pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Raymond MOLTOEnvoyer un mail

Le : 10/11/2008 09:38

COMMEMORATION
Pour nos parents et grands parents
Vos départs en 14-18 furent bouleversants. Tristesse et
chagrin nous ont alors envahis lorsque nous
avons réalisé que les moments magiques passés auprès de vous étaient désormais choses du passé.
Aujourd'hui, nous nous consolons en sachant que vous reposez en paix, que vous veillez sur nous et que ces instants en votre compagnie demeureront à jamais très présents dans notre mémoire.

 

De : josetteEnvoyer un mail

Le : 08/11/2008 12:14

Bonjour
Vous avez fait part de votre Assemblée Générale pour le 16 prochain.
Peut-on connaître le nom des personnes qui se présentent pour votre bureau et autres.
Salutations

 

De : A.B.E.OEnvoyer un mail

Le : 07/11/2008 16:40


 

De : frederique friedel (cloquell)Envoyer un mail

Le : 07/11/2008 14:10

bonjour à tous

A tous ceux qui auraient connu mon oncle Jean dit Jeannot Obrador, c'est avec beaucoup de tristesse que je vous fais part de son déces, le 26 octobre dernier.
Ma tante, Odile (née Ricco)née à BEO, serait très touchée par les messages de personnes qui auraient pu les rencontrer.
Merci

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 07/11/2008 12:00

A Monsieur TRIVES
Vous qui decrivez avec brio,les "petites choses" qui faisaient le charme de notre quartier et qui le rendaieny si differents des autres quartiers d'Alger,parles nous comme vous savez le faire des marchands ayabt un étal sur le parché de BEO :SUZANNE,SPINOZA, de la Charcuterie DOMENECH et tant d'autres.......

 

De : andreeEnvoyer un mail

Le : 07/11/2008 11:10

BONJOUR A TOUS
TRES BEAU POEME DE L'EPOUSE DE GUY SOLTANA QUI NOUS TOUCHE BEAUCOUP
LES GENS DE L'EST COMME LES GENS DU NORD ONT DANS LE COEUR LE SOLEIL
ET MADAME SOLTANA A AUSSI L'AMOUR DE NOTRE PAYS

BRAVO MADAME ET MERCI
ANDREE


 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 07/11/2008 10:55

A Guy SOLTANA et son épouse
Ce magnifique poème qui nous fait parcourir les rues du quartier ne peut pas nous laisser indifférent. Il est magnifique de vérité. Mais si je suis boulversé par cet écrit c'est surtout parce qu'il est écrit par une Alsacienne née dans les brumes de l'Est, son épouse, qui n'a jamais vécu à BEO. Je crois connaître comment cela est possible: c'est tout simplement l'immense amour qu'elle porte à son tendre et "fragile" GUY. Je dis "fragile", car nous sommes tous comme lui, blessés à jamais par l'histoire injuste que nous avons subit dans notre jeunesse. Et le miracle de l'amour a fait que l'Alsacienne, telle une éponge, a capté les émotions de son homme humilié par le destin pour restituer sa douleur. Quelle magnifique leçon donnée par la fille de l'Est et l'enfant de BEO: ils nous redonnent espoir dans les valeurs humaines.
Merci, au nom des frères et soeurs de Bab el Oued, continuez de nous faire du bien à l'âme et au coeur.
Fraternellement Vôtre

 

De : Guy SoltanaEnvoyer un mail

Le : 06/11/2008 22:14

Après le très bel hommage rendu par André Trives à tous ces merveilleux petits commerçants de BEO, je prends la suite des souvenirs avec ce poème, toujours écrit par mon épouse.

Ma rue, mon quartier.

La rue de ma jeunesse et celle de mon coeur
Est restée tout là-bas écrasée de chaleur
Elle danse dans ma tête, habillée de lumière
Remplie de cris d'enfants et de gens ordinaires.
La rue de mon enfance est celle des copains
De mes belles années et du premier béguin
Celle que j'ai quittée, la laissant à son sort
Y penser seulement et mon coeur bat plus fort.

Et je ferme les yeux et murmure son nom
Ce nom mélodieux qu'est celui de Mizon
Avec la rue Suffren et Vasco de Gama
Elle fut le témoin de nos jeux d'autrefois.
C'était notre quartier au goût de paradis
Et la Cour des Miracles en était le parvis
En étions nous les anges ou bien les garnements ?
Qu'importe, nous vivions heureux et insouciants.

Ô oui je voudrais tant retrouver mon quartier
Ma rue et mes amis, l'enfant que j'ai été
Jouer aux osselets ou à la boléra
A seven ou aux tchapes et à fava-vinga.
Entasser les noyaux et les viser debout
Taper dans la pelote, l'envoyer dans l'égout
Tenter acrobaties sur l'unique patin
Rouler en carriole et faire le malin.

J'aimerais parcourir ma rue de bas en haut
Grimper les escaliers au trot et au galop
Me faire des frayeurs dans la maison fantôme
Et ne rien laisser voir, prouver qu'on est un homme.
Oublier les devoirs, ils attendront demain
A grands coups de sifflets appeler les copains
Leur lancer des cailloux, passoire sur la tête
Casque des valeureux, jurer en patatouète.

Nous avions tous dix ans, un peu moins, un peu plus
Nous aimions ce quartier, cela de plus en plus
Nous aimions cette vie tous les jours un peu plus
La joie, l'exubérance et aussi beaucoup plus.
Et viennent les vieux jours, les rides et encore plus
Ils me mènent tout droit, direction terminus
Bercés du souvenir de ma rue et de plus
Quand nous avions dix ans, un peu moins, un peu plus.

A mon cousin Serge
À tous mes copains du quartier qui se reconnaîtront :
Riri
François
Jean-Pierre l'Australien
Norbert
P'tit Jean
Marco
Alain
José
P'tit Pierre
Michel
Francis
et aussi à tous ceux qui reconnaîtront leur enfance à travers ces quelques vers.






 

De : monique poncetEnvoyer un mail

Le : 06/11/2008 21:07

si tu lis ce message ce que je souhaite
nous etions chez les soeur rue rolang de bussy

tu habitai rue mogador et on t appeler jeanne ponsada

nous avons passez toute notre enfance de la maternelle au cm2
je souhaite que tu face lecture sur ce cite
je souhaite tant te retrouver bisous monique

 

De : andreeEnvoyer un mail

Le : 06/11/2008 19:04

bonsoir a tous
merci a monsieur ANDRE TRIVES que de souvenirs vous avez réveiller en moi
le couscous au asban c'est le couscous que ma grand mère nous faisait
et tous ces artisans et c'est commerçant qui travaillaient sans compter leurs heures qu'ils faisaient merci et bravo ça fait du bien
bonne soirée a tous andree

 

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