Liste des messages
Le : 19/12/2010 21:13
Excellente idée, excellent titre pour conserver, traces lumineuses et chaleureuses, ces souvenirs de l'espèce en voie d'extinction que nous sommes.
Et je proposerais de mettre en exergue cette phrase d'Arlette du 24 mai 2009 - car j'ai relevé moi aussi les plus beaux de nos messages.
Phrase qui est sûrement l'une des plus touchantes écrites dans le "Né à Bab el Oued " de Christian Timoner:
" Nous avons eu la chance, malgré cette destinée tragique, de naître dans ce si beau pays"
Et je proposerais de mettre en exergue cette phrase d'Arlette du 24 mai 2009 - car j'ai relevé moi aussi les plus beaux de nos messages.
Phrase qui est sûrement l'une des plus touchantes écrites dans le "Né à Bab el Oued " de Christian Timoner:
" Nous avons eu la chance, malgré cette destinée tragique, de naître dans ce si beau pays"
Le : 19/12/2010 17:35
Merçi CHRISTIAN,c'est notre cadeau de NOEL,super LA BIBLIOTHEQUE DES
TROIS HORLOGES.De bonnes fêtes pour toi et ta famille.Bisous
TROIS HORLOGES.De bonnes fêtes pour toi et ta famille.Bisous
Le : 19/12/2010 11:14
Bonjour,
Comme l'avait suggéré André TRIVES et d'autres ensuite, je viens de créer "la bibliothèque des Trois Horloges".
C'est pour y mettre toutes les anecdotes du quartier, je suis en train de les récupérer petit à petit car cela est très long, et vous pourrez les lire dans l'ordre chronologique. Bon dimanche à tous.
Comme l'avait suggéré André TRIVES et d'autres ensuite, je viens de créer "la bibliothèque des Trois Horloges".
C'est pour y mettre toutes les anecdotes du quartier, je suis en train de les récupérer petit à petit car cela est très long, et vous pourrez les lire dans l'ordre chronologique. Bon dimanche à tous.
Le : 19/12/2010 08:10
Pour cette FIN D'ANNEE
L'amitié ne naît pas comme ça, tout simplement du jour au lendemain sans qu'on n'ait besoin d'y investir un peu de soi. En réalité, il faut y mettre de la confiance pour l'apprivoiser, du temps bien entendu pour la fortifier et de la disponibilité en plus, afin de lui permettre de s'épanouir pleinement et de se développer également.
Puissent ces voeux témoigner de cette belle amitié et contribuer un peu à agrémenter la journée.
L'amitié ne naît pas comme ça, tout simplement du jour au lendemain sans qu'on n'ait besoin d'y investir un peu de soi. En réalité, il faut y mettre de la confiance pour l'apprivoiser, du temps bien entendu pour la fortifier et de la disponibilité en plus, afin de lui permettre de s'épanouir pleinement et de se développer également.
Puissent ces voeux témoigner de cette belle amitié et contribuer un peu à agrémenter la journée.
Le : 18/12/2010 09:58
Bonjour à toutes et tous
Merci Christian de nous avoir donné des nouvelles de Louis DURA, espérons qu'il reprendra le dessus, je le lui souhaite.
Bonnes fêtes à vous tous, si vous devez prendre la route, soyez prudent et à l'année prochaine
Amicalement
Merci Christian de nous avoir donné des nouvelles de Louis DURA, espérons qu'il reprendra le dessus, je le lui souhaite.
Bonnes fêtes à vous tous, si vous devez prendre la route, soyez prudent et à l'année prochaine
Amicalement
Le : 17/12/2010 20:04
Bonsoir à tous,
Un petit mot pour vous dire que j'ai eu notre ami Louis DURA junior au téléphone et malheureusement sa santé s'est dégradée mais il doit encore subir des examens lundi et j'espère que les nouvelles seront meilleures et que le moral sera revenu. Il embrasse tous ses amis, en ce moment il ne va pas sur internet car il est trop fatigué. Christian
Un petit mot pour vous dire que j'ai eu notre ami Louis DURA junior au téléphone et malheureusement sa santé s'est dégradée mais il doit encore subir des examens lundi et j'espère que les nouvelles seront meilleures et que le moral sera revenu. Il embrasse tous ses amis, en ce moment il ne va pas sur internet car il est trop fatigué. Christian
Le : 17/12/2010 17:20
Bonjour
En consultant le site de Zakia, je viens d'apprendre que notre amie Andrée, vient d'être hospitalisée. Je souhaite de tout coeur que cela ne soit pas grave et qu'elle nous fasse un petit coucou quand elle reviendra.
En consultant le site de Zakia, je viens d'apprendre que notre amie Andrée, vient d'être hospitalisée. Je souhaite de tout coeur que cela ne soit pas grave et qu'elle nous fasse un petit coucou quand elle reviendra.
Le : 17/12/2010 16:39
Merci à mme Baeza Laura pour ce beau reportage sur la basilique Notre Dame d'Afrique.c'est vrai,nous étions mélangés,catholiques,musulmans a aller à la basilique,moi-même et mon ami de classe kadoudia allions souvent,après la sortie de classe,qui n'était pas loin de la basilique,faire une prière chacunes dans son dieu.encore merci.amitiées. josiane.
Le : 17/12/2010 15:06
Ils y viennent pour exaucer des prières, y trouver du réconfort ou écouter «la musique douce»… Les musulmans qui fréquentent depuis leur enfance Notre-Dame d’Afrique étaient tous là, lundi dernier, pour l’inauguration de la basilique restaurée. Si pour la jeune génération, la relation à «Madame l’Afrique» n’est plus la même, le sanctuaire chrétien reste un symbole de fraternité entre les deux religions.
«Je suis musulmane pratiquante, mais depuis l’âge de 10 ans, je viens régulièrement prier à Notre-Dame… Je sens que quand je prie ici, mes v 1/2 ux sont exaucés. Après tout, Lalla Meriem est la nôtre aussi…» El Hadja, 76 ans, n’aurait «pour rien au monde raté la cérémonie d’inauguration» de la basilique lundi dernier. Trois ans de travaux auront été nécessaires pour restaurer les pierres, clochetons et tours qui menaçaientW de tomber et pour renforcer le sanctuaire en cas de nouveau séisme. 9h, la foule commence à se rassembler. Fidèle à ce qu’elle a toujours été, basilique de toutes les confessions, elle réunit ce matin-là sur son parvis, Européens, Africains, dont des Algériens venus de différentes régions. Très vite, les robes des prêtres côtoient les burnous des imams, celles des s 1/2 urs religieuses se mélangent aux voiles ou aux tenues plus occidentales des femmes présentes. Une fois à l’intérieur, les yeux se rivent sur le ch 1/2 ur magnifique de la basilique où peintures et vitraux éclatent de mille couleurs. «Priez pour nous et pour les musulmans» est inscrit à l’intérieur de la voûte.
Pour les Algérois, ce lieu est devenu au fil du temps un symbole de fraternité et un lieu d’espérance. La petite histoire derrière la construction de la basilique le confirme. Deux demoiselles, venues de Lyon pour travailler à l’entretien du séminaire qui se trouvait sur le flanc nord-est de la Bouzaréah, «avaient installé une statue de la vierge Marie dans un ravin où elles se recueillaient. Rejointes très vite par d’autres femmes d’Alger, le ravin s’est transformé en une sorte de lieu de prière», nous raconte une s 1/2 ur. Ces femmes venaient dans l’espoir de guérir, d’enfanter ou pour prier pour les leurs... Leur nombre étant devenu trop important, Mgr Pavy, alors archevêque d’Alger, fit construire d’abord une chapelle provisoire, puis la basilique, sous l’insistance des deux ouvrières. Depuis, hommes et femmes de confessions différentes continuent de se recueillir à «Madame l’Afrique», comme la surnomment les Algérois.
Djamel Djabi, natif de Saint-Eugène, tout fier de fêter son 63e anniversaire le jour de la réouverture de la basilique déclare : «La basilique est pour les gens d’Alger un monument édifié aussi bien pour les chrétiens que pour les musulmans. Située sur les hauteurs, elle rappelle le saint patron d’Alger, Sidi Abderrahmane Thaâalibi qui se trouve à La Casbah. Comme elle donne sur le port, la dame d’Afrique veille, tout comme Sidi Abderrahmane, sur les marins et les pêcheurs.» Et d’ajouter, «Pour moi, natif d’Alger, Sidi Abderrahmane et la basilique ont la même symbolique.»
«Partie de nos traditions»
El Hadja se souvient aussi : «Avant, on venait souvent ici avec nos parents et on allumait des bougies comme pour Sidi Abderrahmane, cela était tout à fait normal, c’est aujourd’hui que cela pose problème…», confesse-t-elle en expliquant que ces enfants ne comprennent pas. «Les s 1/2 urs m’ont tout donné étant petite, elles m’ont enseigné, elles m’ont donné des couvertures, des habits et du lait tous les matins, jamais je n’oublierai cela. Malheureusement la jeune génération ne semble pas comprendre l’importance de ce lieu.» La jeune génération ? Elle n’était pas très représentée. Quelques enfants étaient venus après la sortie de l’école. Ils se prêtaient au jeu des journalistes, posaient pour les photographes et riaient avec les étrangers.
Une habitante du quartier, voilée, la trentaine, n’est pas dans le même état d’esprit : «Je suis musulmane pratiquante et je me culpabilise d’avoir pénétré ce lieu chrétien. Je suis venue seulement parce que j’ai entendu dire que le président serait présent. Je voulais lui raconter mes problèmes : je vis dans un taudis et mes filles en bas âge souffrent d’asthme.» Son amie, Hassiba, en niqab essaie de la réconforter : «Nous n’avons pas péché. C’est la misère qui nous a amenées ici.» Fatima, la trentaine aussi, issue d’une des rares familles musulmanes qui vivaient aux côtés des Français dans le quartier de Notre-Dame d’Afrique, ne se pose pas autant de questions.
Fréquenter la basilique est presque normal. «Je viens ici apprécier les couleurs, lire les ex-vetos et écouter cette musique douce. Il n’y a rien de mieux pour se recueillir et se reposer.» Ourida, sa s 1/2 ur, vêtue d’un hayek et portant un aâdjar bien algérois, confirme. «Depuis toujours nous visitons ce lieu saint bien que nous soyons musulmanes. Cela fait partie de nos traditions et il n’y a pas de raisons pour que cela change.»
Paroles d’officiels
-«Le monde est souvent confronté à l’individualisme. L’homme a besoin de trouver des havres de paix et des espaces de dialogue. Notre-Dame d’Afrique doit faire partie de ces hauts lieux dans lesquels l’homme peut se réconcilier avec lui-même d’abord, ensuite avec l’Homme et avec Dieu», Ghaleb Bader, archevêque d’Alger
-«Il n’y a aucune forme de restriction dans la pratique religieuse ni aucune distinction entre les musulmans et les chrétiens. Toutes les parties sont tenues de respecter les lois et la législation relative à la pratique religieuse.» Abdelaziz Belkhadem, ministre d’Etat, représentant officiel du président de la République
-«La basilique est un lieu symbolique qui reflète l’union qui existe entre les deux rives de la Méditerranée. La restauration de ce site s’inscrit dans le cadre d’un projet de dimensions interculturelles. Il ne s’agit pas d’un simple projet de restauration.» Laura Baeza, chef de la délégation de l’Union européenne à Alger.
Journal elwatan du 17.12.2010
«Je suis musulmane pratiquante, mais depuis l’âge de 10 ans, je viens régulièrement prier à Notre-Dame… Je sens que quand je prie ici, mes v 1/2 ux sont exaucés. Après tout, Lalla Meriem est la nôtre aussi…» El Hadja, 76 ans, n’aurait «pour rien au monde raté la cérémonie d’inauguration» de la basilique lundi dernier. Trois ans de travaux auront été nécessaires pour restaurer les pierres, clochetons et tours qui menaçaientW de tomber et pour renforcer le sanctuaire en cas de nouveau séisme. 9h, la foule commence à se rassembler. Fidèle à ce qu’elle a toujours été, basilique de toutes les confessions, elle réunit ce matin-là sur son parvis, Européens, Africains, dont des Algériens venus de différentes régions. Très vite, les robes des prêtres côtoient les burnous des imams, celles des s 1/2 urs religieuses se mélangent aux voiles ou aux tenues plus occidentales des femmes présentes. Une fois à l’intérieur, les yeux se rivent sur le ch 1/2 ur magnifique de la basilique où peintures et vitraux éclatent de mille couleurs. «Priez pour nous et pour les musulmans» est inscrit à l’intérieur de la voûte.
Pour les Algérois, ce lieu est devenu au fil du temps un symbole de fraternité et un lieu d’espérance. La petite histoire derrière la construction de la basilique le confirme. Deux demoiselles, venues de Lyon pour travailler à l’entretien du séminaire qui se trouvait sur le flanc nord-est de la Bouzaréah, «avaient installé une statue de la vierge Marie dans un ravin où elles se recueillaient. Rejointes très vite par d’autres femmes d’Alger, le ravin s’est transformé en une sorte de lieu de prière», nous raconte une s 1/2 ur. Ces femmes venaient dans l’espoir de guérir, d’enfanter ou pour prier pour les leurs... Leur nombre étant devenu trop important, Mgr Pavy, alors archevêque d’Alger, fit construire d’abord une chapelle provisoire, puis la basilique, sous l’insistance des deux ouvrières. Depuis, hommes et femmes de confessions différentes continuent de se recueillir à «Madame l’Afrique», comme la surnomment les Algérois.
Djamel Djabi, natif de Saint-Eugène, tout fier de fêter son 63e anniversaire le jour de la réouverture de la basilique déclare : «La basilique est pour les gens d’Alger un monument édifié aussi bien pour les chrétiens que pour les musulmans. Située sur les hauteurs, elle rappelle le saint patron d’Alger, Sidi Abderrahmane Thaâalibi qui se trouve à La Casbah. Comme elle donne sur le port, la dame d’Afrique veille, tout comme Sidi Abderrahmane, sur les marins et les pêcheurs.» Et d’ajouter, «Pour moi, natif d’Alger, Sidi Abderrahmane et la basilique ont la même symbolique.»
«Partie de nos traditions»
El Hadja se souvient aussi : «Avant, on venait souvent ici avec nos parents et on allumait des bougies comme pour Sidi Abderrahmane, cela était tout à fait normal, c’est aujourd’hui que cela pose problème…», confesse-t-elle en expliquant que ces enfants ne comprennent pas. «Les s 1/2 urs m’ont tout donné étant petite, elles m’ont enseigné, elles m’ont donné des couvertures, des habits et du lait tous les matins, jamais je n’oublierai cela. Malheureusement la jeune génération ne semble pas comprendre l’importance de ce lieu.» La jeune génération ? Elle n’était pas très représentée. Quelques enfants étaient venus après la sortie de l’école. Ils se prêtaient au jeu des journalistes, posaient pour les photographes et riaient avec les étrangers.
Une habitante du quartier, voilée, la trentaine, n’est pas dans le même état d’esprit : «Je suis musulmane pratiquante et je me culpabilise d’avoir pénétré ce lieu chrétien. Je suis venue seulement parce que j’ai entendu dire que le président serait présent. Je voulais lui raconter mes problèmes : je vis dans un taudis et mes filles en bas âge souffrent d’asthme.» Son amie, Hassiba, en niqab essaie de la réconforter : «Nous n’avons pas péché. C’est la misère qui nous a amenées ici.» Fatima, la trentaine aussi, issue d’une des rares familles musulmanes qui vivaient aux côtés des Français dans le quartier de Notre-Dame d’Afrique, ne se pose pas autant de questions.
Fréquenter la basilique est presque normal. «Je viens ici apprécier les couleurs, lire les ex-vetos et écouter cette musique douce. Il n’y a rien de mieux pour se recueillir et se reposer.» Ourida, sa s 1/2 ur, vêtue d’un hayek et portant un aâdjar bien algérois, confirme. «Depuis toujours nous visitons ce lieu saint bien que nous soyons musulmanes. Cela fait partie de nos traditions et il n’y a pas de raisons pour que cela change.»
Paroles d’officiels
-«Le monde est souvent confronté à l’individualisme. L’homme a besoin de trouver des havres de paix et des espaces de dialogue. Notre-Dame d’Afrique doit faire partie de ces hauts lieux dans lesquels l’homme peut se réconcilier avec lui-même d’abord, ensuite avec l’Homme et avec Dieu», Ghaleb Bader, archevêque d’Alger
-«Il n’y a aucune forme de restriction dans la pratique religieuse ni aucune distinction entre les musulmans et les chrétiens. Toutes les parties sont tenues de respecter les lois et la législation relative à la pratique religieuse.» Abdelaziz Belkhadem, ministre d’Etat, représentant officiel du président de la République
-«La basilique est un lieu symbolique qui reflète l’union qui existe entre les deux rives de la Méditerranée. La restauration de ce site s’inscrit dans le cadre d’un projet de dimensions interculturelles. Il ne s’agit pas d’un simple projet de restauration.» Laura Baeza, chef de la délégation de l’Union européenne à Alger.
Journal elwatan du 17.12.2010
Le : 17/12/2010 12:10
Pour CHRISTIAN TIMONER
Un ENORME MERCI,je t'avais demandé des photos des Eucalyptus lorsque tu es
allé avec GINETTE en juin,mais là je suis comblée.Tu as pris mon bat 7
et chez moi,c'est comme si j'y étais!!!Gros bisous à tous les deux.
Un ENORME MERCI,je t'avais demandé des photos des Eucalyptus lorsque tu es
allé avec GINETTE en juin,mais là je suis comblée.Tu as pris mon bat 7
et chez moi,c'est comme si j'y étais!!!Gros bisous à tous les deux.