Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Bonjour à tous !
Je connais l'expression "casser le roseau" qui voulait dire terminer les vacances. Je n'ai jamais trouvé l'origine de cette expression. Moi, j'ai essayé d'en trouver une : Comme les cannes à pêche, de fortune, étaient faites de roseau, à la fin des vacances l'image de casser sa canne (son roseau) signifiait finir se vacances. Et vous ?

bonjour yves
visitez le site copains d'avant il y a 2nicolet claude.....verifiez suivant les dates de naissance.a propos je me souviens d'une famille djian d'alger qui frequentait la synaguogue de la rue de dijon ou rue scipion.....

bonjour a tous,
Mon mari Gérard aimerai aller a alger revoir sa maison je voudrai savoir si il y a un voyage organiser au mois de novembre.Merci de me répondre.J'habitai au 80 avenue de la bouzareha mon nom ZEMOUR mes voisins étaient MR ET Mme THOMAS il avaient une fille et deux garçons il y avait les QUINTANA et SANCHIS sur le même palier, au dessus sportiello et Rippol au rez de chaussée Mme RICHARD, SIFFRE et PIPOLO
a plus Michèle.

je recherche nicolet claude qui habitait cité de la consolation et que j'ai retrouvé à l'armée. je ne connais pas l'endroit où il habite mais si tu te reconnais ou bien si quelqu'un peut te passer ce message donne moi de tes nouvelles j'en serai très heureux cela fait des années que je cherche à te retrouver

Je recherche un camarade d'enfance que j'ai rencontré environ un an et demi avant mon départ d'Algérie en mai 1962. On jouait sur la place du 11 Boulevard Guillemin à Alger, sur les rampes des escaliers se situant à côté du café nommé "Le Faisan d'or" . Si mes souvenirs sont exacts il était de l'année 1950 ou tout au plus 1949, son grand-père était souvent attablé à ce café, ce camarade habitait à El Bihar en pavillon, je me souviens qu'il avait deux soeurs plus âgées; Il m'avait même raconté que le jour de sa naissance, son grand-père étant chez le coiffeur lorsqu'on lui a appris la naissance de son petit fils (le seul garçon après deux filles), est parti de chez le coiffeur sans avoir fini sa coupe de cheveux tant il était heureux ! cet ami s'appelait : Simon Obadia, nous étions très liés.
Si il se reconnaît ou si quelqu'un le connaît, cela me ferait vraiment plaisir d'avoir de
ses nouvelles après 45 années déjà passées...
(J'ai retrouvé ce même nom sur Infobel, mais il ne s'agit pas de la personne concernée).
Jean-Pierre CHICHE

C'est avec peine que j'ai appris le décès de Roger Ambrosino.
Je présente à son épouse , ses enfants et petits enfants mes sincères condoléances.
Malheureusement ,encore un de nos compatriotes qui nous a quitté.

Bonsoir à vous tous,

Je viens d'apprendre avec tristesse la disparition d'un des notres. Je ne le connaissais pas mais il faisait partie de cette grande famille de Bab el Oued. Je présente à la famille de Roger Ambrosino toutes mes plus sincères condoléances.

Chers Amis de Bab el Oued,
une foule trés nombreuse était présente hier 04 août 2008 pour accompagner Roger AMBROSINO, notre ami, membre du conseil d'administration de l'ABEO à sa dernière demeure, il nous manque déjà, mais il restera toujours dans nos coeurs, nous embrassons évidemment Françoise son épouse qui nous l'èspérons nous fera l'honneur de sa présence lors des prochains réunions de l'ABEO, quand viendront des temps plus apaisés, Françoise nous t'aimons.
Le Bureau.

Voici une autre idée. Pour ceux de vous qui ne savent ou qui ne peuvent pas écrire; Pouquoi ne pas acheter un album, dans lequel vous mettrez toute vos photos de là bas, avec qqs descriptions en dessus de qui et où cette photo a été prise. Vous n'avez aucune idée combien vos enfants et petits enfants en seronts reconnaissants plus tard.

Pierrette.

Chaque fois qu'un de nous s'en va, c'est un peu de notre mémoire collective aussi. C'est pour cela qu'il est trés important d'ècrire nos souvenirs, dans des cahiers, dans n'importe quoi--même si ils ne doivent jamais étre publier...mais simplemnt pour que nos descendants savent que nous étions leurs ancêtres et non pas les Indiens "Pieds Noirs" du Canada.

Pierrette.