pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 16:17

Je trouve ceçi interressant!

J'ai une vieille carte postale d'Alger. datant du 29 Avril 1919, envoyée a un Mr Vermorels en France..avec tout simplement comme adresse:

Propriétaire a Yonage. Isére.

sur laquelle est écrit:

"Un bonjour affectueux de passage a Alger, demain Oran.
Lacombe Georges.

je ne crois pas que cette carte postale irait loin aujourd'hui à la poste!

 

De : azam danielEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 13:53

Puisque nous sommes actuellement entre la rue Léon Roche et l'avenue de la bouzareah, je continue les rappels de nos précédents narrateurs.
Pour ma part j'habitais rue Léon Roche au 8 bis, en face du 11 ou Daniel FILS habitait.
Dans mon immeuble, le seul qui subsiste du coté pair de la rue - aprés les terribles inondations d'il y a quelques année - habitaient notamment
Les PEDRO au rez de chaussée (René dont nous n'avons aucune nouvelle) Les Lai( Chinois) au 1er étage, moi au 2e coté cour et les TRIAY (Claudette épouse VIDAL), les YAICH au 3e, les FABIANO (Christian) au 4e.Pour les autres je ne me rappele plus...
Au 10, jouxtant mon immeuble, une maison avec 2 galeries et une terrasse ou logaient entre autres les familles MARIN (Odette BOUDAUD) les KRINKER (Guy)
les THOUS (Nanot et François)au 1er etage.
Au rez de chaussée, Les MARIN et les SIMON (Claude).Dans cette cour il y avait notamment un local loué par Khader le volailler.D'autres artisans avaient leur fond de commerce comme ALMODOVAR dont le fils fit les beaux jours du SCUEB.
Pour en revenir au coté pair si on remontait la rue léon roche depuis l'avenue de la bouzareah, il y avait au coin une boulangerie, puis la mercerie de Monsieur Armand, puis plus loin Santacreu l'épicerie, une organisme de formation je crois. Ensuite on trouvait la fabrique de tabac à priser ( on avait droit au bêtes a tabac de temps à autre, des petits insectes volant ).Par la suite il y eut un garage sous cette fabrique et on pouvait en le traversant passer de la rue léon roches à la rue fouchault.Au bas du n° 8 bis, un debit de vin tenu par Mme Martinez.Aprés le 10 une cinquantaine de mètres aprés se trouvait notre quartier général le jardin derrière l'église saint louis avec les bancs en ciment et les entrées qui servaient de but lorsque nous faisions des matches de football entre copains.Il y avait une fontaine contre le mur
du jardin, du coté léon roche, qui distribuait un mince filet d'eau en continu.Je me souviens que les fenêtres du presbytère de l'abbé Hilaire,donnaient sur le jardin.Dans les recoins, à l'extérieur de l'eglise saint louis, nous jouions effectivement aux billes ou aux noyaux.Parfois on faisait des courses de carioles , en traversant le jardin et en faisant le tour de l'eglise.Ce sont de merveilleux souvenirs. Notre "bande" se composait d'une vingtaine de garçons, mais les filles à cette époque ne fréquentaient pas les groupes de "males".
Il y a bien d'autres souvenirs enfouis dans notre mémoire et je compte sur tous les adolescents et adolescentes du quartier, des années 55 / 60
de les faire ressurgir.

 

De : ChristianEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 12:18


Bonjour,

Suite au message de Daniel AZAM, pour le plan d'Alger,dans le site, dans le menu, il y a une rubrique Plan, et vous y trouvez le plan d'Alger avec ses rues, vous pouvez facilement vous déplacer dans toutes les rues en agrandissant le plan et de plus il y a le plan satellite placé sur Alger et c'est GRATUIT.
Amitiés à tous, Christian

 

De : azam danielEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 11:01

pour ceux qui ont des doutes concernant les noms de rues, ou s'ils en cherchent certaines évanouies de leur memoire, ils peuvent se procurer un plan de beo, de l'époque, au 1/3540e ( 1 cm = 35 m) précis et complet.
Il existe également un plan d'Alger au 1/8500e.
site www.editions-gandini.com
editions gandini
7, rue de roquebillière
06359 Nice
Amitiés à tous

 

De : jean-jeanEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 10:28

A Edmond
Dis-moi Edmond, la rue du Roussillon c’était pas une rue qui reliait le marché de Bab el Oued à l’avenue des Consulats ? Je crois avoir vu une photo de cette rue sur ce site, le site de Christian.

 

De : EdmondEnvoyer un mail

Le : 14/12/2008 06:20

Souvenirs et Histoire
Une autre de nos pages vient de se tourner avec le recent deces de Fernande Benizri, nee Bensaid, la derniere d une grande famille, 2 freres et 4 soeurs qui grandirent au 4 rue du Roussillon.Elle travailla
longtemps chez Cazemajou au coin du Blvd de Provence et l ' avenue des Consulats. Souvenirs du quartier : Angelo le marchand de bonbons, Kader le marchand de volailles, la Boucherie Levy, l 'epicerie Guigui, la boulangerie Compagnie, Jean Claudric et son frere Roland Bacri, Roro du
Canard Enchaine.
En 1949, elle habita avec son epoux Leon, au 21 avenue de la Bouzareah
dans l immeuble juxtaposant Roma-Glaces, ayant pour voisins Line Monty,
Lucky Starway (Lucien Serror tue au Casino de la Corniche). Le voisinage etait Le Trianon, La chemiserie Chez Jules, la boulangerie
Vidal, le marchand de beignets, les chaussures Marco, le Cafe Alexandre ou meme les gens de la rue d Isly et Michelet venaient y deguster les brochettes et merguez, le passage Montaigne avec Elbaz jouets et en face
Arlette et son frere (Jean-Claude ?) vendant nougats, beignets au sucre , bonbons et reglisses, et Cervera l epicerie-charcuterie.
Ses parents, proprietaires du magasin " A la Cite Ouvriere" au coin de l'avenue de la Bouzareah et la rampe de l avenue Durando, viennent habiter au 17 ave de la B. Les voisins etaient Zoizeaux, le marchand d huitres et moules dans les escaliers allant au Marignan, la banque de billets de loterie Andre Zerafa, la pharmacie Mouiel, le garage El-Kaim
le marbrier Claude Darmon, les tissus Benzer, Monsieur Berger du Kiosque
a journaux, le petit cordonnier, l horloger Suisse au rez-de-chaussee du 17 , madame Munoz la concierge, les Fonade qui avaient le cafe avenue Durando, et ou se faisaient les championnats officiels de ping pong, les reunions du Sporting,et bien sur La Grande Brasserie, un des lieux de Roger Hanin.
Avant de nous quitter, Fernande avait pris soin d attendre l arrivee de ses 2 enfants adoptes de sa soeur Simone Bensaid-Chiche, prof d anglais a Fromentin et Bugeaud, tuee avec son epoux a Marseille par un chauffard
en juillet 62, peu apres leur arrivee en France.

Fernande, etait la fille de Leontine Bacri, petite-fille et descendante directe des Bacri de Livourne, Italie, associes a l' Histoire, et au coup d'eventail du Dey d'Alger sous les Turcs en 1829, avant l arrivee des Francais.
P.S. pour ceux plus interesses dans l 'Histoire, faire Google:
"Une famille dans l'Histoire"

 

De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 13/12/2008 19:06

OK!OK!..c'est "la vérité si je menS!! c'est pas la peine de m'écrire á la maison!

Pierrette.

 

De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 13/12/2008 18:35

Muchas gracias Joguy de nous avoir rappeler Luis Mariano!
Je viens de le passer à l'instant sur YOU TUBE où en effet ils chantent toute ses belles chansons..Mais le plus rigolo c'est qu'il y a aussi là une Maboule qui fait une imitation de lui. Je crois qu'elle est Française, car elle porte la même blouse que j'ai acheter à Lyon il y a qqs années. A propos le patron du magasin etait Pieds Noirs- alors il m'a fait un rabais! Ma parole si je ment!

Pierrette.

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 13/12/2008 17:48

Bonjour à vous tous,

Je viens de lire le message de Marie-Jeanne qui nous rappelle l'Armée du Salut. Les femmes étaient vêtues d’un tailleur bleu marine et d’un chapeau avec un gros n 1/2 ud de ruban couleur carmin noué sur le côté et les hommes en costume avaient une casquette. Quand j’étais enfant en les voyant passer, complètement apeurée, je montais en courant chez moi et je me cachais sous le lit car j’en avais une peur bleue, je pense que c’est l’uniforme qui devait m’impressionner.

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 13/12/2008 17:36

Bonjour à vous tous,

Je viens de lire le message de Marie-Jeanne qui nous rappelle l'Armée du Salut. Les femmes, vêtues d'un tailleur bleu marine, avaient un chapeau avec un gros n 1/2 ud de ruban couleur carmin noué sur le côté et les hommes une casquette, quand je les voyais passer, envahie d'une grande peur je montais en courant chez moi et je me cachais sous le lit, je pense que l’uniforme devait m’impressionner.
A l’âge de l’adolescence les uniformes qui étaient devenus habituels continuaient de m’impressionner mais hélas ce n’étaient plus les mêmes, ils faisaient certainement plus peur que l'Armée du Salut.

 

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