pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : etoile*Envoyer un mail

Le : 23/04/2011 12:16

Coucou les Amis, Bonnes et Joyeuses Pâques à tous, Monique j'espère passer bientôt vers toulon, je te téléph. Bisous à tous, Christian,Ginette, à bientôt

 

De : Monique BaldacchinoEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 23:21

Merci Robert

Après avoir lu votre récit, j'ai fermé les yeux et je me suis vue exactement comme vous l'avez écrie les mêmes gestes, traversant la forêt de sidi ferruche, au plus près de la plage, que du bonheur, même après 50 ans c'est toujours graver dans nos c 1/2 urs a jamais.

Je pense que c'est pour cela que nous attendons avec impatience le rendez-vous de Rognes, les mêmes gestes, la même nourriture et le même bonheur de retrouver nos amis.

Merci pour vos écries, cela fait chaud au c 1/2 ur, Monica de là-bas

 

De : josy sennegon-cartonEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 22:32

à l'attention de Philippe Nobili
Merci de votre réponse, Je Téléphonerai à Marie-
Thérèse ces prochains jours. Vous pouvez me
joindre :e-mail : josy-simon34@orange.fr
Amitiés
josy

 

De : Nobili PhilippeEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 19:20

Bonjour,
A l'attention de Madame Sennegon Josy ( Carton Josy).
Ma soeur Marie-Thérèse sera très heureuse d'avoir de vos nouvelles, vous pouvez la joindre au 0494412447.
Je n'ai pas pu vous contacter directement .
Amitiés
Philippe.

 

De : robert voirinEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 18:30

LE CABASSETTE ET LE COUFFIN ( fable )



Au fond d'un placard le cabassette et le couffin s'ennuyaient beaucoup,
depuis qu'ils avaient quitté leur Bab El Oued natal ils ne sortaient plus du tout,
alors il se racontaient des histoires pour tromper leur ennui,
surtout celles qui parlaient de leurs anciennes et nombreuses sorties
quand ils accompagnaient la famille au marché, en forêt ou au bord de mer.
Ainsi à Pâques on les remplissait de ce qu'il y avait de meilleur sur terre,
le cabassette disait qu'il transportait la soubressade, la calentita,
le boutifar, la pastera sucrée, les poivrons grillés, et la si fine fritenga,
les anchois, les dattes et les figues sèchent, les délicieuses cocas,
les mantécaos, sans oublier le bon selecto et le fameux Mascara.
Le couffin se vantait d'être plein de zlabias au miel, de douces oreillettes,
de makrouts, de la belle mouna, sans oublier les succulents roliettes.
Ils étaient tellement lourds qu'ils n'en pouvaient plus surtout
qu'il fallait tenir jusqu'à la fôret de Sidi Ferruch pleine de monde partout.
Là au milieu des cris de joie on commençait à les vider,
en premier les tramousses et les variantes étaient sortis
car avant le repas la traditionnelle anisette était servie,
puis dans une joyeuse ambiance on déballait tout et chacun se servait,
et tous les membres de la famille pouvaient commençer à se régaler.
Dans la soirée pour le retour à la maison le cabassette et le couffin
maintenant si légers pensaient déjà à faire les courses dès le lendemain matin,
à Bab El Oued ils continueraient ainsi à déambuler dans les allées du marché
où ils seraient encore remplis de ces bonnes choses qui faisaient leur fierté.
Bien longtemps après, alors que dans le placard ils se lamentaient sur leur sort,
une main amie qui les avaient bien connus leur apporta un jour un grand réconfort,
et pour ne pas qu'ils tombent complètement dans les oubliettes
ils furent alors emmenés de nouveau aux commissions ou à des fêtes,
réconfortés ils purent se dire qu'on ne les avait pas laisser tomber
pour enfin revivre en pensant à Sidi Ferruch et ses belles journées.

moralité : recevoir le passé comme un héritage c'est combattre l'oubli, le mépris et
l'indifférence.


Robert Voirin


et Bonnes Pâques à tous
Robert


 

De : vincent agulloEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 17:40

Je voudrai des renseignements sur le voyage an Israel au mois de Fevrier 2012 Merci

 

De : mathildeEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 16:59

Oui TAMENE MERZAK,quel récit! Je suis née à la Clinique FERRARI,mon frère,mes cousines,et combien d'autres enfants de Bab El Oued aussi.
Et tous nos écrivains BRAVO,quel régal de vous lire chaque jour.
CHRISTIAN,tu ne pouvais nous faire à tous, de plus beau cadeau que cette
bibliotheque.Amitiés à tous et toutes.

 

De : josy sennegon-cartonEnvoyer un mail

Le : 22/04/2011 16:02

En réponse à Philippe Nobili
Je connais votre soeur Marie-Thérèse Nobili, nous avons travaillé ensemble aux Ets Cote à Alger ( service de Mme
Martinez. Mon nom de jeune fille Josy Carton
je pense qu'elle se souviendra de moi. Je connais-
sais aussi Lucie Liguori, mais je n'ai aucune
nouvelle d'elle. J'aimerais bien avoir des
nouvelles de Marie-Thérèse, il y a si longtemps.......
En l'attente d'une réponse toutes mes amitiés

 

De : josiane gras epse catalaEnvoyer un mail

Le : 21/04/2011 19:42

Bientôt PAQUES:
Que de souvenirs me viennent subitement en mémoire,je revois ma mère,mes voisines,partir,chacune avec une grande bassine sous le bras,remplie de pâte,chez le boulanger,faire qoi? DES MOUNAS.chacune faire des boules,les faire cuire au four avec l'aide et la gentillesse du boulanger,qui faisait des heures supplémentaires mais en bénévola,avec ses oreilles remplies de tchaclala des ménagères.Enfin la cuisson est fini,et voilà les cancans:les miennes sont plus grosses,les tiennes sont moins sucrées et j'en passeles voilà de retour à la maison,quelle odeur?aurons la patience d'attendre jusqu'à demain?je sens déjà le chocolat chaud et les trempettes de mounas dedans,mais je me reveille,je ne suis plus à notre d'ame d'afrique,il ne me reste que mon petit four,mais rien ne m'empêchera de faire des MOUNAS

JOYEUSES PAQUES A VOUS TOUS

 

De : rosette de la consolationEnvoyer un mail

Le : 21/04/2011 16:47

bonjour a vous tous.merci pour le renseignement,au sujet du curé Castera.je vois ,qu'a l'unanimité ,que ce n'ai pas lui qui nous a marier en avril 1961.j'aurai parier!
je ne serais pas là pour les fêtes de pâques ,aussi,avec un peu d'avance,je vous souhaites de passer de très bonne fêtes,et surtout n'oublier pas notre divine MOUNA.bises a vous tous.rosette.

 

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