pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 25/01/2008 12:45

De la part de mes parents qui ne possèdent pas internet.

Ils adressent un salut "Bab-El-Ouédien" à tous ceux qui fréquentent ce site. Ils se rappelent aux bon souvenirs de ceux qui, éventuellement, les connaissent.
Pour mon père: Raymond Bisbal du 5 rue Jean-Jaures (au dessus de chez Coco & Riri) - en face de l'école Lelièvre. Il aura 80 ans cette année.
Pour ma mère Josette Navarro (épouse Bisbal) du 51 av de la Bouzareah. (entre la bijouterie et le magasin de confection Walid) en face de chez Grosoli. Son père (Emile Navarro) et son frère (Jean-Pierre Navarro) travaillaient au journal L'Echo d'Alger
Pour ma mère je ne précise pas son age ....
Ils étaient tous les deux membres de la Chorale Jean-Claude, avec le regreté Tortora.

je serai l'intermédiaire pour transmettre d'éventuels messages.

Merci à toutes et à tous


 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 25/01/2008 10:57

A Edgard BENTOLILA
OH ! QUELLE HERESIE : "devant un verre de pastis dans un bar Avenue de la Bouzaréa", mais toutes les ames de " nos boratchos" du dimanche ont du se retourner dans leurs tombes..
Citez au moins "UN VERRE DE CRISTAL".
A la rigueur "un GRAS" ou " un PHENIX" !
Juste pour rire...........
Amitiès
Freddy

 

De : Edgard BentolilaEnvoyer un mail

Le : 25/01/2008 00:46

Quel plaisir d'avoir pu dicuter aujourd'hui avec Serge CHRISTOL. Copains depuis 1946, dès l'âge de 4 ans, ensemble à la maternelle de la rue Normandie. Puis, côte à côte sur les bancs de Franklin et Condorcet.
Grâce à ce site, merci à Christian et son fils, puis à Stéphanie, la fille de Serge, qui a pu me contacter, nous avons récapitulé quelques péripéties notoires de notre vie.

Et puis, surtout, on a remarqué que nous avions gardé notre accent de BEO, tous les deux, quelle richesse! Le fait étant dû au nombre d'années vécues en dehors de la France.
Le soleil de l'amitié de chez nous est toujours resté là!
"O po po dis, j'te jure"! On s'aurait cru devant un verre de pastis, dans un bar, en pleine avenue de la Bouzaréah...!.

A plus,

Amitiés à tous.

 

De : christiane coppaEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 22:42

Salut ANNIE
Effectivement les inondations ont tout emporté, moi aussi j'ai été déçu de ne pas retrouver nos lieux de jeux et de joie.
Comme tu le dis si bien "notre ami Jean Louis nous a hélas quitté".
Lorsque nous descendions la grande cote de la rue Eiffel, nous attérissions dans la porte d'un couple qui habitait juste en face à l'autre bout.
La femme sortait et nous traitait de garçonnières. Et nos jeux de gendarmes et voleurs toujours avec Jean Louis - son cousin Michel - Bamby, nous passions de la maison de jean louis dans la rue Léon Roche et on n'arrêtait que lorsqu'on était épuisé de courrir.

Nous jouions aussi au ballon prisionnier dans la cour de la menuiserie ou dans ta ruelle.

Pour BAGOUE effectivement j'avais su qu'ils étaient à Paris et que leur famille avait 1 ou plusieurs magasins, rue de rivoli, sous les arcades. Je suis allée plusieurs fois, ne me rappelant pas le nom de famille, aucune famille tenant ces dits magasins n'ont pu me renseigner.

Ce que je peux rappeler, si un ancien voisin à eux lit ce message, cette famille Indou
habitait l'immeuble qui faisait l'angle de l'avenue de la Bouzaréah,au dernier étage, face aux 3 horloges, sur le même trottoir que la Boulangerie SALORT.(Au fait qu'est devenu GABY SALORT???)
L'ainée s'appelle HELENE et la plus jeune des filles à l'époque avait 4 ans.

Bisous

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 22:16


Où l'on projetait et non projetais

 

De : MerzakEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 22:00


Pour la clique des Méssageries.

Guy Balzano. Tu aurais dû continuer sur ta lancée et nous parler de l'époque(fin des années 50) où l'on projetais au Marignan le jeudi matin, des films d'Elvis gratuitement pour les oualiones du quartier. Le coût de l'entrée c'était un paquet de café Nizière vide, que" le petit frisé" récupérait à l'entrée.
Toute la bande Sigwalt-Lelièvre était là. Ils se reconnaitrons...
Bonne soirée à tous et à toutes.
Tamene Merzak.

 

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 21:30

Aujourd'hui voiçi 48 ans,ç'etait un dimanche de printemps,à l'unanimité la clique
avait reservée les places pour la projection au ciné VARIETE du film
La p..... sentimentale ; avec comme vedette brulante Maria Vincente !
Nos esprits sont aujourd'hui toujours troublés, la scéance etait annulée et la
semaine douloureuse des Barricades commençait....
Quant au film projeté au Marignan lors de l'explosion;je ne peut que confirmer
la parole de mon ami et immense acteur SUCH Michel








 

De : LIGUORI MathieuEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 20:28

Au sujet du square Guillemin et de ses alentours .
Jean-Louis Gas a oublié de citer ,près des cycles Guercy le chapelier ,Mr Romagnoli ,le fils René était au collège Guillemin avec nous (il est décédé il y a peu de temps ...)
Je pense ,pour apporter une précision à Julia ,qu'il ne s'agit pas du fils Espig qui est mort suite à un accident de plongée mais un certain Blanc qui habitait au Bd Guillemin (il avait à peine 20 ans ....)

 

De : christianEnvoyer un mail

Le : 24/01/2008 20:07

Bonjour à tous,

J'en profite pour vous souhaiter une bonne et heureuse année 2008, pleine de joie, de bonheur et surtout de santé.
A la lecture de vos messages sur la destruction de plusieurs maisons suite aux inondations de 2001, plusieurs ami(e)s du site m'ont suggéré d'aller voir un site où l'on voit certaines maisons qui ont été détruites lors des inondations. Je vous communique donc ce lien,
http://www.okbob.net/article-6607759.html
Prenez patience car c'est assez long à télécharger (1h30 environ)
Votre ami Christian

 

De : Julia D.Envoyer un mail

Le : 24/01/2008 19:41

Merci à Jean-Louis Gas pour cette évocation nostalgique mais poétique aussi. En lisant je m'aperçois qu'avec le temps j'avais oublié certaines choses qui ne demandaient qu'à refaire surface. J'ai habité boulevard Guillemin ... que de souvenirs. Ma tante et mes cousins habitaient vers le haut au 22, en face du jardin. Nous devions avoir 7 ou 8 ans et mon cousin et moi avions pénétré, un soir d'été, dans le jardin alors que le portail était fermé (il devait être 18 ou 19h, je ne sais plus) sachant que le muret ne mesurait pas un mètre . Un garde champêtre est arrivé qui nous a fait peur une grande frayeur en menaçant d'aller le dire à nos parents. Penauds, nous nous sommes excusés et sommes repartis sans demander notre reste !
Mon autre cousin, plus grand était ami avec le fils Espig (qui est décédé plus tard lors d'une plongée sous-marine).

 

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