Liste des messages
Le : 20/11/2010 12:46
Pour J C Soldevila
C`est moi qui t´ai envoyé le message hier soir
en te disant de mettre un T-Shirt avec ton nom
si tu veux être reconnu á Rôgnes
Bonne journée Robert
Le : 20/11/2010 11:44
à Pierre Antoine Liguri, Andree Atlan et tous ceux de malakoff.
Franchement les gens de la consolation ne sont pas trés actifs. Il y a tellement de choses à raconter sur notre quartier et de souvenirs enfouis dans notre mémoire qu'il y a de quoi écrire un livre. De l'eden et du pigeonnier à la glissade, en passant par le mont blanc et la placette et en terminant par "là bas dehors" et "là bas derrière", vous vous souvenez du slogan : MIDI SEPT HEURES L'HEURE DU BERGER, alors?
Franchement les gens de la consolation ne sont pas trés actifs. Il y a tellement de choses à raconter sur notre quartier et de souvenirs enfouis dans notre mémoire qu'il y a de quoi écrire un livre. De l'eden et du pigeonnier à la glissade, en passant par le mont blanc et la placette et en terminant par "là bas dehors" et "là bas derrière", vous vous souvenez du slogan : MIDI SEPT HEURES L'HEURE DU BERGER, alors?
Le : 20/11/2010 11:19
BONJOUR A TOUS
SOUVENIR
PIERRE ANTOINE TE RAPPELLE TU QUAND LA CHAUVE SOURIS EST RENTREE
CHEZ MOI NOUS ETIONS TOUS LA POUR LA FAIRE SORTIR
ON NOUS DISAIT QUE SI UNE CHAUVE SOURIS TOUCHEE NOTRE TETE ON DEVENAIT FARTASSE
BONNE JOURNEE
SOUVENIR
PIERRE ANTOINE TE RAPPELLE TU QUAND LA CHAUVE SOURIS EST RENTREE
CHEZ MOI NOUS ETIONS TOUS LA POUR LA FAIRE SORTIR
ON NOUS DISAIT QUE SI UNE CHAUVE SOURIS TOUCHEE NOTRE TETE ON DEVENAIT FARTASSE
BONNE JOURNEE
Le : 20/11/2010 10:28
Bjr a vous tous.
J ai moi meme travailler chez schiaffino( E R S A )Mrs Laurent Schiaffino avait donner l ordre de ralentir c est bateaux au passage devant l entree du cimetiere car son fis reposer a lentree du cimetiere c etait pour saluer sa memoire.
Bjr a toutes la compagnie de l avenue malakoff et a toi Andree tu as si bien raconter la vie de n otre enfance oui c est innoubliable.
Amitiees a vous tous
PIERRE ANTOINE
Le : 19/11/2010 23:48
à ROBERT VOIRIN... je te demande car ce soir il est exactement23 h45 et j'étais en train de demander à jacky soliveres ou était le rassemblement des pn et il m'a répondu ...à Rognes prés d'aix en provence ensuite je suis retourné sur mes message et d'un coup j'ai vu le tien qui me répond ce que je voulais entendre au meme moment que jacky ..tu me diras ...merci a toi aussi j'y participerai cette année ce sera la première fois j'ai participé à des rassemblement mais ailleurs..amicalement ..JEAN CLAUDE
Le : 19/11/2010 23:40
à Robert Voirin...c'est toi qui vient de me laisser un message pour Rognes .....?????
Le : 19/11/2010 23:04
à Claude-France....vous dites que votre grand père était capitaine à la compagnie schiaffino....je travaillais juste à coté de cette compagnie à ALGER-GARE et mon beau frère travaillait pour cette compagnie je ne sais plus au juste ce qu'il faisait à l'heure actuelle il est décédé...n'y avait-il pas une nièce ou petite fille ou autre ? qui travaillait à la télévision francaise à PARIS....JE SUIS DE 43 evidemment je suis parti d'Alger à l'age de 18 ans presque comme tout le monde et je me souviens plus exactement de tout ...50 ans aprés..!!!amicalement ...JEAN CLAUDE
Le : 19/11/2010 20:41
Pour compléter votre petite histoire sur notre dame D’Afrique,
Chaque bateaux de la marine Marchande, saluaient au passage avec un coup de sirène. Mon grand père etait capitaine chez Schiaffino et il le faisait toujours
Claude France
Chaque bateaux de la marine Marchande, saluaient au passage avec un coup de sirène. Mon grand père etait capitaine chez Schiaffino et il le faisait toujours
Claude France
Le : 19/11/2010 11:37
enfin un peu de culture.continuer monsieur Voirin a nous enchanté.
une pied noir de notre d'ame d'afrique.
amitiées
une pied noir de notre d'ame d'afrique.
amitiées
Le : 18/11/2010 21:25
NOTRE DAME D'AFRIQUE
Je me revois encore quand depuis ma terrasse
je la regardais longuement notre basilique sans que je me lasse,
bien détachée dans le grand bleu du ciel,
elle m'apparaissait sereine et bienveillante sous le soleil.
Dressée tout là haut dans un environnement unique,
elle était comme posée ici par une opération magique,
et de chez moi j'avais ce privilège de pouvoir l'admirer,
cela me donnait l'impression qu'elle m'appartenait.
Que de fois sommes nous montés là haut en trolley ou à pied,
on rejoignait ces gens qui venaient du tout Alger,
l'Assomption réunissait là des familles formidables
qui envahissaient la place dans une atmosphère innoubliable
au cours d' une journée de fête en pleine lumière de notre été.
On y allait d'autres fois quand les filles en robes rivalisant de beauté
et les garçons coinçés dans des costumes avec brassards brodés,
se suivaient le cierge à la main en de longs défilés,
avant de se recueillir devant la Vierge Noire
qui, habillée de bleu et or ne cessait de nous émouvoir.
A d'autres moments c'était en promenade que nous y montions,
et une fois là haut, nous nous reposions loin de toute agitation,
alors nous admirions le superbe panorama en prenant notre temps,
nous restions plantés là comme pris d'éblouissement
dans le prolongement du regard de Notre Dame tourné vers la mer,
elle était pareille à un phare entre ciel et terre.
Nous repartions alors non sans avoir auparavant chercher
en contre bas l'emplacement de notre terrasse située tout près
dans Bab El Oued qui devant nous s'étalait.
Alors on descendait peut être vers Saint Eugène et son stade
ou on continuait aussi bien vers Bouzaréah pour une belle ballade.
Je ne savais pas encore que Notre Dame d'Afrique, comme une icône admirable
allait devenir plus tard une image à tout jamais ineffaçable,
je ne savais pas encore qu'elle serait l'un des symbôles les plus puissants
de notre attachement pour cette terre dans ce qu'elle avait de plus grand.
Robert Voirin
Je me revois encore quand depuis ma terrasse
je la regardais longuement notre basilique sans que je me lasse,
bien détachée dans le grand bleu du ciel,
elle m'apparaissait sereine et bienveillante sous le soleil.
Dressée tout là haut dans un environnement unique,
elle était comme posée ici par une opération magique,
et de chez moi j'avais ce privilège de pouvoir l'admirer,
cela me donnait l'impression qu'elle m'appartenait.
Que de fois sommes nous montés là haut en trolley ou à pied,
on rejoignait ces gens qui venaient du tout Alger,
l'Assomption réunissait là des familles formidables
qui envahissaient la place dans une atmosphère innoubliable
au cours d' une journée de fête en pleine lumière de notre été.
On y allait d'autres fois quand les filles en robes rivalisant de beauté
et les garçons coinçés dans des costumes avec brassards brodés,
se suivaient le cierge à la main en de longs défilés,
avant de se recueillir devant la Vierge Noire
qui, habillée de bleu et or ne cessait de nous émouvoir.
A d'autres moments c'était en promenade que nous y montions,
et une fois là haut, nous nous reposions loin de toute agitation,
alors nous admirions le superbe panorama en prenant notre temps,
nous restions plantés là comme pris d'éblouissement
dans le prolongement du regard de Notre Dame tourné vers la mer,
elle était pareille à un phare entre ciel et terre.
Nous repartions alors non sans avoir auparavant chercher
en contre bas l'emplacement de notre terrasse située tout près
dans Bab El Oued qui devant nous s'étalait.
Alors on descendait peut être vers Saint Eugène et son stade
ou on continuait aussi bien vers Bouzaréah pour une belle ballade.
Je ne savais pas encore que Notre Dame d'Afrique, comme une icône admirable
allait devenir plus tard une image à tout jamais ineffaçable,
je ne savais pas encore qu'elle serait l'un des symbôles les plus puissants
de notre attachement pour cette terre dans ce qu'elle avait de plus grand.
Robert Voirin