pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : La clique des MessageriesEnvoyer un mail

Le : 19/12/2008 11:20

Merci Christian!
Ton site né en 1948,réunis depuis hier à BabelOued deux anciens
de Sigwalt né en 1947.
Avec notre ami Merzak né en 1945,un repas était prévu à La Madrague
46 ans aprés
Forza Sigwalt

 

De : monique baldacchinoEnvoyer un mail

Le : 19/12/2008 01:46

Bonsoir a tous

Je vous souhaite de très bonne fêtes de fin d'année un joyeux Noël, n'oublier pas de mettre vos chaussons devant la cheminée(propre bien sur).
Le reste ce dis qu'après les fêtes passer.

Ne buvez pas trop, ne mangez pas trop non plus.

Ayons une penser pour tous nos amis parti dans le paradis blanc.

Amussez vous et a très bientôt Monique

 

De : EscobédoEnvoyer un mail

Le : 19/12/2008 00:09

Aux anciens de Rochambeau 41/42,à l'approche de Noël,une pensée pour notre camarade Roland Abisserour qui nous a quitté il y a un an.
Joyeux Noêl à tous.

 

De : benterki djamilaEnvoyer un mail

Le : 18/12/2008 22:38

bonsoir et joyeux noel a tous les babelouediens et babeloudiennes, je suis une babeloudienne de l'école rue de Normandie Beo, j'habitais 12 rue CURIE BABELOUED LA BASSETA, ce qui m'a inciter à vous écrire c le message qui MR Jean Pierre RODRIGUEZ qui a fait surgir en moi des souvenirs inoubliables de la PHARMACIE ALLAMAND , le DOCTEUR ALLAMAND était une grande dame de grande noblesse et de gentilesse, un coeur d'or, c t une grande amie à ma défunte mére HAMIDA, nous allions souvent à la pharmacie qui était le prolongement de l'hopital militaire maillot, je me souviens de cette admirable dame au grand coeur qui nous écoutait et nous soignait (maux de gorge avec des collutoires rouges et bleus des bâtonnets) des injections dont nous sentons une douceur de ses mains délicates, de sa voix mélodieuse,enfin aprés l'indépendance, nous l'avons retrouver chez elle à la RUE DU COQ UNE RUELLE PERPENDICULAIRE A LA RUE D ISLY, nous sommes parties avec ma mére et mes deux filles âgées de quelques années pour leur premier vaccin elle avait transformer sa maison en cabinet médical elle recevait toujours avec amabilité, je ne sais pas si elle est en vie encore mais si je pourrais avoir de ses nouvelles ou de ses proches envoyez moi les je vous saurai gré enfin, j'ai envoyer des messages sur le forum concernant mes anciennes camarades de classes en l'occurence LES JUMELLES PASTOR LES GARCIA LES GUARDIOLA LES VIDAL LES LEVY LES ESTEVES ETC.. AUCUNE NOUVELLE UNE BOUTEILLE A LA MER ENCORE .JE VIS TOUJOURS EN ALGERIE RUE ISLY AIMERAI AVOIR DES NOUVELLES DE CES DERNIERES J AI MARIEE MA FILLE LE 31 OCTOBRE 2OO8 J AI INVITER UNE PN CHRISTIANE DE LA RUE CAMILLE DOULS ELLE EST VENUE ELLE M A APPORTER UN BEMOL .JE TIENS A REMERCIER AUSSI MME MONIQUE BALDACHINO POUR SON MESSAGE QUI A MIS UN BAUME A MON COEUR D ADOLESCENTE QUE J ETAIS. ENFIN QUE DE SOUVENIRS CARRIERE JAUBERT GOUTTE DE LAIT J Y A TRAVAILLER PENDANT LES VACANCES D ETE ENFIN AIMERAI RECEVOIR BEAUCOUP DE COURRIER SURTOUT DES CAMARADES AVEC QUI NOUS NOUS AMUSONS BEAUCOUP A LA MONTAGNETTE LES VESPAS LES OULAHOUP ETC...BONNE FIN D ANNEE A TOUS LES BABELOUDIENS ET BABELOUEDIENNES EN ESPERANT VOUS LIRE.

 

De : Jean-Pierre RodriguezEnvoyer un mail

Le : 18/12/2008 18:43

A RACHID

Votre père Messaoud avait a BEO un magasin d'oeufs et volaille.N'avait-il pas aussi une maison de trois étages avec dix locataires et un commerce (Boulangerie)située à la cité Scotto Nadal sur la route de la Bouzareah.Tout prés de l'oued M'kacel.
Et si ma mèmoire est encore bonne,je pense que cette maison avait èté achetée dans les années 50 à la pharmacie Lallemand qui était tout au bout de l'avenue des consulats côté droit en allant sur l'hopital militaire Maillot.
Et bien si tel est le cas,nous avons du nous rencontrer de nombreuses fois,mes parents faisaient fonction de concierge.Entretien de l'immeuble (j'étais jeune mais le me souviens d'avoir balayé et lavé les escaliers!!!)Il étaient entre autre chargés de l'encaissement des loyers et c'était pas une mince affaire.Votre père décédé (que dieu ait son âme )avait beaucoup de patience avec les locataires en difficulté.Tous de petits ouvriers qui ne roulaient pas sur l'or!!!Un grand homme de part la taille mais surtout par le coeur.Voilà je tenais aussi à faire revivre ce temps passé.
Cordialement.
BONNES FETES DE FIN D'ANNEE A TOUTES ET A TOUS

 

De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 18/12/2008 16:25

Merci merci mille fois! André Trivés de ce merveilleux récit de Noêl á Bab el oued..Votre meilleure recollection (pour moi) a été les engelures aux pieds et aux mains! Je croyais que j'avais été la seule a les avoirs! et de ce jour je me rappèle encore la douleur qu'elles produisaient, surtout quand on avait pas de chaussettes, (pendant la guerre) entre elles et les souliers. Comme a si bien écrit Simone Signoret :"La Nostalgie, N'est Plus Ce Qu'elle etait."

Je prends cette occasion encore une fois de souhaiter à tous un Joyeux Noêl et merveilleux Chanukkah.

Pierrette.

 

De : LANGLOIS Alfred (Freddy)Envoyer un mail

Le : 18/12/2008 15:25

Bonjour
Encore la rue MAXIME NOIRE :
nous avons "oublié" les Ets TORRES, vente d'alcool et de spiritueux dont le magasin/dépot se situait en face de la fabrique de bonbons, juste au pied des escaliers.
Ces escaliers aboutissaient à un espéce de terrain vague qui servait de "cour de récréation" pour l'école primaire.
N'oublions pas le dispensaire se trouvant à cet endroit.
Amitiés
Freddy

 

De : ABEOEnvoyer un mail

Le : 18/12/2008 11:00


 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 18/12/2008 00:24

NOËL A BAB EL OUED, C'ETAIT HIER...
Souvenons-nous de ces moments d'enfance impérissables:
Les galoches déposées soigneusement devant le sapin tout illuminé de mille feux éclatants avec des bougies en équilibre sur l'extrémité des branches ployant sous la neige, l'âtre de la cheminée chargé de bûches de bois posées sur un lit de braises rougies qui réchauffait le coeur des admirateurs en herbe, des paquets cadeaux multicolores cerclés de ruban rose destinés à toute la famille, la neige couvrant de son blanc manteau les toitures des maisons et les arbres endormis comme une chantilly décorant un gâteau, le Père Noël tout de rouge vêtu avec une longue barbe blanche, arrivant de nulle part dans un traîneau rempli de présents et tiré par quatre rennes toujours souriants, des enfants les yeux écarquillés découvrant les jouets tant désirés, à faire rêver les enfants du monde entier: c'était ce que l'on découvrait avec exaltation chaque année à Bab el Oued dans la classe de Madame Winckler, notre institutrice du cours préparatoire de l'école Lelièvre, lorsqu'elle affichait au tableau noir la gravure de décembre relative à la leçon de vocabulaire. On demandait à la maîtresse où pouvait avoir lieu cette scène décrite au tableau, et elle nous répondait: "c'est le Nord, là où il y a des montagnes!"; alors , on avait encore plus de mal à comprendre car nous aussi on vivait dans le Nord de l'Afrique, et à Bab el Oued, nos "montagnes" s'appelaient la Bouzaréa, Sidi Benour et Notre Dame d'Afrique.
Chez nous, Noël se passait au balcon, même si tous les deux ou trois ans, une averse de grêle brutale blanchissait le quartier pour quelques heures et nous faisait découvrir à la récréation dans la cour de l'école, ces maudites engelures. Comme à l'accoutumée, l'hiver à Bab el Oued demeurait le cancre de la classe des saisons. C'est donc dans un ciel constellé d'étoiles scintillantes que l'on imaginait la plus belle des crèches bibliques; le chariot de la Grande Ourse nous donnait l'impression, après en avoir découvert l'existence au cours d'une leçon de géographie, qu'il allait nous livrer des surprises dans cette nuit magique chargée de mystère pour tous les enfants.
La hotte de nos parents n'était jamais en surcharge dans la douceur de cette nuit algéroise qui brillait comme en été. On rangeait notre paire de "tchanglès" au pied du lit et on restait éveillé toute la nuit à l'insu de nos parents jusqu'au tintamarre qui avait lieu vers les six heures du matin lorsque le jouet était déposé à proximité. C'est les yeux pleins de "lagagne" que l'on découvrait hébété et souriant de fatigue la surprise que l'on nous avait réservé. On n'en était pas encore à choisir sur catalogue le seul et unique jouet qui nous était destiné. Cela ne nous empêchait pas d'être tout excité à l'idée de montrer tout à l'heure au copain dans la rue l'objet qui allait nous amuser quelques heures jusqu'à ce qu'il ait rendu l'âme.
A Bab el Oued, dans les années d'après guerre, les enfants étaient experts pour jouer sans jouet et créer un monde merveilleux. On était des créateurs de rêve utilisant génération après génération, l'art du rien; c'est avec des riens que l'on passait de mémorables journées de jeu avec les camarades "en bas" la rue. Tout était récupération: des bouts de bois, des roseaux coupés aux carrières Jaubert, du papier journal, de la ficelle, des chiffons, de la terre glaise, des noyaux d'abricots, des boites d'allumettes, des roulements à billes; c'étaient nos matières premières et l'imagination collective faisait le reste.
C'était vraiment hier, il y a soixante ans...

 

De : guigui marcelEnvoyer un mail

Le : 17/12/2008 20:35

dans la rubrique photos d ecole de la rue leon roches j ai mis il y a quelque temps la photo de la classe de cm2 de l annee 1945 1946,
malheureusement cette photo est occultee car il en manque un morceau.
si par hasard un ancien eleve possedait cette photo ,je serai tres heureux s il pouvait la mettre sur le site
par avance je vous remercie

 

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