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Le : 24/01/2008 00:43
Alain Moreno
C'est moi qui t'ais mis en rapport avec Jacky Pastor, j'habitais la petite rue Eiffel, en face la cité des moulins. au 58 avenue de la bouzaréah.
Je sais pas si tu t'en souviens, on dévalait la petite côte de la rue Eiffel, en carriole ou en patins à roulettes, et elle était raide la descente, et on atterrissait en bas de la menuiserie. Que de genoux et coudes erraflés !
Quelle déception, lors de mon retour en 2006, de ne plus retrouver ma petite rue.
Plus de Café de Barcelone, tenu par la famille POZAS, plus de marchand d'espadrilles, plus de moutchou, où l'on achetait les chewing-gum "globo": vert perdant, rose gagnant,
plus de mercerie tenu par Monique Gelabert, plus de librairie de Madame CARDONA qui vendait "pépito", kit Carson, et Mickey. Plus de bijouterie, plus d'escaliers qui débouchaient rue Léon Roches. Tu te souviens de la maison fantôme ? disparue elle aussi. On l'appelait comme çà, parce qu' on rentrait par la rue eiffel où habitait la famille GOZALVES (4 frères dont le petit blond Jean-Louis, notre copain décédé en 2003) et on ressortait au 2ème étage qui était l'entrée rez de chaussée de la rue Léon Roches , l'immeuble qui surplombait la menuiserie .
et plus je montais l'avenue et je ne retrouvais plus le Café "La Butte" ni le Bain Maure.
Tout a été emporté avec les inondations. Quel dommage, ce tronçon de quartier de bab el oued avait un charme particulier, juste en bas de la basseta, en face la cité des moulins, la rue cardinal verdier qui montait place Lelièvre, le marché à deux enjambées,la rue Léon Roches à deux pas. Quelle Merveille ce quartier, où tout le monde se connaissait. et partageait les joies et les peines de chacun.
Comme je disais aux patos : Quand une accouchait, c'est tout le quartier qui avait les douleurs.
Moi aussi j'aimerai avoir des photos de notre quartier de ce temps là, si tu as des sources ou des tuyaux, je suis preneuse.
Qui se souvient, juste à côté du marchand d'espadrilles, il y avait un tout petit magasin de jouets qui était tenu par une famille Indoue. Des gens merveilleux de gentillesse et de douceur. Leur plus jeune fille s'appelait "Bagoue" c'était ma copine, elle jouait avec nous dans la petite rue eiffel, tu t'en souviens Alain ?
Je me demande qu'est ce qu'il est advenue de cette famille à l'indépendance, sont-ils rentrés en France ? ou repartis en Inde ? Ils étaient bien intégrés Pieds Noirs
Si quelqu'un sait quelque chose à leur sujet, on ne sait jamais, le monde est si petit !
MERCI CHRISTIAN que ce site ne meure jamais, ce serait tout reperdre à nouveau !
Bises à Tous
Annie
C'est moi qui t'ais mis en rapport avec Jacky Pastor, j'habitais la petite rue Eiffel, en face la cité des moulins. au 58 avenue de la bouzaréah.
Je sais pas si tu t'en souviens, on dévalait la petite côte de la rue Eiffel, en carriole ou en patins à roulettes, et elle était raide la descente, et on atterrissait en bas de la menuiserie. Que de genoux et coudes erraflés !
Quelle déception, lors de mon retour en 2006, de ne plus retrouver ma petite rue.
Plus de Café de Barcelone, tenu par la famille POZAS, plus de marchand d'espadrilles, plus de moutchou, où l'on achetait les chewing-gum "globo": vert perdant, rose gagnant,
plus de mercerie tenu par Monique Gelabert, plus de librairie de Madame CARDONA qui vendait "pépito", kit Carson, et Mickey. Plus de bijouterie, plus d'escaliers qui débouchaient rue Léon Roches. Tu te souviens de la maison fantôme ? disparue elle aussi. On l'appelait comme çà, parce qu' on rentrait par la rue eiffel où habitait la famille GOZALVES (4 frères dont le petit blond Jean-Louis, notre copain décédé en 2003) et on ressortait au 2ème étage qui était l'entrée rez de chaussée de la rue Léon Roches , l'immeuble qui surplombait la menuiserie .
et plus je montais l'avenue et je ne retrouvais plus le Café "La Butte" ni le Bain Maure.
Tout a été emporté avec les inondations. Quel dommage, ce tronçon de quartier de bab el oued avait un charme particulier, juste en bas de la basseta, en face la cité des moulins, la rue cardinal verdier qui montait place Lelièvre, le marché à deux enjambées,la rue Léon Roches à deux pas. Quelle Merveille ce quartier, où tout le monde se connaissait. et partageait les joies et les peines de chacun.
Comme je disais aux patos : Quand une accouchait, c'est tout le quartier qui avait les douleurs.
Moi aussi j'aimerai avoir des photos de notre quartier de ce temps là, si tu as des sources ou des tuyaux, je suis preneuse.
Qui se souvient, juste à côté du marchand d'espadrilles, il y avait un tout petit magasin de jouets qui était tenu par une famille Indoue. Des gens merveilleux de gentillesse et de douceur. Leur plus jeune fille s'appelait "Bagoue" c'était ma copine, elle jouait avec nous dans la petite rue eiffel, tu t'en souviens Alain ?
Je me demande qu'est ce qu'il est advenue de cette famille à l'indépendance, sont-ils rentrés en France ? ou repartis en Inde ? Ils étaient bien intégrés Pieds Noirs
Si quelqu'un sait quelque chose à leur sujet, on ne sait jamais, le monde est si petit !
MERCI CHRISTIAN que ce site ne meure jamais, ce serait tout reperdre à nouveau !
Bises à Tous
Annie
Le : 23/01/2008 23:45
A Antoine Billotta
LE PETIT DUC, qu'est ce que j'ai pu m'amuser dans tous les rayons, avec toutes les vendeuses, elles étaient toutes les copines de MA MERE qui tenait le magasin de photos
"CINE PHOTOS "un peu plus bas, juste après le Bar des Princes entre le Petit Duc Chaussures., tenu par la flamboyante rousse Solange Benzacken.
Je me souviens de certains noms des vendeuses, Il y avait la Belle Marianne qui avait été élue Miss Alger, qui tenait le rayon parfumerie, Il y avait Magguy et Gladys et Paulette Torres, au 1er étage qui étaient au rayon confection.Et d'autres encore dont j'ai oublié les noms.
Toutes ces demoiselles se retrouvaient, aprés le déjeuner, avant l'ouverture du Petit Duc, dans le magasin de MA MERE, et chacune racontait ses histoires d'amoureux.
Le Patron du Petit Duc s'appelait Albert STORA.
En face , il y avait un cercle privé, trés huppé, trés fermé, qui s'appelait "El Mansour", il faisait l'angle de la rue d'Isly et la Rue Henri Martin.
Lors de mon retour en 2006 avec les 7 nains, j'ai eu la joie, l'incommensurable bonheur de retourner à "CINE PHOTOS" qui est devenu un magasin de tissus. mais les rires, les voix, Solange, Marianne, Magguy, Gladys, Paulette et MA MERE étaient là,... jeunes, belles, radieuses, riant aux éclats de leur belles lèvres maquillées rouge "baiser".
Quelle émotion, que de larmes de bonheur, de faire ce flashback sur notre vie d'avant.
Peut-être que TA MAMAN venait raconter son histoire de flirt à "CINE PHOTOS" à RAYMONDE, MA MAMAN... et peut-être que là-haut elles en rient encore !
MERCI CHRISTIAN, que grace à ton site,pouvoir partager et revivre les annés de notre merveilleuse enfance la-bas ...
Je vous embrasse tous autant que je vous aime mes frères et soeurs de coeur.
Annie Salort
LE PETIT DUC, qu'est ce que j'ai pu m'amuser dans tous les rayons, avec toutes les vendeuses, elles étaient toutes les copines de MA MERE qui tenait le magasin de photos
"CINE PHOTOS "un peu plus bas, juste après le Bar des Princes entre le Petit Duc Chaussures., tenu par la flamboyante rousse Solange Benzacken.
Je me souviens de certains noms des vendeuses, Il y avait la Belle Marianne qui avait été élue Miss Alger, qui tenait le rayon parfumerie, Il y avait Magguy et Gladys et Paulette Torres, au 1er étage qui étaient au rayon confection.Et d'autres encore dont j'ai oublié les noms.
Toutes ces demoiselles se retrouvaient, aprés le déjeuner, avant l'ouverture du Petit Duc, dans le magasin de MA MERE, et chacune racontait ses histoires d'amoureux.
Le Patron du Petit Duc s'appelait Albert STORA.
En face , il y avait un cercle privé, trés huppé, trés fermé, qui s'appelait "El Mansour", il faisait l'angle de la rue d'Isly et la Rue Henri Martin.
Lors de mon retour en 2006 avec les 7 nains, j'ai eu la joie, l'incommensurable bonheur de retourner à "CINE PHOTOS" qui est devenu un magasin de tissus. mais les rires, les voix, Solange, Marianne, Magguy, Gladys, Paulette et MA MERE étaient là,... jeunes, belles, radieuses, riant aux éclats de leur belles lèvres maquillées rouge "baiser".
Quelle émotion, que de larmes de bonheur, de faire ce flashback sur notre vie d'avant.
Peut-être que TA MAMAN venait raconter son histoire de flirt à "CINE PHOTOS" à RAYMONDE, MA MAMAN... et peut-être que là-haut elles en rient encore !
MERCI CHRISTIAN, que grace à ton site,pouvoir partager et revivre les annés de notre merveilleuse enfance la-bas ...
Je vous embrasse tous autant que je vous aime mes frères et soeurs de coeur.
Annie Salort
Le : 23/01/2008 23:20
A Sconiamiglio
"Qui se souvient de la GOUTES DE LAIT,j'uste à côté de l'arret des cars CABRERA,c'était tenu par des soeurs qui distribué gratuitement du lait pour les nourrisons,je me rappel des mauresques étaient assisent à même le sol tout les jours en attendant l'ouverture pour la distribution du lait,un ancien de la cité des vieux MOULINS".
Je m'en souviens très bien car mes grands-parents habitaient au dessus du café de la Butte. Toutes les mauresques attendaient le lait et ensuite elle partaient pour le Beau fraisier avec Coco Cabrera qui habitait d'ailleurs avenue de la Bouzaréah au-dessus du bain maure. J'habitais la rue Curie perpendiculaire à la rue Pierre Leroux. Une rue très décorée par tous les enfants au moment du 14 juillet.
Bien amicalement
Arlette
"Qui se souvient de la GOUTES DE LAIT,j'uste à côté de l'arret des cars CABRERA,c'était tenu par des soeurs qui distribué gratuitement du lait pour les nourrisons,je me rappel des mauresques étaient assisent à même le sol tout les jours en attendant l'ouverture pour la distribution du lait,un ancien de la cité des vieux MOULINS".
Je m'en souviens très bien car mes grands-parents habitaient au dessus du café de la Butte. Toutes les mauresques attendaient le lait et ensuite elle partaient pour le Beau fraisier avec Coco Cabrera qui habitait d'ailleurs avenue de la Bouzaréah au-dessus du bain maure. J'habitais la rue Curie perpendiculaire à la rue Pierre Leroux. Une rue très décorée par tous les enfants au moment du 14 juillet.
Bien amicalement
Arlette
Le : 23/01/2008 23:09
A Alain,
Je vais regarder si je trouve des photos de l'époque où nous vivions dans ce quartier mais je ne sais pas si je vais en retrouver car à cette époque là nous ne prenions pas beaucoup de photos. Et puis, nous ne savions pas qu'il fallait immortalisé notre quartier car jamais nous ne pensions le quitter. L'immeuble de mes grands-parents au-dessus de la Butte a également été abattu et ils ont reconstruit. Tous nos souvenirs partis en fumée.
A bientôt
Arlette
Je vais regarder si je trouve des photos de l'époque où nous vivions dans ce quartier mais je ne sais pas si je vais en retrouver car à cette époque là nous ne prenions pas beaucoup de photos. Et puis, nous ne savions pas qu'il fallait immortalisé notre quartier car jamais nous ne pensions le quitter. L'immeuble de mes grands-parents au-dessus de la Butte a également été abattu et ils ont reconstruit. Tous nos souvenirs partis en fumée.
A bientôt
Arlette
Le : 23/01/2008 23:03
Alain Moreno
Bonsoir Alain,
Je viens de faire un voyage dans mon quartier avec tous les noms de magasins que vous énumérez et que je connaissais bien. Melle EMMA avait une épicerie très bien achalandée et propre, souvent se trouvait sur les marches un arabe assez âgé que tout le monde aimait bien.
Je fais très souvent des monas, des rolliets et des mantécaos le régal de mes enfants et de mes petites filles. J'ai trouvé des bambes aux Baléares, d'ailleurs Mr CLAPEZ était Mallorquin et il en faisait d'excellentes.
Que de bonheur!!! Nous avons certainement du nous croiser, je suis née en 1946, j'ai deux frères nés en 1938 et 1944. Les deux ont fréquenté l'école de la Place Lelièvre où nous allions regarder le cinéma en plein air. Comment oublier ce paradis, nous n'étions pas riches mais la joie de vivre dans ce pays valait tout l'or du monde. Les vacances nous n'en n'avions pas besoin, nous les avions à notre porte sans prendre l'avion ni le bateau, nos jambes nous suffisaient pour aller nous baigner. Si l'Algérie était restée française, nous aurions été envahis de touristes. Maintenant il ne nous reste plus que nos souvenirs mais vraiment en prenant de l'âge la nostalgie ne fait qu'empirer. Etes-vous retourné à Alger depuis l'indépendance ? A l'heure actuelle, je me demande toujours pourquoi cette guerre qui a tout détruit. Nous ne faisions pas de différences entre les communautés et nous respections les uns comme les autres les différentes cultures. Que faire sinon ne pas oublier.
Au plaisir de vous lire.
Amicalement
Arlette
Bonsoir Alain,
Je viens de faire un voyage dans mon quartier avec tous les noms de magasins que vous énumérez et que je connaissais bien. Melle EMMA avait une épicerie très bien achalandée et propre, souvent se trouvait sur les marches un arabe assez âgé que tout le monde aimait bien.
Je fais très souvent des monas, des rolliets et des mantécaos le régal de mes enfants et de mes petites filles. J'ai trouvé des bambes aux Baléares, d'ailleurs Mr CLAPEZ était Mallorquin et il en faisait d'excellentes.
Que de bonheur!!! Nous avons certainement du nous croiser, je suis née en 1946, j'ai deux frères nés en 1938 et 1944. Les deux ont fréquenté l'école de la Place Lelièvre où nous allions regarder le cinéma en plein air. Comment oublier ce paradis, nous n'étions pas riches mais la joie de vivre dans ce pays valait tout l'or du monde. Les vacances nous n'en n'avions pas besoin, nous les avions à notre porte sans prendre l'avion ni le bateau, nos jambes nous suffisaient pour aller nous baigner. Si l'Algérie était restée française, nous aurions été envahis de touristes. Maintenant il ne nous reste plus que nos souvenirs mais vraiment en prenant de l'âge la nostalgie ne fait qu'empirer. Etes-vous retourné à Alger depuis l'indépendance ? A l'heure actuelle, je me demande toujours pourquoi cette guerre qui a tout détruit. Nous ne faisions pas de différences entre les communautés et nous respections les uns comme les autres les différentes cultures. Que faire sinon ne pas oublier.
Au plaisir de vous lire.
Amicalement
Arlette
Le : 23/01/2008 21:57
Pour Antoine Billotta
Non, cette petite histoire n'est pas insignifiante. Elle relate une partie de notre vie, et elle a une valeur affective inéstimable.
Bonne soirée.
Tamene Merzak.
Le : 23/01/2008 20:15
Alain Moréno
Decidement le monde est petit et comme disait mon père : il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas. Tu parles des Familles : Caselles, c'était ma tante et Géronie et X qui n'était pas sa soeur, c'était Mme Sabater, une amie très proche à ma maman.
Combien d'affaires, elles nous faisaient, des doigts d'or.
Autre chose, un fait très amusant; le dr Pozzo dont nous étions clients, le chat s'était mis à miauler et fier comme tout, le dr ouvrait la porte des wc et le chat sautait sur la lunette et faisait pipi dedans. Faut le voir pour le croire, je vous assure , c'est véridique.
Vous parlez des salles de ciné, je suis allé au stade de St Eugène, en été le ciné plein air.
Mais fallait pas voir un film long, les gradins étaient durs....Et les courses de stock-car, qu'est-ce que l'on mangeait comme poussière.
Ah! souvenirs, souvenirs....
Decidement le monde est petit et comme disait mon père : il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas. Tu parles des Familles : Caselles, c'était ma tante et Géronie et X qui n'était pas sa soeur, c'était Mme Sabater, une amie très proche à ma maman.
Combien d'affaires, elles nous faisaient, des doigts d'or.
Autre chose, un fait très amusant; le dr Pozzo dont nous étions clients, le chat s'était mis à miauler et fier comme tout, le dr ouvrait la porte des wc et le chat sautait sur la lunette et faisait pipi dedans. Faut le voir pour le croire, je vous assure , c'est véridique.
Vous parlez des salles de ciné, je suis allé au stade de St Eugène, en été le ciné plein air.
Mais fallait pas voir un film long, les gradins étaient durs....Et les courses de stock-car, qu'est-ce que l'on mangeait comme poussière.
Ah! souvenirs, souvenirs....
Le : 23/01/2008 19:52
Pour Sauveur, Merzak et... tout le monde,
Ma mère, jeune fille, travaillait au "PETIT DUC", rayon mercerie. Au cours d'une conversation, il n'y a pas très longtemps, un peu avant qu'elle "parte", je lui racontais que j'étais allé rendre visite "incognito" au Docteur Claude Lévi-Valensi que les anciens de Sigwalt et de l'O.B.O doivent connaître et habitant à une vingtaine de kilomètres de chez moi.J'avais eu son adresse par son cousin - ce que je ne savais pas! - Serge, fils de notre illustre instit' M.Seror....Et ma mère de m'apprendre que le "monsieur grand et maigre" (selon ma description) qui venait très souvent "papoter" avec elle devant notre entrée n'était autre que le père de Claude mais aussi son chef de service (ou directeur?) au....
"PETIT DUC"....Je me suis permis de vous offrir cette petite histoire insignifiante? juste pour nous rappeler -si besoin était- comme le monde est petit et combien nous devons à Christian de nous permettre d'avoir tant d'heureuses surprises. Merci à toi Christian et à vous toutes et tous dont les moindres anecdotes sont autant de gouttes de jouvence...
Ma mère, jeune fille, travaillait au "PETIT DUC", rayon mercerie. Au cours d'une conversation, il n'y a pas très longtemps, un peu avant qu'elle "parte", je lui racontais que j'étais allé rendre visite "incognito" au Docteur Claude Lévi-Valensi que les anciens de Sigwalt et de l'O.B.O doivent connaître et habitant à une vingtaine de kilomètres de chez moi.J'avais eu son adresse par son cousin - ce que je ne savais pas! - Serge, fils de notre illustre instit' M.Seror....Et ma mère de m'apprendre que le "monsieur grand et maigre" (selon ma description) qui venait très souvent "papoter" avec elle devant notre entrée n'était autre que le père de Claude mais aussi son chef de service (ou directeur?) au....
"PETIT DUC"....Je me suis permis de vous offrir cette petite histoire insignifiante? juste pour nous rappeler -si besoin était- comme le monde est petit et combien nous devons à Christian de nous permettre d'avoir tant d'heureuses surprises. Merci à toi Christian et à vous toutes et tous dont les moindres anecdotes sont autant de gouttes de jouvence...
Le : 23/01/2008 19:45
Et le RIALTO à la Bassetta avec Negro qui nous engueulait, c'est vrai que l'on faisait un de ces chahut. Quelque fois des rats nous passaient entre les pieds et la c'était les filles qui hurlaient. Il y avait une série qui passait dans les années 56/57, ZORRO l'araignée. Le lundi, à l'école de la place Lelievre, on rejouait les scènes.
Le : 23/01/2008 19:22
je me permet d'intervenir au sujet des cinemas de chez nous. avez vous oublié "Le plaza"
rue du général verneau, et le "Trianon" av de la bouzharea en face du café le Madrigal ou nous faisions des parties de baby-foot d'enfer!!!! et qui est devenu ensuite le magasin
Monoprix. Le " lynx" rue rosetti qui s'appelait avant le "Bijou" pour le reste je crois que vous n'avez rien oublié. Le " Marignan" le "Majestic" le "Varietes" le "La Perle".
qui dit mieux!!!! amicalement a tous.
rue du général verneau, et le "Trianon" av de la bouzharea en face du café le Madrigal ou nous faisions des parties de baby-foot d'enfer!!!! et qui est devenu ensuite le magasin
Monoprix. Le " lynx" rue rosetti qui s'appelait avant le "Bijou" pour le reste je crois que vous n'avez rien oublié. Le " Marignan" le "Majestic" le "Varietes" le "La Perle".
qui dit mieux!!!! amicalement a tous.