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Le : 20/06/2019 14:27
Bonjour à tous.
Ma famille et moi vous remercions très sincèrement pour vos condoléances et marques de sympathie que vous nous avez témoignées à la suite du décès de mon frère Joseph CUCINIELLO.
Janine CUCINIELLO, épouse SCHIANO-di-COSCIA
Ma famille et moi vous remercions très sincèrement pour vos condoléances et marques de sympathie que vous nous avez témoignées à la suite du décès de mon frère Joseph CUCINIELLO.
Janine CUCINIELLO, épouse SCHIANO-di-COSCIA
Le : 19/06/2019 16:49
1- Une belle histoire à relire : le colon du Sersou, mis en page par Pierre Jarrige
http://alger-roi.fr/Alger/burdeau/textes /2_colon_sersou_frison_roche_jarrige.pdf
2- Hubert Zakine
EXPRESSIONS DE CHEZ NOUS (extrait de "la langue de chez nous autres")
QUAND IL S'EN VA, ON DIRAIT QU’IL REVIENT!
Quand le pataouète y marche à la six-quatre-deux! Que sa démarche, c'est pas qu'elle est équivoque comme celle d'une tapette, mais qu'elle a rien de spartiate ni d'élégant. Comme le kilo que quand y s’en va, on dirait qu’y revient!
A LA SIX-QUATRE-DEUX
Quand le patos y dit "à la va comme je te pousse, dis donc!" nous autres, on parle plutôt d'Allah style
"à la bab Allah" mais la vérité, "A la six-quatre-deux" c'est plusse n'importe comment. On peut dire quand on est mal élevé : "à la mords moi le noeud!"
UNE MAIN DEVANT UNE MAIN DERRIERE
En tapant l'exode, on peut dire qu'on est partis "une main devant, une main derrière". Même que les patos y croyaient qu'on avait les mains pleines de billets alors que total, elles étaient pleines de doigts..............pour taper des olives à la grande Zohra!
CHANGER L'EAU DES OLIVES
C'est pas les mêmes olives qu'on a tapées à la grande Zohra et tous les coulos qui nous aimaient pas! Non, cette expression c'est tellement expressif que la vérité, c'est la peine que je tape l'expliquement : Laissez pisser, l'homme !
DONNER LA COLIQUE
Ma mère, chaque fois qu'elle voyait la grande Zohra à la télévision elle disait invariablement : allez fermes le poste, cuila y va me donner la colique! Et elle rajoutait : TIARLASSO!
CANULE A LAVEMENT
Nos mères elles savaient se faire bien comprendre. Cuila qui faisait qu'embêter son monde, qu'il était samote ou qu'elle était smata, qu'il était ralah, ou s'il parlait pas judéo-arabe, qu'il insistait lourdement, elles le traitaient de canule à lavement pour bien lui faire sentir combien il était insupportable.
TAPER UNE OLIVE
C'est au sens propre, l'air de rien, toucher les fesse des femmes (si on aime les femmes!) avec le majeur en éclaireur. Le pataouète parisien il est devenu le champion du monde de l'olive dans le métro.
Taper une olive au sens figuré, c'est taper un coup de sminfin couffin, un coup de temeniek, une feinte.
RIEN QUE CA Y TE MANQUE
Le pataouète y lançait cette expression dans les gencives de cuila ou celle-là qui faisait rien que jalouser tout le monde
--"elle casse pas trois pattes à un canard!"
--"rien que ça y te manque de lui ressembler" et le juif il ajoutait : Marsek et Maouatek!
CASSER DU SUCRE
Les femmes de chez nous, rien qu'elles avaient une mauvaise langue. Alors, elles faisaient rien que casser du sucre sur le dos de la voisine.
PAS UN Y RACHETE L'AUTRE
Quand toute la troupe c'est une mauvaise troupe, quand le maitre y se désole devant la nullité des élèves, que les cancres toute l'année y progressent que dans la nullité, alors, même s'il est gentil, l'instituteur y peut que constater que "Pas un y rachète l'autre"
FAGOTE COMME L'AS DE PIQUE
Cuila qui s'habille à Bab Ed Djidj plutôt que cher Dior, que son pantalon y se tord de rire, qu'il est païgone hasnah, que sa mère elle lui a jamais dit qu'on met pas une chaussette rouge et une chaussette bleue, enfin cuila qu'il est le roi des gavatcho, on dit qu'il est fagoté comme l'as de pique. La vérité, on avait de ces expressions!
AVOIR UN TROU QUI FAIT DE L'AIR
Cuila c'était le roi des rouspéteurs! Il était jamais content mais la vérité, notre expression elle était plus expressive et plus explicite.
AVOIR LE BOYAU DE LA RIGOLADE : Rire pour un oui et pour un non
MARCHE LA ROUTE CASSE LA CROUTE :
Cette expression quand on se la prenait en pleine figure, il était pas question de trainer en route. Toujours, les femmes elles étaient pressées en revenant du marché tellement qu’elles avaient tchortchoré. Et nous autres qu’on portait le panier des commissions, obligé y fallait faire fissa parce que le manger « il allait pas se faire tout seul »
TON PERE IL EST VITRIER ?
A dire avec un reproche dans la voix car ce « fils de vitrier »j à qui était adressée cette injonction, il cachait toute la vue.
MORDRE L’OEIL
« mord-lui l’½il », c’était l’encouragement qu’on adressait à celui qui voulait se dobzer avec quelqu’un qu’on aimait pas !
GRAND BIEN TE FASSE
Dans le parler français, ca veut dire qu’on souhaite le meilleur à cuila à qui cette phrase elle est destinée. Mais pas dans la langue pataouète; au contraire c’est tout le contraire (chof la répétition) Mieux y dit « je te maudis toi et toute ta descendance »
VOIR QUELQU’UN EN PEINTURE
Picasso même si c’était un pied noir, il aurait rien compris ! Le pataouète y pouvait pas voir son meilleur ennemi, même en peinture ! -- Tch’aimes pas Sauveur ? Pourtant il est gentil !
--Gentil n’a qu’un ½il ! Moi, je peux pas le voir, en peinture !
Après cette « gentillesse » Sauveur y pouvait se jeter au kassour !
UNE CHIEE PLUS QUINZE
Tony Arbona il aurait pu dire dans le poste de TSF: "ici Saint Eugène! Le stade il est plein comme un oeuf ! On peut estimer le nombre de spectateurs à UNE CHIEE PLUS QUINZE."
La vérité c'est pas plusse mieux et surtout plusse explicite que de dire : 12342 spectateurs. Zarmah, il les a compté un par un! Tain de fanfaron!
ATTRAPER MAL
Les mères de chez nous elles avaient toujours peur pour leurs enfants chéris.Alors toujours elles nous mettaient le cinq pour que le karse il aille chez sa mère ou elles
nous mettaient du sucre dans les poches pour que jamais,la crampe d'estomac elle nous pourrisse la vie. Mais quand arrivait l'hiver, et même s'il était mesquinette chez nous, elles se faisaient un de ces mauvais sang, j'vous dis pas! Mais comme si je vous dis pas, vous resterez ignares alors mieux, j'vous dis: toujours elles avaient peur qu'on attrape mal (des fois qu'on attrape bien!)
Ma parole la mère de chez nous, dès qu'il tombait trois gouttes, en avant la flambée d'alcool, les ventouses, la ouate thermogéne et les enveloppements!
HEUREUX TEMPS DE NOTRE ENFANCE ET DE NOS MERES!
TOUCHER UNE SANS FAIRE BOUGER L'AUTRE
Essayez de mettre en pratique et vous comprendrez combien c'est difficile. Cette expression, hautement anatomique,c'est quand ça rentre d'une oreille et ça sort de l'autre sans passer par le cerveau qu'il a d'autres chats à fouetter. Parle à mon matse, ma tête elle est malade ou après moi le déluge! Tout ça pour dire que je m'en fous à un point, vous pouvez pas vous imaginer.
SE FAIRE MANGER
On peut se faire manger au 100 metres, à la belote, la ronda ou à ce que vous voulez, à l'école ou au fromage si c'est une omelette! Mais nous autres, les goulafres, on aimait manger quelqu'un quand on était en colère tellement y nous gonflait les bonbons!
--"tch'es énervé parce qu'on vous a mangé tout cru à la belote, hein?
--"allez, va te faire, va!"
TAPER LA CHAINE
Tout on tapait! Des olives, cao à l'école, un match au jardin guillemin, un casse-croute (on disait pas sandwich) des commissions pour notre mère chérie (en rouspétant) et la CHAINE au stade, au cinéma ou chez Azrine.
On disait pas "taper la queue" comme les patos parce que c'était vilain. Taper la chaine, c'était plus convenable, zarmah, on était des voyous convenables.
Si par le plus grand des hasards, vous savez pas la signification profonde de "taper la queue" demandez à la veuve poignet, elle saura vous taper l'expliquement! (j'ai honte)
ETRE DE GAZ
Quand le tchitchepoune, il tape cinq avec les becs de gaz ou qu'il tape le slalom pour rentrer chez lui, qu'il voit double et même triple, qu'il a plus les yeux en face des trous, on dit qu'il est de gaz!
Ma parole d'honneur, jamais, j'en ai pas vu un à Bab El Oued ou alors j'étais de gaz moi aussi!
http://alger-roi.fr/Alger/burdeau/textes /2_colon_sersou_frison_roche_jarrige.pdf
2- Hubert Zakine
EXPRESSIONS DE CHEZ NOUS (extrait de "la langue de chez nous autres")
QUAND IL S'EN VA, ON DIRAIT QU’IL REVIENT!
Quand le pataouète y marche à la six-quatre-deux! Que sa démarche, c'est pas qu'elle est équivoque comme celle d'une tapette, mais qu'elle a rien de spartiate ni d'élégant. Comme le kilo que quand y s’en va, on dirait qu’y revient!
A LA SIX-QUATRE-DEUX
Quand le patos y dit "à la va comme je te pousse, dis donc!" nous autres, on parle plutôt d'Allah style
"à la bab Allah" mais la vérité, "A la six-quatre-deux" c'est plusse n'importe comment. On peut dire quand on est mal élevé : "à la mords moi le noeud!"
UNE MAIN DEVANT UNE MAIN DERRIERE
En tapant l'exode, on peut dire qu'on est partis "une main devant, une main derrière". Même que les patos y croyaient qu'on avait les mains pleines de billets alors que total, elles étaient pleines de doigts..............pour taper des olives à la grande Zohra!
CHANGER L'EAU DES OLIVES
C'est pas les mêmes olives qu'on a tapées à la grande Zohra et tous les coulos qui nous aimaient pas! Non, cette expression c'est tellement expressif que la vérité, c'est la peine que je tape l'expliquement : Laissez pisser, l'homme !
DONNER LA COLIQUE
Ma mère, chaque fois qu'elle voyait la grande Zohra à la télévision elle disait invariablement : allez fermes le poste, cuila y va me donner la colique! Et elle rajoutait : TIARLASSO!
CANULE A LAVEMENT
Nos mères elles savaient se faire bien comprendre. Cuila qui faisait qu'embêter son monde, qu'il était samote ou qu'elle était smata, qu'il était ralah, ou s'il parlait pas judéo-arabe, qu'il insistait lourdement, elles le traitaient de canule à lavement pour bien lui faire sentir combien il était insupportable.
TAPER UNE OLIVE
C'est au sens propre, l'air de rien, toucher les fesse des femmes (si on aime les femmes!) avec le majeur en éclaireur. Le pataouète parisien il est devenu le champion du monde de l'olive dans le métro.
Taper une olive au sens figuré, c'est taper un coup de sminfin couffin, un coup de temeniek, une feinte.
RIEN QUE CA Y TE MANQUE
Le pataouète y lançait cette expression dans les gencives de cuila ou celle-là qui faisait rien que jalouser tout le monde
--"elle casse pas trois pattes à un canard!"
--"rien que ça y te manque de lui ressembler" et le juif il ajoutait : Marsek et Maouatek!
CASSER DU SUCRE
Les femmes de chez nous, rien qu'elles avaient une mauvaise langue. Alors, elles faisaient rien que casser du sucre sur le dos de la voisine.
PAS UN Y RACHETE L'AUTRE
Quand toute la troupe c'est une mauvaise troupe, quand le maitre y se désole devant la nullité des élèves, que les cancres toute l'année y progressent que dans la nullité, alors, même s'il est gentil, l'instituteur y peut que constater que "Pas un y rachète l'autre"
FAGOTE COMME L'AS DE PIQUE
Cuila qui s'habille à Bab Ed Djidj plutôt que cher Dior, que son pantalon y se tord de rire, qu'il est païgone hasnah, que sa mère elle lui a jamais dit qu'on met pas une chaussette rouge et une chaussette bleue, enfin cuila qu'il est le roi des gavatcho, on dit qu'il est fagoté comme l'as de pique. La vérité, on avait de ces expressions!
AVOIR UN TROU QUI FAIT DE L'AIR
Cuila c'était le roi des rouspéteurs! Il était jamais content mais la vérité, notre expression elle était plus expressive et plus explicite.
AVOIR LE BOYAU DE LA RIGOLADE : Rire pour un oui et pour un non
MARCHE LA ROUTE CASSE LA CROUTE :
Cette expression quand on se la prenait en pleine figure, il était pas question de trainer en route. Toujours, les femmes elles étaient pressées en revenant du marché tellement qu’elles avaient tchortchoré. Et nous autres qu’on portait le panier des commissions, obligé y fallait faire fissa parce que le manger « il allait pas se faire tout seul »
TON PERE IL EST VITRIER ?
A dire avec un reproche dans la voix car ce « fils de vitrier »j à qui était adressée cette injonction, il cachait toute la vue.
MORDRE L’OEIL
« mord-lui l’½il », c’était l’encouragement qu’on adressait à celui qui voulait se dobzer avec quelqu’un qu’on aimait pas !
GRAND BIEN TE FASSE
Dans le parler français, ca veut dire qu’on souhaite le meilleur à cuila à qui cette phrase elle est destinée. Mais pas dans la langue pataouète; au contraire c’est tout le contraire (chof la répétition) Mieux y dit « je te maudis toi et toute ta descendance »
VOIR QUELQU’UN EN PEINTURE
Picasso même si c’était un pied noir, il aurait rien compris ! Le pataouète y pouvait pas voir son meilleur ennemi, même en peinture ! -- Tch’aimes pas Sauveur ? Pourtant il est gentil !
--Gentil n’a qu’un ½il ! Moi, je peux pas le voir, en peinture !
Après cette « gentillesse » Sauveur y pouvait se jeter au kassour !
UNE CHIEE PLUS QUINZE
Tony Arbona il aurait pu dire dans le poste de TSF: "ici Saint Eugène! Le stade il est plein comme un oeuf ! On peut estimer le nombre de spectateurs à UNE CHIEE PLUS QUINZE."
La vérité c'est pas plusse mieux et surtout plusse explicite que de dire : 12342 spectateurs. Zarmah, il les a compté un par un! Tain de fanfaron!
ATTRAPER MAL
Les mères de chez nous elles avaient toujours peur pour leurs enfants chéris.Alors toujours elles nous mettaient le cinq pour que le karse il aille chez sa mère ou elles
nous mettaient du sucre dans les poches pour que jamais,la crampe d'estomac elle nous pourrisse la vie. Mais quand arrivait l'hiver, et même s'il était mesquinette chez nous, elles se faisaient un de ces mauvais sang, j'vous dis pas! Mais comme si je vous dis pas, vous resterez ignares alors mieux, j'vous dis: toujours elles avaient peur qu'on attrape mal (des fois qu'on attrape bien!)
Ma parole la mère de chez nous, dès qu'il tombait trois gouttes, en avant la flambée d'alcool, les ventouses, la ouate thermogéne et les enveloppements!
HEUREUX TEMPS DE NOTRE ENFANCE ET DE NOS MERES!
TOUCHER UNE SANS FAIRE BOUGER L'AUTRE
Essayez de mettre en pratique et vous comprendrez combien c'est difficile. Cette expression, hautement anatomique,c'est quand ça rentre d'une oreille et ça sort de l'autre sans passer par le cerveau qu'il a d'autres chats à fouetter. Parle à mon matse, ma tête elle est malade ou après moi le déluge! Tout ça pour dire que je m'en fous à un point, vous pouvez pas vous imaginer.
SE FAIRE MANGER
On peut se faire manger au 100 metres, à la belote, la ronda ou à ce que vous voulez, à l'école ou au fromage si c'est une omelette! Mais nous autres, les goulafres, on aimait manger quelqu'un quand on était en colère tellement y nous gonflait les bonbons!
--"tch'es énervé parce qu'on vous a mangé tout cru à la belote, hein?
--"allez, va te faire, va!"
TAPER LA CHAINE
Tout on tapait! Des olives, cao à l'école, un match au jardin guillemin, un casse-croute (on disait pas sandwich) des commissions pour notre mère chérie (en rouspétant) et la CHAINE au stade, au cinéma ou chez Azrine.
On disait pas "taper la queue" comme les patos parce que c'était vilain. Taper la chaine, c'était plus convenable, zarmah, on était des voyous convenables.
Si par le plus grand des hasards, vous savez pas la signification profonde de "taper la queue" demandez à la veuve poignet, elle saura vous taper l'expliquement! (j'ai honte)
ETRE DE GAZ
Quand le tchitchepoune, il tape cinq avec les becs de gaz ou qu'il tape le slalom pour rentrer chez lui, qu'il voit double et même triple, qu'il a plus les yeux en face des trous, on dit qu'il est de gaz!
Ma parole d'honneur, jamais, j'en ai pas vu un à Bab El Oued ou alors j'étais de gaz moi aussi!
Le : 18/06/2019 16:32
bonjour
je recherche COHEN FERNAND d Alger age de 80ans+?qui l a connu?il etait employe dans un cirque?
je recherche COHEN FERNAND d Alger age de 80ans+?qui l a connu?il etait employe dans un cirque?
Le : 16/06/2019 17:03
Bonjour Robert, en cette douloureuse circonstance, je te présente à toi et ta famille, sans oublier ma copine d'enfance Jeanine, mes sinceres condoléances. Amitiés Pied Noir Pierrette.
Le : 16/06/2019 09:12
Mon cher Robert,
Une bien triste nouvelle qui bouleverse Jojo et ses souvenirs du 32 bis de la rue Léon Roches. Elle n'a jamais oublié son regard d'enfant qu'elle croisait en passant au rdc car Jean Marc était le dernier né de l'immeuble. Une vie dans l'amour avec nos parents et dans l'amitié avec les voisins. Les menaces de la concierge, Madame Louis, "je vais le dire à vos parents", jamais mises à exécution, en faisait une sainte pour les gamins, toujours prêts à faire une bêtise. On passait de l'enfance à l'adolescence sans s'en rendre compte, et Jean Marc restera " le petit " à jamais...
Une bien triste nouvelle qui bouleverse Jojo et ses souvenirs du 32 bis de la rue Léon Roches. Elle n'a jamais oublié son regard d'enfant qu'elle croisait en passant au rdc car Jean Marc était le dernier né de l'immeuble. Une vie dans l'amour avec nos parents et dans l'amitié avec les voisins. Les menaces de la concierge, Madame Louis, "je vais le dire à vos parents", jamais mises à exécution, en faisait une sainte pour les gamins, toujours prêts à faire une bêtise. On passait de l'enfance à l'adolescence sans s'en rendre compte, et Jean Marc restera " le petit " à jamais...
Le : 14/06/2019 11:24
Mon cher ROBERT. Christiane et moi même te présentons ainsi qu'a toute la Famille LEVY, nos sincères condoléances. Mon épouse se souvient très bien de ton petit Frère. Nous t'embrassons très Amicalement et que Dieu ait son âme.
Le : 14/06/2019 11:00
Mon jeune frére JEAN MARC nous a quitté hier matin à l'age de 69ans :très dur mais qu'il repose en paix.Bisous a tous les pieds noirs
Le : 12/06/2019 14:01
Pieds-noirs — Wikipédia
fr.wikipedia.org
L'étude (historique mais aussi actuelle) de Wikipédia - sur ce sujet encore si douloureux pour les français d'Algérie- me paraît objective et instructive.
Qu'en pensez-vous ?
Le : 12/06/2019 13:52
Écoutez et regardez : vous aimerez ....
Jean-Marie Vivier " Vieillir " - YouTube
[Rechercher dans le domaine www.youtube.com/watch?v=PVr5EgKLHkI]
https://www.youtube.com/watch?v=PVr5EgKLHkI
Vieillir ce n'est plus faire l'amour mais c'est faire la tendresse
Ce n'est plus dire encore c'est murmurer toujours
C'est sentir dans sa main une main qu'on caresse .....
Le : 12/06/2019 12:56
Bonjour, je suis à la recherche de personnes ayant connu mon père EYTIER Yves né à Alger en 1924 ou bien ma mère ALBERTI Anna (Annette) née à Attatba en 1923. Merci.