Alain
Heureusement que nous sommes la pour la mémoire , avec toutes les photos
il y avait son nom marqué sur un genre de diplôme officiel et comme tu le dit
si bien il habitait le climat de France sa femme prenait des coups de bâton
et oui c'était une pathos
amitiés momo c'est bien tu suit et tu donne les bonnes informations
Alain
Le : 07/08/2006 19:34
A ALAIN FAUS !
EN EFFET IL S'AGIT BIEN D'OSMAN LE FRERE DE MAHIEDDINE ET QUI HABITAIT AU CLIMAT DE FRANCE A COTE DE LA FABRIQUE DE GLACIERES ZARAGOSSI .
IL ME TERRORISAIT QUAND IL VENAIT CHEZ NOUS AU MAGASIN RUE DE L'ALMA AVEC SA FEMME QUI ETAIT D'ORIGINE PATOS ET QUI AVAIT SOUVENT SOUVENT L'OEIL AU BEURRE NOIR ET RECLAMAIT DES BASTOS GOUT FRANCAIS !!!.
Le : 07/08/2006 16:40
Concernant ce Monsieur qui promenait avec ses photos et son epouse, il s'appelait
MR;RISPOLI ,iletait un ami d'enfance de mon pere quand ils habitaient le quartier de la
marine,j'ai eu aussi le plaisir de travailler dans la reparation navale a Marseille,avec le frere de ce monsieur dcd a ce jour,lui aussi.A+++++++++
MR;RISPOLI ,iletait un ami d'enfance de mon pere quand ils habitaient le quartier de la
marine,j'ai eu aussi le plaisir de travailler dans la reparation navale a Marseille,avec le frere de ce monsieur dcd a ce jour,lui aussi.A+++++++++
Le : 07/08/2006 13:55
a claude riboud
Concernant l'haltérophile aveugle avec sa femme se prénommé OSMAN
ALAIN DE BAB EL OUED
Concernant l'haltérophile aveugle avec sa femme se prénommé OSMAN
ALAIN DE BAB EL OUED
Le : 07/08/2006 13:17
A paule Vella
En ce qui concerne l'althérophile dont vous parler dans votre message, il était assez connu dans le milieu sportif ; et les anciens
disaient qu'il avait voulu mettre sa force dans un combat de boxe, et ce serait à la suite de se combat qu'il aurait perdu la vue, je le connaissais il était souvent à la Bassetta et au bld de Champagne, je ne rappelle plus de son nom ni celui de sa compagne
jean-claude, amitiés d'un PN
Le : 07/08/2006 11:06
message pour Alain Faus
je connais NELLY votre femme, elle était dans ma classe rue franklin et habitait en face de chez moi av de la bouzaréah,
à propos je suis la cousine de Fernand SIRERA, qui habitait rue maxime noiret au ler étage, en haut de la boulangerie, ma grand mère habitait à coté, elle repose au cimetière de Nice, c'était notre mémé Madame SIRERA
Mme d'auvergne avait aussi un fils (c'est mon cousin qui m'avait emmené chez Mme dauvergne prénommé gallion qui peingnait des toiles - voilà, le fin mot de la petite histoire de BEO
je connais NELLY votre femme, elle était dans ma classe rue franklin et habitait en face de chez moi av de la bouzaréah,
à propos je suis la cousine de Fernand SIRERA, qui habitait rue maxime noiret au ler étage, en haut de la boulangerie, ma grand mère habitait à coté, elle repose au cimetière de Nice, c'était notre mémé Madame SIRERA
Mme d'auvergne avait aussi un fils (c'est mon cousin qui m'avait emmené chez Mme dauvergne prénommé gallion qui peingnait des toiles - voilà, le fin mot de la petite histoire de BEO
Le : 07/08/2006 03:03
j ai oublie de vous souhaiter de bonnes vacances a tous bien qu elles soient bien entamees, et dire a la famille Levy que j attends leur reponse, gros bisous a vous tous amis Pieds noirs de BAB EL OUED
Le : 07/08/2006 03:01
coucou a tous,
vous devez dormir pour la plupart, mais je voulais vous dire que j habitais la cite des vieux moulins et que je connaissais Martoune, Zatopek et tous les kilos (Papillon, et tous les autres vous souvenez vous d eux?)Ils nous ont fait courir tous plus d une fois et rire n en parlons pas que de souvenirs, c est une merveille ce site, merci Christian, tu vois chacun raconte la sienne et tout nous revient, c est fabuleux, bisous a tous et bonne journee.
vous devez dormir pour la plupart, mais je voulais vous dire que j habitais la cite des vieux moulins et que je connaissais Martoune, Zatopek et tous les kilos (Papillon, et tous les autres vous souvenez vous d eux?)Ils nous ont fait courir tous plus d une fois et rire n en parlons pas que de souvenirs, c est une merveille ce site, merci Christian, tu vois chacun raconte la sienne et tout nous revient, c est fabuleux, bisous a tous et bonne journee.
Le : 06/08/2006 16:01
On ne peut pas avoir habité les rues Montaigne, Barra, Cavelier de la Salle, Livingstone, Guillemin, Condorcet etc.. et ne plus se souvenir de MARTOUNE et de son éternel béret. Jeune, elle nous inquiétait, mais, par la suite, elle nous attendrissait. Elle allait souvent chez le marchand de lait de la rue Barra, Mr Michel qui buvait plus de vin qu'il ne vendait de lait.
Elle chantait, elle se disait amoureuse de tous les jeunes. Nous les jumeaux l'intriguions car elle ne savait jamais qui était Jean ou Claude.
Tous ces souvenirs que rien n'effacera, témoignent de notre éternel attachement à ce quartier de BEO, berceau de notre jeunesse.