Liste des messages
Le : 01/04/2010 09:19
BONJOUR A TOUS
JE ME JOINTS A ROBERT FALZON
POUR SOUHAITER AU SITE DE NE A BABEL OUED LONGUE VIE
BRAVO A CHRISTIAN TIMONER
BRAVO A SON SITE
RICHE EN SOUVENIRS ET TRES AGREABLE
QUE LE SITE CONTINU A REUNIR
TOUS LES ENFANTS DES DEUX BORDS DE LA MEDITERRANEE
BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE
JE ME JOINTS A ROBERT FALZON
POUR SOUHAITER AU SITE DE NE A BABEL OUED LONGUE VIE
BRAVO A CHRISTIAN TIMONER
BRAVO A SON SITE
RICHE EN SOUVENIRS ET TRES AGREABLE
QUE LE SITE CONTINU A REUNIR
TOUS LES ENFANTS DES DEUX BORDS DE LA MEDITERRANEE
BONNE JOURNEE A TOUS
ANDREE
Le : 31/03/2010 23:08
Salut Christian
Je veux juste souhaiter un Joyeux Anniversaire au site pour ses 5 ans,
avec le souhait de pouvoir le lire encore pendant 50 ans!!!!
Bizzzzzzz Robert
Le : 31/03/2010 16:13
Si le coeur vous en dis allez sur le livre d'or de lucien et vous aurez des photos du 26 Mars à Paris.
http://www.livredor.hiwit.org/index.php?idsite=19303&zone=e
http://www.livredor.hiwit.org/index.php?idsite=19303&zone=e
Le : 31/03/2010 16:01
l'histoire des Africains
C'est nous les Africains :
L'hymne des Français d'Algérie était au départ une marche militaire destinée aux ... Tirailleurs Marocains ...
C'est en 1915 que deux officiers, le commandant REYJADE et le capitaine Félix BOYER composent - l'un les paroles et l'autre la musique - de ce chant qui à l'époque commence par : "c'est nous les Marocians qui revenons de loin".
Devenu chef de la musique de la garnison d'Alger, le capitaine BOYER entreprend, au début de la seconde guerre mondiale, d'en revoir la copie.
Rebaptisé "le Chant de Guerre des Africains", légèrement modifié au niveau du texte initial, l'hymne accompagne désormais, tous corps confondus, la nouvelle armée d'Afrique..
A la fin des années 50, les "Africains" changent une nouvelle fois d'affectation ... pour devenir le crédo des Pieds-Noirs ...
C'est nous les Africains :
L'hymne des Français d'Algérie était au départ une marche militaire destinée aux ... Tirailleurs Marocains ...
C'est en 1915 que deux officiers, le commandant REYJADE et le capitaine Félix BOYER composent - l'un les paroles et l'autre la musique - de ce chant qui à l'époque commence par : "c'est nous les Marocians qui revenons de loin".
Devenu chef de la musique de la garnison d'Alger, le capitaine BOYER entreprend, au début de la seconde guerre mondiale, d'en revoir la copie.
Rebaptisé "le Chant de Guerre des Africains", légèrement modifié au niveau du texte initial, l'hymne accompagne désormais, tous corps confondus, la nouvelle armée d'Afrique..
A la fin des années 50, les "Africains" changent une nouvelle fois d'affectation ... pour devenir le crédo des Pieds-Noirs ...
Le : 31/03/2010 07:40
Accroc impénitent du Site, j'aime y musarder et remonter les pages que nous y avons écrites.
C'est ainsi que je retrouve celle du 2 janvier 2010 où Monique BALDACCHINO avait rapporté avant moi "notre vocabulaire à conserver pour nos enfants" en précisant qu'elle le tenait de Lynda.
Merci donc à elle et à toutes celles et ceux qui partagent, enrichissent et nous font (re)-vivre.
Aujourd'hui, je vous offre un extrait de l'essai « Mouna, Mimouna, Achoura :
Les fêtes de la convergence religieuse en Afrique du Nord, avant 1962»
Claude Arrieu - Edition PyréGraph - juin 2003 - ISBN 2-908723-55-7.
en vous en souhaitant une bonne lecture.
À Pâques, la tradition de partage du tourteau bigourdan ou de la tourte gersoise sur les bords de la Save, à Samatan, a sa réplique de l'autre côté de la Méditerranée, avec la dégustation de la Mouna.
Ce petit ouvrage révèle une enquête passionnante, sinon savante, d'une pratique religieuse observée par les populations berbères (Maimuna), juives (Mimouna), chrétiennes (Mouna) et arabo-musulmanes (Achoura).
Cette odorante brioche dorée appelée Mona ou Mouna selon l'origine espagnole ou française, est une gourmandise que personne n'oublie d'emporter pour aller fêter le Lundi de Pâques, la Saint Couffin, au bord de la mer, à la forêt des Planteurs ou au bois de Misserghin, dans la région d'Oran ou d'Alger. Sa consommation est en rapport direct avec la célébration de Pâques, voire de la Pentecôte.
Le Lundi suivant la Résurrection, la Mouna vient conclure les agapes d'un riz au poulet assaisonné d'un mélange de poivron et tomate longuement cuits dans l'huile, dénommé la « frita » et d'un assortiment de viandes en sauce, accompagné de galette spéciale, le « gazpacho ». Ces nourritures solidement terrestres, prises en commun en signe de fraternité chrétienne, prennent leur fondement, sur le pourtour méditerranéen, à l'époque néolithique.
Considérée par des littérateurs sérieux comme une manifestation folklorique d'Oranie, Claude Arrieu s'attache à retrouver la vraie provenance de la Mouna à travers les traités d'histoire des religions, les voies de l'étymologie ou d'une chronologie historique plus récente. En Algérie, la colonie des Européens étant majoritairement d'origine espagnole à Oran, l'auteur a recherché la naissance de la brioche pascale catalane appelée Mona. Puis, faisant fi de toutes les légendes recueillies, il dirige sa prospection vers la province d'Alicante, seule ville d'Espagne qui depuis plus de trois cents ans façonne la Mouna, à Pâques.
C'est alors qu'intervient une tradition régionale valencienne qui évoque une vieille femme surnommée « La Mouna » pétrissant un pain avec la plus blanche des farines et des 1/2 ufs les plus frais afin de guérir une Reine frappée d'un mal mystérieux. Ce « sein de la sultane » brun, arrondi, lisse et luisant émut le Roi qui donna le nom de Mona à ce gâteau. (Voir PJ les belles mounas)
Venue d'un passé religieux probablement préjudaïque, la coutume de la Mona pascale participe d'un rituel fort ancien qui suggère les fêtes des Mondas et la célébration du culte de Cérès, déesse romaine.
Forme transcendée du blé, la Mona est associée à la commémoration de ce « Passage » qu'est la Résurrection du Christ suivie de l'Ascension.
Appartenant à la catégorie des aliments qui gonflent et, parfois, couronnée d'un 1/2 uf, le symbole de la rénovation périodique de la nature est indéniable. La Mouna demeure la friandise communielle de là-bas, véritable trait d'union de communautés solidaires et fraternelles qui l'ont rapatriée, ici, après 1962.
C'est ainsi que je retrouve celle du 2 janvier 2010 où Monique BALDACCHINO avait rapporté avant moi "notre vocabulaire à conserver pour nos enfants" en précisant qu'elle le tenait de Lynda.
Merci donc à elle et à toutes celles et ceux qui partagent, enrichissent et nous font (re)-vivre.
Aujourd'hui, je vous offre un extrait de l'essai « Mouna, Mimouna, Achoura :
Les fêtes de la convergence religieuse en Afrique du Nord, avant 1962»
Claude Arrieu - Edition PyréGraph - juin 2003 - ISBN 2-908723-55-7.
en vous en souhaitant une bonne lecture.
À Pâques, la tradition de partage du tourteau bigourdan ou de la tourte gersoise sur les bords de la Save, à Samatan, a sa réplique de l'autre côté de la Méditerranée, avec la dégustation de la Mouna.
Ce petit ouvrage révèle une enquête passionnante, sinon savante, d'une pratique religieuse observée par les populations berbères (Maimuna), juives (Mimouna), chrétiennes (Mouna) et arabo-musulmanes (Achoura).
Cette odorante brioche dorée appelée Mona ou Mouna selon l'origine espagnole ou française, est une gourmandise que personne n'oublie d'emporter pour aller fêter le Lundi de Pâques, la Saint Couffin, au bord de la mer, à la forêt des Planteurs ou au bois de Misserghin, dans la région d'Oran ou d'Alger. Sa consommation est en rapport direct avec la célébration de Pâques, voire de la Pentecôte.
Le Lundi suivant la Résurrection, la Mouna vient conclure les agapes d'un riz au poulet assaisonné d'un mélange de poivron et tomate longuement cuits dans l'huile, dénommé la « frita » et d'un assortiment de viandes en sauce, accompagné de galette spéciale, le « gazpacho ». Ces nourritures solidement terrestres, prises en commun en signe de fraternité chrétienne, prennent leur fondement, sur le pourtour méditerranéen, à l'époque néolithique.
Considérée par des littérateurs sérieux comme une manifestation folklorique d'Oranie, Claude Arrieu s'attache à retrouver la vraie provenance de la Mouna à travers les traités d'histoire des religions, les voies de l'étymologie ou d'une chronologie historique plus récente. En Algérie, la colonie des Européens étant majoritairement d'origine espagnole à Oran, l'auteur a recherché la naissance de la brioche pascale catalane appelée Mona. Puis, faisant fi de toutes les légendes recueillies, il dirige sa prospection vers la province d'Alicante, seule ville d'Espagne qui depuis plus de trois cents ans façonne la Mouna, à Pâques.
C'est alors qu'intervient une tradition régionale valencienne qui évoque une vieille femme surnommée « La Mouna » pétrissant un pain avec la plus blanche des farines et des 1/2 ufs les plus frais afin de guérir une Reine frappée d'un mal mystérieux. Ce « sein de la sultane » brun, arrondi, lisse et luisant émut le Roi qui donna le nom de Mona à ce gâteau. (Voir PJ les belles mounas)
Venue d'un passé religieux probablement préjudaïque, la coutume de la Mona pascale participe d'un rituel fort ancien qui suggère les fêtes des Mondas et la célébration du culte de Cérès, déesse romaine.
Forme transcendée du blé, la Mona est associée à la commémoration de ce « Passage » qu'est la Résurrection du Christ suivie de l'Ascension.
Appartenant à la catégorie des aliments qui gonflent et, parfois, couronnée d'un 1/2 uf, le symbole de la rénovation périodique de la nature est indéniable. La Mouna demeure la friandise communielle de là-bas, véritable trait d'union de communautés solidaires et fraternelles qui l'ont rapatriée, ici, après 1962.
Le : 30/03/2010 14:54
A Amélie,
Non, pas du tout. Comme s 1/2 ur Anne qui ne voit rien venir et qui répond
"Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie.",
je ne parle ni n'écris le ch'ti ni habite dans le Nord où,
avant de le perdre en Moselle,
j'ai pu fort heureusement quitter ce département d'exil pour le sud de l'Ardèche.
Et c'est de là que, linguiste de formation et par goût, je me régale de ces lectures et autres messages que j'écris ou fais suivre sur ce merveilleux site en pensant à vous.
Amicalement,
Antoine.
Non, pas du tout. Comme s 1/2 ur Anne qui ne voit rien venir et qui répond
"Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie.",
je ne parle ni n'écris le ch'ti ni habite dans le Nord où,
avant de le perdre en Moselle,
j'ai pu fort heureusement quitter ce département d'exil pour le sud de l'Ardèche.
Et c'est de là que, linguiste de formation et par goût, je me régale de ces lectures et autres messages que j'écris ou fais suivre sur ce merveilleux site en pensant à vous.
Amicalement,
Antoine.
Le : 29/03/2010 14:13
POUR LA COMMUNAUTÉ JUIVE DU SITE
BONNE FÊTE DE PESSAH
DANS LA JOIE , EN FAMILLE
PEACE
Jean-Pierre
BONNE FÊTE DE PESSAH
DANS LA JOIE , EN FAMILLE
PEACE
Jean-Pierre
Le : 29/03/2010 10:54
est ce que quelqu'un pourait me dire s'il y a un bus de prévu partant de Perpignan pour la réunion de Rognes? car j'aimerais y aller je connais Uzes mais pas Rognes de plus je ne sais pas ou cela ce trouve. Si vous pouviez me renseigner merci et bizzz à tous.
Le : 29/03/2010 10:15
A Michelle Menella:
Je vous envoie ce lien car je pense que c'est ce plat ou une variante qui y est proposé:
http://www.italien-pasta.com/Casatiello%20napolitano.php
Bon appétit
Je vous envoie ce lien car je pense que c'est ce plat ou une variante qui y est proposé:
http://www.italien-pasta.com/Casatiello%20napolitano.php
Bon appétit
Le : 29/03/2010 09:54
BONJOUR
JE SOUHAITE A TOUTE LA COMMUNAUTE JUIVE
UNE BONNE FETE DE PESSA'H (PAQUES JUIVES)
QUE LA PAIX SOIT DANS TOUS LES COEURS
ANDREE
JE SOUHAITE A TOUTE LA COMMUNAUTE JUIVE
UNE BONNE FETE DE PESSA'H (PAQUES JUIVES)
QUE LA PAIX SOIT DANS TOUS LES COEURS
ANDREE