pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : claude-FranceEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 17:16

Pour Jean Louis GAS

salut Jean louis que de souvenirs , Tous reviens avec les recits des uns et des autres.
Hier soir c etait au telephone avec Sam
J espere que nous nous verrons cette année
Claude-france

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 16:42

Pour Autuori Auguste
Merci et bonjour à ta mère de la part de toute la clique.

 

De : FAUS Marie CEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 16:20

BONJOUR a vous tous, suite a un probléme d'ordinateur plus exactement virus j'ai perdu mes contacts que j'avais retrouvé sur ce merveilleux site si vous vous reconnaissez ecrivez moi sur mon adresse émail toutes mes amitiés aux P N d'ici et d'ALGER

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 14:08


Pour Jean-Louis GAS
Tout simplement, Merci.
Lors de mon récent passage à Alger, j'ai constaté avec plaisir que le magasin du chemisier Jules existe toujours, ainsi que la boutique de "prêt à porter" Vic et Ray juste en face.
Marco le chausseur, aprés les escaliers qui mènent au Marignan, n'a pas changé de raison sociale, quand à La Grande Brasserie prés de la miroiterie Borras et Sempol,elle tient toujours debout, avec son piano célèbre.
Bonne journée.
Tamene Merzak.



 

De : naceraEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 11:25

A Jean Louis GAS
Pouvez vous me contacter sur ma messagerie? Merci

 

De : amicale six fournaaise des rapatrièsEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 11:17

L'Amicale Six Fournaise des Rapatriès de Six Fours les Plages
tiendra la permanence de la Chapelle du Cap Falcon à Toulon :
pour la visite de cette magnifique réalisation
le Samedi 16 Février de 14 h à 17 H
téléphone 04 94 25 68 16

 

De : Autuori AugusteEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 10:19

Aujourd’hui grand jour pour mon cousin Billotta Antoine sachant qu’il est à la recherche de 2 photos je lance un appel :
Une photo de l’école Sigwalt
Une photo de l’annexe de la Mairie.
A vous tous qui savez si bien retracer notre jeunesse merci, a Christian grâce à qui vous pouvez le faire Mille Merci.
A celle ou celui qui pourra mettre peut être les photos sur le site merci pour Antoine ( et nous).
Pour Merzak quand tu veux la sauce tomate t’attend chez ma mère !!!!!
Babelouedement

 

De : Jacqueline RiquelmeEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 09:42

L´ATTENTION DE MR.JEAN-LOUIS GAS.
Votre récit est magnifique, votre mémoire prodigieuse, merci de ce petit moment de "balade" à Bab-el-oued.

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 09:18

A Jean Louis GAS

A plusieurs dizaines d'années de distance quelle mémoire!!!! A cette evocation d'autres images surgissent dans nos notre "cinéma interieur" se superposant aux tiennes

Le Petit Duc etait encore ouvert dans les années 1943-45,helas j'ai vu cet immeuble plus tard,blessé,soutenu par des etais, pour disparaître -Il ne vit que dans nos mémoires
C'etait le Grand Magasin,c'etait les Galeries de France ,les Galeries Lafayette du quartier de la Marine
Objets inanimés avez vous une âme?

 

De : Jean-Louis GasEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 01:39

Christian,
Je regarde assez souvent ce site pour avoir en quelque sorte une dette morale. Je n'aime pas trop écrire sur les livres d'or. Mais depuis quelque temps, j'ai envie de dire comme Christian "moi aussi je suis de Bab el Oued". Et j'ai envie de vous dire à tous quelques souvenirs, de déposer comme l'on dit une petite contribution. Comme de plus, quand je lis vos âges, je me sens maintenant parmi les anciens sur le site, il est temps que je m'y mette. Ainsi donc, j'habitais Boulevard Guillemin, au 19 (il n'y avait pas de 17 !). Et à l'époque ce boulevard constituait disait-on la limite du quartier de Bab el Oued; on se sentait plutôt de Nelson. D'ailleurs je suis allé à l'école primaire rue Lazerges. A Bugeaud, plus tard. Mais lorsque le 23 mars, dont tout le monde se souvient ici, sur ce site, il a fallu partir dans les conditions que vous savez, à Béni Messous, j'habitais bien Bab el Oued.
Ce qui m'a fait entreprendre ces quelques lignes, c'est le mot de l'une d'entre nous qui parlait du café Chez Alex, où nous allions manger, comme toi, Jacqueline, les mêmes plats aux noms savoureux et évocateurs. Je regrette bien de ne l'avoir pas retrouvé, Alex, quand il tenait un restaurant à Nice; je ne le savais pas.
Et de là, je me suis revu dans cette avenue de la Bouzaréah, où nous arrivions par la rue Barrat, tournions à gauche à hauteur du magasin de Mlle Legendre (que vendait-elle ? je ne me souviens plus, de l'électro-ménager je crois). Quelques mètres plus loin, presque juste en face de chez Jules, le chemisier (que j'ai retrouvé à Paris), nous coupions la voie du tram et entrions au garage (ça descendait), tenu par un monsieur Spielman. Il y avait dans ce garage une odeur particulière, d'essence de l'époque je pense. En sortant du garage, à gauche de la porte il y avait un El Baz qui était marchand de jouet. Moi qui adore les miniatures d'autos, je me régalais. A côté de Jules, un pâtissier je crois faisait la pige au marchand de beignets, sur le même trottoir, et vendait des olgas (qui s'en souvient ?) Restant sur le même trottoir en nous dirigeant vers l'avenue de la Marne (où je suis né) nous allions avec mon père acheter les journaux chez Berger (en face ou presque il y avait la pharmacie de monsieur Amouyel, dont le fils Pierre était un copain de Lycée et a fait une carrière brillante. Puis nous passions devant la miroiterie Borras et Sampol (grâce à André Borras j'ai retrouvé mon copain de Lycée José Sampol, qui est devenu un ponte des milieux médicaux marseillais). Un peu plus loin, nous passions devant l'opticien ami de mon père Vincent Daure, puis devant la pharmacie Lafargue (Paul était un ami de mon père). Nous traversions souvent là, juste avant l'arrêt du tram, passions devant Le Faisan d'Or, le café, laissant à notre gauche le marchand de journaux et de tabac Lobéra. Escaliers montant vers la rue Montaigne. Guercy, le marchand de cycles dont le fils était un champion. A côté de Guercy, l'ébaniste Monsieur Sendra, encore un ami de mon père, dont j'ai retrouvé un des fils, Jean-Pierre. Pourquoi est-ce que j'associe Spigol à ce niveau ? il devait y avoir un magasin, ou une publicité, ou alors la famille Espig habitait là. Re-escaliers, arrivée à la placette, en haut de la rue Livingstone, où nous passions de longs moments à parler et rire, quand nous ne jouions pas au foot avec n'importe quoi, les bouches d'égoût servant de buts. Sur la droite, l'épicerie tenue les derniers temps par monsieur Pouillès. Je passais devant le 15, où habitait Anne-Marie (que je n'ai hélas connue que récemment à Paris et grâce à l'Internet). Arrivé au 19, soit je rentrais sagement, soit je poussais jusqu'au 21, où habitaient grands-parents, oncle et tante, et donc mes cousins Planès, Jean-Pierre et Alain. Juste après, l'usine de tabac Job, puis la rue Reine et Guillaumet, où il y avait une école, juste au pied des escaliers de la rue Mizon; la directrice en était Mlle Valensi. Je ne veux pas envahir le livre d'or de Christian, donc je vais de ce pas au 19, et je rentre sagement à la maison, où dans mes pensées je retrouverai Jacqueline, et peut-être Elisabeth. Mais où suis-je ? ça y est je délire, ou plutôt je rêve. Ne m'en veuillez pas mes amis de jeunesse. Je reviendrai vous voir, ou du moins vous parler. J'ai passé grâce à Christian et avec vous tous un moment bizarre. Pas triste. Peut-être nostalgique tout de même. Mais plus il va plus je pense à cette première partie de notre vie, de ma vie, avec une certaine tendresse. Et ce soir, cette tendresse, j'avais envie de la partager avec vous. Du boulevard Guillemin, d'où je vois la mer, mais aussi le collège Guillemin, dont Grim et d'autres s'occupent en ce moment, je vous envoie de très sincères amitiés .
Jean-Louis

 

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