Liste des messages
Le : 02/04/2010 11:48
Bonjour Tous
oui , merci Christian , et son fils , pour ce site .
J'ai eu mon ordinateur en mars 2004 et j'ai mis mon premier message le 1er juillet 2005 sur ce site .
Tout au debut pas grand chose , pas beaucoup de copains et copines retrouvés , et en 2006 ça c ' est développé a tel point que j ' ai pu retrouver et trouver plus de 80 copains et copines , j ' en ai revu pas mal depuis , a Rognes , Carpentras , Nimes , et aux reunions de l ' ABEO , c ' est toujours avec un très grand plaisir que je revois tout le monde . j ' ai pu faire connaissance aussi avec des BAB El Ouediens dont j ' ignorais l ' existence , c ' est merveilleux .Le cours de ma vie a aussi été changé , en bien , grâce a ce site , MERCI encore aux Timoner
pensées amicales a tous et au 23 mai , si tout va bien j ' y serai aussi
Guy de la rue Taine né en 1936
oui , merci Christian , et son fils , pour ce site .
J'ai eu mon ordinateur en mars 2004 et j'ai mis mon premier message le 1er juillet 2005 sur ce site .
Tout au debut pas grand chose , pas beaucoup de copains et copines retrouvés , et en 2006 ça c ' est développé a tel point que j ' ai pu retrouver et trouver plus de 80 copains et copines , j ' en ai revu pas mal depuis , a Rognes , Carpentras , Nimes , et aux reunions de l ' ABEO , c ' est toujours avec un très grand plaisir que je revois tout le monde . j ' ai pu faire connaissance aussi avec des BAB El Ouediens dont j ' ignorais l ' existence , c ' est merveilleux .Le cours de ma vie a aussi été changé , en bien , grâce a ce site , MERCI encore aux Timoner
pensées amicales a tous et au 23 mai , si tout va bien j ' y serai aussi
Guy de la rue Taine né en 1936
Le : 02/04/2010 11:01
A HELENE PEROTTO.
J'ai vu que tu parcourais ce site et que tu as envoyé des photos.J'aimerai relier des liens avec mon ancienne voisine de palier du 1 PLACE DESAIX,si tu le désires.
A bientôt peut être.
MARC.
PS: Je serai présent le dimanche 23 MAI à ROGNES.
J'ai vu que tu parcourais ce site et que tu as envoyé des photos.J'aimerai relier des liens avec mon ancienne voisine de palier du 1 PLACE DESAIX,si tu le désires.
A bientôt peut être.
MARC.
PS: Je serai présent le dimanche 23 MAI à ROGNES.
Le : 02/04/2010 09:22
merci beaucoup christian d'avoir cree ce site,j'espere te revoir a rognes en mai.
Le : 01/04/2010 22:08
HAPPY BIRTH DAY
NON PAS TOI CHRISTIAN !
POUR TON SITE !!
CE SITE AMICAL QUI NOUS PERMET DE DÉBLOQUER LES SERRURES DE NOS BOITES À SOUVENIRS.
MERCI CHRISTIAN D'Y AVOIR PENSÉ,! ET,
MERCI À TON FILS ,QUI L'A CONÇU
BRAVO POUR LE CONTINUER
À BIENT^T À ROGNES
AMICALEMENT
JP
NON PAS TOI CHRISTIAN !
POUR TON SITE !!
CE SITE AMICAL QUI NOUS PERMET DE DÉBLOQUER LES SERRURES DE NOS BOITES À SOUVENIRS.
MERCI CHRISTIAN D'Y AVOIR PENSÉ,! ET,
MERCI À TON FILS ,QUI L'A CONÇU
BRAVO POUR LE CONTINUER
À BIENT^T À ROGNES
AMICALEMENT
JP
Le : 01/04/2010 10:05
Eh oui Christian je me joints á notre chère Andrée pour souhaiter un joyeux anniversaire á ton formidable site.
Merci il nous a donné jusqu´á présent beaucoup de souvenirs,
du plaisir, des retrouvailles.
Bon courage et bien le bonjour á tes proches.
Amitiés
Merci il nous a donné jusqu´á présent beaucoup de souvenirs,
du plaisir, des retrouvailles.
Bon courage et bien le bonjour á tes proches.
Amitiés
Le : 01/04/2010 09:19
BONJOUR A TOUS
JE ME JOINTS A ROBERT FALZON
POUR SOUHAITER AU SITE DE NE A BABEL OUED LONGUE VIE
BRAVO A CHRISTIAN TIMONER
BRAVO A SON SITE
RICHE EN SOUVENIRS ET TRES AGREABLE
QUE LE SITE CONTINU A REUNIR
TOUS LES ENFANTS DES DEUX BORDS DE LA MEDITERRANEE
BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE
JE ME JOINTS A ROBERT FALZON
POUR SOUHAITER AU SITE DE NE A BABEL OUED LONGUE VIE
BRAVO A CHRISTIAN TIMONER
BRAVO A SON SITE
RICHE EN SOUVENIRS ET TRES AGREABLE
QUE LE SITE CONTINU A REUNIR
TOUS LES ENFANTS DES DEUX BORDS DE LA MEDITERRANEE
BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE
Le : 31/03/2010 23:08
Salut Christian
Je veux juste souhaiter un Joyeux Anniversaire au site pour ses 5 ans,
avec le souhait de pouvoir le lire encore pendant 50 ans!!!!
Bizzzzzzz Robert
Le : 31/03/2010 16:13
Si le coeur vous en dis allez sur le livre d'or de lucien et vous aurez des photos du 26 Mars à Paris.
http://www.livredor.hiwit.org/index.php?idsite=19303&zone=e
http://www.livredor.hiwit.org/index.php?idsite=19303&zone=e
Le : 31/03/2010 16:01
l'histoire des Africains
C'est nous les Africains :
L'hymne des Français d'Algérie était au départ une marche militaire destinée aux ... Tirailleurs Marocains ...
C'est en 1915 que deux officiers, le commandant REYJADE et le capitaine Félix BOYER composent - l'un les paroles et l'autre la musique - de ce chant qui à l'époque commence par : "c'est nous les Marocians qui revenons de loin".
Devenu chef de la musique de la garnison d'Alger, le capitaine BOYER entreprend, au début de la seconde guerre mondiale, d'en revoir la copie.
Rebaptisé "le Chant de Guerre des Africains", légèrement modifié au niveau du texte initial, l'hymne accompagne désormais, tous corps confondus, la nouvelle armée d'Afrique..
A la fin des années 50, les "Africains" changent une nouvelle fois d'affectation ... pour devenir le crédo des Pieds-Noirs ...
C'est nous les Africains :
L'hymne des Français d'Algérie était au départ une marche militaire destinée aux ... Tirailleurs Marocains ...
C'est en 1915 que deux officiers, le commandant REYJADE et le capitaine Félix BOYER composent - l'un les paroles et l'autre la musique - de ce chant qui à l'époque commence par : "c'est nous les Marocians qui revenons de loin".
Devenu chef de la musique de la garnison d'Alger, le capitaine BOYER entreprend, au début de la seconde guerre mondiale, d'en revoir la copie.
Rebaptisé "le Chant de Guerre des Africains", légèrement modifié au niveau du texte initial, l'hymne accompagne désormais, tous corps confondus, la nouvelle armée d'Afrique..
A la fin des années 50, les "Africains" changent une nouvelle fois d'affectation ... pour devenir le crédo des Pieds-Noirs ...
Le : 31/03/2010 07:40
Accroc impénitent du Site, j'aime y musarder et remonter les pages que nous y avons écrites.
C'est ainsi que je retrouve celle du 2 janvier 2010 où Monique BALDACCHINO avait rapporté avant moi "notre vocabulaire à conserver pour nos enfants" en précisant qu'elle le tenait de Lynda.
Merci donc à elle et à toutes celles et ceux qui partagent, enrichissent et nous font (re)-vivre.
Aujourd'hui, je vous offre un extrait de l'essai « Mouna, Mimouna, Achoura :
Les fêtes de la convergence religieuse en Afrique du Nord, avant 1962»
Claude Arrieu - Edition PyréGraph - juin 2003 - ISBN 2-908723-55-7.
en vous en souhaitant une bonne lecture.
À Pâques, la tradition de partage du tourteau bigourdan ou de la tourte gersoise sur les bords de la Save, à Samatan, a sa réplique de l'autre côté de la Méditerranée, avec la dégustation de la Mouna.
Ce petit ouvrage révèle une enquête passionnante, sinon savante, d'une pratique religieuse observée par les populations berbères (Maimuna), juives (Mimouna), chrétiennes (Mouna) et arabo-musulmanes (Achoura).
Cette odorante brioche dorée appelée Mona ou Mouna selon l'origine espagnole ou française, est une gourmandise que personne n'oublie d'emporter pour aller fêter le Lundi de Pâques, la Saint Couffin, au bord de la mer, à la forêt des Planteurs ou au bois de Misserghin, dans la région d'Oran ou d'Alger. Sa consommation est en rapport direct avec la célébration de Pâques, voire de la Pentecôte.
Le Lundi suivant la Résurrection, la Mouna vient conclure les agapes d'un riz au poulet assaisonné d'un mélange de poivron et tomate longuement cuits dans l'huile, dénommé la « frita » et d'un assortiment de viandes en sauce, accompagné de galette spéciale, le « gazpacho ». Ces nourritures solidement terrestres, prises en commun en signe de fraternité chrétienne, prennent leur fondement, sur le pourtour méditerranéen, à l'époque néolithique.
Considérée par des littérateurs sérieux comme une manifestation folklorique d'Oranie, Claude Arrieu s'attache à retrouver la vraie provenance de la Mouna à travers les traités d'histoire des religions, les voies de l'étymologie ou d'une chronologie historique plus récente. En Algérie, la colonie des Européens étant majoritairement d'origine espagnole à Oran, l'auteur a recherché la naissance de la brioche pascale catalane appelée Mona. Puis, faisant fi de toutes les légendes recueillies, il dirige sa prospection vers la province d'Alicante, seule ville d'Espagne qui depuis plus de trois cents ans façonne la Mouna, à Pâques.
C'est alors qu'intervient une tradition régionale valencienne qui évoque une vieille femme surnommée « La Mouna » pétrissant un pain avec la plus blanche des farines et des 1/2 ufs les plus frais afin de guérir une Reine frappée d'un mal mystérieux. Ce « sein de la sultane » brun, arrondi, lisse et luisant émut le Roi qui donna le nom de Mona à ce gâteau. (Voir PJ les belles mounas)
Venue d'un passé religieux probablement préjudaïque, la coutume de la Mona pascale participe d'un rituel fort ancien qui suggère les fêtes des Mondas et la célébration du culte de Cérès, déesse romaine.
Forme transcendée du blé, la Mona est associée à la commémoration de ce « Passage » qu'est la Résurrection du Christ suivie de l'Ascension.
Appartenant à la catégorie des aliments qui gonflent et, parfois, couronnée d'un 1/2 uf, le symbole de la rénovation périodique de la nature est indéniable. La Mouna demeure la friandise communielle de là-bas, véritable trait d'union de communautés solidaires et fraternelles qui l'ont rapatriée, ici, après 1962.
C'est ainsi que je retrouve celle du 2 janvier 2010 où Monique BALDACCHINO avait rapporté avant moi "notre vocabulaire à conserver pour nos enfants" en précisant qu'elle le tenait de Lynda.
Merci donc à elle et à toutes celles et ceux qui partagent, enrichissent et nous font (re)-vivre.
Aujourd'hui, je vous offre un extrait de l'essai « Mouna, Mimouna, Achoura :
Les fêtes de la convergence religieuse en Afrique du Nord, avant 1962»
Claude Arrieu - Edition PyréGraph - juin 2003 - ISBN 2-908723-55-7.
en vous en souhaitant une bonne lecture.
À Pâques, la tradition de partage du tourteau bigourdan ou de la tourte gersoise sur les bords de la Save, à Samatan, a sa réplique de l'autre côté de la Méditerranée, avec la dégustation de la Mouna.
Ce petit ouvrage révèle une enquête passionnante, sinon savante, d'une pratique religieuse observée par les populations berbères (Maimuna), juives (Mimouna), chrétiennes (Mouna) et arabo-musulmanes (Achoura).
Cette odorante brioche dorée appelée Mona ou Mouna selon l'origine espagnole ou française, est une gourmandise que personne n'oublie d'emporter pour aller fêter le Lundi de Pâques, la Saint Couffin, au bord de la mer, à la forêt des Planteurs ou au bois de Misserghin, dans la région d'Oran ou d'Alger. Sa consommation est en rapport direct avec la célébration de Pâques, voire de la Pentecôte.
Le Lundi suivant la Résurrection, la Mouna vient conclure les agapes d'un riz au poulet assaisonné d'un mélange de poivron et tomate longuement cuits dans l'huile, dénommé la « frita » et d'un assortiment de viandes en sauce, accompagné de galette spéciale, le « gazpacho ». Ces nourritures solidement terrestres, prises en commun en signe de fraternité chrétienne, prennent leur fondement, sur le pourtour méditerranéen, à l'époque néolithique.
Considérée par des littérateurs sérieux comme une manifestation folklorique d'Oranie, Claude Arrieu s'attache à retrouver la vraie provenance de la Mouna à travers les traités d'histoire des religions, les voies de l'étymologie ou d'une chronologie historique plus récente. En Algérie, la colonie des Européens étant majoritairement d'origine espagnole à Oran, l'auteur a recherché la naissance de la brioche pascale catalane appelée Mona. Puis, faisant fi de toutes les légendes recueillies, il dirige sa prospection vers la province d'Alicante, seule ville d'Espagne qui depuis plus de trois cents ans façonne la Mouna, à Pâques.
C'est alors qu'intervient une tradition régionale valencienne qui évoque une vieille femme surnommée « La Mouna » pétrissant un pain avec la plus blanche des farines et des 1/2 ufs les plus frais afin de guérir une Reine frappée d'un mal mystérieux. Ce « sein de la sultane » brun, arrondi, lisse et luisant émut le Roi qui donna le nom de Mona à ce gâteau. (Voir PJ les belles mounas)
Venue d'un passé religieux probablement préjudaïque, la coutume de la Mona pascale participe d'un rituel fort ancien qui suggère les fêtes des Mondas et la célébration du culte de Cérès, déesse romaine.
Forme transcendée du blé, la Mona est associée à la commémoration de ce « Passage » qu'est la Résurrection du Christ suivie de l'Ascension.
Appartenant à la catégorie des aliments qui gonflent et, parfois, couronnée d'un 1/2 uf, le symbole de la rénovation périodique de la nature est indéniable. La Mouna demeure la friandise communielle de là-bas, véritable trait d'union de communautés solidaires et fraternelles qui l'ont rapatriée, ici, après 1962.